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== Divers ==
== Divers ==

[[Acquigny#Ancienne prison|Maison d'Acquigny]]


== [[Abbaye du Bec]] ==
== [[Abbaye du Bec]] ==
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== Stand–by ==
== Stand–by ==

{{ardoise|Stand–by}}


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{{Traduit de|en|Operation Steinbock|14 janvier 2010|337813307}}
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{{Traduction/Référence|en|Operation Steinbock|337813307}}

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{{BUtilisateur
| couleur = rouge
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| titre = Alphabet Morse
| texte = Je parle le morse
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}}


{{BUtilisateur
{{Infobox conflit militaire|
| couleur = #00B0FF
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| img = Morse key.svg
légende= |
| titre = [[Alphabet morse]]
conflit=Opération ''Steinbock'' |
| texte = Je parle le morse.
guerre=[[Seconde Guerre mondiale]] |
date=Jan - Mai 1944<ref>Beale, 2005. pp. 312-320.</ref>|
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| combattants2=[[Luftwaffe]] [[Image:Flag of Germany 1933.svg|25px]] [[Troisième Reich|Allemagne]]
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| commandant2= [[Image:Flag of Germany 1933.svg|25px]] ''[[Colonel|Oberst]]'' [[Dietrich Peltz]]
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| pertes1= inconnues
| pertes2= 329 Bombardiers
}}
}}


L''''opération ''Steinbock''''' a été menée par la ''[[Luftwaffe]]'' à la fin de la [[Seconde Guerre mondiale]] entre janvier et mai 1944 sur des objectifs du sud de l'[[Angleterre]], en particulier sur [[Londres]] et ses alentours au cours de la nuit. Les Anglais ont surnommé cette opération le ''Baby [[Blitz]]'' (petit Blitz) en raison de sa faible importance au regard du [[bombardement stratégique]] de la ''Luftwaffe'' sur les îles britanniques en 1940–1941.<br />
Placée sous le commandement du [[Generalmajor]] {{lien|Dietrich Peltz}}, la ''Luftflotte&nbsp;3'' rassemble 474 [[Bombardier (avion)|bombardiers]] pour l'offensive. L'opération — conduite en réaction à la campagne du ''Bomber Command''<ref>Le '''''Bomber Command''''' est une unité militaire organisationnelle dépendant généralement de l'armée de l'air. Plusieurs pays ont leur ''Bomber Command'' mais les plus connus sont en [[Grande-Bretagne]] et aux [[États-Unis]]. Cette unité est le plus souvent engagée dans des opérations de bombardement stratégique.
</ref> connue sous le nom de Bataille de Berlin<ref>La '''Bataille de Berlin''' est une campagne de bombardement britannique conduite sur [[Berlin]] de novembre 1943 à mars 1944.</ref>, mais sur une plus petite échelle — est lancée surtout pour des raisons de propagande et par mesure de représailles. Son intérêt reste pratiquement assez faible et les pertes s'élèvent à 329 appareils au cours des cinq derniers mois d'opération avant son abandon<ref>Caldwell & Richard Muller</ref>. Des commandants de la ''Luftwaffe'' comme [[Hugo Sperrle]] ont eu l'intention de les utiliser contre la flotte d'invasion [[Alliés de la Seconde Guerre mondiale|alliée]] dont il prévoyait qu'elle atterrirait au Nord de la [[France]] au cours de l'été, et, en fin de compte, les attaques de représailles ont permis l'interruption de l'invasion imminente de la France par les Alliés<ref>Beale, 2005. p. 318.</ref> But Steinbock had worn out the German bomber fleet to the extent it could not deliver any significant counter blows.<ref>Boog 2008, p. 420.</ref>.


Cette opération marque la fin des grandes offensives lancées par la ''Luftwaffe'' contre l'Angleterre, par la suite seul seuls des [[V1 (missile)|V1]] et [[V2 (missile)|V2]] furent utilisés contre les îles britanniques.


{{ardoise|Stand–by}}
== Background ==
At the end of November 1943, Generalmajor [[Dietrich Peltz]] was been summoned to a conference where [[Hermann Göring]] informed him that he was to be placed in charge of a renewed large-scale bombing operation of Britain, and London in particular.<ref>Beale, 2005. p. 312.</ref> It was hoped that the operation would commence during December, and though this proved unrealistic, by the third week of January 1944, a force approaching 600 aircraft had been amassed by stripping five Kampfgruppen from the Italian front and by rebuilding existing bomber units in the West.<ref>Beale, 2005. p. 312.</ref> On 3 December, 1943, Göring issued orders for ''Unternehmen Steinbock'' ('Operation Capricorn'), with the objective of 'avenging terror attacks of the enemy'.<ref>Hooton, 1997. p. 276.</ref> [[Wolfram von Richthofen]] was to provide Peltz with six ''Kampfgruppen'' (bomber wings), while ''Obdl'' would provide another three which were resting.<ref>Hooton, 1997. p. 276.</ref> The bombers were to carry a so-called 'English mixture' - 70% incendinaries and 30% high explosive bombs, including large 1-tonne bombs and mines.<ref>Hooton, 1997. p. 276.</ref>


Chercher liens rouges sur Thermophorèse.
== Opposing forces ==
=== The Luftwaffe ===


Although a force of Heinkel [[He 177]] heavy bombers was now available for the operation, the inventory still consisted largely of twin-engined medium bombers. The [[Ju 188]]s and [[Do 217]]s were of relatively recent developments, the great majority of the [[Ju 88]]s were of the A-4 model, essentially unchanged since 1941, when the original [[The Blitz|Blitz]] had wound down.<ref>Beale, 2005. p. 314.</ref>
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{{Traduit de|en|Field flow fractionation|10 mars 2013|567324619}}
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{{Traduction/Référence|en|Field flow fractionation|567324619}}


Apart from the numbers of conventional medium and heavy level bombers, the Luftwaffe also employed a number of fast bomber types, such as the Ju 88S (a cleaned up and boosted version of the Ju 88A-4) or the [[Me 410]] ''Hornisse'' and a number of [[fighter-bomber]]s, known as ''Jabos'' in the Luftwaffe.<ref>Beale, 2005. p. 314.</ref> These were more difficult to intercept due to their great speed, but carried limited payload compared to the conventional bombers.<ref>Beale, 2005. p. 314.</ref>


Le '''fractionnement champ-débit''' (ou '''FFF''' de l'anglais ''Field-flow fractionation'') est une technique de séparation dans laquelle un [[Champ (physique)|champ]] est appliqué à une [[Suspension (chimie)|suspension]] fluide ou à une [[Solution (chimie)|solution]]. Le [[Fluide (matière)|fluide]] est injecté dans un tube long et étroit, perpendiculaire à la [[Direction (géométrie)|direction]] du [[Flux (physique)|flux]], pour permettre la séparation des [[particules en suspension]] dans le fluide, selon leurs différentes « mobilités » lorsqu'elles sont soumises à la [[Force (physique)|force]] exercée par le champ. Cette méthode a été inventée et décrite pour la première fois par J. Calvin Giddings<ref>{{en}} Giddings, JC, FJ Yang, and MN Myers. “''Flow Field-Flow Fractionation: a versatile new separation method''” (Le fractionnement champ-débit : une méthode de séparation nouvelle et polyvalente). Science 193.4259 (1976): 1244-1245.</ref>. Le FFF se distingue des autres méthodes car il est capable de séparer des substances avec des tailles de [[Colloïde|particules colloïdales]] très différentes tout en conservant une haute [[Qualité métrologique des appareils de mesure#Résolution|résolution]]. Cependant, bien que le FFF soit très polyvalent il n'existe pas de méthode capable de convenir à toutes les tailles de particules existantes.
The composition of the force was never static. Bomber units were disbanded, pulled off for refits, conversions or redeployed to other theatres of operation as the situation demanded it. By mid-March, Peltz's force had 232 servicable aircraft as 3./KG 2 was withdrawn for conversion to the Ju 188, while III./KG 30, along with II. and III. Gruppen of KG 6 were redeployed to support the occupation of Hungary.<ref>Beale, 2005. p. 317.</ref>


[[Fichier:Principe de la séparation par fractionnement champ débit.jpg|thumb|upright=1.5|Dispositif de fractionnement champ-débit en coupe transversale dans lequel la vitesse du [[Écoulement laminaire|flux laminaire]] n'est pas uniforme. Il s'écoule en présentant un profil [[Parabole|parabolique]] avec une accélération vers le centre du tube et un ralentissement sur les bords.]]
=== Radar ===
To confuse British radars, the ventral gondolas of some Ju 88s were fitted with an active radar [[jammer]] device called ''Kettenhund'' ("watchdog"), and the some bombers also sported the FuG 216 tail-warning radar, to detect British night-fighters before they could make their attack on their bomber.<ref>Beale, 2005. p. 314.</ref>


Dans le fractionnement champ-débit, le ''champ'' peut se présenter sous forme d'un ''flux'' soit asymétrique à travers une [[membrane hémiperméable]], soit [[Champ gravitationnel|gravitationnel]], soit [[Force centrifuge|centrifuge]], soit selon un {{Lien|trad=Temperature gradient|fr=gradient thermique}}, ou [[Champ électrique|électrique]], ou [[Champ magnétique|magnétique]], etc. Dans tous les cas la séparation vient des différences de mobilité des particules ([[Électrophorèse|électrophorétique]] lorsque le champ est provoqué par un [[courant continu]] perpendiculaire à l'écoulement) soumises aux forces du champ, qui s'équilibrent avec les forces de [[Diffusion des particules|diffusion]] : le profil [[Parabole|parabolique]] présenté par un [[écoulement laminaire]] détermine la [[Vitesse|vélocité]] d'une particule déterminée en fonction de sa position d'équilibre par rapport aux parois du tube. Le rapport entre la vélocité d'une particule particulière et la vélocité moyenne du fluide est appelé « ratio de rétention ».
{{Expand section|date=December 2009}}


==Order of battle ==
== Principes fondamentaux ==
The following Luftwaffe units particated in Operation Steinbock:<ref>Beale, 2005. p. 312.</ref>


Le fractionnement champ-débit est fondé sur l'observation d'un écoulement laminaire de particules en solution. Les différents éléments de l'échantillon vont changer de niveaux ou modifier leurs vitesses selon leurs tailles et leurs [[masse]]s. Ces éléments se déplaçant à des vitesses différentes, on observera bien une séparation. Pour expliquer les choses simplement, la séparation de l'échantillon a lieu dans un tube très fin — ressemblant un peu à un ruban — en présence d'un flux entrant et d'un champ perpendiculaire à ce flux. Le flux entrant est formé par le liquide de la solution qui est pompé vers l'entrée du tube en créant un profil d'écoulement parabolique et qui propulse l'échantillon vers la sortie du tube.
*[[KG 2]]
**Stab ([[Do 217]])
**I./KG 2 (Do 217)
**II./KG 2 ([[Ju 188]])
**III./KG 2 (Do 217)
**V./KG 2


Rapprochons la force <math>F</math> du temps de rétention <math>t_r</math>.<br />
*[[KG 6]]
La relation entre la force de séparation du champ et le temps de rétention peut être illustrée de la façon suivante. Prenons deux populations de particules à l'intérieur du tube de FFF. Le champ transversal entraîne les deux populations et les force à s'accumuler sur la paroi opposée. Mais, en même temps, la diffusion naturelle des particules, ou le [[mouvement brownien]], vient s'opposer à cette accumulation ce qui produit une [[Lois du mouvement de Newton#Troisième loi de Newton ou principe des actions réciproques (ou mutuelles)|réaction]].<br />
**Stab ([[Ju 88]])
Lorsque ces deux processus de transport atteignent leur équilibre, la concentration <math>c</math> des particules, selon leur élévation par rapport à la paroi contre laquelle elles s'accumulent, est proche d'une fonction exponentielle comme le montre l'équation :
**I./KG 6 (Ju 188)
<center><math>c = c_0 \exp(-x/l)</math></center>
**II./KG 6 (Ju 88)
<math>l</math> représente l'élévation caractéristique du nuage de particules. Ceci ne décrit la hauteur qu'un groupe de particules peut occuper à l'intérieur du tube que si la valeur de <math>l</math> est différente pour chaque groupe après séparation.<br />
**III./KG 6 (Ju 88)
Le <math>l</math> de chaque composant peut être relié à la force appliquée à chaque particule individuellement :
<center><math>l = kT/F</math></center>
Où <math>k</math> est la [[constante de Boltzmann]], <math>T</math> la [[Pression#Mesures de pression|pression absolue]] et <math>F</math> la force exercée individuellement sur une particule par le flux transversal. Ceci montre à quel point la valeur l'élévation caractéristique est inversement proportionnelle à la force appliquée. Par conséquent <math>F</math> contrôle le processus, ce qui permet d'optimiser la séparation en faisant varier la puissance du champ de séparation.<br />
La vélocité <math>V</math> d'un nuage de molécules est tout simplement la vélocité moyenne d'une distribution exponentielle intégrée dans un flux au profil parabolique.<br />
Le temps de rétention <math>t_r</math> peut s'écrire :
<center><math>t_r = L/V</math></center>
Où <math>L</math> est la longueur du tube. D'où, le temps de rétention peut également s'écrire :
<center><math>\frac{t_r}{t^o} = \frac{w}{6l} \left[ \coth \left( \frac{w}{2l} - \frac{2l}{w} \right) \right]^{-1}</math></center>
Où <math>t^o</math> est le temps d'annulation (ce qui revient à utiliser un traceur sans retenue) et <math>w</math> est l'épaisseur de l'échantillon. En remplaçant <math>l</math> par <math>kT/F</math> on représente le temps de rétention en fonction de la force transversale appliquée.
<center><math>\frac{t_r}{t^o} = \frac{Fw}{6\,kT} \left[ \coth \left( \frac{Fw}{2\,kT} - \frac{2\,kT}{Fw} \right) \right]^{-1}</math></center>
Pour que l'opération soit efficace, la valeur <math>w</math> de l'épaisseur du tube doit être très grande devant <math>l</math>. Lorsque c'est le cas, le terme entre parenthèses tend vers 1 et cette dernière équation peut s'approximer en :
<center><math>t_r = \frac{w}{6l} = \frac{Fw}{6\,kT} </math></center>


On voit ainsi que <math>t_r</math> est presque proportionnel à <math>F</math>. La séparation des bandes de particules X et Y, représentée par la variation finie &Delta;<math>t_r</math> de leur temps de rétention n'est possible que si la différence &Delta;<math>F</math> de leurs forces respectives est suffisante. Il faut une différence 10 à {{unité|16|N}} ([[Newton (unité)|newtons]]) pour que cette condition soit réalisée. Les valeurs de <math>F</math> et de &Delta;<math>F</math> dépendent des propriétés de la particule, de la force du champ et du type de champ. Ceci permet d'adapter cette technique aux cas particuliers, ce qui lui confère une bonne polyvalence.<br />
*[[KG 30]]
De nombreuses formes de FFF dérivent de la technique d'origine et s'en distinguent par la nature de la force de séparation ainsi que par la plage des tailles de particules pour laquelle ils ont été conçues.
**I./KG 30 (Ju 88)
**II./KG 30 (Ju 88)


== Fractogramme ==
*[[KG 40]]
**I./KG 40 ([[He 177]])


[[Fichier:Gold Sivler CF2000.png|thumb|upright=1.5|Un fractionnement champ-débit centrifuge peut s'opérer soit par densité, soit par taille de particules. Avec des nanoparticules d'or et d'argent de même dimension la séparation est représentée par deux pics fonctions de leurs densités respectives.]]
*[[KG 54]]
**Stab/KG 54 (Ju 88)
**I./KG 54 (Ju 88)
**II./KG 54 (Ju 88)


Il s'agit d'une courbe représentant le signal détecté par rapport au temps, provenant d'un fractionnement champ-débit de différentes substances contenues dans un fluide que l'on sépare selon leurs vitesses d'écoulement grâce à l'application d'une action extérieure comme un flux, une [[centrifugation]], un champ électrique ou thermique.
*[[KG 66]]
**I./KG 66 (Ju 88 and Ju 188)


Souvent ces substances se présentent sous forme de particules en [[suspension]], au départ, dans un faible volume de liquide [[mémoire tampon|tampon]] et envoyées dans le tube de fractionnement. Les différences de vitesses des différentes particules peuvent être dues à leur taille, à leur masse et/ou à leur distance par rapport aux parois du tube dans le cas d'un flux à vitesse non-uniforme. La présence de différentes espèces dans un échantillon peut donc être mise en évidence par l'observation d'une propriété commune à l'extrémité distale du tube et par le fractogramme qui en résulte indiquant la présence des différentes espèces par des pics dus à leur propriétés [[Physico-chimie|physico-chimiques]] et apparaissant au fur et à mesure de l'arrivée de chaque espèce au bout du tube.
*[[KG 76]]
**Stab/KG 76 (Ju 88)


Dans le cas d'une FFF électrique, c'est un champ électrique qui agit sur la vitesse en contrôlant la position par rapport aux bords du tube de chaque espèce [[Charge électrique|chargée]] (dotée d'une [[Électrophorèse|mobilité électrophorétique]]) ou [[Polarité (chimie)|polarisée]] (étant en sustentation dans un champ non-uniforme) placée dans un [[tube capillaire]] avec une vitesse de flux à profil [[Dynamique des fluides|hydrodynamique]] parabolique, de cette manière la vitesse du fluide pompé est maximale au milieu du tube et décroit de façon [[Fonction monotone|monotone]] jusqu'à un minimum de zéro au contact des parois<ref>{{Cite book
*[[KG 100]]
| last = Madou
**I./KG 100 (He 177)
| first = Marc
| title = Fundamentals of Microfabrication
| publisher = CRC
| year = 2001
| location = USA
| pages = 565–571
| isbn = 0-8493-0826-7}}
</ref>.


== Forms of FFF ==
*[[SKG 10]]
Most techniques available today are advances on those originally created by Prof. Giddings nearly 4 decades ago.
**I./SKG 10 ([[FW 190]])


=== Flow FFF ===
==Operations ==
Of these techniques Flow FFF was the first to be offered commercially . Flow FFF separates particles based on size, independent of density and can measure macromolecules in the range of 1 nm to 1 µm. In this respect it is the most sensitive FFF technique available. The cross flow in Flow FFF enters through a porous frit at the top of the channel, exiting through a semi-permeable membrane outlet frit on the accumulation wall (i.e. the bottom wall) .
==== January ====
The first attack on London was mounted on the night of 21/22 January.<ref>Beale, 2005. p. 315.</ref> Codenamed ''Unternehmen Mars'', sections of the British capital were given codenames after devastated German cities - Berlin, Hamburg, Hannover, to emphasize the retaliatory nature of the operation for the air crews.<ref>Beale, 2005. p. 315.</ref> The first raid targeted the area designated as 'München', the [[Waterloo, London|Waterloo area of London]], in two waves with just over 400 bomber sorties. Despite the marking of the target with white and green flares by the Luftwaffe's pathfinders, hardly any bombers reached London due to the lack of experience of the crews. The bombs and incendinaries were dropped throughout the [[Home Counties]].<ref>Beale, 2005. p. 315.</ref>


=== Asymmetric Flow FFF (AF4) ===
Hitler was outraged that the Luftwaffe failed to find London though it was only 150 – 200&nbsp;km from German ground control stations while the British were hitting German towns, not just city targets, from 1,000&nbsp;km away in bad weather. Peltz, the commander-in-chief of the assault, said the failures also owed as much to the Luftwaffe's lack of interference-free radio as well as untrained crews. Peltz said, the British, with their H2S and Gee systems, were ahead of the Germans. The lack of powerful pathfinder groups also caused navigational problems as the few aircraft employed in this role were more at risk from interference than larger numbers. The British heavy defences often forced the Luftwaffe to fly meandering courses and German crews quickly got lost. Reconnaissance flights over England had also stopped, which prevented the Luftwaffe from working out British frequency bands.<ref>Boog 2008, p. 418.</ref>
Asymmetric FFF (AF4), on the other hand, has only one semi-permeable membrane on the bottom wall of the channel. The cross flow is, therefore, created by the carrier liquid exiting the bottom of the channel. This offers an extremely gentle separation and an “ultra-broad” separation range. High Temperature Asymmetric Flow Field-Flow Fractionation is the most advanced technology for the separation of high and ultra-high molar mass polymers, macromolecules and nanoparticles in the size range .
=== Thermal FFF ===
Thermal FFF, as the name suggests, establishes a separation force by applying a temperature gradient to the channel. The top channel wall is heated and the bottom wall is cooled driving polymers and particles towards the cold wall by thermal diffusion. Thermal FFF was developed as a technique for separating synthetic polymers in organic solvents. Thermal FFF is unique amongst FFF techniques in that it can separate macromolecules by both molar mass and chemical composition, allowing for the separation of polymer fractions with the same molecular weight. Today this technique is ideally suited for the characterization of polymers, gels and nanoparticles .


=== Split Flow Thin Cell Fractionation (SPLITT) ===
Approximately 40 bombers were lost to all causes.<ref>Beale, 2005. p. 315.</ref>
Splitt Flow Thin Cell Fractionation (SPLITT) is a special preparative FFF technique, using gravity for separation of µm-sized particles on a continuous basis. SPLITT is performed by pumping the sample containing liquid into the top inlet at the start of the channel, whilst simultaneously pumping a carrier liquid into the bottom inlet. By controlling the flow rate ratios of the two inlet streams and two outlet streams, the separation can be controlled and the sample separated into two distinct sized fractions. The use of gravity alone as the separating force makes SPLITT the least sensitive FFF technique, limited to particles above 1 µm .


=== Centrifugal FFF ===
The first operation coincided with the [[Operation Shingle|Allied landings at Anzio]] in Italy, and immediately three of the ''Kampfgruppen'' were returned to Italy.<ref>Beale, 2005. p. 315.</ref> Bad weather also intervened and the next raid on London was delayed until the 28 January, with only Me 410 fast bombers and FW 190 fighter bombers taking part. On the night following a 285-strong bomber mission was mounted, that started a major fire in the Surrey Commercial Docks.<ref>Beale, 2005. p. 315.</ref>
With further developments in sedimentation FFF, this has led to the development of a new technique, centrifugal FFF, wherein the separation field is supplied via a centrifugal force. The channel takes the form of a ring, which spins at 4900 rpm. The flow and sample are pumped into the chamber and the mixture is centrifuged, allowing the operator to resolve the particles by size and density. The advantage of centrifugal FFF lies in the broad range of samples and high resolution that can be achieved by varying the speed and force applied.
The unique advantage presented by centrifugal FFF comes from the techniques capability for high resolution. The first commercial centrifugal FFF instrument was introduced by [http://www.postnova.com/cf2000-overview.html Postnova Analytics is the CF2000], incorporating the unique feature of separating particles by dynamic diffusion on the basis of both particle size and density. This allows for the separation of particles with only a 5% difference in size.
Centrifugal FFF has the advantage that molecules can be separated by particle density, rather than just particle size. In this instance, two identically sized gold and silver nanoparticles can be separated into two peaks, according to differences in density in the gold and silver nanoparticles, separated with the Centrifugal FFF Postnova CF2000 instrument with the detection by Dynamic Light Scattering (DLS).
In AF4 separations, the ratio of mass to time is 1:1. With the addition of the third parameter of density to Centrifugal Fractionation, this produces a ratio more akin to mass:time to the power of three. This results in a significantly larger distinction between peaks and result in a greatly improved resolution.
This can be particularly useful for novel products, such as composite materials and coated polymers containing nanoparticles, particles which may not vary in size but do vary in density. In this way two identically sized particles can still be separated into two peaks, providing that the density is different.


All these FFF forms are available by [Postnova Analytics http://www.postnova.com/fff-systems.html]
==== February ====


==References==
{{Expand section|date=December 2009}}
{{Reflist}}


==== March ====
== External links ==
* [[American Laboratory: Field-Flow Fractionation Supporting Consumer Safety]]
* [http://www.regional.org.au/au/asssi/supersoil2004/s4/oral/1458_chittleboroughd-1.gif Diagram]
* [http://www.clinchem.org/cgi/content/full/51/10/1993/F1 Example]
* [http://www.postnova.com/ Postnova Analytics GmbH]
* [http://www.wyatt.com/ Wyatt Technology GmbH]
* [http://www.wyatt.eu/ Wyatt Technology Europe GmbH]
* [http://www.postnova.com/fff-systems.html FFF-Platform]


<nowiki>{{DEFAULTSORT:Field Flow Fractionation}}
{{Expand section|date=December 2009}}
[[Category:Laboratory techniques]]
[[Category:Chemical processes]]
[[Category:Diagrams| ]]
[[Category:Charts| ]]</nowiki>


==== April ====


{{Expand section|date=December 2009}}


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==== May ====
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{{Expand section|date=December 2009}}

==Aftermath==
==Citations==
{{Reflist}}
==Bibliography==
* Boog,Horst. Krebs,Gerhard. Vogel,Detlef . ''Germany and the Second World War, Volume IX/I: German Wartime Society 1939-1945: Politicization, Disintegration, and the Struggle for Survival''. Oxford University Press. 2008. ISBN 978-0199282777
* Donald Caldwell & Richard Muller. ''The Luftwaffe over Germany - Defense of the Reich''. Greenhill books, MBI Publishing; 2007; ISBN 978-1-85367-712-0

<nowiki>[[Category:Aerial battles]]
[[Category:Battles involving the United Kingdom]]
[[Category:World War II European theatre]]
[[Category:Military operations of World War II involving Germany]]
</nowiki>

Dernière version du 16 janvier 2018 à 17:47



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Maison d'Acquigny

Abbaye du Bec




A VERIFIER


Le futur Pape Alexandre II ainsi que de nombreux évêques sont issus de l'école du Bec[1].


Le village de Tooting Bec[2], aujourd'hui dans la banlieue londonienne, tient son nom de ce que l'abbaye en possédait les terrains[1].


La bibliothèque de l'abbaye abrite, entre autres, 5 000 ouvrages sur l'anglicanisme provenant du dépôt de l'évêque John Graham[1].


Alphabet Morse


Stand–by

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Le fractionnement champ-débit (ou FFF de l'anglais Field-flow fractionation) est une technique de séparation dans laquelle un champ est appliqué à une suspension fluide ou à une solution. Le fluide est injecté dans un tube long et étroit, perpendiculaire à la direction du flux, pour permettre la séparation des particules en suspension dans le fluide, selon leurs différentes « mobilités » lorsqu'elles sont soumises à la force exercée par le champ. Cette méthode a été inventée et décrite pour la première fois par J. Calvin Giddings[3]. Le FFF se distingue des autres méthodes car il est capable de séparer des substances avec des tailles de particules colloïdales très différentes tout en conservant une haute résolution. Cependant, bien que le FFF soit très polyvalent il n'existe pas de méthode capable de convenir à toutes les tailles de particules existantes.

Dispositif de fractionnement champ-débit en coupe transversale dans lequel la vitesse du flux laminaire n'est pas uniforme. Il s'écoule en présentant un profil parabolique avec une accélération vers le centre du tube et un ralentissement sur les bords.

Dans le fractionnement champ-débit, le champ peut se présenter sous forme d'un flux soit asymétrique à travers une membrane hémiperméable, soit gravitationnel, soit centrifuge, soit selon un gradient thermique, ou électrique, ou magnétique, etc. Dans tous les cas la séparation vient des différences de mobilité des particules (électrophorétique lorsque le champ est provoqué par un courant continu perpendiculaire à l'écoulement) soumises aux forces du champ, qui s'équilibrent avec les forces de diffusion : le profil parabolique présenté par un écoulement laminaire détermine la vélocité d'une particule déterminée en fonction de sa position d'équilibre par rapport aux parois du tube. Le rapport entre la vélocité d'une particule particulière et la vélocité moyenne du fluide est appelé « ratio de rétention ».

Principes fondamentaux

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Le fractionnement champ-débit est fondé sur l'observation d'un écoulement laminaire de particules en solution. Les différents éléments de l'échantillon vont changer de niveaux ou modifier leurs vitesses selon leurs tailles et leurs masses. Ces éléments se déplaçant à des vitesses différentes, on observera bien une séparation. Pour expliquer les choses simplement, la séparation de l'échantillon a lieu dans un tube très fin — ressemblant un peu à un ruban — en présence d'un flux entrant et d'un champ perpendiculaire à ce flux. Le flux entrant est formé par le liquide de la solution qui est pompé vers l'entrée du tube en créant un profil d'écoulement parabolique et qui propulse l'échantillon vers la sortie du tube.

Rapprochons la force du temps de rétention .
La relation entre la force de séparation du champ et le temps de rétention peut être illustrée de la façon suivante. Prenons deux populations de particules à l'intérieur du tube de FFF. Le champ transversal entraîne les deux populations et les force à s'accumuler sur la paroi opposée. Mais, en même temps, la diffusion naturelle des particules, ou le mouvement brownien, vient s'opposer à cette accumulation ce qui produit une réaction.
Lorsque ces deux processus de transport atteignent leur équilibre, la concentration des particules, selon leur élévation par rapport à la paroi contre laquelle elles s'accumulent, est proche d'une fonction exponentielle comme le montre l'équation :

représente l'élévation caractéristique du nuage de particules. Ceci ne décrit la hauteur qu'un groupe de particules peut occuper à l'intérieur du tube que si la valeur de est différente pour chaque groupe après séparation.
Le de chaque composant peut être relié à la force appliquée à chaque particule individuellement :

est la constante de Boltzmann, la pression absolue et la force exercée individuellement sur une particule par le flux transversal. Ceci montre à quel point la valeur l'élévation caractéristique est inversement proportionnelle à la force appliquée. Par conséquent contrôle le processus, ce qui permet d'optimiser la séparation en faisant varier la puissance du champ de séparation.
La vélocité d'un nuage de molécules est tout simplement la vélocité moyenne d'une distribution exponentielle intégrée dans un flux au profil parabolique.
Le temps de rétention peut s'écrire :

est la longueur du tube. D'où, le temps de rétention peut également s'écrire :

est le temps d'annulation (ce qui revient à utiliser un traceur sans retenue) et est l'épaisseur de l'échantillon. En remplaçant par on représente le temps de rétention en fonction de la force transversale appliquée.

Pour que l'opération soit efficace, la valeur de l'épaisseur du tube doit être très grande devant . Lorsque c'est le cas, le terme entre parenthèses tend vers 1 et cette dernière équation peut s'approximer en :

On voit ainsi que est presque proportionnel à . La séparation des bandes de particules X et Y, représentée par la variation finie Δ de leur temps de rétention n'est possible que si la différence Δ de leurs forces respectives est suffisante. Il faut une différence 10 à 16 N (newtons) pour que cette condition soit réalisée. Les valeurs de et de Δ dépendent des propriétés de la particule, de la force du champ et du type de champ. Ceci permet d'adapter cette technique aux cas particuliers, ce qui lui confère une bonne polyvalence.
De nombreuses formes de FFF dérivent de la technique d'origine et s'en distinguent par la nature de la force de séparation ainsi que par la plage des tailles de particules pour laquelle ils ont été conçues.

Fractogramme

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Un fractionnement champ-débit centrifuge peut s'opérer soit par densité, soit par taille de particules. Avec des nanoparticules d'or et d'argent de même dimension la séparation est représentée par deux pics fonctions de leurs densités respectives.

Il s'agit d'une courbe représentant le signal détecté par rapport au temps, provenant d'un fractionnement champ-débit de différentes substances contenues dans un fluide que l'on sépare selon leurs vitesses d'écoulement grâce à l'application d'une action extérieure comme un flux, une centrifugation, un champ électrique ou thermique.

Souvent ces substances se présentent sous forme de particules en suspension, au départ, dans un faible volume de liquide tampon et envoyées dans le tube de fractionnement. Les différences de vitesses des différentes particules peuvent être dues à leur taille, à leur masse et/ou à leur distance par rapport aux parois du tube dans le cas d'un flux à vitesse non-uniforme. La présence de différentes espèces dans un échantillon peut donc être mise en évidence par l'observation d'une propriété commune à l'extrémité distale du tube et par le fractogramme qui en résulte indiquant la présence des différentes espèces par des pics dus à leur propriétés physico-chimiques et apparaissant au fur et à mesure de l'arrivée de chaque espèce au bout du tube.

Dans le cas d'une FFF électrique, c'est un champ électrique qui agit sur la vitesse en contrôlant la position par rapport aux bords du tube de chaque espèce chargée (dotée d'une mobilité électrophorétique) ou polarisée (étant en sustentation dans un champ non-uniforme) placée dans un tube capillaire avec une vitesse de flux à profil hydrodynamique parabolique, de cette manière la vitesse du fluide pompé est maximale au milieu du tube et décroit de façon monotone jusqu'à un minimum de zéro au contact des parois[4].

Forms of FFF

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Most techniques available today are advances on those originally created by Prof. Giddings nearly 4 decades ago.

Of these techniques Flow FFF was the first to be offered commercially . Flow FFF separates particles based on size, independent of density and can measure macromolecules in the range of 1 nm to 1 µm. In this respect it is the most sensitive FFF technique available. The cross flow in Flow FFF enters through a porous frit at the top of the channel, exiting through a semi-permeable membrane outlet frit on the accumulation wall (i.e. the bottom wall) .

Asymmetric Flow FFF (AF4)

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Asymmetric FFF (AF4), on the other hand, has only one semi-permeable membrane on the bottom wall of the channel. The cross flow is, therefore, created by the carrier liquid exiting the bottom of the channel. This offers an extremely gentle separation and an “ultra-broad” separation range. High Temperature Asymmetric Flow Field-Flow Fractionation is the most advanced technology for the separation of high and ultra-high molar mass polymers, macromolecules and nanoparticles in the size range .

Thermal FFF

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Thermal FFF, as the name suggests, establishes a separation force by applying a temperature gradient to the channel. The top channel wall is heated and the bottom wall is cooled driving polymers and particles towards the cold wall by thermal diffusion. Thermal FFF was developed as a technique for separating synthetic polymers in organic solvents. Thermal FFF is unique amongst FFF techniques in that it can separate macromolecules by both molar mass and chemical composition, allowing for the separation of polymer fractions with the same molecular weight. Today this technique is ideally suited for the characterization of polymers, gels and nanoparticles .

Split Flow Thin Cell Fractionation (SPLITT)

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Splitt Flow Thin Cell Fractionation (SPLITT) is a special preparative FFF technique, using gravity for separation of µm-sized particles on a continuous basis. SPLITT is performed by pumping the sample containing liquid into the top inlet at the start of the channel, whilst simultaneously pumping a carrier liquid into the bottom inlet. By controlling the flow rate ratios of the two inlet streams and two outlet streams, the separation can be controlled and the sample separated into two distinct sized fractions. The use of gravity alone as the separating force makes SPLITT the least sensitive FFF technique, limited to particles above 1 µm .

Centrifugal FFF

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With further developments in sedimentation FFF, this has led to the development of a new technique, centrifugal FFF, wherein the separation field is supplied via a centrifugal force. The channel takes the form of a ring, which spins at 4900 rpm. The flow and sample are pumped into the chamber and the mixture is centrifuged, allowing the operator to resolve the particles by size and density. The advantage of centrifugal FFF lies in the broad range of samples and high resolution that can be achieved by varying the speed and force applied.

The unique advantage presented by centrifugal FFF comes from the techniques capability for high resolution. The first commercial centrifugal FFF instrument was introduced by Postnova Analytics is the CF2000, incorporating the unique feature of separating particles by dynamic diffusion on the basis of both particle size and density. This allows for the separation of particles with only a 5% difference in size. Centrifugal FFF has the advantage that molecules can be separated by particle density, rather than just particle size. In this instance, two identically sized gold and silver nanoparticles can be separated into two peaks, according to differences in density in the gold and silver nanoparticles, separated with the Centrifugal FFF Postnova CF2000 instrument with the detection by Dynamic Light Scattering (DLS).

In AF4 separations, the ratio of mass to time is 1:1. With the addition of the third parameter of density to Centrifugal Fractionation, this produces a ratio more akin to mass:time to the power of three. This results in a significantly larger distinction between peaks and result in a greatly improved resolution. This can be particularly useful for novel products, such as composite materials and coated polymers containing nanoparticles, particles which may not vary in size but do vary in density. In this way two identically sized particles can still be separated into two peaks, providing that the density is different.

All these FFF forms are available by [Postnova Analytics http://www.postnova.com/fff-systems.html]

  1. a b et c (en)Voir l'article Bec Abbey de la Wikipedia anglophone.
  2. (en)Voir aussi l'article Tooting Bec de la Wikipedia anglophone.
  3. (en) Giddings, JC, FJ Yang, and MN Myers. “Flow Field-Flow Fractionation: a versatile new separation method” (Le fractionnement champ-débit : une méthode de séparation nouvelle et polyvalente). Science 193.4259 (1976): 1244-1245.
  4. (en) Marc Madou, Fundamentals of Microfabrication, USA, CRC, , 565–571 p. (ISBN 0-8493-0826-7)
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{{DEFAULTSORT:Field Flow Fractionation}} [[Category:Laboratory techniques]] [[Category:Chemical processes]] [[Category:Diagrams| ]] [[Category:Charts| ]]