Syngenta Group
Syngenta Group Co., Ltd. | |
Création | 2020 |
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Fondateurs | Astra-Zeneca, Novartis, ChemChina |
Personnages clés | Jeff Rowe (Chief Executive Officer), Qin Hengde (Chief Financial Officer) |
Forme juridique | Société anonyme |
Siège social | Shanghai Chine |
Directeurs | Erik Fyrwald (en) |
Actionnaires | ChemChina Sinochem |
Activité | Protection chimique des plantes, semences |
Filiales | Syngenta (en) Adama Sinofert (en) |
Partenaires | Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture[1] |
Effectif | 59 000 (2023) |
Site web | www.syngentagroup.com |
Chiffre d'affaires | 33,4 milliards USD (2022) |
Résultat net | 5,6 milliards USD (2022) |
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Syngenta Group est une société d'origine suisse, aujourd'hui chinoise, spécialisée dans la chimie et l'agroalimentaire, issue de la fusion en des divisions agrochimiques des sociétés AstraZeneca et Novartis. Elle est le leader mondial dans la recherche liée à l'agriculture[2], en particulier la production de produits phytosanitaires et de semences.
Syngenta emploie environ 25 000 personnes dans plus de 90 pays (chiffres de 2009), dont 2 500 en Suisse.
En , ChemChina annonce l'acquisition de Syngenta, pour 43 milliards de dollars, ce qui en fera la plus grosse acquisition d'une entreprise étrangère par une entreprise chinoise[3],[4].
L'action était cotée en bourse sous le code SYT. Elle a été retirée en 2017.
Histoire
[modifier | modifier le code]En 2000, les divisions agrochimiques de deux groupes pharmaceutiques, AstraZeneca et Novartis, fusionnent et donnent naissance à l'entreprise Syngenta[5].
En 2002, Syngenta signe un partenariat de recherche avec Diversa, une entreprise américaine spécialisée dans l’application de technologies génétiques pour le développement et l’optimisation de nouveaux produits[6].
En 2004, la société acquiert Dia-Engei, une entreprise japonaise spécialisée dans le domaine semences et jeunes plants de fleurs potagères[7], puis Advanta BV, avec la société Fox Payne[8]. Elle signe également un accord portant sur l'acquisition de 90 % du groupe Golden Harvest, renforçant sa position dans le secteur du maïs et du soja aux États-Unis[9]. Par ailleurs, la coentreprise Dulcinea Farms GmbH est créée avec Tanimura & Antle (commercialisation de fruits aux États-Unis)[10]. Syngenta signe de plus un accord avec Delta and Pine Land pour la commercialisation de produits biotechnologiques pour le coton[11].
En 2005, Syngenta signe un accord avec l’entreprise japonaise Sumitomo Chemical dans le domaine des herbicides[12], ainsi qu'avec la société COMPO (secteur pelouse et jardin)[13].
En 2006, la société achète Emergent Genetics Vegetable A/S (entreprise danoise de semences de légumes)[14], ainsi que Conrad Fafard AG (fabricant leader de substrats pour le sol)[15].
En 2007, Syngenta renforce son segment fleurs avec l’acquisition du groupe Fischer[16].
En , Monsanto fait une offre d'acquisition d'une valeur de 45 milliards de dollars sur Syngenta. Cette offre d'acquisition est constituée à 45 % de liquidités et à 55 % d'échanges d'actions[17],[18]. Les cadres dirigeants de Syngenta refusent cependant l'offre, comme ils l'ont déjà fait avec une offre similaire en 2014[19].
Monsanto essuie deux refus consécutifs dus à une question de prix, jugé insuffisant par les directeurs, et au risque du refus d'un tel rachat par les autorités de concurrence[17],[20]. Ainsi Syngenta souhaite une pénalité de rupture de contrat en cas de refus des autorités de la concurrence de 4,5 milliards de dollars au lieu de 2 milliards[21]. À la suite de ce refus, Monsanto renouvelle son offre en juin[20] puis en , avec cette fois-ci une offre de 47 milliards de dollars et une indemnité de rupture de 3 milliards de dollars[22],[23], avant d'abandonner le même mois[24]. En , Syngenta refuse une offre d'acquisition de 42 milliards de dollars de la part de ChemChina[25]. Ce dernier augmente sa proposition à 44 milliards de dollars, le mois suivant[26].
Le , « à la surprise générale » selon la presse, Mike Mack, directeur de l'entreprise depuis 7 ans, annonce sa démission[27]. Une décision qui ferait suite au mécontentement des actionnaires qui désiraient voir la société rachetée par Monsanto[27]. La direction par intérim est alors assurée par John Ramsay, ancien de chez KPMG[27]. Le , l'Américain Erik Fyrwald lui succède en tant que nouveau CEO. Ce dernier était président et CEO de Univar, un distributeur de produits chimiques basé à Downers Grove dans l'Illinois[28],[29].
En , l'acquisition de Syngenta est un succès[30],[3]. ChemChina possède 98 % du groupe[31].
En , Syngenta annonce un accord avec la société australienne Nufarm pour lui céder un portefeuille de produits de protection de cultures moyennant une valeur de transaction de 490 millions de dollars. Cet accord s'inscrit dans le cadre des engagements pris par Syngenta auprès de la Commission européenne, pour obtenir son aval concernant son acquisition par ChemChina[32]. En novembre, Syngenta signe un accord pour acquérir Nidera Seeds auprès de COFCO International Ltd, branche de COFCO[33].
Syngenta France
[modifier | modifier le code]La filiale française a été créée en 2002 et son siège social est à Saint-Sauveur.
2016 | 2017 | 2018 | 2019 | 2020 | |
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Chiffre d'affaires en millions d'euros | 1 045 | 1 023 | 971 | 924 | 997 |
Résultat net en millions d'euros | + 17,5 | + 18,8 | + 39,8 | + 7,6 | + 39,7 |
Effectif moyen annuel | 1 242 | 1 210 | 1 140 | 1 119 | 1 111 |
Résultats
[modifier | modifier le code]En 2009, le chiffre d'affaires monte à 10,9 milliards de dollars américains. En 2011, il est de 13,27 milliards de dollars (+14 % sur 2010).
Le résultat net pour 2009 est de 1,37 milliard de dollars et en 2011, il est de 1,6 milliard de dollars (+14 % sur 2010)[35].
En 2012, l'entreprise réalise un chiffre d’affaires d'environ 14,2 milliards de dollars, réparti entre la protection des plantes (environ 77 % du total) et les semences (environ 23 % du total) contre 6 milliards en 2000, soit une augmentation d'environ 8 % par an.
Communication
[modifier | modifier le code]Activité de lobbying
[modifier | modifier le code]Union européenne
[modifier | modifier le code]Syngenta est inscrit depuis 2009 au registre de transparence des représentants d'intérêts auprès de la Commission européenne. L'entreprise déclare en 2015 pour cette activité des dépenses d'un montant de 1 510 000 euros[36].
Selon le Corporate Europe Observatory, des lettres privées révèlent un lobbying « furieux » de Syngenta et Bayer[37] contre les législations de l'Union européenne visant à préserver les abeilles ; une activité déployée dans toutes les institutions européennes et nationales pour évincer les discussions et disqualifier les scientifiques et lanceurs d'alerte sur la dangerosité des pesticides[source insuffisante][38]. Les lobbyistes emploient plusieurs méthodes, incluant le mensonge[38], la diffusion de fausses informations présentées à tort comme scientifiques[38], voire l'intimidation et le chantage sur les hommes politiques[38].
Le « chantage à l'emploi mensonger » a été également employé par plusieurs fabricants dont Syngenta afin de défendre dans différents pays d'Europe, dont la France, leur droit à commercialiser des substances avérées destructrices de l'environnement et de la santé humaine[39].
États-Unis
[modifier | modifier le code]Selon le Center for Responsive Politics, les dépenses de lobbying de Syngenta aux États-Unis s'élèvent en 2016 à 940 000 dollars[40].
Prises de position
[modifier | modifier le code]Agriculture biologique
[modifier | modifier le code]Dans un entretien avec le quotidien suisse NZZ, Jon Erik Fyrwald (en), directeur général de Syngenta, invite à l'abandon de l'agriculture biologique au niveau mondial. Il indique notamment : « les rendements de l’agriculture biologique [pouvaient] être jusqu’à 50 % inférieurs selon les produits » ainsi que « La conséquence indirecte est que des gens meurent de faim en Afrique, parce que nous mangeons de plus en plus de produits biologiques »[41]. Ces propos sont à mettre en parallèle avec le fait que les revenus de Syngenta proviennent presque exclusivement de produits interdits en agriculture biologique, et que le développement de celle-ci serait manifestement contraire aux intérêts de l'entreprise. Des critiques ont fait remarquer que l'agriculture biologique ne met aucunement en cause la sécurité alimentaire du monde, cette dernière serait bien plus sérieusement menacée par la consommation de viande et l'accaparement de terres agricoles pour la production de fourrage[42].
Critiques
[modifier | modifier le code]Selon certains médias, Syngenta serait l'employeur d'une milice privée qui intervint au Brésil le contre une occupation par le mouvement des travailleurs sans terre. Cette intervention s'est soldée par la mort de deux personnes. La société est condamnée en 2015[43].
De nombreux scientifiques, repris par des associations, tiennent le pesticide neurotoxique Cruiser en partie responsable de la surmortalité des abeilles[44]. En effet, le produit « Cruiser » contient du thiaméthoxame[45] qui est mis en cause dans le phénomène de surmortalité des abeilles[46].
La revue Science en , confirme des impacts négatifs des néonicotinoïdes sur deux pollinisateurs essentiels : l'abeille domestique[47] et les bourdons. Présents par diffusion dans le nectar et le pollen des fleurs de cultures industrielles telles que le maïs et le colza, ils affectent le système nerveux des insectes[48]. Il ne s'agirait pas de la seule cause du syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles, mais il y participe et accélère la régression de ces pollinisateurs[49].
En 2016, la société est citée,en particulier pour son produit l'atrazine, parmi celles qui produisent les pesticides utilisés en France dans le numéro de Cash investigation qui s’intéresse à l’impact des pesticides sur l’environnement, la santé des riverains, notamment des enfants, des zones d’épandage. L’atrazine est interdit depuis 15 ans mais se retrouve encore dans l’eau du robinet[50].
En 2022, les métabolites, résidus de pesticides sont susceptibles de contaminer les ressources en eau et de se retrouver dans les eaux destinées à la consommation humaine (EDCH)[51]. En Bretagne, on retrouve dans l'eau distribuée des résidus ou métabolites du S-Métolachlore, utilisé comme désherbant dans les champs de maïs, souvent dans une proportion supérieure aux taux autorisés en 2007(0,1 microgramme par litre). L'eau est considérée comme non conforme mais toujours potable. À la suite de données fournies par la société Syngenta le seuil de vigilance a été porté à 0,9 microgramme par litre sans prise en compte d'effet cocktail potentiel[52],[53]. Dans la France entière, entre janvier 2021 et juillet 2022, ESA-métolachlore et le NOA-métolachlore, deux métabolites dérivés) du S-métolachlore, avaient été détectées à plus de 0,1 μg/L dans 6 858 prélèvements. Mais si on utilise le nouveau seuil de 0,9 mg/L, on ne dénombre plus que 210 dépassements, soit 32 fois moins[54]. Au delà de la Bretagne, juste avant ce changement de seuil, l'eau distribuée à 1 640 318 Français était non conforme. Syngenta qui vend pour 1 900 tonnes par an de son herbicide aux agriculteurs Français(interdit au Luxembourg depuis 2015), doit de plus apporter la preuve à l'Autorité européenne de sécurité des aliments que son produit n'est pas un perturbateur endocrinien[55].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- « https://www.fao.org/connect-private-sector/search/detail/en/c/1381754/ »
- « Maigres moissons au premier semestre pour Syngenta » (consulté le ) : « Le groupe bâlois, leader mondial de l'agrochimie, a vu son bénéfice net reculer de 9 % au premier semestre »
- Laurence Girard, ChemChina prêt à s’offrir le géant suisse des pesticides Syngenta, Le Monde économie, 3 février 2016
- China seeks food security with $43 billion bid for Syngenta, Ludwig Burger, Reuters, 4 février 2016
- « L'histoire de Syngenta | SYNGENTA N », sur boursorama.com (consulté le )
- (en) « Syngenta Takes 18 Percent Stake in Diversa in Plant Research Alliance », GenomeWeb, (lire en ligne, consulté le )
- « SYNGENTA . », lesechos.fr, (lire en ligne, consulté le )
- « Semences : Syngenta et Fox Paine rachètent Advanta BV à AstraZeneca et Royal Cosun - Info Chimie », sur industrie.com (consulté le )
- « Semences : Syngenta acquiert l'américain Golden Harvest - Info Chimie », sur industrie.com (consulté le )
- (en) « Syngenta to sell Dulcinea Farms business », sur refrigeratedtransporter.com (consulté le )
- « Delta and Pine Land to license Syngenta cotton traits », Delta Farm Press, (lire en ligne, consulté le )
- « https://www.icis.com/resources/news/2005/02/09/651049/syngenta-and-sumitomo-enter-herbicide-agreement/ », sur www.icis.com (consulté le )
- « SEC - Syngenta and COMPO in strategic alliance for consumer lawn and garden products », sur Sec.gov,
- « SEC - Syngenta to acquire Emergent Genetics Vegetable A/S »,
- « Syngenta achète l'américain Conrad Fafard », lesechos.fr, (lire en ligne, consulté le )
- (en-US) « Fischer To Join Syngenta Family – Greenhouse Product News », sur gpnmag.com (consulté le )
- Monsanto: le roi des OGM devient lui-même transgénique Syngenta refuse de se vendre à Monsanto, Denis Cosnard, Le Monde, 8 mai 2015
- Monsanto, in Bid for Syngenta, Reaches for a Business It Left Behind, Andrew Pollarck et Chad Bray, The New York Times, 8 mai 2015
- Syngenta: aurait discuté d'une fusion avec Monsanto, Le Figaro, 24 juin 2014
- Monsanto tente à nouveau de racheter Syngenta, Laurence Girard, Le Monde, 8 juin 2015
- Le suisse Syngenta rejette une fois encore les avances de Monsanto, Emmanuel Grasland, Les Échos, 9 juin 2015
- (en) Monsanto raises offer for Syngenta to $47 billion: source, Mike Stone, Reuters, 24 août 2015
- (en) Monsanto Said to Raise Syngenta Offer to About $47 Billion, Ed Hammond, Aaron Kirchfeld et Matthew Campbell, Bloomberg, 24 août 2015
- (en) Monsanto drops pursuit of Swiss agribusiness rival Syngenta, Carey Gillam, Reuters, 26 août 2015
- Syngenta rejects $42 billion ChemChina offer: Bloomberg, Reuters, 13 novembre 2015
- ChemChina sweetens bid for Syngenta to $44 billion: Bloomberg, Reuters, 18 décembre 2015
- « Démission surprise du patron de Syngenta », sur lesechos.fr (consulté le )
- « Board announcement – appointment of CEO », sur syngenta.com (consulté le )
- « Syngenta nomme Erik Fyrwald au poste de directeur général », sur romandie.com (consulté le )
- ChemChina gets around 82 percent of Syngenta in $43 billion deal, Reuters, 10 mai 2017
- Reuters Editorial, « Syngenta convoite les actifs de Bayer pour développer ses semences », FR, (lire en ligne, consulté le )
- « Syngenta: cession d'actifs pour la fusion avec ChemChina. », Boursorama, (lire en ligne, consulté le )
- « Syngenta va racheter Nidera Seeds », sur FIGARO, (consulté le )
- « SYNGENTA FRANCE derniers bilans publiés », sur www.verif.com (consulté le )
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- « Registre de transparence », sur le site de la Commission européenne (consulté le )
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- « EU lobby profile: Syngenta | Corporate Europe Observatory », sur corporateeurope.org (consulté le )
- « Le lobby des pesticides soupçonné de « chantage à l’emploi mensonger » pour s’opposer à l’interdiction des substances les plus toxiques », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le )
- (en) « Opensecrets.org », sur le site du Center for Responsive Politics (consulté le )
- Reporterre, « Le patron de Syngenta appelle à abandonner l'agriculture biologique », sur Reporterre, le quotidien de l'écologie (consulté le )
- « Le bio affame l'Afrique? Les propos du patron de Syngenta décortiqués - Heidi.news », sur heidi.news (consulté le )
- « Syngenta condenada: Justiça responsabiliza empresa por morte de sem terra no Paraná », Terradedireitos.org.br, (lire en ligne, consulté le )
- Les abeilles piquées au vif : campagne contre les pesticides « mortels » - Un article de l'AFP relatant de la tentative de seize associations d'interdire les pesticides neurotoxiques comme le Cruiser
- thiamethoxam - Un document de la société Syngenta expliquant le thiaméthoxame
- Cruiser, un avis de l'AFSSA très critiqué - Article expliquant les enjeux de Cruiser pour toutes les parties. Sur Sciences-et-démocratie.net. Consulté le 7 juin 2010.
- (en) Mickaël Henry, Maxime Beguin, Fabrice Requier, Orianne Rollin, Jean-François Odoux, Pierrick Aupinel, Jean Aptel, Sylvie Tchamitchian & Axel Decourtye, « A Common Pesticide Decreases Foraging Success and Survival in Honey Bees », Science, vol. 336, no 6079, , p. 348-350 (DOI 10.1126/science.1215039, résumé)
- (en) Erik Stokstad, « Field Research on Bees Raises Concern About Low-Dose Pesticides », Science, vol. 335, no 6076, , p. 1555 (DOI 10.1126/science.335.6076.1555, résumé, lire en ligne)
- Martine Valo, « Le déclin des abeilles accéléré par les pesticides », Le Monde.fr, 29 mars 2012.
- Matthieu Combe Cash investigation s’attaque aux pesticides, natura-sciences.com, 3 février 2016
- « Pesticides dans les eaux destinées à la consommation humaine : quelle contribution de l’Anses pour protéger la santé des consommateurs ? », sur Anses, (consulté le )
- « Des résidus de pesticides dans l'eau du robinet », Le Télégramme,
- « Avis de l'Anses relatif à l'évaluation de la pertinence des métabolites de pesticides dans les eaux destinées à la consommation humaine », sur anses.fr, (consulté le )
- Brice Le Borgne, « Pesticides : l'eau du robinet redevient conforme dans des milliers de communes après le réexamen par l'Anses de deux molécules », sur francetvinfo.fr, (consulté le )
- « Lavage à grande eau », Le Canard enchaîné,
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site officiel
- Site officiel (France)
- Site officiel (Canada)
- Anne-Laure Barral, Cellule investigation de Radio France, « Résidus de pesticides : des collectivités ferment leurs captages d’eau », sur Radio France, France Inter, (consulté le )
- Entreprise fondée en 2000
- Entreprise du secteur de la chimie ayant son siège en Suisse
- Semencier
- Entreprise agrochimique
- Entreprise de biotechnologie ayant son siège en Suisse
- Entreprise ayant son siège dans le canton de Bâle-Ville
- Entreprise membre de l'International Life Sciences Institute
- Entreprise du SPI