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Bus à impériale

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Le premier bus à impériale de Toulouse (en 1863).
Un AEC Routemaster à Londres (avant 2004).

Un bus à impériale ou un autocar à impériale est un autobus ou un autocar à deux niveaux. Ces véhicules sont répandus dans le monde entier, à vocation soit touristique souvent en version décapotée, soit de transport en commun avec un toit carrossé, mais cette dernière utilisation est moins courante.[réf. nécessaire] Ce type de bus est très populaire dans certaines villes d'Europe et de certaines parties de l'Asie (généralement d'anciennes colonies britanniques). Parmi les plus célèbres, on peut noter ceux de Londres, apparus en 1910, ceux de Berlin, en 1906, et ceux de Hong Kong, en 1977.


Europe

Le 22 juillet 1997, la directive 97/27/CE définit au niveau européen l'autobus ou autocar à étage:

« «autobus ou autocar à étage»: tout bus ou autocar dont les compartiments destinés aux passagers sont agencés, en partie au moins, sur deux niveaux superposés et dont l'étage supérieur n'est pas prévu pour des passagers debout »

— directive 97/27/CE

Le 20 novembre 2001, la directive 2001/85/CE redéfinit la directive 97/27/CE et définit au niveau européen le véhicule à impériale.

« «véhicule à impériale», un véhicule dont les compartiments destinés aux passagers sont agencés, en partie au moins, sur deux niveaux superposés et dont l'étage supérieur n'est pas prévu pour des passagers debout »

— directive 2001/85/CE


Londres

Routemaster RML sur Piccadilly Circus à Londres

Les bus à impériale londoniens de couleur rouge vif sont parmi les symboles les plus emblématiques de Londres et de l'Angleterre.

Un Alexander ALX400 sur châssis Volvo B7TL à gauche et un Routemaster RM54 à droite

Les plus connus, conçus par le designer industriel Douglas Scott, étaient du type Routemaster. Ces bus ont la particularité de nécessiter deux employés, un conducteur et un contrôleur en uniforme, chargé de délivrer et poinçonner les billets. Un périscope à miroirs permet au conducteur d'avoir l'œil sur les voyageurs de l'impériale. Ils sont également équipés d'un cordon permettant de sonner le conducteur pour s'arrêter, ainsi que d'une plate-forme arrière qui permet aux passagers pressés de sauter sur le trottoir à leurs risques et périls.

En circulation depuis 1956, ils ont cessé leur service le .

Les Routemaster furent progressivement remplacés, à partir des années 1970, par des modèles de plus en plus modernes de bus à impériale n'ayant rien à voir avec le Routemaster. Ces nouveaux bus ne possèdent plus la plate-forme arrière ouverte pour des raisons de sécurité. Parmi ces différents modèles, on peut citer le Alexander ALX400 ou le Scania Omnidekka.

Les bus à impériale furent remplacés, sur de nombreuses lignes, par des autobus articulés de type Mercedes Citaro dans les années 2000 sous l'impulsion de Ken Livingstone, maire de Londres de 2000 à 2008. Son successeur Boris Johnson a remplacé à leur tour ces bus articulés par un nouveau modèle de bus à impériale au style néo-rétro évoquant le «Routemaster». Ils sont plus accessibles pour les poussettes et fauteuils roulants, à moteur hybride et voient le retour de la plate-forme ouverte à l'arrière.

Paris

Selon le BEATT, il est possible que le nombre d’autocars à étage en circulation en France soit supérieur à 2 000 c'est-à-dire à 3% du parc[1].

Les omnibus à impériale

À gauche, un autobus à impériale Brillié-Schneider P2, et au centre, un omnibus à impériale type 1889

C'est à Paris, en 1853, que fut inventé le premier bus à deux étages, l'omnibus à impériale.

La Compagnie générale des omnibus (CGO), ancêtre de la Régie autonome des transports parisiens (RATP), met en service ces véhicules sur son réseau en 1855 dont l'accès à l'impériale, particulièrement malaisé, se fait par des échelons. En 1878, de lourdes voitures de 40 places à plate-forme arrière et dotées d'un escalier hélicoïdal pour accéder à l'impériale sont mis en circulation mais leur poids nécessitait la présence de trois chevaux. En 1889, la CGO met en service un type de voiture moins lourd, offrant 30 places, également à impériale et tiré par deux chevaux. Les derniers omnibus à chevaux de la CGO circulèrent en janvier 1913.

Les autobus à impériale de 1906

Au tournant du XXe siècle, les omnibus étaient de plus en plus démodés et le coût de la cavalerie nécessaire pour les tracter firent étudier à la CGO des solutions de remplacement moins onéreuses que la création de lignes de tramways avec leurs coûteuses voies ferrées. L'autobus utilisé, sans impériale, dès 1895 à Berlin et 1900 à Londres, apparaissait donc comme une solution prometteuse.

La CGO définit donc un cahier des charges et lança un appel d'offres aux constructeurs automobiles pour la réalisation de prototypes de châssis-moteur de ce qu'on appelait alors les omnibus automobiles, afin que la CGO y installe une caisse d'omnibus à chevaux à impériale de type 1889[2].

Neuf véhicules sont expérimentés sur une ligne spéciale de desserte du Salon de l'automobile de 1905[3],[2]:

  • un véhicule à vapeur, de Serpollet
  • deux véhicules pétroléo-électriques (moteur à essence alimentant une génératrice électrique) fournis par Krieger et De Dion-Bouton
  • six véhicules à essence et transmission mécanique construits notamment par Latil, Brillé-Schneider, Panhard

La CGO retient le modèle P2 de Brillié-Schneider, et en commande 150 châssis. En effet, ce sont les ateliers de la CGO qui montèrent les caisses provenant d'anciens omnibus à impériale. Le P2 mesure 5,20 m de long, avec un empattement de 3,65 m, une garde au sol de 73 cm, une hauteur de 4,20 m, et est équipé d'un moteur 4 cylindres de 35 chevaux accouplé à une boîte de vitesses à trois rapports avant et une marche arrière[3] .

La première ligne régulière équipée en autobus fut la ligne AM, qui allait de Montmartre à Saint-Germain-des-Prés, le .

Bientôt, six lignes sont exploitées et 151 Brillié-Schneider P2 sillonnent Paris, sur les lignes :

  • C, qui allait de Porte de Neuilly à Palais-Royal, le
  • J, qui allait de Montmartre à place Saint-Michel, le
  • I, qui allait de place Pigalle à Halle-au-vin, le
  • AL, qui allait de porte d'Asnières à Gare Montparnasse, le
  • H, qui allait d'avenue de Clichy à Odéon, et A qui allait de Gobelins à Notre-Dame de Lorette, le

Comme sur les tramways et les omnibus de l'époque, les autobus à impériale comportaient plusieurs classes : la première classe, à l’intérieur de la voiture, et la deuxième classe sur l’impériale à l'air libre en 1906 puis fermée dès 1907.

En 1910, un de ces véhicules se renversa sur la place de l'Étoile, ce qui amena la Compagnie générale des omnibus à remettre en cause l'exploitation d'autobus à impériale, les jugeant dangereux pour des questions d'équilibre et inconfortables. La CGO décide alors de supprimer les impériales en 1911, et installe de nouvelles caisses à plate-forme arrière et entrée axiale sur une centaine de châssis Schneider PB2 (dotés de la même motorisation que le P2, mais avec une longueur portée à 7,53 m), ces autobus prenant l'appellation Brillé-Schneider P3.

Les autobus à impériale de 1968

Il fallut attendre 1966 pour que la RATP retente l'expérience du bus à impériale à Paris, deux lignes sont choisies:

Un prototype construit par Berliet en 1966, modèle PCM-RE de 9,83 m de long, 2,50 m de large et 4,35 m de haut, est testé puis est suivi d'une commande de 25 autres véhicules. La mise en service du premier de ces autobus de série est effective le sur la ligne 94. Le , la ligne 53 est à son tour équipée de ce modèle. Mais diverses raisons font abandonner définitivement cette formule à la RATP en 1977, ce type d'autobus est peu adapté aux rues parisiennes bordées d'arbres. De plus, la présence de deux escaliers limitait l'espace gagné sur le modèle sans étage, le PCM-R, et, enfin, les stations trop proches les unes des autres incitaient peu les gens à monter à l'étage.

Plus tard, plusieurs exemplaires de ce modèle sont revendus et aménagés pour servir à la collecte du sang, avec en bas un espace pour effectuer les prélèvements et, à l'étage, un coin restauration.

Les bus à impériale aujourd'hui

Il n'y a, depuis 1977, plus aucune ligne parisienne utilisant des autobus à impériale en tant que transport en commun.

Cependant, depuis 2001, quatre lignes spéciales, composées d'une flotte d'autobus à impériale exclusivement, et exploitées seulement à des fins touristiques par la RATP et Cityrama, ont été mises en service, les lignes Paris L'OpenTour.

Berlin

Les Man Lion's City DD à Berlin

Les bus à deux niveaux sont très répandus sur les lignes régulières des transports en commun berlinois (en allemand BVG), principalement sur les lignes à haut niveau de service (celles commençant par un M) mais pas uniquement. Ces véhicules sont tous de la marque MAN, plus précisément les modèles SD 202 (construction 1987–1992), DN 202 (construction 1995) et Man Lion's City DD (type A39) (construction 2005–2009)[4].

Bruxelles

À Bruxelles, depuis les années 1990, trois compagnies exploitent des bus à impériale à des fins touristiques.

Skopje

Bus Yutong City Master de Skopje

À Skopje, en Macédoine, JSP Skopje, la compagnie de transports en commun de la ville, possède 202 bus à deux niveaux, mis en circulation à partir de 2011. Ils sont de la marque chinoise Yutong. Ces bus rappellent les bus à impériale rouges qui circulaient déjà sur les lignes urbaines de Skopje dans les années 1950 et 1960.

Lausanne

En Suisse, à Lausanne, les lignes 60, 62 et 65 des Transports publics de la région lausannoise sont exploités par des bus à impériale car ils répondent mieux aux besoins de ces lignes régionales que les bus articulés.

Amériques

Asie

Réglementation et sécurité

Véhicule sans toit

Certains règlements visent à préciser les spécificités des véhicules de transport de voyageur pour en assurer la sécurité:

« «Véhicule à deux étages», un véhicule dans lequel les places prévues pour les voyageurs sont disposées au moins dans une partie du véhicule sur deux étages superposés et où il n’est pas prévu de place pour les voyageurs debout au niveau supérieur. »

— Règlement 107 de la CEE-ONU[5]

« «Véhicule sans toit» 2 , un véhicule dépourvu de toit sur tout ou partie de son plancher et, dans le cas d’un véhicule à deux étages, de son plancher supérieur. Aucun emplacement réservé aux passagers debout ne doit être prévu sur un plancher dépourvu de toit, quelle que soit la classe du véhicule. »

— Règlement 107 de la CEE-ONU[6]

Différents règlements ou directives prévoient un tilt angle de 28°; c'est notamment le cas des règlements de Hong-Kong, des règlements CEE-ONU et des directives européennes.

« La stabilité du véhicule doit être telle qu’il ne se retourne pas lorsque la surface sur laquelle il se trouve est inclinée alternativement de chaque côté à un angle de 28° par rapport à l’horizontale. »

— Règlement 107 de la CEE-ONU[7]

Le règlement 107 prévoit qu'au moins un escalier et un demi-escalier doivent être prévus sur les véhicules à étages transportant beaucoup de passagers[8]

Le règlement 107 prévoit l’existence de garde corps et de dispositif de communication pour les véhicules sans toit[9]

Incidents et accidents

Renversement

Le 10 juillet 1995, vers une heure, sur l’autoroute A9 entre l’aire de Tavel et l’échangeur de Roquemaur, un autocar à impériale espagnol en provenance de Barcelone et à destination d'Amsterdam se reverse sur le terre plein central après avoir touché un autre poids-lourd. Bilan: 22 morts et 32 blessés. Un conducteur survivant perd son permis de conduire et obtient une amnde et une année de prison[10].

Le 17 mai 2003, au matin, sur l’autoroute A6 à Dardilly près de Lyon, un autocar à impériale en provenance d'Allemagne et à destination de la Costa Brava, glisse. Bilan: 28 morts dont les deux conducteurs et 46 blessés[11]. Note du rapport du BEATT:

« la configuration à deux étages de ce type d’autocar, avec une hauteur du centre de gravité importante – hauteur accrue par la présence de la majorité des passagers en partie haute – et la présence d’un important porte-bagages à l’arrière, accentuent encore les facteurs potentiels d’instabilité dynamique. À cet égard, les données recueillies lors d’accidents sur de tels véhicules, et leur renversement, montrent que les cars à étage présentent des risques particuliers et devraient être utilisés dans des conditions rigoureuses de respect de la réglementation. »

— BEATT[12]

Le mardi 11 septembre 2012 vers 8h07, un autocar à étage en provenance de Pologne et à destination du sud de la France traverse la chaussée de l'autoroute A36 et se renverse[13]. Deux occupants sont tués, 42 blessés. Facteur contribuant à cette situation :

« la moindre stabilité que présentent les autocars à étage du fait de la position élevée de leur centre de gravité qui favorise leur balancement et facilite leur renversement, notamment lorsque, comme dans le cas présent, ils sont dépourvus de système de contrôle de stabilité (ESP). Un tel dispositif est, de fait, devenu obligatoire depuis le11 juillet 2014 sur tous les autocars neufs mis en circulation. »

— BEATT[14]

« ces autocars sont réputés pour leur tendance au roulis et pour leur moindre stabilité dans les situations d’urgence. »

— BEATT[15]

En décembre 2019, un autocar à étage s'est renversé à Técou, au sud de Gaillac, dans le Tarn[16].

Collision avec obstacle fixe

Un nombre significatif d'incidents d'autobus ou d'autocars à impériale en collision avec un pont sont survenus. Ceci est du à la faute du conducteur oubliant la hauteur particulière d'un véhicule à impériale.

En Septembre 2021, un Megabus d’Amérique du nord entre en collision avec un pont ferroviaire à Syracuse, New York tuant quatre passagers et en blessant 17[17].

En juillet 2013, au Royaume-Uni, six personnes ont été bléssées après collision du bus contre un pont ferroviaire à Stockport[18]

En juin 2014, un bus heurte un pont ferroviaire à Sileby, Leicestershire.

En décembre 2014, un bus vide perd son toit lors du heurt d'un pont ferroviaire à Birkenhead[19].

En Mars 2015, un bus transportant 76 enfants heurte un pont à Staines, Surrey. Onze passagers sont hospitalisés mais leur blessures ne sont pas comptabilisés comme graves[20].

En mars 2015 aussi, un bus vide a été décapité de son toit après que le conducteur est propulsé le bus contre un pont ferroviaire à Isleworth dans l'ouest londonnien[21].

En avril 2015, un bus Stagecoach Highlands heure un pont ferroviaire à Balloch, Highland, écosse. Un passager pour échapper à l'accident saute sur le sol[22].

En mai 2015, à Romsey, un bus conduit par Bluestar a son toit décapité après avoir heurté un pont ferroviaire[23].

En juillet 2015 à Norwood à Londres un bus perd son toit , sept occupants sont bléssés[24].

Le 26 juillet 2015, à La Madelaine un autocar espagnol s'encastre dans un mini-tunnel d'une hauteur de 2,6 mètres. 28 occupants sont blessés. Le conducteur qui n'avait pas respecté la signalisation a été mis en examen pour "blessures involontaires ayant entraîné une incapacité totale de travail d'une durée inférieure ou égale à trois mois par violation manifestement délibérée d'une obligation de prudence ou de sécurité prévue par la loi ou le règlement". Le maire souhaitait que la technologies GPS soit développée pour éviter ce type d'incident[25].

En septembre 2015 à Rochdale, Greater Manchester, dix-sept personnes sont bléssées [26]

En avril 2016, à Bournemouth trente passagers échappent par une providence favorable à un accident de bus à impériale[27].

Un vendredi de juin 2017, vers 12H35, un bus de tourisme à impériale s'est encastré dans la partie haute d'un tunnel situé à proximité du pont Alexandre III. Quatre personnes ont été blessées, dont une hospitalisée pour un traumatisme crânien considéré comme grave. Les autres personnes ont reçu des "plaies diverses" (blessés légers). Le responsable du transport considère qu'"aucune (victime) ne se trouve dans un état grave". Le véhicule a été dévié de son circuit habituel en raison d'une déviation de la circulation. Toutefois, l'accès au tunnel n'était pas autorisé, par des panneaux indiquant une hauteur maximale autorisée de 3,90 mètres dans le tunnel. D'après la Préfecture de Police de Paris (PP): "Malgré la présence de ces panneaux règlementaires, le chauffeur a poursuivi sa route vers le souterrain"[28].

En février 2018, dans une grande artère du centre de Lisbonne, deux touristes belges ont été blessé par le heurt de l'autocar touristique à impériale les transportant avec un arbre[29].

Le dimanche 24 mars 2019 vers 20 heures, au autocar de voyageur de l'opérateur français Flixbus en provenance de Lille et à destination d'Amsterdam d'une hauteur d'environ quatre mètres à heurté à 2,60 mètres un portique de limitation de hauteur autorisée dans la commune de La Madelaine. Deux personnes ont été blessées au genou et par des bris de vitres[30].

Le 11 Septembre 2020, un bus transportant 72 enfants heurte un pont, enlevant l'intégralité du toit, à Winchester, Hampshire, lors d'un trajet scolaire vers l'école. Trois enfants sont blessés et nécessitent un acte chirurgical et douze autres sont blessés sans gravité c'est-à-dire sans acte chirurgical[31] Le bus était conduit par Stagecoach South.

Incendie

  • le 23 février 2008, un autocar à étage immatriculé en Belgique s'est auto-enflammé sur l'autoroute A43 dans la commune des Marches, en Savoie. Le feu s'est d'abord déclenché dans une chaudière endommagé lors d'une incident de manœuvre, avant de se propager dans les compartiments à bagage[32]. L'autocar et les bagages ont été détruits mais il n'y a eu aucune victime corporelle en raison de leur sortie préalable à l'incendie.

Notes et références

  1. http://www.bea-tt.developpement-durable.gouv.fr/sausheim-r183.html
  2. a et b « Les Transports Urbains à travers le temps  : Les autobus », sur le site de transurb, (consulté le )
  3. a et b Rémi Désormière, « Histoire de l'autobus », sur le site de Navily - La mobilité, c'est l'essentiel (consulté le )
  4. http://www.bvg.de/index.php/de/3928/name/Fahrzeuge/article/87783.html
  5. https://www.unece.org/fileadmin/DAM/trans/main/wp29/wp29regs/2016/R107r6f.pdf
  6. https://www.unece.org/fileadmin/DAM/trans/main/wp29/wp29regs/2016/R107r6f.pdf
  7. https://www.unece.org/fileadmin/DAM/trans/main/wp29/wp29regs/2016/R107r6f.pdf
  8. https://www.unece.org/fileadmin/DAM/trans/main/wp29/wp29regs/2016/R107r6f.pdf
  9. https://www.unece.org/fileadmin/DAM/trans/main/wp29/wp29regs/2016/R107r6f.pdf
  10. https://www.sudouest.fr/2020/07/21/chronologie-les-plus-graves-accidents-de-la-route-en-france-et-dans-la-region-depuis-1964-7677876-5022.php
  11. https://www.sudouest.fr/2020/07/21/chronologie-les-plus-graves-accidents-de-la-route-en-france-et-dans-la-region-depuis-1964-7677876-5022.php
  12. http://www.bea-tt.developpement-durable.gouv.fr/sausheim-r183.html
  13. http://www.bea-tt.developpement-durable.gouv.fr/sausheim-r183.html
  14. http://www.bea-tt.developpement-durable.gouv.fr/sausheim-r183.html
  15. http://www.bea-tt.developpement-durable.gouv.fr/sausheim-r183.html
  16. https://www.ladepeche.fr/2019/12/20/un-bus-transportant-64-personnes-se-renverse-dans-le-tarn,8618505.php
  17. Associated Press, « N.J. driver in fatal Megabus N.Y. crash charged with criminally negligent homicide », www.nj.com, (consulté le )
  18. « Roof ripped off double decker bus in railway bridge crash », The Daily Telegraph,‎ (lire en ligne, consulté le )
  19. Siddique, Haroon, « Roof of doubledecker bus sliced off in crash in Birkenhead », The Guardian,‎ (lire en ligne, consulté le )
  20. Stubbings, David, « Staines bus crash recap: Vehicle taking schoolchildren from Essex to Thorpe Park hit bridge », Get Surrey,‎ (lire en ligne, consulté le )
  21. Mann, Sebastian, « Roof ripped off double-decker in crash with rail bridge in west London », Evening Standard,‎ (lire en ligne, consulté le )
  22. « Driver who ripped roof off £47k Stagecoach bus by crashing into a bridge was filmed on his phone », Daily Record,‎ (lire en ligne, consulté le )
  23. Ford, Emily, « Roof ripped off bus as it crashes into bridge in Romsey », Southern Daily Echo,‎ (lire en ligne, consulté le )
  24. Boyle, Danny, « Norwood bus crash: Seven hurt as roof ripped off London double-decker », The Daily Telegraph,‎ (lire en ligne, consulté le )
  25. https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/lille-metropole/madeleine-bus-etage-s-encastre-portique-entree-du-grand-boulevard-1644160.html
  26. Gayle, Damien, « Rochdale bus crash: roof ripped off as double-decker hits bridge », The Guardian,‎ (lire en ligne, consulté le )
  27. « Bus roof ripped off in Bournemouth bridge crash », BBC News,‎ (lire en ligne, consulté le )
  28. https://www.rtl.be/info/monde/economie/un-bus-de-tourisme-s-encastre-dans-un-tunnel-a-paris-au-moins-4-blesses-929541.aspx
  29. https://lameuse.sudinfo.be/194375/article/2018-02-20/deux-belges-blesses-dans-laccident-dun-bus-imperiale
  30. https://france3-regions.francetvinfo.fr/hauts-de-france/nord-0/lille-metropole/madeleine-bus-etage-s-encastre-portique-entree-du-grand-boulevard-1644160.html
  31. https://www.bbc.co.uk/news/uk-england-hampshire-54116518
  32. BEATT, N°ISRN : EQ-BEATT--09-08--FR, Rapport d'enquête technique sur l'incendie d'un autocar survenu le 23 février 2008 sur l'autoroute A 43 aux Marches (73)

Voir aussi

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