Discussion:Fernando Alonso
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« Pilote Renault » chez Minardi !
Fernando Alonso n'a pas été repéré par Briatore à l'issue de sa saison chez Minardi. Il avait été repéré l'année précédente après ses perfs en F3000 lors de la saison 2000, et il était donc déjà dans le giron Renault lorsqu'il pilotait pour Minardi en 2001. Woodcote
Défi McLaren
Il s'agit donc bel et bien d'un véritable défi que s'est lancé Fernando Alonso, défi qui n'est pas sans rappeler celui de Michael Schumacher, quittant à la fin de la saison 1995 l'écurie Benetton avec laquelle il venait d'obtenir, lui aussi, deux titres de champion du monde, pour rejoindre une Scuderia Ferrari qui n'avait plus de résultats depuis fort longtemps. Étrange parallèle entre les démarches de ces deux grands champions. Alonso sera-t-il capable de fédérer les énergies pour refaire de McLaren une écurie gagnante, comme a su le faire le pilote allemand chez Ferrari, avec le succès que l'on sait ? 2007 apportera un début de réponse.
- Faut quand même pas trop en rajouter sur le "défi McLaren". Quand Alonso a signé pour McLaren fin 2005, McLaren sortait d'une saison remarquable et avait la voiture la plus performante du plateau. La saison 2006 loupée de McLaren a changé la donne, mais il ne faut pas réécrire l'histoire a posteriori. La démarche est donc tout sauf comparable avec celle de Schumacher fin 1995. Woodcote 24 février 2007 à 12:33 (CET)
- On ne peut pas encore dire aujourd'hui qui sera gagnant dans le jeu de chaises musicales auquel on a assisté en fin de saison dernière. Ce qui est certain c'est qu'Alonso arrive dans une écurie McLaren, certes moins mal en point que ne l'était Ferrari en 1995, mais tout de même il n'a pas choisi la facilité, qui aurait été de rester chez Renault ou d'aller chez Ferrari. Il y a donc bien un défi, qui, s'il le réussit en obtenant un troisième titre de champion du monde, puis d'autres, risque d'amener Räikkönen sur le chemin d'une carrière à la Stirling Moss. Je ne dis pas que c'est ce qui arrivera (je ne suis pas devin !), mais c'est une éventualité. C'est pour cela qu'on peut, je pense, faire le parallèle entre les démarches de Schumacher en 1995 et d'Alonso en 2007. S'il se plante, on prendra conscience que c'était bien un véritable défi qu'il s'est lancé ! --Polmars 24 février 2007 à 18:54 (CET)
- Fin 2005, la facilité, c'était pourtant bel et bien de signer chez McLaren. Chez Ferrari (qui sortait d'une saison loupée) il y avait encore Schumacher dans la place donc c'était pas vraiment un cadeau. Et pour ce qui est de Renault, il ne faut pas oublier que les rumeurs les plus alarmistes circulaient à cette période sur l'avenir de Renault en F1, et qu'on prêtait à Carlos Ghosn alias "cost killer" l'envie de tout arrêter car trop cher. Ce n'est qu'en février ou mars 2006 que le programme Renault a été confirmé sur le long terme après que le GPMA eut obtenu de Bernie des garanties quant à une meilleure répartition du gateau financier. Quand Alonso a commencé à discuter avec Renault fin 2005 pour une éventuelle prolongation de son contrat, on lui a fait comprendre qu'on ne pouvait rien lui proposer de solide et qu'il fallait attendre. Alors que McLaren venait de terminer deuxième du championnat en dominant Renault sur toute la seconde moitié de championnat. Rejoindre ce qui est alors considéré comme la meilleure équipe du plateau, ce n'est pas un "défi".
- Enfin bref, tout ça pour dire que oui, Alonso est confronté à un défi aujourd'hui, mais qu'on ne peut pas comparer ses intentions au moment de la signature à celles de Schumacher en 1995. Dans un cas, il y a un pilote qui a plongé volontairement et en connaissance de cause dans la galère. Et dans l'autre cas, il y a un pilote qui s'attendait à signer pour la meilleure équipe et qui se retrouve plongé dans l'inconnu. C'est pas juste une nuance, c'est une différence énorme.Woodcote 24 février 2007 à 20:13 (CET)
- Alonso a déclaré avoir quitté Renault parce qu'il savait qu'ils allaient perdre de leur performance, alors qu'en 2005 McLaren était au top. Et les événements lui ont donné raison. On ne peut absolument pas comparer ça avec Schumi qui a rejoint Ferrari, une écurie qui était dans une mélasse pas possible depuis 20 ans. Je ne suis pas spécialement fan de Schumi mais il a fait (avec l'aide de ses ingénieurs) ce que ni Prost ni Alesi n'ont réussi à faire : faire de Ferrari une écurie championne. En 96, la voiture terminait souvent sur le bord de la piste, en 97, ils étaient déjà à la course au titre, c'est pas rien. Du reste, Schumi a longuement hésité avant de rejoindre Ferrari. Je sais qu'aujourd'hui, on va dire que c'était son rêve d'enfance, mais si Todt ne lui avait pas dit : "tu prends l'ingénieur que tu veux, le second pilote que tu veux, l'équipe est à toi", il n'y serait pas allé. Enfin, il m'apparaît clair que si les "McLaren ont retrouvé de leur superbe" c'est en grande partie dû à certains renseignements qu'ils avaient sous la main (depuis le début du championnat) et pour lesquels ils ont été condamnés. Sur ce plan, on peut effectivement dire qu'Alonso a changé McLaren, mais peut-être dans le bon sens. Et pour finir avec le parallèle Schumi/Ferrari, Alonso/Mclaren, comparer le sentiment qu'éprouvent les ferraristes à l'égard de Schumacher, et ce qu'éprouvent aujourd'hui les fans de McLaren à l'égard d'Alonso. Vous voyez pas une petite différence ?
- Il ne faut pas exagérer l'impact de l'affaire d'espionnage sur le regain de forme de McLaren. On a vu dès les essais hivernaux que la McLaren (dont la conception a été entamée à l'été 2006 puisque c'est grosso modo le timing de toutes les écuries) était plutôt une réussite et les "tuyaux" de Stepney ne remontent qu'au mois de mars. Ca a permis d'optimiser certaines choses en cours de saison, très certainement, mais la base de départ était excellente et ça ne doit rien à Stepney (ni à Alonso, même s'il ne faut pas sous-estimer ses qualités de metteur au point en cours de saison).
- Pour ce qui est du "défi McLaren" de Alonso, je te rejoins totalement. N'oublions pas que c'est fin 2005 et non fin 2006 qu'il a signé. D'après Ron Dennis, les premiers contacts ont même eu lieu sur le podium du GP du Brésil 2005, où la Renault d'Alonso s'était faite totalement dominer par les McLaren de Montoya et Raikkonen comme cela arrivait régulièrement depuis plusieurs courses. Il faudra que je retrouve l'article pour intégrer la source. Woodcote 23 octobre 2007 à 11:00 (CEST)
- Il ne faut pas exagérer l'impact de l'affaire d'espionnage sur le regain de forme de McLaren. On a vu dès les essais hivernaux que la McLaren (dont la conception a été entamée à l'été 2006 puisque c'est grosso modo le timing de toutes les écuries) était plutôt une réussite et les "tuyaux" de Stepney ne remontent qu'au mois de mars. Ca a permis d'optimiser certaines choses en cours de saison, très certainement, mais la base de départ était excellente et ça ne doit rien à Stepney (ni à Alonso, même s'il ne faut pas sous-estimer ses qualités de metteur au point en cours de saison).
- Alonso a déclaré avoir quitté Renault parce qu'il savait qu'ils allaient perdre de leur performance, alors qu'en 2005 McLaren était au top. Et les événements lui ont donné raison. On ne peut absolument pas comparer ça avec Schumi qui a rejoint Ferrari, une écurie qui était dans une mélasse pas possible depuis 20 ans. Je ne suis pas spécialement fan de Schumi mais il a fait (avec l'aide de ses ingénieurs) ce que ni Prost ni Alesi n'ont réussi à faire : faire de Ferrari une écurie championne. En 96, la voiture terminait souvent sur le bord de la piste, en 97, ils étaient déjà à la course au titre, c'est pas rien. Du reste, Schumi a longuement hésité avant de rejoindre Ferrari. Je sais qu'aujourd'hui, on va dire que c'était son rêve d'enfance, mais si Todt ne lui avait pas dit : "tu prends l'ingénieur que tu veux, le second pilote que tu veux, l'équipe est à toi", il n'y serait pas allé. Enfin, il m'apparaît clair que si les "McLaren ont retrouvé de leur superbe" c'est en grande partie dû à certains renseignements qu'ils avaient sous la main (depuis le début du championnat) et pour lesquels ils ont été condamnés. Sur ce plan, on peut effectivement dire qu'Alonso a changé McLaren, mais peut-être dans le bon sens. Et pour finir avec le parallèle Schumi/Ferrari, Alonso/Mclaren, comparer le sentiment qu'éprouvent les ferraristes à l'égard de Schumacher, et ce qu'éprouvent aujourd'hui les fans de McLaren à l'égard d'Alonso. Vous voyez pas une petite différence ?
- Enfin bref, tout ça pour dire que oui, Alonso est confronté à un défi aujourd'hui, mais qu'on ne peut pas comparer ses intentions au moment de la signature à celles de Schumacher en 1995. Dans un cas, il y a un pilote qui a plongé volontairement et en connaissance de cause dans la galère. Et dans l'autre cas, il y a un pilote qui s'attendait à signer pour la meilleure équipe et qui se retrouve plongé dans l'inconnu. C'est pas juste une nuance, c'est une différence énorme.Woodcote 24 février 2007 à 20:13 (CET)
- Fin 2005, la facilité, c'était pourtant bel et bien de signer chez McLaren. Chez Ferrari (qui sortait d'une saison loupée) il y avait encore Schumacher dans la place donc c'était pas vraiment un cadeau. Et pour ce qui est de Renault, il ne faut pas oublier que les rumeurs les plus alarmistes circulaient à cette période sur l'avenir de Renault en F1, et qu'on prêtait à Carlos Ghosn alias "cost killer" l'envie de tout arrêter car trop cher. Ce n'est qu'en février ou mars 2006 que le programme Renault a été confirmé sur le long terme après que le GPMA eut obtenu de Bernie des garanties quant à une meilleure répartition du gateau financier. Quand Alonso a commencé à discuter avec Renault fin 2005 pour une éventuelle prolongation de son contrat, on lui a fait comprendre qu'on ne pouvait rien lui proposer de solide et qu'il fallait attendre. Alors que McLaren venait de terminer deuxième du championnat en dominant Renault sur toute la seconde moitié de championnat. Rejoindre ce qui est alors considéré comme la meilleure équipe du plateau, ce n'est pas un "défi".
- On ne peut pas encore dire aujourd'hui qui sera gagnant dans le jeu de chaises musicales auquel on a assisté en fin de saison dernière. Ce qui est certain c'est qu'Alonso arrive dans une écurie McLaren, certes moins mal en point que ne l'était Ferrari en 1995, mais tout de même il n'a pas choisi la facilité, qui aurait été de rester chez Renault ou d'aller chez Ferrari. Il y a donc bien un défi, qui, s'il le réussit en obtenant un troisième titre de champion du monde, puis d'autres, risque d'amener Räikkönen sur le chemin d'une carrière à la Stirling Moss. Je ne dis pas que c'est ce qui arrivera (je ne suis pas devin !), mais c'est une éventualité. C'est pour cela qu'on peut, je pense, faire le parallèle entre les démarches de Schumacher en 1995 et d'Alonso en 2007. S'il se plante, on prendra conscience que c'était bien un véritable défi qu'il s'est lancé ! --Polmars 24 février 2007 à 18:54 (CET)
Polémiques Alonso
Une IP anonyme fan de Schumacher a souhaité créer un paragraphe sur les "affaires Alonso" sur le modèle de l'article sur Schumacher. Bon, pourquoi pas, c'est vrai qu'il commence à y avoir de la matière. A condition que ça ne débouche pas sur le grand n'importe quoi. Quand je vois tout un paragraphe sur le fait que au GP d'Europe 2005, Alonso a cueilli la victoire sans un mot de réconfort pour Raikkonen (contrairement à ce qu'avait fait Schumacher avec Hakkinen en 2001), j'ai doucement envie de rigoler. On est sur une encyclopédie, pas sur un forum de discussions où on compare qui est le plus gentil.
Plus épineux est le cas de l'affaire d'espionnage en cours. Quand je lis ça: Il sera prouvé à plusieurs reprises que les Anglais sont bel et bien en possession de documents des stratégies et monoplace de Ferrari. Fernando Alonso reconnaîtra lui-même une semaine avant la seconde audition qu’il était de mèche dans cette histoire., je tique un peu. A ma connaissance, on ne sait absolument rien de ce que Alonso et De la Rosa ont révélé à la FIA. Donc dire qu'il était "de mèche"...c'est plus que prématuré. Attendons un peu d'en savoir plus.
A ce propos, je suis en train de préparer un article pour synthétiser toute cette affaire Woodcote 14 septembre 2007 à 11:35 (CEST)
- dans la section polémique, je lis ceci : Meilleur temps provisoire lors de la dernière partie des qualifications, Fernando Alonso tarde à redémarrer après avoir chaussé son dernier train de pneus. Cela a pour effet d'empêcher son coéquipier Lewis Hamilton, coincé derrière lui, de boucler un ultime tour rapide. Alonso se défendra d'avoir volontairement géné son coéquipier, expliquant n'avoir fait qu'obéir à son équipe. Si le ton se veut "pseudo" neutre, le fait d'indiquer qu'Alonso tarde à démarrer (sous-entendu de son propre fait) et qu'il explique n'avoir fait qu'obéir à son équipe (sorte de justification a posteriori) tendrait à démontrer qu'il est toutefois impliqué dans cet incident. Hors, lorsqu'il s'arrête à son stand, Alonso n'est absolument pas en mesure de savoir exactement dans combien de temps la séance va se terminer. Il est obligé de se conformer aux indications de son stand pour pouvoir repartir. Pour la petite histoire, la séance se terminera 0s.6 après qu'il ait réalisé son dernier tour, peut-on réellement penser qu'il a calculé son coup à 6 dixièmes près... Que son team ait été sanctionné par la FIA semble donc légitime, qu'il le soit lui me semble hors propos (et je précise que je ne suis pas du tout pro-Alonso, ni pro-hamilton non plus...)--Cobra Bubbles Dire et médire 14 septembre 2007 à 15:49 (CEST)
- Dire qu'il tarde à redémarrer, ce sont les faits et rien que les faits. Ca ne sous-entend en rien que c'est une initiative personnelle et qu'il l'a fait en sachant que ça emmerdait Hamilton. Donc je ne vois pas trop où est le problème de neutralité.
- Pour ce qui est de l'affaire d'espionnage, la FIA a publié les attendus de son jugement quelques heures après ma dernière intervention. Et il semble bien qu'Alonso n'est pas tout blanc dans l'histoire (échange de mails compromettants avec Coughlan). On va donc pouvoir en parler. Woodcote 15 septembre 2007 à 00:25 (CEST)
- Dire qu'il tarde à redémarrer, ce sont les faits et rien que les faits. Il me semble tout aussi juste et beaucoup moins tendancieux de dire que le préposé à la Lollipop, sous les ordres de son team-Manager, a tardé à laisser repartir Alonso. Cette tournure me semble plus appropriée car elle indique bien que ce n'est pas Alonso mais son team qui est responsable de l'incident.--Cobra Bubbles Dire et médire 15 septembre 2007 à 10:49 (CEST)
- Est-tu certain qu'il était retenu par le préposé à la Lollipop? Il me semblait qu'il avait été libéré et que c'est uniquement par radio qu'il était retenu. Si c'est le cas, alors oui, tu as raison, il faut le préciser. Woodcote 15 septembre 2007 à 11:34 (CEST)
- Dire qu'Alonso n'est "pas tout blanc" dans l'affaire d'espionnage est un doux euphémisme. Pour ceux d'entre vous qui ont accès aux archives de F1-live, les échanges d'emails entre lui et de La Rosa sont sur cette page (attention, l'adresse est susceptible de changer avec le temps) : http://fr.f1-live.com/f1/fr/infos/actualites/infos_f1_fr_0709_11.shtml, précisément, ici : http://access.f1.racing-live.com/archives.php?0709141719
Il faut payer pour avoir accès mais le contenu est facilement trouvable aileurs sur le net, ici par exemple (en anglais) : http://www.planet-f1.com/story/0,18954,3213_2742003,00.html
Qu'est-ce qu'on voit ? On voit clairement qu'Alonso et Pedro de la Rosa (je laisse à Hamilton le bénéfice du doute) demandaient auprès de leur indic des infos concernant ferrari (répartition des masses, stratégie...). On voit que dès le premier grand prix, ils savaient à quel tour devait ravitailler Raikkonen. Il ne s'agit pas seulement de fréquences radio captées "par erreur", il ne s'agit pas seulement d'un mécano qui "s'égare" un peu trop devant le stand concurrent, il s'agit d'un cahier de plusieurs centaines de pages. Et ce sont les pilotes qui ont fait la démarche d'appeler Coughlan pour qu'il se renseigne auprès de Stepney, en lui posant des question bien précise à propos des "rouges". Et franchement, je suis écoeuré que l'affaire ait été aussi peu exploitée. Les deux pilotes s'en sortent parce qu'ils ont témoigné et c'est l'écurie qui prend tout sur la gueule, c'est tout simplement honteux. Enfin, bon, on n'est pas sur un forum, mais je devais quand même apporter ces précisions.
- Dire qu'Alonso n'est "pas tout blanc" dans l'affaire d'espionnage est un doux euphémisme. Pour ceux d'entre vous qui ont accès aux archives de F1-live, les échanges d'emails entre lui et de La Rosa sont sur cette page (attention, l'adresse est susceptible de changer avec le temps) : http://fr.f1-live.com/f1/fr/infos/actualites/infos_f1_fr_0709_11.shtml, précisément, ici : http://access.f1.racing-live.com/archives.php?0709141719
- Est-tu certain qu'il était retenu par le préposé à la Lollipop? Il me semblait qu'il avait été libéré et que c'est uniquement par radio qu'il était retenu. Si c'est le cas, alors oui, tu as raison, il faut le préciser. Woodcote 15 septembre 2007 à 11:34 (CEST)
- Dire qu'il tarde à redémarrer, ce sont les faits et rien que les faits. Il me semble tout aussi juste et beaucoup moins tendancieux de dire que le préposé à la Lollipop, sous les ordres de son team-Manager, a tardé à laisser repartir Alonso. Cette tournure me semble plus appropriée car elle indique bien que ce n'est pas Alonso mais son team qui est responsable de l'incident.--Cobra Bubbles Dire et médire 15 septembre 2007 à 10:49 (CEST)
Vie privée
C'est pas que le sujet me passionne outre mesure mais puisque le paragraphe existe, autant qu'il soit précis et là ça fait 1 an qu'il ne l'est pas. Alors, il est marié ou pas avec sa Raquel? Woodcote 23 octobre 2007 à 12:38 (CEST)
- Il faudrait le lui demander Polmars, Parloir ici, le 23 octobre 2007 à 13:54 (CEST)
Polémiques
Dans les polémiques, je m'interroge sur la place de l'Europe 2003, le "débat" n'a été en gros que sur les forums de discussions. Les relevés télémétriques n'ayant rien donné, ne serait-ce pas qu'une polémique de papier ? Quant aux soucis de freins la (source:Renault) me semble bien faiblarde.
Quant au singapourgate. Pas de preuve de son implication, ça sonne fort comme une "on le soupçonne. Après 2007, c'est que ça doit être vrai". Pas de preuves, pas de place dans une encyclopédie ! Regismo 27 mars 2010 à 22:00
- C'est le souci oui...Des polémiques de forum (et pour avoir en avoir fréquenté assidument, je sais à quel point c'est un miroir grossissant de la réalité et comment des non-événements peuvent se transformer en discussions sans fin), c'est insuffisant pour trouver sa place sur une encyclopédie.
- N'hésite pas à faire un peu de ménage. Woodcote (d) 27 mars 2010 à 23:04 (CET)
Résultats par Grands Prix
Il manque 17 points dans le tableau "Résultats par Grands Prix" par rapport aux "Résultats en championnat du monde de Formule 1" qui eux sont justent, mais je ne sais pas exactement à quel Grand Prix, ils ont été omis. Merci de corriger. --Standardman04 (d) 11 novembre 2010 à 18:28 (CET)
- Près d'un an et demi après mon message, il y a maintenant 9 points de plus dans le tableau "Résultats par Grands Prix" par rapport aux "Résultats en championnat du monde de Formule 1". Quid de cette nouvelle erreur? Standardman04 RSCL forever 25 mars 2012 à 19:37 (CEST)
Bug sur la saison 2013
Le début de saison 2013 d'Alonso est répété 2 fois (dans le résumé de 2013). Pouvez-vous rectifiez ça ?
- Article du projet Formule 1 d'avancement B
- Article du projet Formule 1 d'importance maximum
- Article du projet Endurance automobile d'avancement B
- Article du projet Endurance automobile d'importance élevée
- Article du projet Sport d'avancement B
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