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L'intérêt principale de chaque section est cependant de fournir des informations sur la proposition faite pour la série d'ostentatoires, et s'il y a lieu pour la forme isonèphe. Parfois même quand la forme isonèphe n'a pas lieu d'être pour cause d'épicénie, une forme virtuelle est tout de même indiqué pour expliquer la logique sous-jacente conduisant aux propositions ostentatoires. |
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Version du 1 mai 2024 à 11:47
Chaque section de cette partie regroupe une alternance nommée selon les alternances suffixales qu'elle concerne. Lorsque le suffixe est épicène, le titre se limite donc à un unique suffixe. Le plus souvent le titre est cependant trinomial, avec ambigu, équivoque et isonèphe donnés séparés par une virgule. Un même préfixe peut apparaître dans plusieurs intitulés. Entre parenthèse classiques est parfois donné la prononciation correspondante, que ce soit par simple aide à la clarification ou nécessité de distinction lexicologique. Des chevrons sont utilisés dans quelque cas pour signaler un texte à interpréter méta-descriptivement : ⟨exemple⟩
. Dans les cas ou différentes alternatives sont groupées, elle sont simplement indiquées par la conjonction de coordination disjonctive ou.
Lorsque les ressources à disposition l'ont permis, la liste des termes concernés est fourni. Le corpus considéré retient 135 587 lemmes tirés du Wiktionnaire. Pour l'essentiel, cela ne prends pas en compte les gentilés. En revanche dans le cas où des glottophonymes[N 1] sont listés, par convention ils sont marqués avec une majuscule. Au passage il peut être noté que souvent se confondent en un même terme les notions d'appartenance à une ethnie, à un territoire de lieu de naissance, à un territoire de résidence, à un peuple, et à une communauté linguistique. Ces termes pourront donner lieu à des ancrages distincts selon la sémantique recherchée, avec les suffixes -aire pour préciser l'appartenance à une ethnie, -ense/-isque pour la qualité de résidence dans un territoire, et -(o)phone pour l'aptitude linguistique.
Dans la mesure du possible, les éventuels cas particuliers de désignations haplogestes sont explicités. Par haplogeste il faut comprendre un nom qui n'a généralement d'emploi que dans un seul geste là où l'usage en fourni généralement deux. À comparrer au terme haplographie
: réduction accidentelle à une unique lettre notée là où elle est ordinairement doublée. C'est en particulier un cas fréquent des termes biotiques. De même pour les cas irréguliers, les recoupements et autres spécificités font généralement l'objet d'une indication dédiée. Quelques remarques sur les sémantiques cohésives et les étymologies connues sont parfois données.
L'intérêt principale de chaque section est cependant de fournir des informations sur la proposition faite pour la série d'ostentatoires, et s'il y a lieu pour la forme isonèphe. Parfois même quand la forme isonèphe n'a pas lieu d'être pour cause d'épicénie, une forme virtuelle est tout de même indiqué pour expliquer la logique sous-jacente conduisant aux propositions ostentatoires.
- age
- -aestra, -aestro, -aestrey
- -agne, -agnon, -igne
- -aï (/aj/)
- -aide
- -aide, -aid, -aïde (/ajd/)
- -aïe (/ɑ.i/ ou /aj/), -aï, -aès
- -al
-ale
Dans le corpus considéré l'épicénie en -ale concerne acéphale, acromégale, anencéphale, chippendale, cyclocéphale, dolichocéphale, hydrocéphale, microcéphale, nanocéphale, nodocéphale, notencéphale, pseudencéphale, sale, sphénencéphale, sphénocéphale, thlipsencéphale, viandale.
À noter que chippendale connaît plusieurs prononciations courantes : /ʃi.pɛ̃.dal/, /ʃi.pən.dɛl/ ou /tʃi.pən.dɛl/.
Une cale, toujours à l'ambigu, désigne plusieurs types de couvre-chef et par métonymie est succeptible de désigner la personne qui le porte. Il en va de même pour une candale, type de jupe. De même la submitrale qui désigne une coiffe ecclésiastique peut métonymiquement désigner une personne qui l'arbore.
Par métaphore, la cigale, toujours à l'ambigu, désigne une personne qui ne se soucie guère de l’avenir. De même la gale peut désigner une personne jugée mauvaise et nocive. Aussi par métaphore une horizontale est synonyme de courtisane au sens de prostituée. Il n'est pas évident de déterminer si une personne androtypée à jamais été qualifiée de la sorte, mais comme vraisemblablement le terme sous-entend la personne fréquemment en position horizontale, façon imagée de parler de rapports sexuels[1], horizontale ici renvoie ici à la notion de position plutôt que de référer directement à un individu ce qui implique une forme unigenrée. Aussi une pédale désigne injurieusement une personne androtypée homosexuelle ou jugée manquant d'un trait du stéréotype viriliste. Une timbale, sorte de tambour, peut métonymiquement désigner la personne qui joue de cet instrument, tout comme une virginale, sorte d'instrument à corde.
Quand garde nationale désigne une personne, c'est le terme épicène garde qui indique la personne référée et l'adjectif nationale est fléchie directement sur ce premier. En effet s'il s'agissait par exemple d'une ellipse de garde de la réserve nationale, il serait aisé de constater la graphie un garde nationale, et non un garde national. À l'ambigu le terme est homonyme de l'organsime auquel se rattache l'individu éponyme, alors qu'à l'équivoque ils se révèlent hétérographe.
Une vaginale, toujours à l'ambigu, désigne une femme qui peut éprouver un grand plaisir sexuel par stimulation du vagin. Il ne manque qu'une ellipse depuis un homme vaginal[2] à un vaginal, mais une recherche succincte d'une attestation pour ce dernier s'est avéré infructueuse.
Pour les ostentatoires il faudra différencier :
- les termes en -céphale, relatif à la tête à considérer comme rattachable à la forme virtuelle isonèphe en -céphalique, à rapprocher de l'alternance -ique, -ic, -iquestre ;
- chippendale et viandale à virtuellement rattacher à chippendaliste et viandaliste et par suite aux alternances de -iste ;
- sale, à virtuellement rattacher à sallâtre par analogie à bellâtre, et donc aux alternances de -âtre.
Le biotique unigenré comprend :
- une amentale, arbre ;
- une andriale, plante ;
- une andryale, plante;
- une boletale, champignon ;
- une bromale, plante ;
- une cancale, mollusque ;
- une cavale, synonyme littéraire de jument, mammifère ;
- une céréale, plante ;
- une cigale, insecte ;
- une cinarocéphale, ou cynarocéphale, plante ;
- une circumboréale, plante ;
- une craspédocéphale, ophidien, reptile ;
- une dialypétale, végétal ;
- une digitale, plante ;
- une épiscopale, variété de fruit qui par métonymie peut désigner l'arbre ;
- une fagale, arbre ;
- une fontinale, plante ;
- une géraniale, plante ;
- une gonzale, plante ;
- une harmale ou une harmal, plante ;
- une hémigale, mammifère ;
- une hyale, mollusque ;
- une impériale, plante ;
- une magnoliale, plante ;
- une marchantiale, plante ;
- une mercuriale, plante ;
- une moréale, plante ;
- une mygale, arthropode ;
- une nyctale, oiseau ;
- une orvale, plante ;
- une péronosporale, champignon ;
- une pezizale, champignon ;
- une pibale, poisson ;
- une pinale, plante ;
- une provençale, mammifère ;
- une pyrale, insecte ;
- une pyramidale, plante ;
- une rhopale, plante ;
- une rickettsiale, bactérie ;
- une rudérale, plante ;
- une solanale, plante ;
- un squale, poisson ;
- un tantale, ou un tantal oiseau ;
- une tubérale, champignon ;
- une urédinale, champignon ;
- une verdale, arbre.
-âle
Dans le corpus considéré, cette terminaison avec a accent circonflexe ne correspond à aucun terme épicène.
Un mâle, toujours à l'équivoque, est le terme archétypal générant l'imbroglio entre catégorie biologique apparente de l'individu et catégorie grammaticale immotivé du nom, entre gonophénie et ésonomatypie. Il en va de même pour un surmâle qui dérive du précédent.
Du côté du biotique haplogeste, il comprend uniquement un râle, oiseau.
-ala
Dans le corpus considéré concerne Ambala, antitala, Bangala, chalala[3], dabbawala[4], Douala, Fala, Jbala ou Jebala, Lala, lala, Lingala, Mbala, mukala[5], Tala, tala, thala.
Métaphores et métonymies unigenrés
Un bala, un tabala peuvent métonymiquement désigner la personne qui joue de cet instrument.
Du côté vestimentaire susceptible de servir de base métonymique se trouve un falbala
Un gala peut désigner une arme à feu et donc métonymiquement celui qui l'emploie.
Une pala peut désigner la personne qui utilise ce type de raquette.
Biotiques unigenrés
- un camala ou un kamala, plante ;
- un cracoulala, oiseau ;
- un Gala[6], arbre ;
- un impala, mammifère ;
- un nyala, mammifère ;
- un polygala, plante ;
- un ravenala, arbre ;
-ala, -al, -aliante
Dans le corpus considéré concerne dellala et dellal avec pour pluriels respectifs dellalas et dellals ou dellalate et dellaline. D'où l'isonèphe en -aliante qui donne dellaliante, par mixe des formes pluriels en -alate et -aline et rappelle du terme adiante qui est lui-même épicène dans la mesure où l’usage hésite.
Défectivités
Si un zagal emprunte à l'espagnol, langue qui connaît elle l'alternance avec una zagala, le terme se révèle défectif en français pour autant qu'il paraisse au terme d'une succincte recherche.
-alate, -ala, -alaste
Dans le corpus considéré concerne koalate[7][8] et koala.
l'isonèphe -alaste reprend la forme ambigüe avec intercalation d'un -s- inspirée par les termes épicènes en -aste, comme enthousiaste. De là il suffit pour les formes ostentatoires de reprendre la série -iẽste, -ìste, -āiste, -ǫste, -ûste pour former koaliẽste, koalìste, koalāiste, koalǫste, koalûste.
-ale, -al, -aule
Dans le corpus considéré concerne ægale et ægal, Amale et Amal, amirale et amiral, amorale et amoral, animale et animal, anormale et anormal, anticléricale et anticlérical, anticoloniale et anticolonial, archimaréchale et archimaréchal[9], arrière-vassale et arrière-vassal, asociale et asocial, Atayale et Atayal, augustale[10] et augustal, Australe et Austral, bagwalale et bagwalal[11], bancale et bancal, binationale et binational, brigadière-générale et brigadier-général, brutale et brutal, caporale et caporal, cardinale et cardinal, caporale et caporal, captale[12] et captal, cardinale et cardinal, censale[13] et censal, chacale et chacal, chicale et chical, chamalale et chamalal[14], claustrale[15] et claustral, cléricale et clérical, collatérale[16] et collatéral, commensale et commensal, commerciale et commercial, comprovinciale[17] et comprovincial, conationale[18][19] et conational, contramirale et contramiral, continentale et continental, contramirale et contramiral, contre-amirale et contre-amiral, convassale et convassal, corrivale et corrival, décoloniale[20] et décolonial, égale et égal, élémentale[21][22][23] et élémental, envoyée spéciale et envoyé spécial et leurs abréviations spéciale et spécial, épiscopale et épiscopal, féale et féal, féciale[24] et fécial ou fétiale[25] et fétial, fédérale[26][27][28][29] et fédéral, féodale et féodal, fermière générale[30] et fermier général ou fermière-générale et fermier-général, francoprovençale et francoprovençal ou franco-provençale et franco-provençal, garde municipale[31][32] et garde municipal, garde nationale et garde national, garde-nationale et garde-national, générale et général, Hexagonale et Hexagonal, idéale et idéal, impériale[33][34][35][36] et impérial, internationale et international, latérale[37][38][39] et latéral, libérale et libéral, lieutenante-générale et lieutenant-général, locale et local, maëstrale[40][41] et maëstral, majorale[42][43] et majoral, maréchale et maréchal, marginale et marginal, marsupiale et marsupial, Martégale et Martégal, matinale[44][45][46] et matinal, méridionale et méridional, milléniale et millénial, ministrale[47] et ministral, mistrale[48] et mistral, moniale et monial, mononationale et mononational, morphale et morphal, nationale et national, Néandertale[49][50][51][52] et Néandertal, néolibérale et néolibéral ou néo-libérale et néo-libéral, néorurale et néorural ou néo-rurale et néo-rural, normale et normal, officiale[53] et official, Occidentale et Occidental, Orientale et Oriental, originale et original, orignale et orignal, paralégale et paralégal, paramédicale[54][55][56] et paramédical, principale et principal, protale et protal, Provançale et Provançal, provinciale et provincial, questale[57][58] et questal, radicale et radical, ritale et rital, rivale et rival, sansale[59] et sansal ou sensale et sensal, sénéchale et sénéchal, septentrionale et septentrional, sous-vassale et sous-vassal, spéciale et spécial, supermunicipale et supermunicipal, surveillante-générale ou surveillant-général, Tagale[60][61] et Tagal, technico-commerciale et technico-commercial, territoriale[62][63][64] et territorial, transversale et transversal, vassale et vassal, vavassale et vavassal, vestale et vestal, vice-amirale et vice-amiral, vice-cardinale et vice-cardinal.
⚠️ À contrario les termes suivant ne sont pas des alternances relatives au typage sexuant des personnes désignées : atabale et atabal, bale et bal, bacchanale et bacchanal, bengale et bengal, bibale et bibal, brimbale et brimbal, cale et cal, cabale et cabal, capitale et capital, cendale et cendal, centrale et central, chrismale et chrismal, collégiale et collégial, communale et communal, coronale et coronal, dorsale et dorsal, étale et étal, finale et final, fondamentale et fondamental, fractale et fractal, frontale et frontal, gale et gal, galgale et galgal, géraniale et géranial, harmale et harmal, instrumentale et instrumental, matinale et matinal, modale et modal, morale et moral, murale et mural, pale et pal, pectorale et pectoral, pittacale et pittacal, pyramidale et pyramidal, quale et qual, radiale et radial, ravale et raval, réale et réal, régale et régal, royale et royal, sale et sal, spirale et spiral, tale et tal, terminale et terminal, timbale et timbal, totale et total, verdale et verdal, verticale et vertical, vicinale et vicinal, virginale et virginal.
Défectivités
Le cas de cathédrale et cathédral est limite mais en l'état de l'usage semble également à exclure. Un choral désigne quelque membre d’un chœur ou d’une chorale religieuse, mais l'emploi à l'ambigu d'une chorale pour désigner une personne semble hors d'usage, d'autant que choriste est une alternance épicène valable.
Si un colonial désigne à l'équivoque un soldat du contingent éponyme ou quelque fonctionnaire en poste aux colonies. Il ne devrait en principe faire aucune difficulté d'employer coloniale comme pendant ambigu. Pour cela il serait possible de s'appuyer sur l'alternance largement attestée entre anticoloniale et anticolonial d'une part et la composition mixte de l'administration de l'époque au moins dans l'enseignement d'autre part[65]. Cependant une recherche succincte ne permet pas de dégager d'attestation d'un tel emploi, d'autant que la coloniale désigne l'armée française aux colonies.
Une rapide recherche n'a pas permis de trouver d'attestation de théologale, comme pendant à l'équivoque théologal au sens de chanoine en charge d’enseigner la théologie et de prêcher en certaines occasions, à la place de quoi cet ambigu désigne la charge et la dignité de cette fonction. Ce type de sens est plus souvent fournit par un vocable en -at, comme dans gouvernorat, pontificat ou rectorat, mais en l’occurrence le terme de théologat désigne un lieu d'étude théologique ou à la limite ces études elles-mêmes[66][67][68][69].
Un ferromagnétal est une créature fantastique, et vue la régularité de son pluriel en ferromagnétaux[70], il n'y aurait guère d'objection possible à employer ferromagnétale, bien que l'usage ne semble pas encore l'avoir suscité.
Un nominal, en philosophie, désigne un partisan du nominalisme. L'alternance avec une nominale, toute intuitive soit-elle, ne semble pas avoir été mis en pratique dans des textes aisément retrouvables après recherche succincte. C'est également le cas pour une parenniale, où un parennial désigne un millénial devenu parent, une postcoloniale, une responsale au sens de celle qui rend à l'empereur les réponses ecclésiastiques au nom du pape.
Si chacale alterne avec chacal, ce dernier connaît l'allographie peu fréquent schackal, sans que schackale soit employé dans des textes qui se laisseraient facilement retrouver dans une succincte recherche.
Si officiale est trouvé dans quelques rares attestations, vice-officiale est à minima plus difficile à attester comme pendant à vice-official en usage. De même pour vice-sénéchale en pendant de vice-sénéchal.
Flexions supplémentaires
Le suffixe isonèphe -aule s’inspire du terme épicène copiaule. De plus il comble le hiatus flexionnel entre les singuliers en /al/ et le pluriel en /o/ graphié -aux. Les ostentatoires sont à former sur la série -iẽle, -ìle, -iāle, -ǫle, -úle. Seul le générique nécessite un léger ajustement avec -iale pour éviter l'homophonie avec -al et -ale.
-alesse, -al, -aule
Dans le corpus considéré concerne amiralesse, sénéchalesse aussi dite sénéchale et sénéchal. Si les deux termes sont en relation lexicale, il semblerait que l'usage n'est retenue pour les termes ambigus que la signification femme épouse d'une personne officiant un sénéchalat.
Vue l'existence concomitante de amirale et sénéchale, il est ici suffisant de reprendre isonèphe et ostentatoires de la proposition faite pour l'alterance -ale, ale, soit -aule et la série ostentatoire -iẽle, -ìle, -iāle, -ǫle, -úle.
À noter que amiralesse et sénéchalesse sont aussi considérés dans la section dédiée à l'alternance plus générale entre -esse et -∅.
-alica, -al, -altchilique
Dans le corpus considéré concerne kralica[71] et kral, respectivement équivalents de reine et roi dans l'empire byzantin. Pour un terme isonèphe tenant compte de l'étymologie il serait possible de s'inspirer de hakan ou hükümdar, signifiant monarque ou pour rester sur la racine -kral-, s'inspirer de kralçılıq qui signifie royauté ou règne en azéri pour former kraltchilique.
À noter que kraljica[72][73], kraljice[74], et kraliçe[75][76] apparaissent également dans quelques documents francophones, mais uniquement pour transcrire des termes étrangers qui se traduisent par reine.
-alle
Dans le corpus considéré, l'épicénie des termes en -alle concerne crève-la-dalle et ithyphalle[77], porte-balle[78] ou porteballe[79].
Défectivités
Dans l'antiquité phrygienne puis greco-romaine, un galle est un prêtre eunuque dévoué à la déesse Cybèle et à son amant Attis, tout comme un archigalle[80][81]. Si Cybèle est également célébrée par des prêtresses, ces dernières ne semblent ne pas être nommées par un terme homéonyme à galle dans l'usage. Il serait évidemment possible d'en composer un depuis l'adjectif latin Gallus et de ses formes équivoques ablative et dative Gallis pour produire gallisse. Et en complément, de former l'isonèphe gallâtre à partir du suffixe -lâtre de désignation pour qui pratique quelque forme d'adoration. Ce dernier évite toute collision avec galliste qui désigne les adeptes du système théorisé par le médecin Franz Joseph Gall.
Métaphores et métonymies haplogestes
Une timballe, sorte de tambour, peut métonymiquement désigner la personne qui joue de cet instrument, tout comme un attaballe.
Une faim-valle désigne une boulémie névrotique équestre puis par extension une grande faim avant de donner par figuration le sens d'envie irrépressible d'une chose quelconque, qui peut métonymiquement désigner l'individu désirant. Une métonymie similaire peut être envisagé avec une foncedalle, sensation de faim insatiable souvent associée à la consommation de cannabis.
Une falle, alographie de fale, désigne le jabot d'un oiseau et par métonymie peut désigner l'oiseau lui-même.
Un salle-garde est décrit dans plusieurs dictionnaires anciens et repris dans d'autres plus récents le définissant comme prévôt du maître dans une salle d’armes[82], mais même à l'équivoque son usage semble extrêmement restreint[83][84].
Un manche-à-balle, toujours à l'équivoque, désigne une personne considéré imbécile ou godiche ou à qui est imputé une attitude de lèche-bottes[85]. Également dans la catégories des termes pouvant désigner par une part de son corps l'individu à qui elle appartient il y a un phalle,
Une palle peut désigner un manteau romain qui par métonymie peuvent désigner les personnes qui les portent. Il en va de même pour les autres tenus vestimentaires en -alle comme pare-balle.
Une stalle désigne un compartiment hippique ou un siège et par métonymie peut désigner l'individu qui l'occupe.
Biotique haplogeste
Le biotique haplogeste comprend :
- une bromalle, plante ;
- un coralle, serpent ;
- une crevalle, poisson ;
- une talle désigne diverses parties de plantes ou un groupe d'arbres, et par métonymie peut donc désigner une plante ou un arbre ;
- une trialle, mollusque ;
- un gourgalle, crustacé ;
- une gralle, oiseau ;
- une hémérocalle, plante ;
- un prothalle, organisme ;
- un savalle, poisson ;
- un talégalle, oiseau ;
- un tétraogalle, oiseau ;
- un thalle, tissu végétal et par extension plante elle-même
- un thymalle, poisson.
-alle, -al
⚠️ Dans le corpus considéré, aucun terme n'a été relevé comme alternance relative au typage sexuant des personnes désignées, les termes considérés étant : balle et bal, calle et cal, caracalle et caracal, dalle et dal, galle et gal, joualle et joual, malle et mal, palle et pal, salle et sal, stalle et stal, talle et tal, timballe et timbal, trialle et trial.
-am
Dans le corpus considéré concerne Ai-cham, ajam, bantam[86][87], Cam ou Cham, cam abbréviation de contre-amirale ou contre-amiral, Fam, imam, Judéo-malayalam, Kalam, Kamkam, Kam, Kham, Lingam, Malayalam ou Malayâlam ou Malayāḷam, Mam, Megam, Meriam, Mungbam, Musqueam, Ntcham, Pokomam, quidam[88][89], Sam comme locutaire de la langue éponyme, Sam[90][91] comme capitaine de soirée, Selk’nam ou Selk’nam.
Pour les ostentatoires, ce sont -iẽme, -ìme, -iāme, -iǫme, -ûme qui sont proposés ici, alternativement -amiẽme, -amìme, -amiāme, -amiǫme, -amûme dans les cas où la morphologie de la base est souhaité maitenue fixe. Dans le cas de Kamkam, si est opté l'altération de la dernière syllabe, il peut être envisagé de la répercuter également sur la première pour maintenir le redoublement : Kiẽmkiẽme, Kìmkìme, Kiāmkiāme, Kiǫmkiǫme, Kûmkûm.
Défectivités
Un cham, allolexie de khan, désigne en ce sens quelque prince Mongols ou chefs d’État de Perse d’origine mongole. Une succincte recherche n'a pas suffit à trouver d'attestation d'emploi épicène ou d'alternance existante pour l'ambigu.
Métaphores et métonymies haplogestes
Un dammam, instrument de musique, peut désigner métonyquement celui qui l'utilise, de même pour ghatam, tam-tam, tamtam, xalam.
Un hodjatoleslam ou un hojjat-ol-eslam, abbrégé de hojatalislam wa-l-muslemin titre honorifique signifiant autorité/preuve de l'islam, semble employé uniquement à l'équivoque pour désigner les personnes qui en sont détentaire sauf erreur de transcription manifeste dans la mesure où il réfère uniquement à des personnes androtypées[92].
Le terme lingam peut désigner une statuaire phallique et par suite un phallus et par métonymie la personne à qui il appartient. Puliseurs dictionnaires le donne comme haplogeste équivoque, mais de fait l'usage hésite ce qui suffit à le rendre épicène[93][94][95].
Un litham ou son allolexie un litsam, genre de foulard porté au Sahara et couvrant le bas du visage peut métonymiquement désigner la personne qui s'en vêt, tout comme un selham.
Le titre de Nîzam, aussi graphié Nizam, qui peut désigner la personne à qui il est attriubé, ne semble d'avoir d'usage qu'à l'équivoque, tout au moins dans le cadre des narrations historiques de l'Empire moghol où seul des personnes androtypés l'ont détenu.
Une recherche succincte n'a pas permi de déterminer le terme retenu en francophonie pour désigner les personnes pratiquant le silambam, art martial.
Un tchelam désigne une type de pipe, et peut donc métonyquement désigner la personne qui fume à l'aide de celui-ci. Dans le même ordre de possible métonymie utilitaire, il peut être mentionné le vendapolam, genre de mouchoir.
Pour certains termes, l’usage hésite couramment entre un -am commun à l'ambigu et à l'équivoque ou à une alternance entre -ame et -am, comme pour imame et imam[96][97], immame et immam[98][99].
Biotique haplogeste
Le biotique haplogeste comprend :
- une bantam, oiseau ;
- un clam, mollusque ;
- un cramcram ou cram-cram, plante ;
- un cram, plante ;
- un cunningham, mammifère ;
- un danam, cépage ;
- un durham, mammifère ;
- un faham, plante ;
- un nam-nam, plante ;
- un priam, insecte ;
- un yam, plante.
-ame, -am, -æme
Dans le corpus considéré concerne imame[100] et imam, immame[98][99] et immam, quidame[101][102][103] et quidam[104][105].
-am ou -an ou -ane ou -anne, -am ou -an, -æme
-aime
Dans le corpus considéré concerne uniquement un eurylaime, biotique unigenré désignant un oiseau.
-aine
Dans le corpus considéré la forme épicène concerne capitaine, kétaine, pitaine, quétaine, pure-laine, tire-laine[106].
Défectivités
Au québec germaine s'est vu octroyé le sens de personne gynotypée désagréable qui contrôle tout ou veut tout contrôler n'est pas en alternance avec germain, l'étymologie populaire lui donne comme origine un jeu de mot valise pour elle gère et elle mène[107][108][109]. Sans nier la possible influence d'un tel jeu de mot, en particulier sur la propagation daprès qu'il fut explicité. Cela se révèle pour le moins conflictuel avec la graphie retenue, qui évoque plutôt un lien avec le morphe germ-. Dans cette veine une hypothèse envisageable serait un rapprochement avec la réputation de femme forte rattachée à des figures germaniques du 19e siècle comme Clara Zetkin[110], voir au comportement oppressif et totalitaire du gestalt nazi au courant du 20e. Cela étant, cela ne fournirait qu'une explication ébouleuse sur l'origine de ce terme au regard du caractère haplogeste de son usage. Fort éloigné du Québec contemporain, Littré documente au 19e siècle un terme ambigu haplogeste pour germaine désignant un genre de labiées[111]. Cette classe de plante est encore en usage dans les classifications actuelles, y compris la Germandrée petit-chêne qui est notoire pour sa toxicité marquée, contrairement à la majorité des Lamiaceae qui sont comestibles ou médicinales. Cela pourrait ouvrir la voie à une origine métaphorique depuis la germaine, plante réputée toxique, à la germaine, femme jugée toxique. Si cette hypothèse aurait le mérite de se concilier avec la graphie et l'haplogestivité de l'usage, des attestations corroborant une telle évolution resteraient pleinement à démontrer. Aussi cette section ce contentera de corroborer sa défectivité.
Métaphores et métonymies haplogestes
Une basaine, allolexie de basane, toujours à l'ambigu, peut désigner quelque membre des troupes de cavalerie ou métonymiquement la personne qui porte l'éponyme type de tablier. De même une bédaine, bedaine ou bedondaine peut désigner la personne à qui appartient le ventre en question. C'est aussi le cas d'une chlaine, sort de châle.
Une glaine par métaphore de son sens de poule, peut désigner une femme négligée, sans énergie.
Une graine, par métaphore de son sens de pénis peut également servir de qualification injurieuse ou dénigrante donnée à une personne jugée peu intelligente ou incapable de faire quelque chose, à l'instar de bite ou tête de gland.
Une milloraine, désigne une fée ou dame blanche de haute stature.
Une mitaine, type de gant, peut désigner la personne qui la porte par métonymie.
Une plaine, sous la Convention, députés d’opinion modérée.
Une poulaine, chaussure, peut par métonymie désigner la personne qui les porte. De même pour une tiretaine lorsqu'elle désigne un vêtement en cette matière et par suite la personne qui en est vêtue. C'est également le cas pour une traine, lorsqu'elle désigne métonymiquement la robe toute entière.
Une quintaine désigne littéralement un mannequin monté sur un pivot et armé d’un bâton qui frappait celui qui le touchait maladroitement avec la lance et peut métaphoriquement désigner une personne.
Une turlutaine, qui désigne des propos frivole, peut aussi désigner la personne qui l'énonce, tout comme une turlututaine.
Biotique haplogeste
Le biotique haplogeste comprend :
- un achaine, un diachaine et un triachaine, allographies de akène, diakène et triakène, fruit qui peut métonymiquement désigner l'arbre ;
- un arbre fontaine, arbre ;
- une armoricaine, mammifère ;
- une bizaine, mammifère
- une bonne-vilaine, fruit qui peut métonymiquement désigner l'arbre ;
- une bugraine, plante ;
- une bourdaine, arbre ;
- une cardaine, poisson ;
- une chavaine, poisson ;
- une chevaine, poisson ;
- une draine, poisson ;
- une faine et ses allographie faîne et fêne, fruit qui peut métonymiquement désigner l'arbre ;
- un asplénium des fontaines, plante ;
- un cresson de fontaine, plante ;
- une graine, une prégraine, une pseudo-graine, peut désigner par métaphore désigner la plante ;
- une hépatique des fontaines, plante ;
- un omble de fontaine ou saumon de fontaine, poisson ;
- une géraine, plante ;
- une germaine, plante ;
- une glaine, oiseau ;
- une marjolaine, plante ;
- une migraine, fruit qui peut métonymiquement désigner l'arbre ;
- un nuculaine, fruit qui peut métonymiquement désigner l'arbre ;
- une permaine, fruit qui peut métonymiquement désigner l'arbre ;
- une porcelaine, plante ou insecte ;
- un porte-graine, plante ;
- une raine, amphibien ;
- une toute-saine, plante ;
- une tremaine, plante ;
- une valdostaine, mammifère.
-aine, -ain, -aïne (/ajn/)
Dans le corpus considéré concerne, Afro-Américaine, Américaine, anti-américaine, anti-républicaine, Argelliéraine, Armoricaine, Britto-Romaine, Centraméricaine, Centro-Américaine, chapelaine, châtaine, châtelaine, contemporaine, Costarmoricaine, croque-mitaine, croquemitaine, décapolitaine, demi-mondaine, diocésaine, dominicaine, duodécimaine, Écheroumontaine, écrivaine, Épierraine, Épineraine, Épiscopontaine, Érômaine, Étableraine, franciscaine, Franco-Tibétaine, Gabalitaine, Gallo-Romaine, Germaine, Hiérosolymitaine, horsaine, humaine, inhumaine, Latino-Américaine, Médocaine, Médocaine, Métropolitaine, Mexicaine, mondaine, naine, napolitaine, olivétaine, Ouest-Africaine, poulaine, prochaine, puritaine, quétaine, républicaine, Ricaine, riveraine, Romaine, rurbaine, sacristaine, samaritaine, Samaritaine, souveraine, Sud-Américaine, super-vilaine, suzeraine, toulousaine, ultramontaine, vilaine.
Particularismes
Dans croque-mitaine[112], bien que l'étymologie complète du mot ne fasse pas consensus, c'est évidemment le verbe croquer qui renvoie à la personne référé. Aussi pour ce cas précis -mitaine est à considérer comme invariable pour produire croqueuse-mitaine, croqueur-mitaine, croqûrge-mitaine, croquiẽre-mitaine, croquìre-mitaine, croquāre-mitaine, croquǫre-mitaine, croqûre-mitaine. Les formes croqûrge et croqûre sont en effet homologue à l'usage constaté dans piqûrage et craqûre.
Dans marraine et parrain l'alternance suffixale est surenchérit par celle du radicale.
Une femme fontaine a pour pendant androtypé un homme fontaine[113], même si Fontain alterne Fontaine pour les gentilés relatifs à Fontaine-sous-Préaux.
Défectivités
Si l'usage ne se prive pas d'employer une dondaine et une dondon pour désigner des personnes gynotypées, une recherche rapide n'a pas permi de trouver d'attestation d'un dondain pour qualifier son pendant androtypé. À corps défendant, dondaine à le mérite de désigner également quelque projectile balistique, une cornemuse et une sorte de chanson, avec des étymologies probablement communes sans qu'il soit pour autant univoque que tous ces sens puissent vraiment se targuer d'une cohésion lexicale suffisante pour les grouper en une unique entité glossographique[114].
Réflexions paradigmatiques
Pour l'arrhénophène -ìnxe, il reprend le -x- déjà employé par ailleurs en association avec ce genre. Il évite de surcroît l'homophonie avec l'équivoque -ain et la paronymie suffixale avec -ine courant pour former des noms d’agent à l'ambigu. Il peut être rapproché de la terminaison du terme androsphinx, dont la sémantique à une tendance résolument androtypante. Le -e terminal permet de conserver une homogénéité de forme dans la série des ostentatoires, et le -ì- bien évidemment de marquer manifestement le genre arrhénophène.
-aine, -aim, -aïme
Dans le corpus considéré concerne daine et daim.
l'isonèphe mixe les deux pour forme daïme (/dajm/). Pour les ostentatoire en revanche la proposition fait un truchement par l'étymologie qui présente le latin damma et son génétif pluriel dammārŭm, pour produire dammarẽme, dammarìme, dammarāme, dammarǫme, dammarúme.
-aïque
{Dans le corpus considéré concerne Altaïque, Chaldaïque et son dérivé Syro-Chaldaïque, cyrénaïque, Gallaïque, laïque, Romaïque, sidaïque et Voltaïque.
Réflexions paradigmatiques
Pour les ostentatoires, à l’instar de -aïque, -aïc, -aïcurge il suffira de se caler sur la série ostentatoire déjà donnée pour -ique, -ic, -icurge, soit -urgiẽre, -urgìre, -urgeāire, -urgeǫre, -urgeûre.
Biotique haplogeste
Le biotique haplogeste comprend uniquement un caïque, oiseau.
-aïque, -aïc, -aïcurge
Dans le corpus considéré concerne uniquement laïque et laïc, bien que laïque puisse aussi être employé de façon épicène.
Réflexions paradigmatiques
Pour l'isonèphe il se contente de reprendre la proposition déjà faite sur la série -ique, -ic, -icurge et dans la foulé d'en reprendre les formes ostentatoires, soit laïcurge, laïcurgiẽre, laïcurgìre, laïcurgeāire, laïcurgeǫre, laïcurgeûre.
-ame, -om, -ab
Dans le corpus considéré concerne uniquement dame et dom.
Réflexions paradigmatiques
Le terme dab, également graphié dabe, bien que vielli, qualifie une personne qui a du pouvoir : maître, patron, roi, dieu[115]. Or tant dame que dom proviennent du latin dominus[116][117] : maître, maître de maison, propriétaire, chef, souverain, arbitre. Aussi si les termes ont des étymologies distincts, ils ont une sémantique commune en plus d'une forme monosyllabaire, ce qui étaye assurément leur réunion dans un paradigme supplétif.
-an (/an/)
Dans le corpus considéré, ne concerne que Peranakan, padawan, quidan[118][119][120][121][122][123] et végan.
-ancre
Dans le corpus considéré, ne concerne que cancre, qui vient du latin cancer, ce dernier comptant cancrum dans ses flexions. D’où un alignement des suffixes ostentatoires calés sur les propositions déjà faites pour -um, à ceci prêt que dans ce cas l’homophonie avec -ǫme n’advient pas et cette terminaison peut donc s’employer sans ambiguïté.
-ande, -and, -ändium
Dans le corpus considéré concerne brigande et brigand, chalande et chaland.
Réflexions paradigmatiques
Pour l'isonèphe, l’emploi de -ände permet de différencier de l'ambigu et de l'équivoque tout en restant morphologiquement très proche, et en s'inspirant de länder (/lɛn.dœʁ/) pour la prononciation.
L'adjonction d'un -i- intercalaire à l'inanimé permet d'éviter l’homophonie qu’entraînement marchandǫm avec marchand d’homme et donc d’évoquer le trafique d'êtres humains.
-ane, -an (/ɑ̃/), -âme ou -anime
Dans le corpus considéré concerne par exemple artisane, chambellane, charlatane, Extrémadurane, faisane, partisane et vétérane.
Sémantique
Ce morphème provient du latin -anus, tout comme les doublons étymologiques -aine et -ain[124], qui sert de suffixe adjectival locatif indiquant la provenance, l’origine, l’appartenance.
Réflexions paradigmatiques
Cependant ces doublons ne fournissent en eux-mêmes pas de forme épicène. En prenant comme point de départ la recherche d’un suffixe produisant des termes épicènes et retenant une morphologie dérivé, topant l’expression compréhensive a?.*n.*e?
. Une première sélection à envisagée les suffixes -aniste, -aine, -aune, -æne, -erne et -urne. Cependant, ils n’ont pas été jugés satisfaisant après une mise à l’épreuve sur à quelques termes idoines tel artisane, chambellane, charlatane, Extrémadurane, partisane, paysane, et vétérane.
Une nouvel sélection à fait ressortir le nom pusillanime, formé sur le latin pusillus
: de très petite taille, et animus
: âme. Ce qui paraissait particulièrement séant pour les individus qui contribuent avec âme et dévotion à leur art, leur chambre législative, leur tromperie, leur région, leur parti, leur pays ou leur armée. La simple reprise du suffixe -anime aurait certes put suffire. Cependant le souhait de fournir un suffixe tout aussi monosyllabique que -ane et -an s'est spontanément résolut sous les traits du morphe -âme. Il serait cependant quelque peu charlatanesque de ne pas mentionner que seul infâme emploi la terminaison -âme tout en proposant un terme épicène ; qui du reste n’est pas étymologiquement lié à animus. Il eut semblait tout de fois regrettable d’ignorer cette aubaine synchronique et de ne pas en tirer partie.
-ane, -an (/an/), -oine
Cette section exclue bien évidement tous les emprunts à l’anglais se terminant en -man qui constitue une majorité des noms de genre équivoque terminant en -an et prononcé /an/. D’autant que ceux-ci donnent généralement -woman à l’ambigu.
Pour garder une terminaison phonétique en /an/ qui se distingue tout de même des deux alternances -ane et -an, il semblerait que seul -oine soit envisageable. D’autant plus si la contrainte de se caler sur des épicènes existant est prise en compte, ce qui est validé pour cette proposition par exemple par Assiniboine.
-ante, -ant, -änte
Pour l'isonèphe, l’alternance se base sur l'ambigu augmenté d'un tréma qui vient suggérer l'oralisation autonome de la voyelle par rapport à la consonne qui la suit. Les ostentatoires peuvent dès lors intuitivement s'inférer à partir de la série pré-établie ẽ, ì, ā, ǫ, ú, et la convention déjà exposé de l'emploi du n cédillé pour marquer nettement son autonomie phonatoire, à ceci près que c’est -iāņte qui est retenu pour le générique afin d'éviter l'homophonie avec l'isonèphe en -änte.
-air
Dans le corpus considéré l'épicénie concerne le terme d'argot grippe-chair, et happe-chair ou happechair, encore que des attestations à l'ambigu serait à démontrer, ainsi que que monte-en-l'air[125].
Dans l'argot un blair désigne un nez, ce qui par métonymie peut désigner la personne à qui cette partie d'anatomie appartient, de même pour chair
Un canadair peut éventuellement désigner la personne qui le pilote, un pet-en-l’air ou un surchair le personne qui s'en vêt, un rocking-chair celle qui s'y assied.
Le cas de un pair et un compair qui font la paire[126] et ne sont pas à confondre avec père et compère, est quelque peut énigmatique. Sur le plan synchronique il désigne prépondérrement une personne de même condition ou de même rang dans quelque échelle sociale. Cela ne laisse apparaître, tout au moins synchroniquement, aucune interprétation métonymique d'une notion abiotique. L'étymologie le rattache sans problème au latin pār, de même sens, mais les pistes sur les traces de ses origines plus lointaines ne font pas consensus. Une reconstruction traditionnelle est le Proto-Indo-Européen *per(h₂)- ("échanger"), en comparant avec le grec ancien πέρνημι (pérnēmi) etc. et le lituanien pirkti; mais cela n'explique pas bien le /a(ː)/. Michiel Arnoud Cor de Vaan suggère *peh₂s-
: surveiller, voir, en le liant au latin pāreō
: paraître, être visible[127][128][129][130]. Toutes ces possibilités présentent des problèmes sémantiques, mais elles ont néamoins le mérite de priviligier la piste d'une substantivation d'un verbe, ce qui en synchronie peut être relié au verbe pairer. À comparer au fait qu'une âme, strictement de genre ambigu, dérive du latin animus de même sens qui proviendairt lui-même du verbe indo-européen commun *anə-
: respirer, et qui donne donc aussi âme sœur, personne qui semble être faite pour convenir à une autre.
Un éclair peut désigner métaphoriquement une personne, notamment une personne qui fait preuve d'une vélocité remarquable.
Un flair peut désigner la personne qui possède un odorat ou une intuition remarquable.
Le biotique haplogeste comprend :
- un hair, mammifère ;
- un alcyonaire, cnidaires
-aire, -air
Dans le corpus considéré concerne claire et clair qui notamment à Haïti désigne une personne noire à la peau claire.
-airesse, -aire
Dans le corpus considéré concerne apothicairesse et apothicaire, dépositairesse et dépositaire, librairesse et libraire, mairesse et maire, notairesse et notaire, pairesse et paire, propriétairesse et propriétaire, secrétairesse et secrétaire, trairesse et traire, vicairesse et vicaire.
-aire
Dans le corpus considéré l'épicénie concerne abandonnataire, abécédaire, abolitionnaire, abonnataire, actionnaire, actuaire, adjudicataire, adressataire, adversaire, affachaire, affectataire, affermataire, aide-bibliothécaire, aliénataire, allocataire, allocutaire, alphabétaire, amodiataire, ampliataire, ampullaire, ancillaire[131][132], anticonstitutionnaire, anti-nucléaire, antinucléaire, antiparasitaire, antiquaire, antiquitaire[133], antirévolutionnaire, antiscripturaire, antithétaire, antitrinitaire, apocrisiaire, apomédiaire, archivaire, arénaire, arrhabonnaire, atrabilaire, attractionnaire, attributaire, attritionnaire, autoritaire, auxiliaire, avenaire, bacillaire, balistaire[134], barataire, barbarigaire, basilicaire, bataillonnaire, belluaire[135][136], bénéficiaire, bestiaire[137][138], bibliothécaire, bicentenaire[139], bimillénaire[140], bourretaire, brevetaire, brusselaire[141][142], buccellaire, bullaire, bustuaire, cabretaire[143][144], campénaire, candidataire, capacitaire, cartothécaire, cataphractaire[145][146], caudataire[147][148][149], célibataire, censitaire[150][151], centenaire, centimilliardaire, cérémoniaire[152][153], céroféraire, cessionnaire, cherchaire, cinquagénaire, clanculaire[154][155], clavaire, cludjaire, cocélibataire, co-commissaire, cocubiculaire, codonataire, cogénérationnaire, coindivisaire, collataire, coïndivisaire, colégataire, co-locataire, colocataire, commanditaire, complémentaire[156][157], complimentaire, compromissaire, commissaire, commissionnaire, commodataire, complanétaire, conceptionnaire, concessionnaire, concubinaire[158][159], concussionnaire, confidentiaire[160][161], consignataire[162][163], conscriptionnaire, constitutionnaire[164][165][166][167], consuétudinaire, consulaire, contagionnaire, contestataire, contre-pétitionnaire, contre-révolutionnaire, contresignataire ou contre-signataire, contributaire, convulsionnaire, copropriétaire, co-récipiendaire, corécipiendaire, coreligionnaire, coronaire, correctionnaire[168][169], corsaire[170][171][172], cosignataire, cotitulaire, covenantaire[173][174], crupellaire, cubiculaire, dardanaire, dataire[175], décagénaire, décisionnaire, dédicataire, défalcataire, défectionnaire, délégataire, demi-pensionnaire, démissionnaire, déportuaire, dépositaire, destinataire, détentionnaire, détrimentaire, développaire, dévolutaire[176][177], diamantaire, diatritaire, dignitaire[178][179][180], discothécaire, digressionnaire, disciplinaire[181], dispensataire, disquaire[182], diversitaire, divisionnaire, divorciaire, doctrinaire, domiciliataire, donataire, dragonnaire, drongaire, écovolontaire, égalitaire, églogaire, élémosinaire, émissaire, émissionnaire, encéphalozoaire, endossataire[183], entrepositaire, épistolaire, épulaire, ergastulaire, essédaire, ethnocidaire, eurocommissaire[184], europarlementaire, expéditionnaire, extraordinaire, extra-parlementaire, extraparlementaire, faciendaire, factionnaire[185][186][187][188], facultataire, fatuaire[189], faussaire, fermentaire, feudataire[190], fiduciaire, folliculaire[191], fonctionnaire, formaire[192], frégataire, fidéi-commissaire ou fidéicommissaire, garnisaire, génocidaire[193][194][195], gentianaire, gestionnaire, gigonnaire[196], grabataire, habitudinaire[197], hastaire, haussaire[198], heidegrégaire, hémorrhoïdaire, hostiaire, humanitaire, impromptuaire, incendiaire, indiciaire, indemnitaire, indivisaire, indultaire, inégalitaire, infinitaire, infomédiaire, infralapsaire, ingéniaire, injuriaire, institutaire, instrumentaire[199], intérimaire, intermédiaire, janissaire[200][201][202], jécoraire, jubilaire, kiosquaire, lagunaire, lampadaire, lanlaire, lapidaire, latitudinaire[203], latifundiaire, lavadaire, lectaire, lecticaire, légataire, légionnaire, libertaire, libitinaire, libraire, littéraire, locataire, locutaire, Lombaire, loraire, ludicaire[204], ludothécaire, maire, mandataire, manifestaire, manipulaire, mansionnaire[205], mansuetaire, mansuétaire, manutentionnaire, mappaire, marcaire, markaire, marquaire, martyraire, matériaire, médiathécaire, mensaire, mémoricidaire, mercenaire, micellaire, militaire, millénaire, milliardaire, millionnaire, missaire, missionnaire, mondanitaire, morpionnaire, moscoutaire, motionnaire, mousquetaire, multimilliardaire, multimillionnaire, multipropriétaire, munitionnaire[206], narrataire, nativitaire, nattaire, naviculaire[207][208][209], néoréactionnaire, nominataire, nonagénaire, nonaire, non-binaire, non-propriétaire, notaire, numéraire[210][211][212], oblationnaire, obligataire, obligationnaire, occasionnaire, octogénaire, octonaire, ordinaire[213], originaire, ostiaire, paciaire, pamphlétaire, pandectaire, parabolaire, paramilitaire[214][215][216], paratitlaire, parlementaire, parlementaire, partenaire, partothécaire, pegmaire, pendulaire, pensionnaire, permissionnaire, pétassaire, pétitionnaire, plagiaire, planétaire[217], plébiscitaire, plénipotentiaire, podagraire, poitrinaire, populaire, portionnaire, prébendaire, précaire[218], préparationnaire, présidiaire, prestataire, préventionnaire[219], primaire, primaire, primipilaire, processionnaire, prodataire, prolétaire, promotionnaire, pronétaire, pronucléaire, propriétaire, protestataire, protonotaire[220], protoscriniaire, provicaire, pseudo-universitaire, publicitaire, pullaire, punitionnaire, quadragénaire, quadricentenaire, questionnaire, quarantenaire, quartenaire, quinquagénaire, quirataire, rabassaire, rationnaire, réactionnaire, rébellionnaire, réceptionnaire[221][222], récipiendaire, réclusionnaire, reclusionnaire, recommandataire, récrédentiaire, référendaire[223][224], réfractaire[225][226][227], registraire, relationnaire, religionnaire, reliquataire, reliquiaire, rémissionnaire, renonciataire, réquisitionnaire, résignataire, résiliataire, retardataire, rétentionnaire[228], rétiaire[229][230][231], rétrocessionnaire, révolutionnaire, rubricaire, rudiaire, Runcaire, ruscaire, sabbataire[232][233], sagittaire, Sagittaire, salivaire, sanguinaire, satinaire, satisfactionnaire, scissionnaire, scutaire, secrétaire, sectaire, sectionnaire, sédentaire, semilunaire, Sept-Insulaire, septentenaire, septuagénaire, sermonnaire[234][235][236], sesquicentenaire, sexagénaire, sexigénaire, sicaire, signataire, silenciaire[237], silentiaire[238], simplicitaire, sociétaire, soixantenaire, solidaire, solitaire, Solitaire[239], soumissionnaire, sous-bibliothécaire, sous-commissaire[240][241][242], sous-locataire, sous-prolétaire, sous-secrétaire[243][244][245], sous-vicaire, spathaire, sportulaire, stadiaire, stagiaire, stationnaire, statutaire, stellionataire, stercoraire, strigilaire, strophaire, sublapsaire, substitutionnaire, subventionnaire[246][247], suicidaire, supercentenaire, superficiaire, supportaire, supralapsaire, surnuméraire, syndicataire, tambourinaire[248][249][250], télésecrétaire, téméraire, témoignaire, tempestaire, tertiaire[251][252], tétragénaire, thuriféraire[253][254][255][256], tierçaire[257][258], titulaire, topiaire, tortionnaire, trabucaire, traditionnaire, transidentitaire, transitaire, trentagénaire, trentenaire, triaire, tributaire, tricentenaire, triclinaire, trimillénaire, trinitaire[259][260], trisacramentaire[261], turnaire, ubiquitaire, ultra-réactionnaire, ultrarévolutionnaire, unipropriétaire, unitaire, universitaire, usufructuaire, utilisataire, utilitaire[262], utriculaire, vacataire, valétudinaire, velléitaire, vespiaire, vestiaire, vétérinaire, vexillaire[263], vice-secrétaire, victimaire[264][265], vingtenaire, vintenaire, visionnaire, volontaire, votataire, wikiversitaire, zillionaire.
Pour certains termes, même après recherche succinte, aucune attestation n'est ressortie à l'ambigu. Ils ont néanmoins été maintenu dans la liste pléthorique donné ci-dessus. Cela concerne notamment affachaire, anticonstitutionnaire, antiscripturaire, apocrisiaire, archivaire, arénaire, attributaire, attritionnaire, avenaire, barataire, barbarigaire, basilicaire, bataillonnaire, bimillénaire, bourretaire, buccellaire, bullaire, bustuaire, campénaire, centimilliardaire, céroféraire, clanculaire, clavaire, cludjaire, collataire, complimentaire, compromissaire, conscriptionnaire, contre-pétitionnaire, contresignataire ou contre-signataire, crupellaire, défalcataire, déportuaire, détrimentaire, diatritaire, digressionnaire, dragonnaire, drongaire, églogaire, ergastulaire, essédaire, faciendaire, facultataire, fermentaire, fidéi-commissaire ou fidéicommissaire, hastaire, hétaire, impromptuaire, indiciaire, indultaire, infinitaire, infomédiaire, infralapsaire, ingéniaire, institutaire, lampadaire, lavadaire, lecticaire, loraire, manifestaire, manipulaire, mansuetaire, mansuétaire, mappaire, marcaire, markaire, marquaire, martyraire, matériaire, millénaire, nativitaire, oblationnaire, obligationnaire, occasionnaire, octonaire, ostiaire, pandectaire, parabolaire, paratitlaire, pegmaire, pétassaire, présidiaire, primipilaire, prodataire, protoscriniaire, provicaire, pseudo-universitaire, pullaire, punitionnaire. quadricentenaire, questionnaire, quirataire, rabassaire, récrédentiaire, relationnaire, rémissionnaire, réquisitionnaire, résiliataire, rubricaire, rudiaire, ruscaire, sagittaire, satisfactionnaire, scutaire, septentenaire, sous-vicaire, stationnaire, statuaire, stercoraire, sublapsaire, substitutionnaire, supralapsaire, trabucaire, triaire, triclinaire, turnaire, utriculaire
À noter que hétaire doit être distingué de son parographe hétaïre , le premier s'employant un compagnonnage dans un contexte martial et le second dans les mondanités notamment les plus libidineuses.
Il est intéressant de noter que non-binaire s'emploi comme un nom épicène, tandis que binaire parraît inusité dans son interprétation homéosémique qui pourtant serait évidente à transposé depuis son antonyme avec comme définition personne dont l'identité de genre est exclusivement androtypée ou gynotypée, totalement enclose dans le concept de la binarité de genre. Le terme est cependant bien en usage mais avec des sémantiques totalement distincts, étant employé à l'ambigu pour désigner une étoile et à l'équivoque pour référer à un fichier informatique.
S'il est de fait épicène, en première instance le terme jécoraire ne désigne pas une personne mais la veine de la main droite. Un emploi métonymique reste cependant tout à fait possible.
Parmi la classique métonymie des personnes nommées d'après ce qu'elles vêtent les locutaire peuvent employer une haire, nom d'une chemise à ne pas confondre avec son homophone hère qui est lui épicène. De même pour un lévitonaire, un nécessaire, un oraire. une paire par exemple de chaussures ou de gants, un scapulaire, un suaire,
Le terme lanlaire ne semble guère usité de manière contemporaine et il est surtout mis en avant pour ces emplois dans des chansons populaires anciennes, notamment en tant que partie de l'interjection verbale de aller se faire lanlaire, version édulcoré de aller se faire foutre. Certaines sources le documente cependant comme nom à part entière avec le sens de balivernes ou d'individu méprisable[266].
En allographie de bulldozer, un bulledosaire peut désigner une personne déterminée, énergique.
Une chaire peut désigner la personne qui en est titulaire.
Un dictionnaire ou un dictionaire peut désigner une personne considérée de grande érudition ou qui a des connaissances étendues et qui les communique aisément ou encore qui en fait étalage complaisamment.
Pour l'alternance entre députée-maire et député-maire, il faudra évidemment se tourner vers la section dédiée à l'alternance de -ée à -é sur ce sujet, le mot composé ne fléchissant aucunement la terminaison du second composant. Il en va de même pour haute-commissaire et haut-commissaire, lady-maire[267][268][269][270] et lord-maire, sénatrice-maire[271][272][273][274] et sénateur-maire, nue-propriétaire et nu-propriétaire, ainsi que dans nationale-révolutionnaire auquel il n'a cependant pas été trouvé d'emploi pour en attester la flexion en correspondance avec national-révolutionnaire.
Si l'usage hésite autours du genre à donner au terme micellaire, ce qui suffit à le rendre épicène, il ne désigne généralement pas une personne ou un même une entité vivante. De même pour le terme postalvéolaire qui est bien être employé comme nom épicène par exemple en ellipse respective de consonne postalvéolaire et son postalvéolaire[275]. Même constat pour Primaire, Secondaire, Tertiaire, Quaternaire et semilunaire.
Quelques termes posent des complications sémantiques spécifiques comme adressataire[276], allocutaire, destinataire, expéditaire[277][278][279][280][281][282], locutaire et narrataire. En effet, l'usage ataval donne dans ce cas à -taire un trait sémantique marquant la notion de réception d'un discours, d'un énoncé, d'une information ou plus généralement d'un objet quelconque, qui en font donc en ce sens des termes effectivement épicène. Ils s'opposent ainsi aux termes construits sur les mêmes bases mais suffixé avec -trice ou -teur, qui pour leur part porte la notion de source à l'émanation expressive qui est alors induite. Cependant ces usages sont concourant à la variation diaéthique qui insuffle à -taire une valeur d'alternance isonèphe à -atrice et -ateur tout en maintenant la notion de provenance, de source. En effet cette variation part d'une considération tout autre et n'anticipe pas, ou tout au moins n'obvie pas ce télescopage, ce qui du reste ne crée généralement aucun conflit, par exemple lorsqu'il fourni la lexie supplémentaire comme administrataire, ou autaire en complément à administratrice et administrateur ou autrice et auteur.
Pour éviter ces ambivalences, il est possible de recourir à d'autres suffixations. Ainsi pour expliciter une personne faciendaire, celle qui est à l'origine du phénomène pourvu, il est possible d'employer
- -dect-, morphe issu du grec
dékhomai/δέχομαι
: recevoir, qui se retrouve dans apodecte, pandecte ; - -gén- ou -gèn-, morphe issu de lation
-gena
: né de, lui même du verbegenere
: engendrer, qui se trouve par exemple dans aborigène et congénère ; - -pèg-, morphe qui trouve son étymologie dans le grec
pēgḗ/πηγή
: source, qui se retrouve déjà dans des termes comme acratopège, pégée, pégomancie et ptéropège ; - -urg-, morphe qui dérive du grec
érgon/ἔργον
: travail, présent dans des termes commme thaumaturge
À l'inverse pour la personne récipiendaire, un suffixe comme :
- -cap- ou -cip-, issue du latin
capio
: prendre, saisir, hériter, recevoir, percevoir, recueillir, obtenir, comprendre, concevoir présent dans les termes capture, municipe, muscicape, principe et récipiendaire, et pour peu qu'il soit rapproché de de l’indo-européen commun*káput
: tête, pot et donc du latincaput
: tête, chapitre, commencement, origine, chef[283][284][285] ils sont aussi à voir dans capitaliste et capitaine ; - -trophe indiquant une façon de croître, de se nourrir, qui se retrouve par exemple dans mycohétérotrophe ;
- -ptote, qui suggère l'idée de chute et donc de point de chute, par analogie avec un objet échu, présent dans asymptote et polyptote ;
- -labe, en tant que morphe issue de
lambánô/λαμβάνω
: prendre, recevoir, qui se retrouve dans des mots comme antilabe, autolabe, syllabe.
Cela permet donc de former des termes intermédiaires comme destinagénaire et destinalabaire, et de là se raccrocher aux mêmes ostentatoires que pour les autres termes en -aire sans ambage.
Pour les ostentatoires la proposition est quasiment d'une conventionnalité monotone, avec -iẽre, -ìre, -āre, -ǫre, -úre qui sont sans surprise par rapport aux choix généaux déjà exposés. Il peut être précisé que -ûre a été écarté pour éviter des homophonies avec des termes comme mandature et signature. C'est cependant surtout pour l'allophène qu'une légère péripétie vient agrémenter ces alternances d'une variation en -atiẽre, pour accommoder les termes qui terminent en -iaire comme auxiliaire, bénéficiaire ou intermédiaire, et plus généralement tout terme ou -aire est précédé par une voyelle ou semi-voyelle comme actuaire, antinucléaire, encéphalozoaire, témoignaire et usufructuaire.
À noter, que du côté du biotique il y a aussi épicénie pour :
- ampullaire, mollusque ;
- annulaire, insecte ;
- capillaire, plante ;
- encéphalozoaire, animal ;
- lagunaire, mammifère ;
- podagraire, plante ;
Mais d'autres vocables biotiques sont bien unigenrés :
- un acanthaire, protozoaire ;
- un actiniaire, polype ;
- un actinozoaire, animal ;
- un alcyonaire, cnidaire ;
- une aliaire ou alliaire, plante ;
- un amœbozoaire, protozoaire ;
- un antennaire, bien que son allographie antenaire soit documenté épicène dans le Wiktionnaire, poisson ;
- une antennaire, plante ;
- un anthozoaire, cnidaire ;
- un armillaire, champignon ;
- un artiozoaire, animal ;
- un astérozoaire, échinodermes ;
- un atomaire, insecte ;
- un brassicaire, insecte ;
- un beauclaire, poisson ;
- un bryozoaire ou un polyzoaire, métazoaire ;
- une calcéolaire, plante ;
- un campanulaire[286], polype ;
- une cardiaire, variante de cardère, plante ;
- un caryophyllaire, corail ;
- une cataire ou chataire, plante ;
- une charpentaire, plante ;
- une cellaire, polype ;
- une cercaire, parasite ;
- une cétraire, plante ;
- un cicadaire, insecte ;
- une cicutaire, plante ;
- une cimbalaire ou cymbalaire, plante ;
- une cimicaire, plante ;
- une cinéraire, plante ;
- une claire, mollusque ;
- une clavaire, champignon ;
- un cnidaire, métazoaire ;
- une cochléaire, plante ;
- une convallaire, plante ;
- une corniculaire, lichen ;
- une coriaire, arbre ;
- un cortinaire, champignon ;
- une cristaire, plante ;
- une crotalaire, plante ;
- un cténaire, organisme vivant marin ;
- un cubozoaire, cnidaire ;
- un cuniculaire, mammifère ;
- un cyclozoaire, animal ;
- une débassaire, oiseau ;
- une dentaire, plante ;
- une dentelaire, plante ;
- une digitaire, plante ;
- un dromadaire, mammifère ;
- un dromadaire, insecte ;
- un ecdysozoaire, animal ;
- un échinozoaire, animal ;
- une éclaire, plante ;
- un ectozoaire, animal ;
- un éleuthérozoaire, animal ;
- un endozoaire, animal ;
- un entérozoaire ou entozoaire, animal ;
- un entomozoaire, insecte ;
- une épiaire, plante ;
- un épizoaire, animal ,
- un esclaire, oiseau ;
- une esclaire[287], plante ;
- un étraire, cépage ;
- un eumétazoaire, métazoaire ;
- un explanaire, polypier ;
- une fasciolaire, mollusque ;
- une fastigiaire, algue ;
- un festucaire, ver ;
- une ficaire, plante ;
- un filaire ou philaiire, plante ;
- un filaire ou une filaire, ver ou parasite ;
- une fritillaire, plante ;
- une funaire, plante ;
- un gastérozoaire, animal ;
- une globulaire, plante ;
- une grallaire, oiseau ;
- un grévillaire, arbre ;
- un guêpiaire, insecte ;
- une habenaire, plante ;
- un hématozoaire, protozoaire ;
- un hexacoralliaire, anthozoaire ;
- un hydraire ou un hydrozoaire, cnidaire ;
- une isaire, champignon ;
- un kamptozoaire, animal ;
- un laccaire, champignon ;
- un lactaire, champignon ;
- une laminaire, végétal ;
- une lanaire, plante ;
- une ligulaire, plante ;
- un limaire, poisson ;
- une linaire, plante ;
- une lombricaire, plante ;
- une lophotrochozoaire, animal ;
- un loricaire, poisson ;
- une lunaire, plante ;
- une lutraire, mollusque ;
- un makaire, poisson ;
- un malacozoaire, mollusque ;
- un mastozoaire, mammifère ;
- une matricaire, plante ;
- un maxillaire, plante ;
- un métazoaire, animal ;
- un microzoaire, animal ou micro-organsime quelconque ;
- un mycétozoaire, eucaryote ;
- un myxozoaire, cnidaire ;
- une nitraire, plante ;
- une nummulaire, plante ;
- un octocoralliaire, anthozoaire ;
- un olidaire, plante ;
- une onagraire, plante ;
- une oscillaire[288], plante ;
- un ostéozoaire, animal ;
- un ostracaire, animal ;
- une pannaire, lichen ;
- une pariétaire, plante ;
- un paroaire, oiseau ;
- un passionnaire, plante ;
- une patellaire, champignon ;
- une pédiculaire, plante ;
- un pelmatozoaire, échinoderme ;
- une persicaire, plante ;
- une pertusaire, champignon ;
- un pétalaire, reptile ;
- un phagocytaire, cellule ;
- un philaire, arbre ;
- un phytozoaire, animal ;
- une pilulaire, plante ;
- un pioulaire, oiseau ;
- un placentaire, mammifère ;
- une plégaire, insecte ;
- une polycotylaire, ver ;
- un polynucléaire, cellule ;
- une praire, mollusque ;
- une procellaire, oiseau ;
- une processionnaire, insecte ;
- un protozoaire, animal ;
- un psychodiaire, organisme vivant ;
- une puéraire, plante ;
- une pulicaire, plante ;
- une pulmonaire, plante ou lichen ;
- un radiaire, animal ou plante ;
- un radiolaire, zooplancton ;
- une ramaire, champignon ;
- un rhizaire, eucaryote ;
- une sagittaire, plante ;
- une salicaire, plante ;
- une sanguinaire, plante ;
- une saponaire ou savonnaire, plante ;
- un scalaire, poisson ou mollusque ;
- un scléractiniaire, corail ;
- une scrobiculaire, mollusque ;
- une scrofulaire, plante ;
- une scutellaire, plante ;
- un scyphozoaire, cnidaire ;
- un serpentaire, oiseau ;
- une serpentaire, plante ;
- une sertulaire, polype ;
- une sétaire, plante ;
- une sigillaire, arbre ;
- un solitaire, insecte ou oiseau ;
- une spéculaire, plante ;
- un spermatozoaire, cellule ;
- un spondylozoaire, vertébré ;
- un spongiaire, animal ;
- un sporozoaire, eucaryote ;
- une spumaire, champignon ;
- une stellaire, plante ;
- un stercoraire, oiseau ;
- une stipulaire, par ellipse de plante stipulaire ;
- une sulfuraire, plante ;
- un tarton-raire, plante ;
- une tégénaire, araignée ;
- une tégulaire, plante ;
- une tertiannaire, plante ;
- un trinitaire, plante ;
- un uncinaire, ver ;
- un unicellulaire, organisme vivante ;
- une utriculaire, plante ;
- une uvaire, plante ;
- une uvulaire, plante ;
- une vaccaire, plante ;
- une varaire, plante ;
- un vermiculaire, plante ;
- une verrucaire, plante ou lichen ;
- un virgulaire, cnidaire ;
- une volubilaire, algue ;
- une volvaire, champignon ;
- une vulvaire, plante ;
- une xylaire, champignon ;
- une zédoaire, plante ;
- un zoanthaire, polype.
-aphe
Concerne notamment les termes suffixés en :
- -graphe qui dérive de
graphein/γράφειν
:écrire, égalementégraphone/ἔγραφον
à l’imparfait[289][290] ; - -taphe qui vient grec ancien
táphos/τάφος
: enterrement, égalementtoû táphou/τοῦ τᾰ́φου
ettoîn táphoin/τοῖν τᾰ́φοιν
au génitif[291][292] ; - -scaphe, de
skaphê/σκάφη
: barque, qui compteskaphôn/σκᾰφῶν
parmi ses flexions génitives[293][294].
Vraisemblablement tous les termes en -aphe proviennent également du grec ancien, la séquence -ph- translittérant la lettre phi (φ). C’est par exemple encore le cas de élaphe qui dérive de élaphos/ἔλαφος
: biche ou cerf, fléchie également à l'accusatif sous élaphon/ἔλᾰφον
[295][296].
Se constate donc parmi ces racines la présence de formes finales en -oïn(e), et -on(e), d’où le fait de dériver les suffixes ostentatoires en les calant sur ceux déjà proposés pour -onne, -on, -oine et -ine, -in, -ène.
-aresse, -aire
Dans le corpus considéré concerne apothicaresse[N 2] et apothicaire[N 1], commissaresse[N 3] et commissaire[N 1], libraresse et libraire[N 1], notaresse[N 4] et notaire[N 1], propriétaresse[N 5] et propriétaire, secrétaresse[N 6] et secrétaire, vicaresse et vicaire.
Défectivités
Si atournaresse est bien attesté, aucune source n'a été trouvé pour appuyer l'éventuel emploi de atournaire. Il y a en revanche quelques sources pour atourneur, mais celui-ci est plutôt mis en alternance avec le terme alternatif atourneuse[297].
-aresse, -e
Dans le corpus considéré concerne dogaresse[N 7] et doge[N 8][298][299][300].
-aresse, -eur
Dans le corpus considéré concerne atournaresse[301] et atourneur[302][303][304], recommandaresse[N 9] et recommandeur.
-arde
Cette terminaison est notamment épicène pour garde et sarde, dérivant respectivement du latin warda
et Sardus
pour lesquels des flexions accusatives wardam, Sardăm offrent une base commune suffisante pour inspirer le suffixe générique -ardāme et de là les autres suffixes ostentatoires[305][306].
-arde, -ard, -âtre
Le couple suffixal -arde, -ard découle du vieux-francique -ard
: dur, fort
, qui a donné l’allemand hart
de même sens. Il servent souvent à former des termes péjoratifs, comme bâtarde ou vicelard. Il peut être noté que certains termes comme salopard sont d’usage familier fréquent tandis que pour son pendant saloparde ne se trouvent que de très rares attestations[307][308][309][310][311][312].
Cela dit, la même terminaison connote par ailleurs quelque accointance plaisante, populaire, voire argotique, comme dans pénarde ou veinard. Elle sert aussi à indiquer l’appartenance, le lien avec une activité, un objet, une époque, un lieu, un mouvement ou une cause à laquelle on adhère comme dans montagnard ou thésarde. Il se trouve même dans des gentilés comme Heyriard, ou Houcharde. Ainsi que dans des noms d'animaux comme cocard ou épaularde, encore que comme souvent pour les noms de vivants non-humains, l’attestabilité de l’alternance est souvent rare, voir contrevient à l’usage qui propose une alternance radicale. De même, et de manière plus systématique encore lorsque la terminaison forme des désignatifs d’objets abiotiques, comme billard ou carde.
De son côté -âtre sert de suffixe formant des adjectifs, souvent subséquemment substantivé, donnant un sens d’excès dans l’insuffisance, comme nullâtre, ou dans la suffisance, comme dans opiniâtre. Il peut aussi marquer une nuance d'atténuation de la notion exprimé par le radical comme dans surdâtre, ou d’approximation affaiblissante comme fillâtre. Enfin, souvent concurremment à l'une des connotation précédente, il peut avoir une valeur de péjoration comme dans finâtre ou gentillâtre. D'origine latine, son ascendant -aster a également le sens de variété sauvage, notamment dans les noms de plante tel oleaster
: olivier sauvage.
Les sémantiques préexistantes se recoupent donc de façon suffisament ample pour rendre le trio proposé cohérent sur le fond. Quand à la forme tous trois sont descriptibles par l’expression rationnelle [aâ](dr|rt)e?
, c’est à dire entre composé d’une voyelle ouverte antérieur (/a/) suivi d’une consonne alvéolaire spirante (/ɹ/) autrours de laquelle gravite une consonne alvéolaire occlusive (/d/ ou /t/) suivi d'un éventuel e caduque terminal.
-arme
Dans le corpus considéré, ne concere que gendarme et ses dérivés comme cybergendarme et supergendarme. Le terme gendarme lui-même est formé par univerbation de gens d’armes, et c’est donc le morphe -gen- qui y convoie la valeur de désignatif personnel. Le terme gens est pour sa part d’une exceptionnelle complexité sur son rapport au genre grammatical, mais pour le besoin de la présente analyse il suffit de rappeller qu’il peut servir à désigner des groupes de personnes quel que soit leur sexe.
Sur un plan étymologique donc, il serait justifiable de se tourner vers des univerbations alternatives par exemple de femme d’arme et homme d’arme en femdarme et homdarme comme alternances alusives.
L’étymologie de gens renvoie au terme latin gent lui-même même dérivé du verbe gigno, issu de la racine indo-européenne gen- qui a également donné génos/γένος
: race, gonê/γονή
: semence, gunế/γυνή
: femme. Par ailleurs, bien que possiblement non lié étymologiquement, il faut noter l’existence du terme gonz, apocope de gonzesse ou gonze en fonction du contexte. Cela suffit donc à suggérer des alternances ostentatoires en gǫņ-, gûņ- et par suite gāņ-, gìņ-, giẽn-.
-arque
Dans le corpus considéré concerne anarque, aristarque[313], éparque[314], chiliarque[315], cryptarque[316][317][318], dyarque[319], énarque[320], éparque[321], ethnarque[322][323], exarque[324][325], exilarque[326], gymnasiarque[327][328][329][330], heptarque[331], hérésiarque[332], hiérarque[333][334], irarque[335][336], lyciarque[337], monarque[338], navarque[339], oligarque[340], pentarque[341], pontarque[337], scholarque[342] et savariante graphique scolarque[343], tétrarque[344][345].
Certains termes réfèrent à des activités qui ont, de fait, été typiquement réservés à des personnes androtypés, d'où un usage en pratique qui ne laisse pas aisément trouver d'attestation à l'ambigu, comme agonistarque, alabarque et sa variante arabarque, alytarque, archéparque, archiérarque, asiarque, aularque, béotarque, biarque, bithyniarque, cappadociarque, cénobiarque, centarque, ecclésiarque, éléphantarque, hipparque, irénarque, lexiarque, liménarque, myriarque, nomarque, pétromonarque, phéniciarque, phylarque, poliarque, syriarque, systarque, taxiarque, toparque, triérarque, xénarque.
Par ailleurs le terme comarque couvre à l'ambigu la notion de division administrative ou territoriale, tandis qu'à l'équivoque il désigne exclusivement la personne qui dirige cette division. L'emploi de l'ambigu pour désigner également une personne n'est pas lexicalement à exclure, cependant la recherche de l'emploi d'un tel désignatif personnel est compliqué par celui de son usage chorologique qui est lui fort courant.
Dans tous les cas ce suffixe est univoquement employé pour former un nom correspondant à une notion d'incarnation du pouvoir, de chefferie. Si tous les termes construits sur ce suffixe ont une légétimité lexicale à prétendre à l'épicénie, l'usage andorégnant ne fourni qu'une minorité d'emploi effectivement épicène, et les formes ambigües se trouvent par ailleurs souvent cantonnées à des œuvres de fiction.
Pour les ostentatoires, étant donné la préexistence la doublure équivoque énarquesse à l'épicène énarque, la proposition retient également ici les formes en -arquiēstre, -arquìstre, -arquāstre, -arquǫstre, -arquûstre.
Enfin le biotique unigenré compte :
- un gymnarque, poisson ;
- un monarque, papillon ;
- un timarque, insecte.
-arquesse, -arque, -arquestre
Dans le corpus considéré concerne énarquesse et énarque.
Comme indiqué dans la section dédiée aux mots épicène en -arque, énarque connaît bien un emploi épicène. Cela étant, force est de constater que l'alternance énarquesse connaît quelques occurrences[346][347][348][349].
Pour l'isonèphe et les ostentatoires, la proposition se contente ici de reprendre ce qui à déjà été suggéré par ailleurs pour -estre, soit -arquestre, -arquiēstre, -arquìstre, -arquāstre, -arquǫstre, -arquûstre. En effet, -estre qui se retrouve dans des termes comme bourgmestre évoque une notion de commandement tout à fait en phase avec celle de -arque.
-aise, -ais, -us
Comme -ois, -ais dérive de l’ancien bas vieux-francique -isk ou du latin -ensis[350].
Parmi les épicènes pré-existant en -us se trouvent angus, Erasmus et môzus. Sur le plan de la graphie, le -s- offre un pont mnémotechnique.
Pour l'inanimé la proposition de -ǫse, outre une alternance harmonieuse à l'ambigu, s’aligne sur le choix déjà opéré pour mots grammaticaux ostentatoires et de surcroît rappel le mot chose dont la sémantique converge opportunément avec celui d'inanimé.
as
Le terme as dérive du latin homographe, qui vient lui-même du grec ancien eis/εἷς
: un, et ses variantes en dorien ais/αἴς
, et en tarentin as/ἄς
.
-ate
Des traîne-savate aux diplomates en passant par les pirates et autres philobates, ce sont tous des primates désignés par un terme épicène en -ate.
-ate, -at, -aîstre
Le choix de -aîstre comme suffixe isonèphe permet à la fois de s'approcher phonétiquement de -estre, comme dans bourgmestre, et de la terminaison graphique -aistre que l’ancien français emploi par exemple dans maistre. Ces rapprochement sont d’autant plus séant pour les métiers de l’avocature qui maintien volontiers le terme de maître comme titre honorifique donné à ses membres. L’emploi du -s- sonore permet d’éviter les dérivations malencontreuse comme magistraître, ou la présence de la séquence terminal -traîte évoquerait trop aisément l’idée de trahison, de perfidie.
-âtre
Dans le corpus considéré concerne bellâtre, fillâtre, filsâtre, frarâtre, frèrâtre, galfâtre, marâtre, nullâtre, opiniâtre, parâtre, philosophâtre, sœurâtre, sorâtre, surdâtre.
À noter que si si fillâtre peut être pris comme épicène, il est également employé comme spécifiques à la gente féminine avec filsâtre comme alternance pour la gente masculine[351].
Le suffixe -âtre est utilisé pour former des adjectifs avec le sens de un peu, pas tout à fait, synonyme du préfixe quasi-, et peut également prendre un sens péjoratif dépréciatif. Il est paronyme de -iatre et -lâtre.
En passant par un isonèphe virtuel en -âtraire, la proposition pour les ostentatoires s'arrête sur la série -âtriẽre, -âtrìre, -âtrāre, -âtrǫre, -âtrúre.
Le biotique haplogeste comprend un cocâtre et un coquâtre.
-âtresse, -âtre, -âtraire
Dans le corpus considéré concerne gentillâtresse[352][353][354] et gentillâtre, mulâtresse et mulâtre.
Dans les deux cas, il a même sens que -âtre. Ici l'isonèphe n'est donc plus virtuel, mais les mêmes propositions peuvent être reprisent, donc un isonèphe en -âtraire, et la série ostentatoires -âtriẽre, -âtrìre, -âtrāre, -âtrǫre, -âtrúre.
-aze
Sont notament épicène Abkhaze, kamikaze, Laze, naze,
Du côté de l'occitanie un biétaze et ses variantes viédaze et viédase peuvent désigner soit le fruit de l'aubergine, soit une personne jugée bourinne, en tous les cas par le biais d'une étymologie méthonymique de vit ou bite d’âne.
Le titre princier vironyme de knaze, emprunté au vieux slave, n'a pas semble-t-il pas d'équivalent gyronmye enmployé en français, bien qu'en puisant dans l'alternance existente étymologiquement, il serait possible de proposer par exemple knïaginya ou kniahinia[355].
Du côté du biotique unigenré se trouve également le queue-de-gaze, oiseau.
-chesse, -que
Dans le corpus considéré concerne archevêchesse et archevêque, évêchesse et évêque.
-dame-, -dom- ou -homme- ou -sieur-, -estre- ou -personne-
Le dame peut alterner avec dom notamment dans des contextes qui relèvent de la chevalerie, de la noblesse où quelque milieu qui aime à distribuer des titres d’honneur.
Pour autant, à madame c'est bien monsieur qui est usuellement renvoyé. Parmi les alternatives en usage qui peuvent servir d'isonèphe se trouve monestre. Par ailleurs, à l'instar du terme déjà bien ancré dans les usages de mister, la francophonie emprunte parfois au monde anglophone, Mixter, Mix, ou Mux où il abbrégés en Mx[356][357], qu'il faudrait probablement adapté en Mx pour le rendre homogène à Madame et Monsieur qui sont abbrégés Mme et M. respectivement.
D'autre part, si l'usage parle de dame de compagnie, il lui donne pour pendant un homme de compagnie[358][359][360]. Celà dit, contemporainement ces termes sont concomittant à des notions qui la recouvrent partiellement ou totalement, dont agent à domicile, agent polyvalent, aide à domicile, aide ménagère à domicile, assistant de vie et assistante de vie, employé à domicile et employée à domicile, employé de maison et employée de maison, employée familial et employé familial. De surcroît historiquement les termes de dame de compagnie ou demoiselle de compagnie désignent l'assistante personnelle d'une reine, d'une princesse ou d'une autre dame de la noblesse qui n'ont pas d'équivalence androtypée claire et nette : il y a certes des courtisans parmi les gentilhommes mais ils répondent plutôt aux notions de courtisane et de gente dame. Les cours sont prolixes en titres qui sont, de fait, monogenrés comme dame d'atours, dame d'honneur, dame de la Chambre, dame du palais, gentilhomme de la chambre, surintendante de la maison ou encore maîtresse de la garde-robe[361]. Pour l'alterenace isonèphe de dame de compagnie, selon le type de compagnonage visé le terme pourrait être adapté à volonté ; aussi sans s'épandre une liste exhaustive qui serait pleinement exubérante, il pourra être mentionné affable, agréable, aimable, amène, charitable, fidèle, galänte, gent, honnête, juste, lige, sage, serviable, sympathique, tendre. L'usage pour sa part retient le terme bien plus générique de personne de compagnie[362][363][364][365][366].
-é
re des individus nommés d’après des noms d’espèce comme homininé, ou d’un groupe ethnique tels Bamiléké, et Nez-Percé, l’invariance de la terminaison lexical alusive en -é se constate notamment dans des apocopes, tels indé et kiné.
-eal (/il/)
Dans le corpus considéré ne concerne que SEAL, aussi graphié seal[367].
En effet les membres du SEAL, force spéciale de la marine de guerre des États-Unis, sont eux même éponymiquement désigné comme SEAL.
Pour les flexions supplémentaires, le terme virtuel sealor peut être forgé par analogie avec sailor ou major, d'où la série ostentatoire sealiẽre, sealìre, sealāre, sealǫre sealúre. La proposition sealor n'étant que virtuel, elle ne génère pas de conflit homophonique avec l'inanimé. Pour le thélyphène l'emploi du -ú- rendu /u/ évite l'homophonie avec silure.
-ecte
Ne s’applique, dans le corpus considéré qu’à architecte, stararchitecte et starchitecte, dérivant du latin architectus, lui-même du grec arkhitektôn/ἀρχιτέκτων
: maitre-charpentier, et donc lié au latin tectum
: toit[368][369]. Ici ce sont donc les flexions d’architectus, notamment architectī, architectō, qui inspirent celles des genres ostentatoires.
-ecte, -ect, -ectum
Alternance ne s’applique qu’à suspecte, tout au moins dans le corpus considéré réduit aux termes personnels. Ce terme dérive du latin suspectus, dont est tiré la flexion suspectum. De là les suffixes de genre ostentatoire, se calent sur les propositions déjà faites pour le suffixe épicène -um.
-effe ou -èfe ou -effesse ou -eftaine, -ef, -ève
Dans le corpus considéré, ne s’applique qu’au radical chef-. Celui-ci provient de l’ancien français, qui le rend par chiés
et chief
respectivement au cas sujet et au cas régime, tous deux dérivant du latin caput
: tête[370]. Ce dernier est donné comme dérivation de l’indo-européen commun *káput
: tête, pot, qui serait entre autres aussi à l’origine de Haupt
en allemand, et head
en anglais, tous deux ayant le sens de tête[371].
L’alternance isonèphe en -ève peut s’appuyer sur l’étymologie de chève, qui correspond à plusieurs forme du verbe chever, qui pour sa part vient de l’ancien français chever
: finir, achever, lui même issu du latin *capare
: mettre un terme, ce dernier étant évidement lui aussi dérivé du latin caput. La terminaison -ève se retrouve dans les termes épicènes élève et Suève.
Pour les alternances ostentatoires, la permutation vers -v- en place de -f- entraînerait un conflit avec les alternances spontannées pour chauve. De plus, la volonté d’éviter les connotations péjoratives fortuites nécessite d’éviter tant chiẽf, trop proche des termes vulgaires que constituent chier et ses dérivés, que chìf, homophone de chiffe qui désigne une nullitude, peut employé en lexie autonome mais fort courante dans le terme chiffe molle. D’où un alternance du ch- initiale vers un graphème codant la consonne occlusive vélaire sourde /k/, renvoyant à l’étymologie latine caput. Si des termes comme chi et chiton suffiraient à argumenter l’emploi d’un chi- inchangé graphiquement pour codert le son /ki/, une telle proposition demeurait trop peu convoyeuse de l’association grapho-phonique visée. C’est pourquoi c’est plutôt khi- qui est ici retenu, reprenant le graphème déjà existant par exemples dans khi, khinganite ou khinkal.
Il faut nauter que du fait de son origine métaphorique, le terme chef dans un groupe nominal de genre équivoque peut désigner des personnes quelque soit leur sexe. Cela à l’instar du mot tête, qui désigne statistiquement plus un individu mâle dans l’expression la tête de ce réseau mafieu, et statitisquement plus un individu femelle dans la tête de la promotion universitaire[372][373]. Tout un ensemble de synonymes signifiant partie la plus prévalante d’un organigramme social arborescent servent d’ailleurs de base à des métonymies analogique : cerveau, cervelle, couronne, matière grise, pointe, sommet, visage. Ceci étant, contrairement à ces derniers, en perspective synchronique les locutaires semblent souvent ignorer ou ne pas tenir compte de cette origine métaphorique, au point de favoriser l’émergence d’usages lui appliquant une alternance morphologique — voilà bien un comportement de tête de mule que chacun jugera à l’aune de ses propres lumes.
-ègue, -eg, -ège
Dans le corpus considéré cette alternance ne s’applique qu’à Touarègue, dont l'ambigu Touareg est également employé de manière épicène, parfois également donné comme invariable au pluriel. Cette unité lexicale vient de l’hassanya ṭwāreg/طوارق
: oubliés de Dieu, à moins qu’il ne dérive de Targa, une région de Libye[374]. Au sein de cette communauté les personnes se désignent elles-mêmes par l’endonyme Kel-tamasheq, c’est-à-dire celles qui parlent la langue touarègue, le tamasheq[375][376].
Vis-à-vis de l’arabe, le terme Touareg transcrit la forme plurielle de Targui. Ceci expilque que l’usage fait concourir plusieurs variantes d’unités lexicales, avec ou sans flexions sur le genre et le nombre. En plus de Touarègue, les formes ambigues comprennent également Targuie et Targuia, qui au pluriel peuvent donner Targuies, Targuiat et Touarègues, encore que Targuiat soit également graphié Targuiât et employé au singulier[377][378][379][380][381]. L’équivoque pour sa part, outre Touareg, connaît également Targui, le tout étant rendu au pluriel par Targuis, Targueg ou Touaregs.
Dans l’étendue du cyberespace se trouve des occurrences de Touarigue, du fait d’erreur de reconnaissance automatisé[382], ou encore comme lexie forgé volontairement en tant que nom de marque[383]. Le terme Touriane semble employé comme nom de famille, bien que sans rapport au berbère[384]. Le terme touariste semble être employé comme mot valise, formant un mixe avec touriste[385].
Pour l'isonèphe la proposition retient -ège qui rappelle la terminaison du terme épicène stratège et maintient une cohérence morphologique avec -ègue et -eg.
-eille, -eil, -aille
Pareille vient du latin pariculus fléchie également en parĭculum, du latin classique par, paris
: égal, qui donne également le catalan parella, le portuguais parelho, l’occitan parelh et l’espagnol pareja[386][387][388][389][390][391][392][393].
De plus, le français lui-même, tout comme le gallo, à déjà fait usage de parail et paraille[394][395][396], tandis que pareuilles se trouve dans le parler du Pays de Retz[397] qui s’harmonise oralement avec des termes de diverses graphies comme accueil, feuille et œil.
-eintre
Dans le vocabulaire considéré, ne concerne que peintre. Celui-ci vient du latin pictor, devenu, en latin populaire pinctor. Le premier est formé par déverbal de pingo, dérivé de pictum, avec le suffixe -tor, issu ee l’indo-européen commun *peik
: tacher, colorer. Ce dernier donne le grec ancien poikílos/ποικίλος
: tacheté, brodé, le protoslave püstrý puis pestrý
: vif, coloré en tchèque), parfois rapproché de , pikros/πικρός
: piquant, aigu et de la la racine *pisat
: écrire qui donne psát en tchèque. Aussi pingo peut être directement comparé à pango
piquer, duquel il ne diffère que par l’alternance vocalique du radical.
Pour les alternances ostentoires, elles se calent donc sur le motif -p[āẽìǫú]c?[ņx]tre
. Seul púņctre emploi un -c- intercallaire, motivé par la volonté de repousser autant que possible toute proxitimité lexical à pute. À comparer en l’occurrence à punctum
: point géométrique, supin de pungo
piquer. Pour pìxtre, comparer à pixel.
-elle, -eau, -eaulle
Il faut d'abord noter que cette alternance est hautement ponctuelle plutôt que générale. En effet s'il y a aux alentours de huit-cent termes en -elle et huit-cent autres en -eau, une fois éllagués de ces suffixes ils reste seulement un peu plus d'une centaine de bases littérales communes, mais toutes ne sont pas pour autant sémantiquement relatives : une aisselle n'est aucunement liée à un aisseau pas plus qu'une videlle à un videau.
Dans le corpus considéré concerne la trentaine de couples lexicaux suivant : agnelle et agneau, belle et beau ou bel, baleinelle et baleineau, bardelle et bardeau au sens de mule, bedelle et bedeau, blairelle et blaireau, bourrelle et bourreau, brigandelle et brigandeau, chalandelle et chalandeau, chamelle et chameau, chauve-souricelle et chauve-souriceau, chevrelle et chevreau, colombelle et colombeau, corbelle et corbeau, damoiselle et damoiseau, éléphantelle et éléphanteau, hoberelle et hobereau, jumelle et jumeau, lézardelle et lézardeau, lioncelle et lionceau, maquerelle et maquereau, moinelle et moineau, nouvelle et nouveau, oiselle et oiseau, organelle et organeau, pastourelle et pastoureau, pendardelle et pendardeau, pucelle et puceau, satyrelle et satyreau, souricelle et souriceau, velle et veau.
⚠️ Par bénévolence est fourni ci-après la liste des 77 couples de termes qui ne sont pas en alternance sémantique par une distiction sexuée malgré la vicinité lexicale : aisselle et aisseau, appelle et appeau, bannelle et banneau, baradelle et baradeau, barbelle et barbeau, bardelle et bardeau sauf au sense de mule, barbelle et barbeau, bardelle et bardeau, batardelle et batardeau, bordelle et bordeau, brelle et breau, burelle et bureau, cadelle et cadeau, canivelle et caniveau, cannelle et canneau, carpelle et carpeau, catelle et cateau, cercelle et cerceau, chenelle et cheneau, coquerelle et coquereau, cordelle et cordeau, coupelle et coupeau, cuvelle et cuveau, escabelle et escabeau, esselle et esseau, flanelle et flaneau, fricandelle et fricandeau, fromentelle et fromenteau, gourelle et goureau, grattelle et gratteau, hirondelle et hirondeau, javelle et javeau, manivelle et maniveau, mantelle et manteau, marselle et marseau, mazelle et mazeau, morelle et moreau, mortelle et morteau, morvelle et morveau, nivelle et niveau, pelle et peau, pagelle et pageau, pannelle et panneau, parelle et pareau, parcelle et parceau, passerelle et passereau, pénelle et péneau, platelle et plateau, plumelle et plumeau, pluvianelle et pluvianeau, pointelle et pointeau, potelle et poteau, prunelle et pruneau, ramelle et rameau, razelle et razeau, ridelle et rideau, rondelle et rondeau, selle et seau, sardinelle et sardineau, sauterelle et sautereau, sentinelle et sentineau, serpentelle et serpenteau, sinelle et sineau, surelle et sureau, tirelle et tireau, tombelle et tombeau, tomberelle et tombereau, tonnelle et tonneau, tourterelle et tourtereau, trainelle et traineau, traînelle et traîneau, vaisselle et vaisseau, vannelle et vanneau, ventelle et venteau, vermicelle et vermiceau, videlle et videau, zébrelle et zébreau
L'usage, bien que de manière balbutiante ou tout au moins émergente, emploi déjà belleau en suppélement de belle et beau pour qualifier des personnes allophènes dont l'apparance insuffle un agrément esthétique[398]. Ce peut évoquer le terme bello utilisé en espagnol et en italien pour dire beau ou emprunté en anglais pour référer affectueusement d'un jeune homme ou d'un chéri[399], ou rappeller l'expression allemande pseudo-italianisante picobello parfois emprunté en français picobello[400][401]. Par ailleurs, sans que cela soit motif à le récuser, il faut noter qu'il est homophone à la commune de Belleau. Il a en tous les cas le mérite de rappeller l'existence du terme épicène bellâtre[402][403][404][405][406], dont pourrait être tiré les suffixes ostentatoires axiologiquement plus neutres -elliẽstre, -ellìstre, -ellãistre, -ellǫstre, -ellûstre et donc belliẽstre, bellìstre, bellãistre, bellǫstre, bellûstre. Alternativement les formes accusatives bellăm et bellum de la racine latine peuvent inspirer les terme belliẽme, bellìme, bellāme, bellǫïme, bellûme. Au passager il peut être rappellé que dans sa valeur adjectivale beau connaît la variante bel devant une voyelle. Cette remarque permet de rebondir sur le fait que les précédentes approches ont l'inconvénient de ne pas fournir de termes qui soient monosyllabiques à l'instar de beau, bel et belle. Une première approche d’isonèphe en ce sens pourrait être de réemployer beulle, qui pré-existe dans le langage informel comme synonyme de belle pour simuler un language enfantin ou donner un ton hypocoristique[407][408]. Une autre approche monosyllabique est celle du terme beaule et son allographie beaulle, déjà employée comme variante diaéthique de fait[409][410][411][412][413][414][415][416], qui soit dit en passant peut appuyer son acceptation par l'usage pré-existant en moyen français du pluriel équivoque beaulx[417]. Au niveau de la pronociation, qu'il s'oralise /bol/ ou /bɔl/ il peut s'appuyer sur des noms communs épicènes comme bénévole et copiaule pour consolider sa cohésion à l'usage en tant que terme de genre isonèphe qui tope cette finale. Celà étant, les termes bol et boll d'une part et Bâul et bowl d'autre part étant déjà déjà des homophones prononcés respectivement /bcl/ et /bol/, l'évitement de l'homophonie ne peut pas servir de critère d'aiguilliage dans ce cas précis, mais il sera probablement plus judicieux de priviligié une oralisiation en /bol/ dans la mesure où elle est homéophone avec beau. Quoi qu'il en soit cette forme adjectivale peut évidemment être retransposée en un nom commun, de sorte qu'il se puisse dire faire la belle, faire le beau ou faire les beaules.
Pour poursuivre cette réflexion sur les alternances possibles, la recherche peut se focaliser sur les termes qui auront d'autant plus de chance d'être férquemment employés qu'ils sont identiques à leurs adjectifs équivoques respectif en -eau : soit aile-de-corbeau, art-nouveau, barbeau, bas-manceau, bateau, beau, bijumeau, bureau, corbeau, étourneau, gâtineau, gémeau, gouttereau, jouvenceau, jumeau, manceau, marmenteau, marteau, mezeau, moreau, morvandeau, mousseau, multifaisceau, multi-niveau, multiniveau, nouveau, poireau, ponceau, puceau, quadrijumeau, rousseau, trijumeau. Ramené aux seuls morphes qui fléchissent en -elle, il reste belle et beau, bijumelle et bijumeau, gâtinelle et gâtineau, gémelle et gémeau, jouvencelle et jouvenceau, jumelle et jumeau, mancelle et manceau, mezelle[418] et mezeau, morelle et moreau, morvandelle et morvandeau, nouvelle et nouveau, pucelle et puceau, quadrijumelle et quadrijumeau, trijumelle et trijumeau. Par intuition de locutaire, il semble clair que les termes les plus usuels sont ceux ayant une base sur b-, jouvenc-, jum-, nouv- et puc-.
Outre beaulle déjà sus-mentionné, parmi ces cinq bases d'intérêt prépondérant l'emploi combiné avec un suffixe isonèphe en -eaulle est pour au moins deux cas déjà en usage en tant que variante diaéthique à savoir jumeaulle[419][420] et nouveaulle[421][422][423][424][425][426]. Pour jouvenceaulle et puceaulle s'ils ont jamais été employé en pratique cela ne se laisse pas aisément trouver sur la toile au début 2024.
La série belle, beau, beaulle sur une base qui se réduit à b- étant vraisemblablement la plus contraignante en termes de possibilité de collision lexicale malencontreuse, il est jugé ici opportun de l'utiliser comme base prototypique. La proposition s'arrête ici sur les ostentatoires biẽlle (/bjɛl/), beaỳl (/bɛjl/), bǣlle (/bel/), bǫelle (/bøl/), búelle (/bwɛl/).
Ce choix, bien qu'il écarte déjà moult embarras, conserve néanmoins quelques écueils. Ainsi l'allophène hérite d'une paronymie avec une bielle, terme courrament employé dans le domaine de l'outillage. Ensuite l'arrhénophène introduit la séquence -eaỳ- à prononcer /ɛj/, en transférant au passage l'accent grave retenu comme marqueur de l'arrhénophène sur un i-grec plutôt qu'un i. Cela concentre donc un niveau d'originalité linguiste assez importante sur un unique mot. D'un autre côté toutes ces innovations se fondent souverainement bien dans des usages et des propositions pré-existantes. De plus la silhouette générale de beaỳl renvoie un à équilibre subtile de beau, beaulle et bel voir bèl pour les personnes qui savent le créole haïtien, le créole martiniquais ou l'occitan. D'autant que u, y et v dérivent toutes de l'upsilon (υ), ce qui est graphiquemet prégnant. Sur la prononciation, associer -ea- à /ɛ/ est cohérent avec des mots comme bear, dread et skinhead, tandis que -ay- prononcé /ɛj/ se trouve dans chaykh, fraye et morte-paye. En français la séquence complète -eay- se trouve dans Geaya, un genre d'opilions eupnois de la famille des Sclerosomatidae dont la prononciation est difficile à trouver documenté[427] et Geay (/ʒɛ)/) nom de plusieurs communes et nom de famille[428][429] ou encore méliphage de Macleay (/me.li.faʒ də mak.le/) espèce de passereau comprenant un nom de famille emprunté à l'anglais. Outre Macleay dont la prononciation par une native peut laisser méditatif[430], l'anglais emploi la séquence littérale -eay- dans le nom de famille Keay (/keɪ/)[431] et elle apparaît dans le moyen anglais feaye allographie de fay (/ˈfæi̯(ə)/)[432][433]. En regardant dans les langues moins fréquement en interaction directe avec la francosphère il est possible de trouver des associations plus topique à la proposition d'association phonétique faite pour beaỳl (/bɛjl/), comme le coréen taeyang/태양
(/tʰɛ.jaŋ/) : soleil, aussi transcrit taeyangho[434][435][436]. Sur le générique l’association de æ au son /e/ est courant bien que quelque peu en désuétude, et l'ajout du macron en diacritique est techniquement trivial. Il aurait été intéressant de faire de même avec un o dans l'e (œ) pour l'inanimé, mais Unicode ne permet pas d'y adjoindre un ogonek. Celà dit -oe- est déjà associé à /ø/ dans des mots comme foehn, goethite et loess. Pour le thélyphène il peut être comparé à des termes comme abuela[437], agrouelle, cirouelle et Teruel[438].
Ceci étant exposé, il semble utile de montrer l'applicabilité dse choix retenus au moirs pour les deux autres termes fréquent pour lesquels une variation diaéthique avait été constaté dans l'usage :
- jumelle, jumeau, jumeaulle, jumiẽlle, jumeaỳl, jumǣlle, jumǫelle, jumúelle
- nouvelle, nouveau, nouveaulle, nouviẽlle, nouveaỳl, nouvǣlle, nouvǫelle, nouvúelle
Du côté du biotique bigenré, quelque alternances dérogent au cas général qui distingue l'individu femelle du terme sexuellement indifférencié. Ainsi l'hirondeau est l'oisillon de l'hirondelle et le tourtereau celui de la tourterelle. Une pagelle et un pageau, désignent les individus de la même espèce de poisson indifféremment du sexe, et il en est de même pour pluvianelle et pluvianeau, espèce d'oiseau. La zébrelle est, concomittament à zébresse, une zébre femelle tandis qu'un zébreau désigne quelque jeune zèbre.
-elle, -el
Dans le corpus considéré concerne colonelle et colonel, mortelle et mortel,
-eaute, -eau,
rousseaute et rousseau
-elle
Dans le corpus considéré l'épicénie est opérante pour eurorebelle, fraticelle, Kpelle[439], rebelle et sentinelle — bien que ce dernier soit plus souvent unigenré à l'ambigu conformément à son étymologie métonymique liée à la faculté de sentir, de percevoir. Cette liste pourraient potentiellement se voir adjoindre imbelle, dans la mesure où -belle y renvoie à l'étymon latin bellum pour évoquer la guerre tout comme dans rebelle. Mais aucune attestation d'un tel emploi nominal épicène n'est resortie des rapides recherches faites en ce sens.
D'autres termes tiennent lieu de désignatifs personnels en -elle tout en restant fermement haplogeste. Ainsi une bordelle désigne une prostituée, cependant qu'un bordeau fait variante à un bordel, lieu de prostitution. Une flanelle peut désigner par métonymie une personne qui porte un vêtement dont le nom dérive alors lui même métonyquement d'une matière éponyme. Une pelle peut désigner la personne qui la manie. Une poubelle peut par métaphore péjorative désigner une personne[440].
Par ailleurs le biotique haplogeste comprend :
- une barbelle, arbre
- une cadelle, insecte
- un carpelle, peut métonymiquement désigner la plante dont il est partie
- une chenelle, allolexie de cenelle, plante
- une coquerelle, plante ou insecte
- une fromentelle, plante ;
- une lézardelle, plante ;
- une antelle oiseau ;
- une marselle, plante ;
- une morelle, plante ;
- une organelle, par ménotymie peut désigner l'organisme qui le contient ;
- une pagelle, poisson ;
- une parelle, plante ;
- une plumelle, plante ;
- une prunelle, fruite et par suite arbre ;
- une ridelle, oiseau ;
- une rondell, plante ;
- une sardinelle, poisson ;
- une sauterelle, insecte ;
- une serpentelle, plante ;
- une sinelle, fruit de l'aubépine et par extension cette plante elle même ;
- une surelle, plante ;
- une tourterelle, oiseau.
-eau
Dans le corpus considéré les termes épicènes en -eau concerne fesse-tonneau, Gémeau, Taureau, traine-ruisseau et son allographie traîne-ruisseau, Verseau. Fortuitement l'initiale majuscule n'apparaît ici que sur des termes astrologiques.
Un cadeau peut par métaphore sarcastique désigner une personne avec qui la co-existence est considérée comme un fardeau.
Une cateau, et ses allographies catau et cato qui sont paronymes de catho, apocope catholique, mais qui est pour sa part apparenté à catin et désigne une femme aux mœurs méprisées ou une prostituée.
Le cerveau peut désigner la personne ayant un rôle directif dans un groupe d'individus, en ce sens il est souvent complémenté dans groupe nominal comme cerveau de l'opération.
Un chapeau peut métonymiquement désigner la personne qui le porte, tout comme un manteau.
Une peau peut désigner la personne dont elle est partie.
Un pommeau, apprentie.
Un poteau, ami.
Un pointeau, contremaître.
Un tombeau, personne à qui l’on peut confier un secret en toute sûreté, sans crainte qu’elle le trahisse.
Un tonneau, ivrogne, personne habituée à boire d’une manière excessive.
Des tourtereaux, toujours au pluriel équivoque en ce sens, peut désigner les personnes amoureuses qui sont en couple.
Le biotique haplogeste comprend :
- un appeau, oiseau
- un barbeau, plante ou insecte ou poisson
- un carpeau, poisson
- un goureau, fruit et par métonymie arbre qui le porte
- un hardeau, plante ;
- un lézardeau, reptile ;
- un manteau, mollusque ;
- un maquereau, poisson ;
- un marseau, arbre ;
- un pageau, poisson ;
- un passereau, oiseau ;
- un rameau, plante ;
- un rondeau, poisson ;
- un serpenteau, reptile ;
- un sureau, plante ;
- un vanneau, oiseau ou mollusque ;
- un vermiceau, ver ;
-er (/e/)
Dans le corpus considéré concerne aide-écuyer, Bélier, frais-chier, gratte-papier, porte-panier, sans-foyer, sans-papier, usager.
Seul Bélier et usager disposent d'une base où le suffixe -er est indubitablement altérable directement. Les autres termes sont épicènes précisément du fait de l'autonomie du composant terminal vis-à-vis du référé.
Ainsi dans aide-écuyer, la personne référé et celle qui aide indépendament de la personne qui est assistée que ce soit un écuyer ou une écuyère. L'aide-écuyère est évidemment valable dans le cas où l'alternance à l'ambigu vise la personne assistée, mais n'influe pas sur le genre du nom composé dans son ensemble. Pour faire varier celui-ci c'est sur aide qu'il faut faire porter l'alternance. Par le truchement des variantes virtuelles en aidante, aidant, aidänte, il découle les ostentatoires aidẽņte-écuyer, aidìņte-écuyer, aidiāņte-écuyer, aidǫņte-écuyer, aidúņte-écuyer.
De même dans gratte-papier et porte-panier, ce sont les composantes verbales protomorphomères — gratte et porte — qui renvoient au référant. D’où un calque sur les ostentatoires de l'alternance -euse, -eur, en se référant aux termes virtuellement inférables de gratteuse/gratteur et porteuse/porteur. Soit grattẽre-papier, grattìre-papier, grattāre-papier, grattǫre-papier, grattúre-papier et portẽre-panier, portìre-panier, portāre-panier, portǫre-panier, portúre-panier.
Pour Bélier, personne qui est référé depuis son signe astrologique, s'il dérive évidemment de bélier il n'alterne aucunement en ce sens avec brebis. Par ailleurs il faut noter que bélier dérive de l’ancien français belin, lui même formé par antonomase de Belinus, nom propre du mouton dans le roman Ysengrimus. La terminaison du nom est donc bien un suffixe -ier, variante de -er, qui s'est substitué au -in qui l'a précédé. Quant à usager, il est bien évidemment formé sur usage avec le suffixe nominal -er indiquant la personne qui exerce une activité. Il faut de plus tenir compte de l'existence de l'alterance ambigu usagère, même si concomitamment usager est employé de manière épicène. Cela implique notamment un allophène en -iẽre plutôt que -ẽre pour éviter l'homophonie que provoquerait usagẽre avec usagère. Pour l'inanimé -or serait aussi une option, par analogie avec escalator et médiator, mais -ore permet de former une série d'alternance plus homogène et peut être présenter en analogie lexicale de météore et radiatore.
Pour les termes sans-foyer et sans-papier où aucun morphe ne renvoie directement à l'individu référé, il faut passer par les termes virtuels sans-foyerritaire et sans-papierritaire. À comparer à solitaire, dérivé du latin solitariu qu,i outre le suffixe nominal -arius indiquant un rôle tenue, repose sur solitas : solitude, où -itas en tant que variante de -tas sert de suffixe indiquant un état, une condition. Et de là des ostentatoires calés sur -aire, soit sans-foyerritiẽre, sans-foyerritìre, sans-foyerritāre, sans-foyerritǫre, sans-foyerritúre et sans-papierritiẽre, sans-papierritìre, sans-papierritāre, sans-papierritǫre, sans-papierritúre.
-er (/œʁ/)
Majoritairement, si ce n’est exclusivement, issus d’emprunts à l’anglais : baby-boomer, coroner, designer, globe-trotter, quaker. Souvent la forme épicène est concourante à l’emploi de variations avec alternance suffixale : designeuse, quakeresse.
-erc
Dans le corpus considéré, ne concerne que clerc. Celui-ci via le moyen et l’ancien français homonymes, vient du latin clericus, lui-même de l’adjectif en grec ancien klêrikós/κληρικός
: qui est relatif à un héritage, que des institutions religieuses ont tourné en personne qui reçois le divin pour seul et unique héritage[441][442].
Le latin connaît aussi les flexions clerice, clericī, clericīs, clericō, clericōrum, clericōs, clericum, clericus[443]. Le grec ancien lui emploi klēriké/κληρῐκέ, klērikoîn/κληρῐκοῖν, klērikoîs/κληρῐκοῖς, klērikoí/κληρῐκοί, klērikôi/κληρῐκῷ, klērikón/κληρῐκόν, klērikôn/κληρῐκῶν, klērikós/κληρῐκός, klērikoús/κληρῐκούς, klērikoû/κληρῐκοῦ, et klērikṓ/κληρῐκώ[444].
Les même racines donnent l’anglais cleric et clerk, le breton komis, l'espagnol : clérigo, l’italien chierico, l’occitan clèrgue, le polonais kleryk et le portugais clérigo. En français en dérivent également clergé, clergeon, clergeonne, clergesse, clergie, clérical, cléricat et clergyman – ce dernier étant évidemment emprunté à l’anglais.
-ère, -er, -urge
l'isonèphe peut par exemple être prototypé à partir d'onomaturge.
-erne
Parmi les noms proprement épicènes en -erne se trouve antimoderne[445], Averne, externe, interne, moderne, post-moderne, subalterne, ultramoderne. Ils proviennent du latin Avernus, externus, internus, modernus, et subalternus, qui connaissent tous également entre autres flexions la terminaison -ernum. D’où des alternances équivoque en -ern*m
.
Le répertoire du biotique haplogeste comprends :
- un altarne, arbrisceau ;
- une baderne, dans le jargon militaire personne âgée à l’esprit raide et bornée occupant un rang d’officier ;
- un derne, pie grièche ;
- une luberne, panthère ;
- une luzerne, olante fourragère ;
- une perne, Genre de coquilles bivalves, minces et plates ;
- une piterne, parfois un piterne dans certaines localités, animal imaginaire que l’on fait chasser aux naïfs ;
- un poisson-lanterne ;
- une quinquerne, Personne qui radote, qui tourne en rond ;
- une sterne, oiseau palmipède migrateur marin de la famille des laridés ;
- un verne, variante de vergne, aulne.
-erte
Dans le corpus considéré seul Peau-Verte, construit par analogie à Peau-Rouge pour désigner des humanoïdes à pigmentation tilleul, se révèle épicène.
À noter que dans le répertoire biotique les noms suivants sont exclusivement de genre ambigu :
- la folle-verte, nom d’un cépage ;
- la mélicerte, un genre de médue ;
- la nerte, synonyme de myrte commun ;
- la noberte, variété de petite prune noire ;
- la norbert, Petite prune noire ;
- une perte, pour désigner une personne sinistrée, notamment celles tuées ou blessées dans une bataille militaire ;
- la roberte, qui désigne la Mercuriale, un genre d’euphorbiacées ;
Toujours dans le biotique, les deux noms suivant sont exclusivement équivoque pour ce qui est des gestes allusifs :
- le némerte, une sorte de ver aquatique ;
- le tête-verte, synonyme de colvert.
-erte, -ert, -eurte
Cette alternance concerne notamment l’alternance entre experte et expert, et du plus rare binome verte et vert pour désigner une personne associée à un trait symbolisé par le vert, par exemple la filiation politique à un partie écologique[446]. Les premiers sont issus du latin expertus :éprouvé, qui a fait ses preuves, participe passé de experiri : faire l’essai de, dont dérivent aussi expérience, expérimenter. Le second de l’ancien français vert, du latin vĭrĭdis : vert, verdoyant, dont dérivent aussi verdire et verdure.
Pour l’alternance isonèphe -eurte est retenu pour la ressemblance graphique et phoniques qui l’harmonise avec -erte, bien que dans le corpus considéré cette terminaison n’est employée que dans les noms de genre équivoque heurte, meuble représentant un disque de couleur bleue dans les armoiries, et ticheurte, variante graphique de T-shirt.
Pour les alternances ostentatoires, seul l’allophène voit une proposition conservant le -t- afin d’éviter une trop grande évocation d’un mot valise formé sur expier et merde ou tout au moins l’un de ces deux termes. Les autres alternances bascules sur un -d-, ce qui permet notamment d’éviter la collision homophonique qu’entraînerait expǫrte, et la proximité à d’autres termes comme ex-pitre, expat’ et ex-pute.
-èle
Dans le corpus considéré cette forme épicène concerne fidèle, infidèle, modèle et ses dérivé contre-modèle et top-modèle[447][448][449], krèle[450][451], notomèle, phocomèle, pygomèle[452].
À noter que si andrapodocapèle, c'est-à-dire une personne qui marchande des esclaves et des eunuques, pourrait potentiellemees faire l'objet d'un usage épicène, en pratique une rapide recherche ne permet de trouver que des emplois à l'équivoque. De même pour ectromèle, gastromèle, nanomèle, uromèle, vue l'épicénie d'autres formes tératologiques comme notomèle et phocomèle.
Au sens de personne exempts de l'impôt par honneur à Athène, atèle ne semble employé qu'à l'équivoque, tout comme isotèle, résident étranger ayant le droit de cité, égal au citoyen athénien de souche.
Est résolument haplogeste une brèle et sa variante brêle, tirés de l’arabe beḡel/بغل
: mulet.
Pour l'ostentatoire, la présente proposition retient une suffixation prolongé avec alteration vocalique du /ɛ/ intial en /e/, à l'instar de -éliste qui se retrouve dans modéliste, avec comme alternances -éliēne, -élìne, -élāne, -élǫne, -élûne qui donnent donc par exemple modéliēne, modélìne, modélāne, modélǫne, modélûne.
Le biotique haplogeste comprend :
- une adèle, insecte ;
- un anophèle, moustique ;
- un asphodèle, plante ;
- un atèle, singe ;
- un bordèle, insecte ;
- un branchiodèle, ver ;
- un chrysomèle, insecte ;
- une cicendèle, insecte ;
- une cistèle, insecte ;
- une cypsèle, oiseau ;
- un égothèle, oiseau ;
- une gibèle, poisson ;
- une ginousèle, plante ;
- millespèle[N 10], plante,
- une moustèle, poisson ;
- une mustèle, requin ;
- une nitèle, insecte ;
- un oxybèle, insecte ou serpent ;
- un péramèle, mammifère ;
- un philomèle, oiseau ;
- un pleurodèle, amphibien ;
- une prèle, plante ;
- un protèle, mammifère ;
- un ramphocèle, oiseau ;
- une rasèle, plante ;
- une sabatèle, champignon ;
- une sittèle, oiseau ;
- une thymèle, arbre ;
- une trapèle, saurien ;
- une tubitèle, arthropode ;
- un urodèle, amphibien ;
- une vavèle, mammifère.
-em (/ɛm/)
Dans le corpus considéré l'épicénie concerne notamment Aghem, Brem, Dem, golem[453], Halkomelem, Kassem, Kendem, profem, soc-dem, Yabem, et Yem-Yem.
À noter que fem, une lesbienne adoptant les codes vestimentaires féminins, n'a d'usage qu'au genre ambigu.
Sans équivalence de genre équivoque direct se trouve hanem, qui désigne initialement l'épouse d'un dignitaire égyptien, puis qui par extension il s'emploi comme synonyme de dame, madame ou femme. Pourraient donc lui répondre les vironymes comme bey, basha ou pacha.
Du côté amérindien, sachem est centré sur une figure titulaire dont l'archétype est mâle, ce qui n'empêche pas des termes comme squa-sachem[454] ou squaw-sachem[455] de venir témoigner d'alternances possibles.
Aussi un totem bien que pouvant désigner quelque figure tutélaire parmi les aïeux, fusse fictive, il n'en demeure pas moins employé uniquement au genre équivoque[456].
Du côté du biotique haplogeste se trouve le huchem, le neem, le re’em ou réem, le retem ou rtem, le sakem, et le tesem.
-ema, -em, -emin
Dans le corpus considéré concerne mâllem alternant mâllema ainsi que moqqadem et moqqadema[457] ou moqaddama[458]. Si tous deux connaissent assurément un pluriel en -emin, moqqademin est déjà également attesté sous forme de singulier, ce qui peut donc se généraliser comme alternance nébuleuse.
-embre
Dans le corpus considéré, ne concerne que membre qui est pleinement épicène. Du côté du biotique, il faut noter le terme unigenré pour le cembre, arbre.
-end
Dans le corpus considéré concerne sex friend et ses allographies sex-friend, sexfriend (/sɛks.fʁɛnd/) et Zend (/zɛ̃d/).
Les deux vocables ayant des étymologies et des prononciations tout à fait distincts, il sera plus pertinent de les traiter séparément.
Pour sex-friend, il peut être rattaché à un terme virtuel de sex-friendine inspiré de l'allemend Freundin (/ˈfʁɔɪ̯ndɪn/) qui est sémantiquement proche dans son sens de petite amie. Et de là la série ostentatoire sex-friendēne, sex-friendìn (/sɛks.fʁə.dɛ̃/), sex-friendāne, sex-friendǫne, sex-friendûne.
Pour Zend, c'est le terme isonèphe virtuel de Zendaire qui peut servir d'accroche pour former la série ostentatoire Zendiẽre, Zendìre, Zendāre, Zendǫre, Zendúre. À noter que l'adjectif ambigu correspondant donne zende, mais si une alternance de nom commun ambigu non homophone est recherché, Zendzine est une option envisageable en analogie d'une rendzine.
-ende
Dale corpus considéré ne concerne que des noms de personnes appartenant à une ethnie ou un groupe linguistique : Bende, Ende, Gende, Wende (/vɑ̃d/).
Une rapide recherche n'a permi de trouver d'emploi de kende (/kɛn.dɛ/) qu'à l'équivoque. Ce terme désigne un titre de chefferie du système tribal des premiers Magyars.
Au sens figuré, une légende désgine une personne célèbre, talentueuse ou héroïque qui a atteint un certain succès, une certaine notoriété dans un domaine, un milieu.
Le biotique unigenré comprends une gérende, reptile.
-ende, -end, -ënde
Dans le corpus considéré ne concerne que révérende et révérend.
l'isonèphe se contente d'ajouter un tréma sur la voyelle initiale du suffixe pour en sugérer la prononciation isolée en /ɛnd/ plutôt qu'en considérant une diphtongue à prononcer /ɑ̃d/. Les ostentatoires poursuivent sur la même logique d'alternance vocalique en amont d'un -n- sonore (/n/), marqué par une cédille (ņ) : -iẽņde, -ìņde, (/ind/), -āņde, -ǫņde, -ûņde.
Pour rappel le diphtongue -nh- peut substituer le n cédille en cas de difficulté de saise.
-ente, -ent, être
Le suffixe -ent dérive du latin -ens finale du participe présent de verbes en -ere, -ire[459][460].
À l'ambigu, parente répond déjà usuellement à parent, et corriente s’avère isonèphe. C'est tout de fois sur ancêtre qu’est puisée l’inspiration pour le suffixe -être.
À noter également le lien sémantique préexistant entre -ent- dans entitié et -ont- dans ontologie.
-eure ou -euresse, -eur, -arque
Les extensions ostentatoires sont ici largement calées sur les entrées pour le pronom personnel leur dans la section dédiée aux mots grammaticaux. Pour l'isonèphe, oligarque et scholarque forment des prototypes idoines.
-ess
Dans le corpus considéré une recherche succincte n'a pas permit d'établir l'emploi d'un nom épicène en -ess qui serait entrée dans l'usage.
Il peut cependant être noté que pro-business semble être ce qui s'en rapprocherait le plus, tout comme son allographie probusiness, mais seuls des emplois adjectivales sont ressortis d'une recherche succincte. La bascule vers un emploi nominal sans altération morphologique est aisément envisageable. Pour ce cas il suffirait de considérer l'isonèphe virtuel probusinessiste, avec une suffixiation en -iste qui conduit réemployer la série ostentatoire associé à ce suffixe dans sa variante épicène, ce qui mène à probusinessiẽste, probusinessìxte, probusinessāste, probusinessǫste, probusinessûste.
Métonymie
Une schness, qu'elle désigne une bouche, une gueule, ou un visage, peut tout à fait désigner la personne entière à qui appartient cette partie d'anatomie.
Défectivité
Une authoress est défectif dans la mesure où cet emprunt à l'anglais n’est pas symétriquement suivi d’un emprunt de author. Cela étant, authoress est généralement considéré comme une alternance possible mais désuette à auteur.
Une mistress peut-être employé comme alternance à master dans le contexte BDSM ou à mister comme titre honorifique générique, mais il est sans équivalent lorsqu'il désigne une femme qui incarne une figure notable à la tête d'une autorité prestigieuse, d'une propriété considérable ou d'une institution d'influence sociale contrôle éminente tel qu'il peut être parfois employé en anglais.
Biotique haplogeste
Le biotique haplogeste concerne uniquement un lanarquess, oiseau.
-ess, -∅, -estre
Dans le corpus considéré concerne stewardess et steward.
Pour le même métier hôtesse de l’air et hôte de l’air, agente de bord et agent de bord sont également employés.
L'isonèphe -estre est suggéré par proximité lexicale, et ce suffixe est déjà associé à la série ostentatoire -iēstre, -ìstre, -āstre, -ǫstre, -ûstre par ailleurs.
-ess, -er, -estre
Dans le corpus considéré concerne waitress et waiter.
L'isonèphe -estre est suggéré par proximité lexicale, et ce suffixe est déjà associé à la série ostentatoire -iēstre, -ìstre, -āstre, -ǫstre, -ûstre par ailleurs.
-esse
Dans le corpus considéré l'épicénie concerne banneresse, Besse, biesse, hesse, jeunesse, nénesse[461].
Le terme hesse est ici celui que l'argot emploi pour désigner une personne qui à un rôle de surveillance pénitentiaire. Le mot serait d'origine arabe donc sans lien avec le nom de la plante homonyme qui est lui haplogeste[462]. Il faut cependant noter qu'aucune attestation n'a été trouvé puisse aider à déterminer le geste de ce terme dans l'usage, et il est assez compréhensible que son usage argotique en prison percole bien peu dans des documents facilement accessibles sur la toile.
Défectivités
Une vingtaine de termes ont un sens rendu uniquement dans un emploi équivoque : altesse, besse, bisenesse, bonbon-la-fesse, entrefesse, esse, filtre-presse, fleuve-déesse, jean-fesse, jesse, ogoesse, pince-fesse, porte-adresse, prépresse, selfesse, sesse, solilesse, talon-fesse, tennesse, tire-fesse, la plupart ne désignant pas des individus.
Les termes ménesse, menesse, nénesse, mainesse n'ont d'emploi qu'à l'ambigu pour désigner une personne gynotypée en tant qu'épouse, maîtresse ou prostituée[463]. Ils sont parfois considéré comme pendant à la figure androtypé du maquereau aussi dit souteneur[464][465].
Si une altesse peut désigner des humains de tout sexe, un altesse désigne uniquement un cépage. Dans le domaine des titres se trouve également une hautesse, également haplogeste.
Une inquéresse désigne une personne gynotypée qui enfile les harengs dans les brochettes pour les faire sécher. Il ne semble pas y avoir d'équivalent androtypant, le rare emploi du terme inquereur[466] ne semblant pas avoir ce sens et inqueur semble dénué d'usage.
Le cas d'un fleuve-déesse est particulièrement intéressant puisqu'il instille un trait gynotypant dans un terme équivoque, du fait de sa formation en nom composé qui favorise la conservation du geste du premier mot-composant.
Une nénesse désigne une épouse en argot. S'il n'y a effectivement pas nécessairement d'alternance univoque, le terme julot est un pendant assez populaire[467]. Le terme est homonyme mais sans lien étymologique avec nénesse lorsqu'il désigne quelque sous-officier issu de l'école de Nîmes ou de Rochefort, qui est lui épicène[468]. Dans la même veine une nonzesse désigne une femme, mais nonze ne semble pas employé en dehors de licence poétique[469].
Un pabordesse réfère à une personne catalogué comme jeune fille vertueuse dans certains villages des Pyrénées-Orientales et désignée pour orner l’autel de la Vierge et quêter les jours de fêtes. Une succincte recherche n'a dégagé aucun emploi pour un pendant androtypé tel que paborde.
Une ponneresse désigne une femelle d’oiseau qui donne des œufs.
Une pythonesse, aussi dite une pythonisse, est une pythie de Delphe, c'est à dire une prophétesse ou une devineresse, puis par extension toute personne gynotypée qui fait métier de prédire l’avenir. Le terme est sans équivalent androtypant.
Une sous-maitresse désigne une personne gynotypée qui gère ou supervise un établissement ou un réseau de prostitution, souvent dans un contexte de maison close. Pour une équivalence plus androtypante ou épicène dans un rôle similaire il est possible d'employer souteneur ou proxénète. Le terme de sous-maître est employé et alterne sous-maîtresse, mais uniquement au sens de personne qui surveille les élèves et supplée au besoin la personne qu'elle seconde dans une maison d'éducation.
Métonymies et métaphore haplogestes
Par métonymie d'une partie d'anatomie à l'individu à qui elle appartient : un entrefesse
Biotique haplogeste
- une alongeresse, insecte ;
- un altesse, cépage ;
- une bresse, mammifère ;
- une couresse, reptile ;
- une cresse, plante ;
- une gesse, plante ;
- une hesse, plante ;
- une pesse, plante ;
- une vanesse, insecte ;
- une verdesse, cépage.
-esse, -∅
Dans le corpus considéré concerne amiralesse[N 11] et amiral[N 12][470][471][472], avocatesse et avocat[N 12][473], banesse et ban, Boeresse et Boer, boyardesse[N 1] et boyard, boyesse et boy, brigandesse et brigand, caminaresse[N 1][N 13] et caminar, capitoulesse[N 1] et capitoul, captalesse[N 1] et captal, cardinalesse[N 14] et cardinal, chéfesse et chef, cheikesse[N 1][N 15] et cheik, clownesse et clown, comtoresse[N 1] et comtor, consulesse[N 1] et consul, dabesse et dab[N 12], démonesse et démon, devineresse et devin, dragronesse[N 16] et dragon, drogmanesse et drogman, éléphantesse[N 17] et éléphant, émiresse et émir, fakiresse et fakir[N 12][474][475], faraudesse et faraud, géantesse et géant, grande-viziresse[476][477] et grand-vizir, hospodaresse et hospodar, khanesse[N 1] et khan[N 12][478][479][480], majoresse[N 18] et major[N 12], mentoresse et mentor, nababesse et nabab, patronesse et patron, pitaresse[N 1][N 13] et pitar, podestatesse et podestat, postelnicesse[N 1] et postelnic, prélatesse et prélat, prieuresse[N 19] et prieur, quakeresse[481] et quaker[N 12][482][483][484], sacerdotesse et sacerdot, scoutesse[N 20] et scout, seigneuresse et seigneur, sénéchalesse et sénéchal, snobesse[N 21] et snob, soldatesse[N 22][485][486][487][488] et soldat, sous-prieuresse et sous-prieur, stathouderesse et stathouder, stewardesse[N 23] et steward[N 24], sultanesse[N 25] et sultan, tapiresse et tapir, Titanesse[N 26] et Titan[N 12][489][490], toubabesse et toubab, tribunesse et tribun[N 12][491][492][493][494][495][496][497], trollesse[N 27] et troll[N 12][498][499][500], troubadouresse[N 28] et troubadour, vice-consulesse[N 29] et vice-consul, viziresse et vizir, vornicesse et vornic.
À noter que pour les cas de amiralesse et sénéchalesse ils sont aussi considérés dans la section dédiée à l'alternance plus spécifique entre -alesse et -al. La plupart des autres termes connaissent aussi une alternance alternative pour l'ambigu en -e, voir -e, -∅.
-esse, -e
Dans le corpus considéré concerne acrobatesse et acrobate[N 30], adultéresse et adultère[N 30][N 31], amiralesse[N 32] et amiral[N 30][501], ammeistresse[N 33] et ammeistre, ancestresse et ancêtre[N 30], ânesse et âne, angesse et ange[N 30], apothicairesse[N 34] et apothicaire[N 30][502], apôtresse et apôtre[N 30], archiprêtresse et archiprêtre, ânesse et âne, bardesse et barde, bigamesse et bigame[N 30], biglesse et bigle, bonzesse et bonze, borgnesse et borgne, bougresse et bougre, bourgmestresse[N 13] et bourgmestre[N 30][503], brahmanesse et brahmane[N 30][504], bufflesse et buffle, cabresse et cabre[505], caciquesse et cacique, cadresse et cadre[N 30], califesse et calife[N 30][506][507][508], cancresse et cancre[N 30], capitainesse et capitaine, câpresse et câpre, centauresse[N 35] et centaure[N 30][509][510], chanoinesse[N 36] et chanoine[N 30][511], comtesse et comte, connétablesse et connétable, contremaitresse et contremaitre[N 30], contre-maîtresse et contre-maître[N 30], contremaîtresse et contremaître[N 30], cosmonautesse et cosmonaute[N 30], crabesse et crabe, Ctesse et Cte, cygnesse et cygne, dabesse et dabe[N 30], démone et démon[N 30][512][513][514], dépositairesse et dépositaire[N 30][515][516][517], diablesse et diable, dogesse[N 37] et doge, dragone[N 38] et dragon, drôlesse[N 39] et drôle, druidesse et druide, énarquesse et énarque, ermitesse et ermite[N 30], faunesse et faune, félibresse et félibre[N 30], félonesse et félon, gendresse[N 40] et gendre, gnomesse[N 41] et gnome[N 30][518][519][520], goinfresse et goinfre[N 30][521][522][523], gonzesse et gonze[N 30][524][525][526], gorillesse et gorille[N 30][527][528][529], grande-prêtresse et grand-prêtre[N 1], grande-princesse et grande-prince[N 1], grêlesse et grêle, guide-hôtesse et guide-hôte, guidesse et guide, guignolesse et guignol, hermitesse et hermite[N 30][530][531][532], hommesse et homme, hôtesse et hôte, hôtesse d’accueil et hôte d’accueil, hôtesse de caisse et hôte de caisse, hôtesse de l’air et hôte de l’air, idolâtresse et idolâtre[N 30], ivrognesse et ivrogne[N 30], jésuitesse et jésuite[N 30], jugesse et juge[N 30], khédivesse[N 13] et khédive[N 42], ladresse et ladre[N 30], librairesse[N 13] et libraire[N 30], ligresse et ligre[N 30][533][534][535], mairesse[N 13] et maire[N 30], maistresse et maistresse, maitresse et maitre, maîtresse et maître, membresse et membre[N 30], merlesse et merle[N 30][536][537][538], minimesse et minime, ministresse[N 13] et ministre[N 30], miresse et mire, moinesse[N 43] et moine[N 30][539], monarquesse et monarque[N 30], monstresse et monstre[N 44], mulâtresse et mulâtre, négresse et négre[N 30], notairesse et notaire[N 30], ogresse et ogre[N 30][540], onclesse et oncle, oraclesse et oracle[N 30][541][542], orfèvresse et orfèvre[N 30], pagesse et page, pairesse et pair, papesse et pape, pâtresse et pâtre, patriarchesse[N 13] et patriarche, pauvresse et pauvre[N 30], peintresse et peintre[N 30], petite-maitresse et petit-maitre, petite-maîtresse et petit-maître, philosophesse et philosophe[N 30], phoquesse et phoque[N 30][543][544][545], piffresse et piffre[N 30][546][547], pilotesse et pilote[N 30], piratesse et pirate[N 30], pitresse et pitre[N 30], poétesse ou poètesse ou poëtesse et poète ou poëte[N 30], popesse[N 13] et pope, potesse et pote[N 30], prêtresse et prêtre[N 30], princesse et prince, prophétesse et prophète[N 45][N 30][548][549][550][551], propriétairesse[N 46] et propriétaire[N 30], protopopesse[N 13] et protopope, satrapesse[N 13] et satrape, satyresse[N 47] et satyre, sauvagesse et sauvage[N 30], sbiresse et sbire[N 30][552][553][554], secrétairesse[N 13] et secrétaire[N 30], singesse[N 48] et singe[N 30][555][556][557], siresse et sire[N 30][558][559][560], squiresse[N 13] et squire, stylitesse et stylite, tigresse et tigre[N 30][561][562][563][564][565], traitresse et traitre[N 30][566][567][568], traîtresse et traître[N 30], typesse et type, vampiresse et vampire[N 30], vicomtesse et vicomte aussi graphiés par l'abbréviation Vtesse et Vte, vidamesse et vidame, vidomnesse et vidomne, voïvodesse et voïvode[N 30][569][570][571], zébresse[N 49] et zèbre[N 30][572][573][574][575], zouavesse et zouave[N 30][576][577][578][579].
Défectivités
Une archi-tigresse et son allographie architigresse semblent dénués de flexion équivoque correspondante.
Une huile, au sens de personnalité importante, influente, donne également le terme huilesse, en particulier en parlant d’une personne gynotypée. Cependant les deux termes sont aplogestes ambigus.
Réflexions pardigmatiques
Une première remarque à mettre en lumière est l'imprédictibilité a priori de l'applicabilité de ce paradigme. Par exemple la sagesse n'est pas le pendant ambigu de ce que désigne un sage, ce dernier nom étant d'ailleurs épicène.
-esse, é
Dans le corpus considéré concerne abbsesse et abbé
-esse, -eur
Dans le corpus considéré concerne administratesse[N 50] et administrateur, acquéresse[N 51][N 52][580][581][582] et acquéreur, blasphématresse[N 50] et blasphémateur, transgressesse[N 53] et transgresseur.
-eset, -ess, -ésetite
Dans le corpus considéré concerne uniquement beset ou béset et bess ou bès.
Dans le folklore s'appuyant sur la mythologie égyptienne une beset est une entité divine à forme de serpent. Dans la théologie égyptienne, le concept renvoie plutôt à une entité unique, d'où usage d'un nom propre, Beset ; confer Pégase et pégase pour une antonomase similaire. Les interprétations égyptologiques l'ont mis en lien avec le dieu Bès, aussi graphié Bess, en le supposant être soit son fils, soit son époux, soit la manifestation allosexuée de la même entité[583][584][585][586]. Comme Beset, Bess donne lieu à une antonomase et dans le folklore un bess, ou son allographie un bès, désigne quelque nain mythologique dans un contexte culturel égyptien[587].
Beset est parfois confondu avec Bast[588], déesse aux traits félins dont le centre religieux se trouvait dans la ville de Bubastis, dont dérive l'adjectif bubastite. D'où l'idée de l'isonèphe en -ite, bésetite, dont peut être tiré la série ostentatoire béseliẽste, béselìexte, béseliāste, béselïǫste, béseliûste.
-ète
L'office québécois de la langue française explicite cette terminaison de manière explicite épicène pour athlète, catéchète, poète et interprète[589]. Les trois premiers viennent respectivement du grec ancien âthlos/ἆθλος
évolution de áethlos/ἄεθλος
, poiêtếs/ποιητής
et katēkhētḗs/κατηχητής
. De son côté interprète est issue du latin interpres, interpretis
dérivé de pretium
, au sens de prix, valeur, qui est lui-même rattaché à l’indo-européen commun *per
: trafiquer, vendre. De ce dernier serait également issus les termes latins reciprocus
: réciproque, paro
:vendre, acheter, pars
: part et les termes grecs anciens pérnēmi/πέρνημι
: vendre, pórnê/πόρνη
: prostituée[590][591][592][593][594].
Le Wiktionnaire pour sa part documente près d’une trentaine d’autres termes épicènes avec cette terminaison, dont quelques uns dérivent de ceux sus-cités : acémète, Adjalète, adjupète, agapète, alphabète, anachorète, analphabète, arpète, ascète, athlotète, bépoète, biathlète, cynégète, décathlète, duathlète, esthète, évergète, exégète, non-analphabète, parathlète, photo-interprète, poliorcète, proxénète, syzétète, technoprophète, thète, triathlète, zétète.
Le français emploie généralement le suffixe -poïèse pour construire des termes relatif à un aspect créatif, et exceptionnelement -poïète dans l'adjectif acheiropoïète[595][596]. Cela suffit à insipirer le suffixe -ìète et par suite les autres suffixes ostentatoires proposés sur cette entrée.
-ette, -et, -este
Pour l'isonèphe, c’est les termes épicènes baleste et Céleste qui inspirent de suffixe -este, qui du reste offre une proximité morphologique à l’alternance -ette et -et suffisamment explicite.
-ette, -ot, -iche ou -ouse ou -ouze
Pour cette alternance de suffixes diminutifs, l’équivoque retenue, -ot, pourrait potentiellement ouvrir à d’autres ambigus comme -ote ou -otte, mais rien de tel n’a été constaté dans l’usage. Son emploi en alternance à -ette est lui bien attesté. Comme toujours, quelques nuances sémantiques peuvent être en jeu. Par exemple gendarmot[597][598][599] est résolument péjoratif, là où une gendarmette est parfois employé sans volonté manifeste de dépréciation[600][601][602]. Pour autant tant l’usage que les recommandations officielles[603] tendent à préférablement employer une gendarme voir l’emphatique une femme gendarme. Et de fait gendarmette peut pour certaines personnes être considéré comme discriminatoire et sexiste[604].
-ètre
La terminaison est surtout présente dans les noms terminant en -mètre, parmi lesquels figurent surtout des unités et des outils de de mesures, mais au moins géomètre sert de désignatif personnel épicène. En plus de cela, bien qu’extrêmement rare, se trouve falètre, personne qui conduit un attelage[605]. Dans les deux cas le suffixe -iste serait pertinent pour porter le sens de personne qui pratique une activité relative à, d’autant que géométriste aurait notament l’avantage de distinguer morphologiquement de l’outil et de l’unité et du reste ne s’avère pas strictement néologique[606][607][608][609]. Toujours est-il que la proposition retient pour les alternances ostentatoires un calque sur celles déjà fournies pour -iste.
De surcroît se trouve les termes unigenres désignant des poissons :
- un gymnètre ;
- un osciètre ou ossiètre.
-eule (/œl/)
Dans les termes proprement épicènes en -eule se trouve bégueule, patagueule, pipeule, et va-de-la-gueule. Donc une majorité de mots dérivés de geule, qui découle de l’ancien français gole et du latin gŭla. Quand à pipeule, il est calqué sur l’emprunt anglais people, qui vient lui-même de l’ancien français pople, peuple, par le truchement anglo-normand, le tout étant issu de latin pŏpŭlus. Aussi les alternances en -ǫle et -ûle sont amplement cohérent à cette variation diachronique et suffit à justifier les autres alternances ostantatoires sur ce même modèle.
-eule (/øl/), -eul (/øl/), -euliane
Dans le corpus étudié concerne notament Peule, attesté en alternance de Peul. Il peut être remarqué que bailleul, personne qui remet les côtes, les os cassés, disloqués, devrait logiquement alterner avec bailleule, cependant aucune attestation n’a été trouvée pour le confirmer.
Aussi, une possibilité serait lorgner sur pular, autre nom de la langue Peul, mais ce terme est parfois aussi employé pour désigner plus spécifiquement une variante, et la terminaison -ular laisse par trop ouverte la dérivation -ulare. Aussi la proposition faite ici se porte plutôt vers -euliane, en raccord avec celle en -iane déjà exposé par ailleurs. D’autant qu’au besoin il pourra également s’appliquer pour bailleuliane.
À noter que dans le vocabulaire biotique haplogeste se trouve :
- le greul, nom vulgaire du loir ;
- le peul-peul, race d’ovins.
-eule (/œl/), -eul (/œl/), -iolum ou -olum
Dans le corpus étudié concerne notament épagneule, filleule ainsi qu’aïeule et ses dérivés qui incluent bisaïeule, décaïeule, dodécaïeule, nonaïeule, octaïeule, pentaïeule, quadrisaïeule, quartaïeule, quinquaïeule, quinquisaïeule, quintaïeule, septaïeule, sextaïeule, sextisaïeule, trisaïeule. Possiblement tougueule au sens d’européenne, pourrait venir en alternance de tougueul mais même ce dernier n’est guère attesté sous forme de nom que comme synonyme de France[610][611][612][613]. À noter aussi que soupe-toute-seule serait logiquement l’alternance attendu à soupe-tout-seul, mais même ce dernier ne connaît guère d'attestations en dehors des dictionnaires.
Parmi les étymologies des mots précédement cités se trouvent les termes latin aviolum, filiolum, solum et l’ancien français Espainholz qui indiquerait la provenance hispanique. D’où des isonèphe en -iolum ou -olum : aïolum, filliolum et épagniolum par conivence étymologique, de même pour soupe-tsolum qui de ce fait se passera plus volotier de -i- intercallaire. Quand à tougeule pour lequel aucune étymologie documenté n’a été trouvée, tougolum semble plus aproprié sur un plan euphonique.
Du côté du vocabulaire biotique haplogeste se trouve :
- le glayeul ou glaïeul, plante herbacée ;
- le tilleul, genre d'arbe.
-euve, -euf, -eune
Dans le corpus étudié, ne concerne que le couple veuve et veuf, tous deux issus du latin viduus[614][615]. C’est cependant sur les critères phonétiques de préservation du monosyllabisme et de la voyelle /œ/ qu’est proposé -eune, qui du reste se trouve déjà le terme épicène jeune et son dérivé djeune.
-èvre
Dans le corpus considéré l'épicénie concerne les termes Chèvre, Lièvre, orfèvre — bien que pour ce dernier la forme épicène soit concomittante à l'alternance orfèvresse pour le genre ambigu. Les deux autres sont employés pour désigner des personnes via le nom d'un signe astrologique.
Si fèvre en tant que nom de métier de la personne chargée d’entretenir la chaudière dans les salines est résolument endossable indépendamment du sexe, il ne semble avoir été employé qu'à l'équivoque.
Par métonymie une balèvre peut désigner la personne à qui appartient les lèvres qui font la moue qui caractérise cette allure, tout comme la lèvre elle-même d'ailleurs. Un bec-de-lièvre peut désigner la personne qui affiche ce que la nausologie caractérise comme difformité congénitale. Une chèvre peut désigner dans le renseignement quelque membre du personnel ayant pour mission d'infiltrer un autre service en tant qu’agent double, et hors ce contexte pour péjorativement qualifier une personne d'incapable.
Le biotique haplogeste comprend :
- un arbre-à-la-fièvre, plante ;
- une barbe-de-chèvre, diverses plantes ;
- un bièvre, mammifère ;
- un buplèvre, plante ;
- un chasse-fièvre, plante ;
- une chèvre, mammifère ;
- un genièvre, plante ;
- un lièvre, mammifère ;
- un mouchèvre, mammifère ;
- une oreille-de-lièvre, champignon ;
- un pied-de-chèvre, plante ;
- une quièvre, mammifèle ;
- une tête-chèvre, oiseau ;
- un tette-chèvre, oiseau ;
-èvresse, -èvre, -èvrurge
orfèvresse, orfèvre
-ey
Cette terminaison se révèle épicène notamment dans attorney[616], cockney[617][618], disc-jockey, jockey,
Du côté des ethnonymes se trouve musey aussi graphié moussey, avec existence d'un usage invariable en genre et en nombre[619].
Le titre ottoman de bey n'a semble-t-il jamais été porté par une femme, quel qu'est pu être leur influence effective durant le sultanat des femmes, il en va de même pour les autres termes dérivés comme beylerbey, sandjakbey et du dey vassal du bey. Le même constat est faisable du côté du Maroc d’où provient le titre de muley, également transcrit mulay ou moulay.
Si parmi les très rares attestations de pialey pour désigner la personne qui écorche les chevaux morts il n'y a semble-t-il que des cas à l'équivoque, un usage invariant à l'ambigu devrait suciter d'autant moins de surprise que son emploi est extrêment limité.
Du côté du biotique, si guernesey est épicène, les termes spécistes son majoritairement unigenré :
- le colley, chien
- le dishley, mouton
- le dombey, bœuf
- le hackney, cheval
- le kouprey, bovidé
- le magney ou le maguey, plante
- le mamey, arbre
- le mangabey, singe
- le mickey, jeune taureau
- le vanzey, aussi dit sébestier, arbre
-eyette, -ey
Cette alternance se trouve notamment entre kheyette et khey
-femme-, -marie-, -gème-
La proposition de gème est insipirée par la reconstruction indoeuropéenne -gem- dont dériveraient aussi bien le grec gaméô/γαμέω
: se marier, épouser, prendre pour compagne, que le latin geminus
: jumeau, double[620][621].
À noter que marital, mariage et marier dérivent du latin maritus
qui désigne l’époux, que l’étymologie à longtemps unanimement rattaché à mas
: garçon, mâle, théorie désormais majoritairement subrogée par celle qui le dérive de l’indo-européen commun *meri̯o- : jeune homme, jeune fille, apparenté au grec meírax/μεῖραξ
:fille, garçon, au breton mercʼh
: fille au sanskrit marya/मर्य
: amant, étalon, garçon, au lituanien marti:
belle-fille ainsi qu’à Brito-martis où l’étymologie pense décrypter jeune fille douce ou sucrée[622][623].
De son côté matrimonial serait issu du latin matrimonium
: mariage. Ce dernier se compose d’une part de mater
: mère, lui-même de l’indo-européen commun *méh₂tēr
de même sens[624][625]. Et d'autre part, matrimonium est attaché à munus
: devoir, office, emploi, fonction, tâche[626], qui, à l’instar de munia
: offices, est attaché à l’indo-européen commun *mei-
: changer, échanger ; dont les dérivés se réferent aux échanges de biens et services dans une société selon les lois et les règles établies, que les étymologistes lient par exemple aux termes tels commun, monnaie, municipalité, immunité, et rémunération.
Quand à nuptial, du latin nuptialis de même sens et dérivant de nuptiae
: noces, venant de nubo
: se voiler, se marier, en référence au voile que la tradition fait porter à la mariée lors de la cérémonie consacrant le lien conjugal[627][628][629][630][631]. Voile qui du reste, s’il est porté uniquement par la femme dans ce cérémonial, est employé dans toutes sortes de rites religieux, tout sexe confondus, au moins dès l’antiquité[632][633][634][635].
La mise en relation de femme et homme en alternance l’un de l’autre advient dans de multiples contextes des sémantiques variées. C’est pourquoi il a été jugé ici qu’un unique isonèphe ne saurait suffire à rendre toutes ces nuances allusives convenablement. Les inspirations pour chacune des propositions sont données ci-après, elles ont toute en commun le soucis du maintien de l’emploi d’un terme monosyllabique épicène existant et désignant des humains.
Le terme brave connote aussi bien une notion initialement laudative, incorporant le courage et la serviabilité. Cependant ce sens est souvent inversé de manière ironique une personne considérée sotte qui se laisse dominer et tromper. C’est bien la même configuration sémantique qui accompagne les termes bonhomme et bonne-femme.
Le terme clerc désigne une personne qui a incorporé une assemblé religieuse[636][637][638]. Le terme est épicène, bien que l’ambigu clergesse est également attesté[639][640]. Il convient donc pour tous les désignations de personnes étant entrées dans les ordres. Le membres du clergé se dissocient des personnes extérieur à leur groupe en les qualifiant de profanes, de laïcs ou de lais.
Le terme docte désigne une personne qui possède une érudition conséquente, notamment littéraire ou historique. Il pourrait donc potentiellement être employé avec tout type d’activité qui à réputation de nécessité une vaste connaissance du domaine en plus d’une expertise pratique. Le terme dérive du latin doctus
: qui a appris, instruit, savant, docte, lui-même de doceo, qui sert également de racine au grec ancien didaskō/διδάσκω
: enseigner, instruire, à comparer avec dogma/δόγμα
: décision juridique. D’où un emploi d’autant plus judicieux de docte pour les métiers ayant trait au droit, à la justice et à la loi.
Le terme hère est notamment employé dans la locution pauvre hère, mais avant cela il semble s’être popularisé en Haute-Normandie, ou la hère signifie alors la dame, la maîtresse[641]. Plus avant son origine est incertaine, et des théories divergentes sont proposées. Il pourrait venir de l'allemand Herr, maître, seigneur. D’autres le rapproche du latin herus
: maître. D’autres encore propose un ;emploi substantivé de l’ancien adjectif haire
: pauvre, malheureux[642]. L’emploi épicène est aisément attestable[643], et il signifie dans ce contexte personne sans mérite, sans considération ou sans fortune. Il serait donc plutôt à employer pour des termes dépréciatifs, pérojatifs ou rabaissant, ou tout au moins associé à une notion de misère, d’infortune ou de vagabondage affligeant.
Le terme ponte désigne, entre autres choses, une personne importante, influente. Cela correspond généralement assez bien à l’archétype attaché aux personnes motrices dans les milieux d’affaires.
Le terme thète vient de la classification citoyenne athénienne antique, et désigne parmi les personnes libres celles qui, disposant de peu de ressources financières, sont contraintes à travailler contre salaire pour subvenir à leurs besoins[644]. D’où la proposition d’emploi dans les professions salariés.
Les expressions femme de main et homme de main, dont le pluriel traditionnel est gens de main forme supplétive à étymologie distincte[645]. Il sert d'abord à désigner des personnes d’exécution, souvent affublées du qualificatif brave[646], chargées d’exécuter les tâches. Et par extension, il sert à désigner un tueur à gage ou une tueuse à gage, c'est à dire une personne exécutant un projet homicide décidé par des commanditaires. D’où les suggestions d’alternance suivantes :
- gjaks, meurtrier, personne qui perpètre une vendetta en application du droit coutumier albanais, le kanun[647][648][649] ;
- croche, qui au Canada désigne une personne malhonnête, moralement douteuse ;
- sicaire, personne embauchée pour perpétrer un assassinat.
Ce type de sélection peut être généralisée de façon ad hoc, et pour se faire tout en maintenant l’aspect monosyllabique il est possible de puiser dans la liste suivante de termes :
- afk
- aide
- aigle
- ANE
- Angle
- autre
- bab
- Bai
- Bâul
- bègue
- bi
- bigle
- bigne
- black
- Black
- blèse
- boche
- Boche
- Boer
- boot
- borgne
- boss
- bourge
- branque
- brave
- broc
- Celte
- chantre
- chaste
- chauve
- chef
- cheintre
- cheum
- Chiac
- chnock
- chnoque
- chou
- chum
- cinq
- clerc
- clille
- cloune
- coach
- Cophte
- Cophtes
- Copte
- corse
- Coures
- crade
- Creek
- croche
- crouille
- cuistre
- dabe
- der
- derche
- dingue
- dix
- Djette
- djeun
- djeune
- doc
- docte
- doubte
- douze
- Druze
- dys
- ex
- face
- faf
- faible
- fan
- Farc
- faune
- feuge
- flic
- fourbe
- fourgue
- freq
- Frouze
- garde
- geek
- gens
- gir
- gjaks
- goï
- goinfre
- gosse
- groom
- Guanche
- guèbre
- guide
- gyr
- Han
- hast
- hère
- Hui
- huldre
- humble
- Jap
- Jaune
- jeune
- juste
- Juste
- Kinh
- klepte
- lâche
- ladre
- lége
- Lezghe
- Lezgue
- Li
- Lièvre
- light
- Lion
- lynx
- maigre
- maire
- Maj
- mânes
- MAZ
- Me
- membre
- même
- Mes
- mèse
- Mèse
- mime
- mioche
- môme
- More
- murle
- muzz
- myope
- myste
- naute
- naze
- niac
- niak
- noble
- nonce
- noob
- onze
- ouf
- ouiste
- pauvre
- peintre
- piche
- Picte
- pire
- pleige
- plouc
- ponte
- pro
- proc
- proche
- prof
- prol
- prot
- prote
- prude
- psy
- qasr
- quatre
- quinze
- raille
- riche
- Roms
- Rouge
- Rrom
- rustre
- sage
- sale
- sandre
- sarde
- schnock
- schnoque
- schnouff
- schtroumpf
- scripte
- seize
- sept
- sex-symbol
- shnock
- silphe
- six
- skin
- skip
- stal
- strix
- Suève
- Suisse
- tchatche
- tchate
- Tchoude
- tendre
- TERF
- thète
- Thrace
- Tongres
- totem
- tough
- tox
- traître
- trans
- treize
- trente
- trois
- VAB
- velche
- Vierge
- Viêt
- vingt
- vioque
- WASP
- welche
- Wende
- wesh
- youtre
- zor
- zouf
-fille-, -garçon-, -humble-
Au sens, employé subalterne affecté à un service particulier.
-i
Le fait d’appliquer ces variations sur des mots composés comme sans-souci ou sans-abri est laissé à la libre appréciation, bien que plus controversable, car la terminaison advient sur un morphe ne renvoyant pas à une forme biotique ni même animé.
-iatre
Dans le corpus considéré concerne ethnopsychiatre, gériatre, hippiatre, neuropédiatre, neuropsychiatre, oncopédiatre, pédiatre, pédopsychiatre, phoniatre, podiatre, psychiatre.
Ce suffixe épicène est utilisé pour former un nom de soignant, de médecin et dérive grec ancien iatrós/ἰατρός
: médecin. Ce dernier connâit entre autres flexions iatro/ἰατρώ
. Il serait donc assez pertinent d’orienter la proposition inanimé vers -iatrǫ et caller les autres alternance ostentatoires sur cette première, par exemple avec -iastriẽ. Toutefois, nobnobstant ces données et priviligiant ici l’alternance vocalique conservant le monosyllabisme la proposition s'oriente plutôt vers -iẽtre, -yìtre, -iāstre, -iǫtre, -iûtre.
Les deux légères alterations que constituent l'épenthèse d'un -s- au générique et la commutation[650] de -i- en -y- pour l'arrénophène, permettent pour la première d'éviter une collision homophonique avec le suffixe -iatre lui-même et pour la seconde de rendre compte d'une prononciation en /jitʁ/ plutôt que /iitʁ/ que suggérait autrement -iìtre.
-ice
Dans le corpus considéré concerne antipolice et sa variante anti-police, aruspice[651][652][653] et sa variante haruspice[654][655][656], castice, complice, déditice, Galice, novice, Poturice[657][658], pousse-au-vice et roomservice.
À noter que auspice désigne première le présage, et seulement par métonymie la personne qui l'interprète, et de ce fait s'emploi toujours à l'équivoque.
Une rapide recherche n'a permis de trouver que des emplois à l'équivoque pour extispice et patrice. Tout comme pour olympionice et pythionice ce qui n'étonnes guère une fois fait remarqué que les compétitions sportives antiques excluaient généralement les femmes et ne les célébrait en aucun cas comme vainqueuse d'une épreuve[659]. Même constat pour présidentifrice[660][661], et songe-malice bien qu'aucune barrière institutionnelle ne s'y oppose.
Le terme immondice, toujours à l'ambigu, peut par métonymie désigner une personne[662][663][664], tout comme police.
Quant à office, toujours à l'équivoque, il peut parfois être employé de manière métonymique pour désigner la personne qui en à la charge, voir dans des formules qui tendent à personnifier la fonction[665].
Enfin quelques termes ne s'appliquent qu'à des personnes gynotypées et n'ont d'usage qu'à l'ambigu, dont fricatrice, voceratrice.
Le biotique haplogeste comprend :
- une adventice, plante ;
- une agarice, par métonomyie du polypier pour le polype ;
- une comice, fruit qui par métonymie peut désigner l'arbre ;
- une galice, poisson ;
- une hélice, mollusque ;
- une léontice ou un léontice, plante ;
- une lice, mammifère ;
- une natice, gastéropode ;
- un requin-nourrice, poisson ;
- une statice ou un statice, plante ;
- une toute-épice, employé pour désigner un fruit et parfois métonymiquement l'arbre qui y correspond ;
- une gyratrice, oiseau.
-rice/-ride, -e, -urge
Dans le corpus considéré concerne uniquement poëtrice ou poëtride et poëte, comme formes alternatives à poétesse et poête. Cela étant, la forme poëtride outre son archaïsme est suffisament proche du terme putride pour recommander ici d'en éviter l'usage sauf à des fins à connotation injurieuse.
-rice, -aire,
Dans le corpus considéré concerne uniquement célibatrice et célibataire
-rice, -ère,
Dans le corpus considéré concerne uniquement magistrice et magistère
-rice, -eur, -aire
Dans le corpus considéré concerne ambassadrice et ambassadeur, assessrice et assesseur, authrice ou autrice et autheur ou auteur, contributrice et contributeur, intercessrice et intercesseur, possessrice et possesseur, prédécessrice et prédécesseur, professrice et professeur, successrice et successeur.
De plus, la majorité des termes concernés terminent plus spécifiquement en -trice et -teur : abandonnatrice et abandonnateur, abnégatrice et abnégateur, abréviatrice et abréviateur, absolutrice et absoluteur, acceptatrice et acceptateur, acceptrice et accepteur, acclamatrice et acclamateur, accompagnatrice et accompagnateur, accréditrice et accréditeur, accumulatrice et accumulateur, accusatrice et accusateur, acéricultrice et acériculteur, achatinicultrice et achatiniculteur, actrice et acteur, acuponctrice et acuponcteur, acupunctrice et acupuncteur, adaptatrice et adaptateur, adjudicatrice et adjudicateur, adjutrice et adjuteur, administratrice et administrateur, admiratrice et admirateur, admonitrice et admoniteur, adoratrice et adorateur, adulatrice et adulateur, affabulatrice et affabulateur, affermatrice et affermateur, agiotrice et agioteur, agitatrice et agitateur, agricultrice et agriculteur, agrumicultrice et agrumiculteur, aide-éducatrice et aide-éducateur, algocultrice et algoculteur, aliénatrice et aliénateur, alimentatrice et alimentateur, allégatrice et allégateur, allocutrice et allocuteur, alpicultrice et alpiculteur, amatrice et amateur, amatrice et amateur, amodiatrice et amodiateur, ampliatrice et ampliateur, analectrice et analecteur, analyste-programmatrice et analyste-programmateur, anesthésiste-réanimatrice et anesthésiste-réanimateur, animatrice et animateur, annihilatrice et annihilateur, annonciatrice et annonciateur, annotatrice et annotateur, apéritrice et apériteur, apicultrice et apiculteur, apparitrice et appariteur, applicatrice et applicateur, appréciatrice et appréciateur, approbatrice et approbateur, appropriatrice et appropriateur, aquacultrice et aquaculteur, aquicultrice et aquiculteur, arboricultrice et arboriculteur, argumentatrice et argumentateur, armatrice et armateur, asparagicultrice et asparagiculteur, astacicultrice et astaciculteur, attributrice et attributeur, audiodescriptrice et audiodescripteur, auditrice et auditeur, augmentatrice et augmentateur, auscultatrice et auscultateur, auteure-compositrice et auteure-compositeur, automutilatrice et automutilateur, autrice-compositrice et autrice-compositeur, autrice et auteur, autrice-productrice et autrice-producteur, avératrice et avérateur, aviatrice et aviateur, avicultrice et aviculteur, bétulicultrice et bétuliculteur, bienfaitrice et bienfaiteur, blasphématrice et blasphémateur, buccinatrice et buccinateur, cacaocultrice et cacaoculteur, caféicultrice et caféiculteur, calculatrice et calculateur, calomniatrice et calomniateur, cannabicultrice et cannabiculteur, cantatrice et cantateur, cantautrice et cantauteur, capillicultrice et capilliculteur, captatrice et captateur, castanéicultrice et castanéiculteur, cernuatrice et cernuateur, certificatrice et certificateur, chanvricultrice et chanvriculteur, cidricultrice et cidriculteur, circumnavigatrice et circumnavigateur, citatrice et citateur, civilisatrice et civilisateur, coactrice et coacteur, coadjutrice et coadjuteur, co-autrice et co-auteur, coautrice et coauteur, co-conceptrice et co-concepteur, coconceptrice et coconcepteur, codébitrice et codébiteur, codétentrice et codétenteur, codificatrice et codificateur, co-directrice et co-directeur, codirectrice et codirecteur, codonatrice et codonateur, coéditrice et coéditeur, co-fondatrice et co-fondateur, cofondatrice et cofondateur, co-inventrice et co-inventeur, coinventrice et coinventeur, collaboratrice et collaborateur, collatrice et collateur, collectrice et collecteur, colocatrice et colocateur, colonisatrice et colonisateur, commentatrice et commentateur, compétitrice et compétiteur, compilatrice et compilateur, compositrice et compositeur, conceptrice et concepteur, conchylicultrice et conchyliculteur, conciliatrice et conciliateur, condamnatrice et condamnateur, conductrice et conducteur, confédératrice et confédérateur, confiscatrice et confiscateur, conservatrice et conservateur, consolatrice et consolateur, consommatrice et consommateur, conspiratrice et conspirateur, constructrice et constructeur, consultrice et consulteur, contemplatrice et contemplateur, contemptrice et contempteur, contestatrice et contestateur, continuatrice et continuateur, contradictrice et contradicteur, contributrice et contributeur, coopératrice et coopérateur, coordinatrice et coordinateur, coorganisatrice et coorganisateur, coprésentatrice et coprésentateur, coproductrice et coproducteur, correctrice et correcteur, corruptrice et corrupteur, cotutrice et cotuteur, créatrice et créateur, créditrice et créditeur, cressicultrice et cressiculteur, cultivatrice et cultivateur, cuniculicultrice et cuniculiculteur, curatrice et curateur, cyberintimidatrice et cyberintimidateur, cyberprédatrice et cyberprédateur, débitrice et débiteur, décapitatrice et décapitateur, décentralisatrice et décentralisateur, déclamatrice et déclamateur, dégustatrice et dégustateur, délatrice et délateur, délégatrice et délégateur, démonstratrice et démonstrateur, démystificatrice et démystificateur, dénonciatrice et dénonciateur, dépréciatrice et dépréciateur, déprédatrice et déprédateur, désapprobatrice et désapprobateur, désinsectisatrice et désinsectisateur, dessinatrice et dessinateur, destinatrice et destinateur, destructrice et destructeur, détentrice et détenteur, déterminatrice et déterminateur, détractrice et détracteur, dévastatrice et dévastateur, dictatrice et dictateur, diffamatrice et diffamateur, dilapidatrice et dilapidateur, directrice et directeur, directrice et directeur, dispensatrice et dispensateur, disséminatrice et disséminateur, dissimulatrice et dissimulateur, dissipatrice et dissipateur, distillatrice et distillateur, distributrice et distributeur, divulgatrice et divulgateur, doctrice et docteur, dominatrice et dominateur, donatrice et donateur, duplicatrice et duplicateur, édificatrice et édificateur, éditrice et éditeur, éducatrice et éducateur, effectrice et effecteur, éjaculatrice et éjaculateur, élaboratrice et élaborateur, électrice et électeur, émancipatrice et émancipateur, émasculatrice et émasculateur, émettrice et émetteur, énergicultrice et énergiculteur, énonciatrice et énonciateur, enquêtrice et enquêteur, épitomatrice et épitomateur, érectrice et érecteur, ésocicultrice et ésociculteur, évaluatrice et évaluateur, évangélisatrice et évangélisateur, évocatrice et évocateur, exagératrice et exagérateur, examinatrice et examinateur, excitatrice et excitateur, excitatrice et excitateur, excommunicatrice et excommunicateur, exécutrice et exécuteur, expéditrice et expéditeur, expérimentatrice et expérimentateur, exploitatrice et exploitateur, exportatrice et exportateur, expropriatrice et expropriateur, exterminatrice et exterminateur, extractrice et extracteur, fabricatrice et fabricateur, fabulatrice et fabulateur, facilitatrice et facilitateur, factrice et facteur, falsificatrice et falsificateur, fautrice et fauteur, fécondatrice et fécondateur, fellatrice et fellateur, filatrice et filateur, flagellatrice et flagellateur, floricultrice et floriculteur, fomentatrice et fomentateur, fondatrice et fondateur, formatrice et formateur, formulatrice et formulateur, fornicatrice et fornicateur, fraisicultrice et fraisiculteur, fréquentatrice et fréquentateur, fruiticultrice et fruiticulteur, généralisatrice et généralisateur, génératrice et générateur, gestatrice et gestateur, gesticulatrice et gesticulateur, gladiatrice et gladiateur, gouvernatrice et gouvernateur, graphiatrice et graphiateur, grévicultrice et gréviculteur, gymnaste-animatrice et gymnaste-animateur, gyratrice et gyrateur, harmonisatrice et harmonisateur, hélicicultrice et héliciculteur, horticultrice et horticulteur, idéalisatrice et idéalisateur, illuminatrice et illuminateur, illustratrice et illustrateur, imitatrice et imitateur, immolatrice et immolateur, impératrice et impérateur, importatrice et importateur, impostrice et imposteur, imprégnatrice et imprégnateur, improbatrice et improbateur, improvisatrice et improvisateur, inauguratrice et inaugurateur, incantatrice et incantateur, indicatrice et indicateur, informatrice et informateur, infractrice et infracteur, initiatrice et initiateur, innovatrice et innovateur, inoculatrice et inoculateur, inquisitrice et inquisiteur, inséminatrice et inséminateur, inspectrice et inspecteur, inspiratrice et inspirateur, installatrice et installateur, instauratrice et instaurateur, instigatrice et instigateur, institutrice et instituteur, instructrice et instructeur, intégratrice et intégrateur, interceptrice et intercepteur, interlocutrice et interlocuteur, interpellatrice et interpellateur, interpolatrice et interpolateur, interrogatrice et interrogateur, interruptrice et interrupteur, intimidatrice et intimidateur, intoxicatrice et intoxicateur, introductrice et introducteur, inventrice et inventeur, investigatrice et investigateur, invocatrice et invocateur, islamisatrice et islamisateur, janitrice et janiteur, jubilatrice et jubilateur, judicatrice et judicateur, lapidatrice et lapidateur, laudatrice et laudateur, lavandicultrice et lavandiculteur, lectrice et lecteur, législatrice et législateur, libératrice et libérateur, linicultrice et liniculteur, liquidatrice et liquidateur, littératrice et littérateur, locatrice et locateur, locutrice et locuteur, machinatrice et machinateur, malfaitrice et malfaiteur, maricultrice et mariculteur, masturbatrice et masturbateur, matrice et mateur, médiatrice et médiateur, médiatrice et médiateur, méliponicultrice et méliponiculteur, mérétrice et méréteur[666], mettrice et metteur, modératrice et modérateur, modernisatrice et modernisateur, modificatrice et modificateur, mondialisatrice et mondialisateur, motivatrice et motivateur, murmuratrice et murmurateur, mystificatrice et mystificateur, narratrice et narrateur, navigatrice et navigateur, négatrice et négateur, négociatrice et négociateur, néoconservatrice et néoconservateur, nivocultrice et nivoculteur, novatrice et novateur, nucicultrice et nuciculteur, objectrice et objecteur, obtentrice et obtenteur, oléicultrice et oléiculteur, oléifactrice et oléifacteur, oratrice et orateur, orchestratrice et orchestrateur, ordinatrice et ordinateur, ordonnatrice et ordonnateur, organisatrice et organisateur, originatrice et originateur, osiéricultrice et osiériculteur, ostréicultrice et ostréiculteur, pacificatrice et pacificateur, pastrice et pasteur, perceptrice et percepteur, perforatrice et perforateur, perpétratrice et perpétrateur, perpétuatrice et perpétuateur, perscrutatrice et perscrutateur, persécutrice et persécuteur, perturbatrice et perturbateur, pétrificatrice et pétrificateur, phénicicultrice et phéniciculteur, phoenicicultrice et phoeniciculteur, piscicultrice et pisciculteur, planificatrice et planificateur, pommicultrice et pommiculteur, populatrice et populateur, préceptrice et précepteur, prédatrice et prédateur, prédestinatrice et prédestinateur, prédicatrice et prédicateur, préemptrice et préempteur, préparatrice et préparateur, présentatrice et présentateur, prévaricatrice et prévaricateur, préventrice et préventeur, proclamatrice et proclamateur, procrastinatrice et procrastinateur, procréatrice et procréateur, procuratrice et procurateur, productrice et producteur, profanatrice et profanateur, profératrice et proférateur, progénitrice et progéniteur, programmatrice et programmateur, promotrice et promoteur, promulgatrice et promulgateur, propagatrice et propagateur, prosatrice et prosateur, prospectrice et prospecteur, protectrice et protecteur, provocatrice et provocateur, puéricultrice et puériculteur, purgatrice et purgateur, purificatrice et purificateur, quadratrice et quadrateur, questrice et questeur, radio-amatrice et radio-amateur, radioamatrice et radioamateur, ranicultrice et raniculteur, rapportrice et rapporteur, rationalisatrice et rationalisateur, réactrice et réacteur, réalisatrice et réalisateur, réanimatrice et réanimateur, réconciliatrice et réconciliateur, rectrice et recteur, rectrice et recteur, rédactrice et rédacteur, rédemptrice et rédempteur, rééducatrice et rééducateur, réformatrice et réformateur, régénératrice et régénérateur, régulatrice et régulateur, relectrice et relecteur, renonciatrice et renonciateur, rénovatrice et rénovateur, réorganisatrice et réorganisateur, réparatrice et réparateur, répartitrice et répartiteur, répétitrice et répétiteur, reportrice et reporteur, reproductrice et reproducteur, résignatrice et résignateur, restauratrice et restaurateur, révélatrice et révélateur, rhétrice et rhéteur, rizicultrice et riziculteur, rosicultrice et rosiculteur, salmonicultrice et salmoniculteur, saltatrice et saltateur, salvatrice et salvateur, sanctificatrice et sanctificateur, saponificatrice et saponificateur, scriptrice et scripteur, scrutatrice et scrutateur, sculptrice et sculpteur, sectatrice et sectateur, séductrice et séducteur, sénatrice et sénateur, séparatrice et séparateur, séricicultrice et sériciculteur, séricultrice et sériculteur, simplificatrice et simplificateur, sous-directrice et sous-directeur, spectatrice et spectateur, spéculatrice et spéculateur, spoliatrice et spoliateur, stucatrice et stucateur, supportrice et supporteur, surprotectrice et surprotecteur, sylvicultrice et sylviculteur, taxatrice et taxateur, téléactrice et téléacteur, téléopératrice et téléopérateur, téléprospectrice et téléprospecteur, téléspectatrice et téléspectateur, temporisatrice et temporisateur, tentatrice et tentateur, testatrice et testateur, thanatopractrice et thanatopracteur, thésaurisatrice et thésaurisateur, torréfactrice et torréfacteur, tour-opératrice et tour-opérateur, traductrice et traducteur, transfiguratrice et transfigurateur, transformatrice et transformateur, trufficultrice et trufficulteur, truiticultrice et truiticulteur, trutticultrice et trutticulteur, tutrice et tuteur, ultra-conservatrice et ultra-conservateur, ultraconservatrice et ultraconservateur, unificatrice et unificateur, usurpatrice et usurpateur, utilisatrice et utilisateur, vaccinatrice et vaccinateur, valorisatrice et valorisateur, valorisatrice et valorisateur, vaticinatrice et vaticinateur, vénératrice et vénérateur, vérificatrice et vérificateur, versificatrice et versificateur, vice-curatrice et vice-curateur, vice-directrice et vice-directeur, vice-rectrice et vice-recteur, villégiatrice et villégiateur, vindicatrice et vindicateur, violatrice et violateur, visitatrice et visitateur, viticultrice et viticulteur, vitupératrice et vitupérateur, vocalisatrice et vocalisateur, vocératrice et vocérateur, vocifératrice et vociférateur, vulgarisatrice et vulgarisateur, zélatrice et zélateur.
Ceci explique que trice soit devenu un nom commun à part entière faisant un renvoie endophorique aux termes utilisant cette terminaison et par suite aux personnes qu'ils désigent. Cela étant, tous les termes en -trice ou -teur ne sont évidemment pas des désignatifs personnels, une atrice, une bisectrice ou une cicactrice n'ont pas d'équivalent en -eur, pas plus qu'un activateur, un bonheur ou un zesteur n'ont d'équivalent en -trice. Certaines proximités morphologiques sont fortuites, comme matrice qui est sans lien étymologique à mateur qui par ailleurs alterne avec mateuse. Quand bien même les deux termes existent avec une étymologie commune, ils peuvent référer chacun à des sémantiques totalement différentes, comme dans extractrice et extracteur, le premier terme renvoyant à une notion mathématique abstraite et le second à un appareil tangible, ou désigner des machines ayant une même fonction générale mais des spécifications divergentes comme excavatrice et excavateur, mais ils peuvent aussi être de simple synonymes comme tabulatrice et tabulateur. Certains terme sont sans alternance nominale même si elles sont effectives que pour les homonymes adjectivals, ainsi si une plume tectrice et un plumage tecteur sont tous deux conforme à l'usage, une tecrice désigne une plume tandis qu'un tecteur est sans usage. Et évidemment certains termes ont une alternance valable pour des sémantiques personnelles communes à l'exclusion d'autres sémantiques qu'ils ont en exclusive, comme calculatrice et calculateur, effectrice[667] et effecteur, motrice et moteur, ordinateur et ordinatrice, quadratrice et quadrateur, répétitrice et répétiteur. Les désignatifs personnels qui sont de fait employé sans alternance équivoque sont rares mais compte au moins fricatrice et voceratrice.
À noter que pour l'isonèphe le suffiixe -eurice est également employé, par exemple pour former contributeurice[668][669], lecteurice[670][671][672], locuteurice[673][674] interlocuteurise[675], utilisateurice[676][677][678], lecteurice. Cette approche tends à limiter le genre formulé à un amalgamme d'ambigu et d'équivoque, tandis que la perspective prise ici introduit l'isonèphe en le considèrant comme plus vague et flottant que les autres gestes allusifs, les subsumant tout en demeurant sur un même niveau catégoriel. Si en français il n'y a que deux gestes allusifs généralement considérés, l'isonèphe se doit conceptuellement d'être transposable à d'autres langues qui en compte d'avantage, comme l'allemand par exemple, pour toujours enclôre le plus haut degré d'indétermination qui se puisse exprimer par le genre. Par ailleurs sur un plan plus pragmatique, les propositions faites ici vise autant que possible à fournir des équivalences qui sont d'une égale métrie syllabaire, au moins pour les suffixes allusifs. Un suffixe comme -eurice pourra être considéré comme relevant d'un genre ambivalent dont le développement en extension n'est pas couvert dans le développement de ce projet de recherche.
Si aide-éducatrice et aide-éducateur sont groupés ci-dessus par commodité de présentation, cette alternance vise la personne assistée et non pas celle qui fournie l'aide, aussi elle n'influe pas sur le genre du nom composé dans son ensemble que ne le fera aide-éducataire. Pour faire varier le genre du terme complet c'est sur aide qu'il faut faire porter l'alternance. Par le truchement des variantes virtuelles en aidante, aidant, aidänte, il découle des ostentatoires comme aidẽņte-éducataire, aidìņte-éducataire, aidiāņte-éducataire, aidǫņte-éducataire, aidúņte-éducataire.
Pour reportrice et reporteur ils sont également concommitant de reportère et reporter.
Le terme nourrice connaît quelques rares alternances avec nourreur[679][680], et de tout aussi rares usages à l'équivoque de nourrice[681], et semble-t-il plutôt pour des usages endophoriques intervenant dans une réflexion terminologique. Pour des emplois exophoriques concrets l'usage semble favoriser des groupes nominaux comme homme nourrice[682], voir aide à domicile[683], assistant materenelle[684], garde d'enfant[685], garde en milieu familial[686], père nourricier[687].
Le terme professrice est de fait plutôt rare et c'est plus souvent une autre forme concomitante d'ambigu qui est retenue dont professeure, professeuse, en plus de quoi sont parfois envisagé professesse, professoresse, professante, profetrice[688], et les isonèphes professiste et professère[689].
De même doctrice est concomitant de docteure, docteuse et doctoresse.
Aussi victrice est concommitante à vainqueure, vainqueuse et vainqueresse comme alternance à l'équivoque vainqueur qui n'a pour sa part pas d'alternatives comme victeur ou vainqueux en usage.
Enfin venditrice fourni une altenance archaïque à vendeur, cela étant c'est bien vendeuse lui est généralement préféré dans les usages contemporains.
Concernant l'ostentaoire arrhénophène, une forme comme autric peut être mis en comparaison des termes équivoques que sont callitric, polytric et vitric.
-icte
Dans le corpus considéré concerne uniquement Picte.
Du côté du biotique unigenré se trouve :
- un halicte, insecte ;
- une relicte, espèce vivante considérée éteinte puis retrouvée dans des habitats restreints et par extension individu de cette espèce ;
- un sticte, lichen ;
- un thoricte[690][691][692], saurien.
-id (/id/)
Dans le corpus considéré ne concerne que l’emprunt anglais épicène kid.
-ida, -id (/id/), -oude
Mujahida est documenté en alternance de mujahid[693]. En suivant la même logique étymologique abid, cid, Janjawid, également d'origine arabe, devraient alterner respectivement avec abida ou ama[694], cida[695], Janjawida, tout comme hassid d’origine hébraïque, autre langue sémitique, devrait sous ce même paradigme alterner avec hassida[696].
l'isonèphe s’inspire de ʔaʕbud/أَعْبُد
pluriel qui de ʕabīd/عَبِيد
qui donne abid. Les alternances ostentatoires opèrent par mutation vocalique sur ce même modèle.
-ide
Ce suffixe peut provenir d’au moins trois étymologies distincts et convoyer autant de sens, notament via :
- le grec ancien
eîdos/εἶδος
: forme, aspect ; - le suffixe patronymique issu du grec ancien
-ídēs/-ίδης
, par l’intermédiaire du latin -ides, désignant une lignée, une dynastie, le radical étant le plus souvent le fondateur ; - le suffixe patronymique issu du grec ancien
-ís, -ídes/-ίς, -ίδες
par l’intermédiaire du latin -is, -idis, désignant un ensemble ou un élément issu de l’ensemble.
Dans le corpus considéré, concerne les termes Anasténaride, apatride, candide, comorbide, extra-lucide, extralucide, frigide, guide, Héraclide, hybride, invalide, Lagide, lapicide, mouride, Numide, perfide, Perséide, psychide, rapide, rigide, Sassanide, séide, timide, valide, ainsi que les termes en -cide où cette terminaison à le sens de tueur de comme ajacide, Ajacide, avicide, ciconicide, conjugicide, déicide, démocracide, gendarmicide, homicide, infanticide, liberticide, matricide, onclicide, patricide, régicide, sororicide, sororicide, uxoricide, et vaticide.
Sont employés de façon haplogeste allusifs les désignatifs biotiques suivant :
- une adonide, fleur ;
- une agrostide, plante ;
- une agrotide, noctuelle de la famille des lépidoptères ;
- une anobide, coléoptère ;
- une arachide, légumineuse ;
- une arctotide, plante ;
- une astéride, étoile de mer ;
- une cantharide, coléoptère ;
- une casside, coléoptère ;
- un chalcide, saurien ;
- un chromide, poisson ;
- une chryside, insecte ;
- une cnémide, knémide ou knèmide, oiseau ;
- une colchide, plante;
- une corycide, nymphe des grottes ;
- une crépide, plante;
- une crossostylide, plante ;
- une diaspide, insecte ;
- une échide, serpent ;
- une éléide, palmier ;
- une éloide, molusque ;
- une graphide, lichens ;
- une haliotide, mollusque marin ;
- une hamamélide, plante ;
- une héliopside, plante ;
- une héréside, héréside ;
- une hespéride, baie ;
- une hippuride, plante ;
- une hydatide, larve ou parasite ;
- une ibéride, plante ;
- une ionide, plante ;
- une limnacide ou limonide, nymphe ;
- une méléagride, dinde ou pintade ;
- une météoride, plante ;
- une néréide, nymphe ou vers ;
- une océanide, nymphe ;
- une ononide, plante ;
- une ortalide, oiseau ;
- une oxalide, plante ;
- une pégaside, muse ;
- une pelamide ou pélamide, poisson ou serpent marin
- une physalide, plante ;
- une picride, plante ;
- une piéride, insecte ;
- une potamide, nymphe ;
- une psamide, nymphe ;
- une ptéride, fougère ;
- une pyxide, tortue;
- une stalagmitide, plante ;
- une synergide, cellule ;
- une trachéide, cellule ;
- une tritonide, déesse ou nymphe tandis que triton alterne plutôt avec sirène.
-ide, -∅, -iane
Dans le corpus condiéré concerne titanide et titan, en alternative à titanesse et titane. Et dans une moindre mesure tritonide et triton mais ces deux termes désignent généralement des créatures fantastiques significativement différente en dehors même de la notion de sexe : l’équivalent thélyphène du triton étant la sièrne, tandis que tritonide n’a pas de pendant.
Pour l'isonèphe, l’inspiration aura notamment été puisé dans les adjectifs anglais Titanian et Tritonian.
-étride, -ète, -ène
Dans le corpus considéré concerne :
- aulétride et aulète personne qui joue du aulos, sorte de flute,
- poétride en alterance de poète alternative à poëte, poëtrice, poëtesse, et poétesse seule cette dernière n’étant pas considérée archaïque
- thérapeutride et thérapeute lorsqu’il s’agit désigner les membres de la secte antique.
Tous trois proviennent du grec ancien. Par exemple la première paire peut être rapproché de aulētrís/αὐλητρίς
et aulêtês/αὐλητής
. Ce dernier connaît également les flexions aulētḗn/αὐλητήν
, aulētaîn/αὐληταῖν
, aulētôn/αὐλητῶν
[697], et des flexions similaires se retrouvent pour poiētḗs/ποιητής
et therapeutḗs/θερᾰπευτής
[698][699]. D’où un choix pour le panébuleux entre -ène, -aine et -one. Ici la proposition retiens -ène, qui conserve un e diacritisé déjà présent dans les autres alterances alusives.
-ide, -e
Dans le corpus considéré concerne gnomide et gnome, hiérophantide et hiérophante, sylphide et sylphe.
-ie, -i
Dans le corpus considéré concerne Abénakie et Abénaki, abrutie et abruti, affaiblie et affaibli, affranchie et affranchi, ahmadie et ahmadi, ahurie et ahuri, alévie et alévi, amie et ami, anoblie et anobli, apprentie et apprenti, aspie et aspi, assaillie et assailli, assoupie et assoupi, assujettie et assujetti, bannie et banni, barakie[N 54] et baraki, bie et bi, Chérokie et Chéroki, convertie et converti, dégourdie et dégourdi, démunie et démuni, endormie et endormi, endurcie et endurci, engourdie et engourdi, ennemie et ennemi, établie et établi, étourdie et étourdi, extravertie et extraverti, faillie et failli, féminazie et féminazi, garantie[N 55] et garanti, impolie et impoli, inassouvie et inassouvi, introvertie et introverti, invertie et inverti, irréfléchie et irréfléchi, mamamouchie et mamamouchi, Mossie et Mossi, nantie et nanti, nazie et nazi, recueillie et recueilli, renchérie et renchéri, repentie et repenti, roumie et roumi, saisie[N 56] et saisi, Souahélie et Souahéli, soufie et soufi, Targuie et Targui, transvestie et transvesti, travestie et travesti, Tsolyanie et Tsolyani, yézidie et yézidi, zombie[N 57] et zombi.
-if
Dans le corpus considéré concerne coupe-tif, certains usages de fif, rosbif[700][701][702][703] aussi graphié rosbeef, et shérif également graphié schérif.
Comme coupe-tif est constuit en tant que composition Verbe-Nom[704] où le nom est complément d'objet plutôt qu'agent de l'action, il parraîtra plus pertinent de faire porter toute éventuel flexion sur le verbe car il est de connivence plus étroite avec le sujet auquel le terme réfère, la personne qui coupe les cheuveux c'est également celle qui les coiffe, comme la coiffeuse et le coiffeur. D'où une ostentatoire qui pour conserver la cadinalité syllabique propose couẽpe-tif, couìpe-tif, couāpe-tif, couǫpe-tif, couûpe-tif.
Le terme fif est employé au québec comme synonyme de tapette, folle, fiotte, et en ce sens n'aura d'emploi qu'à l'équivoque androtypant. Le terme est cependant aussi employé pour désigner quelque roots postiche, auquel cas il sera légitime de le considérer épicène. Pour les alternances, l'argot emploi déjà fouffe pour désigner le sexe d'une femme et par métonymie une femme, aussi croisé à folle et fiotte il sera compréhensible d'employer des néologismes comme foulffe et fiouffe en alternance ambigüe, ainsi que folf et fionf pour l'isonèphe. Pour les ostentatoires, fiẽlf, fìlf, fiānf, fǫf, fùïf qui évoquent respectivement fiel, l'anglais filth, fiante, fofolle et gouine.
Pour les ostentatoires de rosbif et shérif, il suffira d'adapter la proposition déjà fait pour -eftaine, -ef, -ève, en -iẽf, -ìlf, -āf, -ǫf, -ûf, soit rosbiẽf, rosbìlf, rosbāf, rosbǫf, rosbûf et shériẽf, shérìlf, shérāf, shérǫf, shérûf.
Également unigenré à l'équivoque un poncif désigne une personne incarnant divers clichés par métaphore du sens premier de dessin, d'où l'absence d'alternance.
À noter que bouif, terme populaire pour désigner une personne qui œuvre dans la cordonnorie, n'a été trouvé employé à l'équivoque dans de succintes recherches d'alternances. De même moutassarif aussi graphié moutasarrif ou mutessarif qui désigne un dirigeant d'une province de l'ex-Empire ottoman, notamment en Turquie, nommée mutessarifat ou sandjak. Est également unigenré un pif pour désigner quelque mâle incomplétement castré. C'est aussi le cas pour un rédif, solat turc. Enfin en droit un vif désigne une personne vivante, bien qu'il apparaisse essentiellement au pluriel dans la locution donation entre vifs.
Le biotique haplogeste comprend :
- un bif, hybride fictif d'un cheval et d'une vache
- un durif, cépage
- un if, arbre
- un récif et ses variantes graphiques rescif et ressif, désigne parfois métonymiquement les coraux qui sont à l'origine des récifs coralliens
-yphe
Dans le corpus considéré concerne aglyphe, lithoglyphe[705].
Pour les ostentatoires -yẽphe, -yìrphe, -yāphe, -yǫphe, -yûphe compléteront les alternances de façon homogène aux autres propositions.
Le biotique haplogeste comprend :
- un cossyphe, oiseau
- un hyphe, cellule
- un opistoglyphe, reptile
- un sisyphe, insecte
- un solénoglyphe, reptile
- un tyroglyphe, arachnide
- un zizyphe, plante.
-ife
Dans le corpus considéré concerne uniquement le biotique haplogeste une anatife, crustacé.
-ifa, -if, ⟨divers⟩
Dans le corpus considéré concerne chérifa et chérif.
Le panébuleux peut s'inspirer du terme épicène ḥibb/حبّ
: amour, personne que l'on chérie, ou encore se référer à toubib qui vient de ṭabīb/طَبِیب
: médecin, pour former chérib. Ou alternativement, s'inspirer de l'anglais qui traduit ce titre par sharif ou xerif et les transposer en charif et xérif. Et par suite former les ostentatoires chéĩrif, chìrif, chāïrif chǫrif, chûrif, ou xériẽf, xérìlf, xérāf, xérǫf, xérûf.
-ifesse, -ife, -ib ou -ibe ou -ive
Dans le corpus considéré concerne califesse, calife et leurs graphies alternatives khalifesse[706] et khalife.
Pour l'ostentatoire se caller sur la proposition faite pour -effesse, -ef, -ève est quasi suffisant. Déjà cela ammène évidemment à l'isonèphe -ive, qui se trouve par exemple dans les termes épicène convive et détective. D'autres possibilité sont envisageable comme -ib et -ibe, au regard des termes épicènes que sont toubib et pédotribe. Il faut néamoins prévoir une adaptation de l'arrhénophène en vue d'éviter l'homophonie qu'entrainerait sinon -ìf et -if. Ici c'est -ìlfe qui est retenu, inspiré de l'épicène silphe (/silf/) qui reprend le -ìl- désambigüisant déjà employé par ailleurs. Soit -iẽf, -ìlf, -āf, -ǫf, -ûf qui donnent calib/calibe/calive, caliẽf, calìlf, calāf, calǫf et calûf.
-iff
Dans le corpus considéré concerne uniquement un mastiff, terme biotique unigenré désignant un mammifère.
-iffe
Dans le corpus considéré concerne escrogriffe[707][708][709][710] et griffe.
Pour griffe, il n'est épicène que dans son sens anthropologique d'individu né de l'union d'une personne noire avec une autre d'origine amérindienne, et hors d'un contexte haïtien où il alterne avec griffonne.
À noter que historiogriffe, s'il n'a eu jusque là qu'un emploi à l'équivoque pour désigner François-Augustin de Paradis de Moncrif, son emploi à l'ambigu ne saurait être vitupéré par l'usage.
Pour l'ostentatoire, il peut s'inspirer de la proposition déjà faite pour l'alternance entre -ifesse et-ife soit -iẽffe, -ìlffe, -āffe, -ǫffe, -ûffe.
De plus la désignation une chiffe et son dérivé une chiffe molle, unigenrés à l'ambigu nécessitent une attention particulière pour éviter toute collision avec les ostentatoires de chef et chauve. Étant donné le sens péjoratif de chiffe lui même, le présente proposition s'arrête sur chiẽtte, chìtte, chiãçe, chiǫtte, chiûrre qui évoquent respectivement une chiénaille et une miette, l'anglais shit, une chiasse, des chiottes, une chiure.Le biotique haplogeste en -iffe comprend :
- un hippogriffe, créature fantastique ;
- un ténériffe, mammifère.
-iffonne, -iffe, -iffoine
Dans le corpus considéré concerne griffonne et griffe.
l'isonèphe et les ostentatoires peuvent se caller sur ceux déjà proposées pour -onne, -on, -oine, soit griffoine, griffiēlne, griffìne, griffāne, griffǫlne et griffûne.
-ingre
Dans le corpus considéré concerne haingre, malingre, et pingre.
Les deux premiers viennent de l'ancien français haingre ou heingre qui est généralement rattaché au latin aeger
: malade, avec l'intercalation de la nasale. De son côté pingre qui pourrait découler d'une antomase de Pierre Le Pingre[711] ou d'un mot signifiant épingle, avec diverses explications allegoriques circulant autours de cette hypothèse étymologique[712].
Ici la suite à la série ostentatoire proposée s'arrête sur -iẽgre, -aìgre, -iāgre, -ǫigre, -iúgre.
-iphe
Dans le corpus considéré concerne uniquement un hippogriphe, biotique unigenré d'une créature fantastique.
Pour les ostentatoires ils peuvent par exemple être rendu par hippogriẽphe, hippogrìlphe, hippogriāphe, hippogriǫphe, hippogriûphe.
-eeve (/iv/)
Dans le corpus considéré concerne uniquement reeve, qui désigne une personne assurant officiellement des responsabilités déléguées par la couronne britannique par exemple de juge en chef d'une ville ou d'un district, bien que la littérature fantastique en face d'autres usages[713].
Pour les ostentatoires, à la suite de la proposition déjà faite pour -esse, -e, -urge il sera suggéré ici d'alterner avec reeviẽse, reevìsse, reevāste, reevǫsse, reevússe.
-iv
Dans le corpus considéré concerne Liv et Tiv.
Le liv, ou live ou livonien désigne premièrement le nom d'une langue appartenant à la branche fennique de la famille des langues finno-ougriennes, très similaire à l'estonien et proche du finnois, ces termes peuvent aussi être employés comme glottophonyme pour désigner ses locutaires. Il en va de même pour le tiv langue tivoïde parlée au Nigeria et au Cameroun.
Pour liv, étant donné l'existance du terme livonien, ainsi que livonienne au moins sous fome adjectivale, il vient spontanément de laisser à l'état virtuel le terme de livoniane et de former les ostentatoires livoniẽne, livonyìne, livoniāire, livoniǫne, livoniûne, par analogie avec ce qui à déjà été proposé pour -ienne, -ien, -iane. Et à la suite de tivoïde, qui permet d'inférer les hypothétiques tivoïenne, tivoïen, tivoïane, il sera de même possible de former les ostentatoires tiviẽne, tivyìne, tiviāire, tiviǫne, tiviûne.
-ive
Dans le corpus considéré concerne convive et détective.
Par ailleurs une pive désigne une personne alcoolique par une forme locutoire unigenrée quel que soit sa phylophénie. C'est aussi le cas pour une locomotive qui métaphoriquement désigne une ersonne, physique ou morale, dont le charisme ou les facultés lui permettent d'influer fortement sur le comportement d’une partie non négligeable de son entourage. De même ive, au sens argotique de vie en verlan est succeptible de désigner n'importe quel être vivant, si le contexte s'y prête[714]. Enfin il reste à signaler casse-olives, variante lénifiante de casse-couilles.
Pour les ostentatoires, il suffira de reprendre ceux déjà proposé pour -ive, -if, -oive : -iẽve, -ìlve, -āve, -ǫve, -ûve, soit conviẽve, convìlve, convāve, convǫve, convûve et détectiẽve, détectìlve, détectāve, détectǫve, détectûve.
Si le pendant d'une batte-lessive devrait conduire à un bat-lessive, aucune attestation de ce dernier n'a pu être trouvé via une succinte recherche.
Le biotique haplogeste comprend :
- un adive, mammifère ;
- un carive, plante ;
- une cive, plante ;
- une craintive, insecte ;
- une endive, plante ;
- une godive, mollusque ;
- une grive et haut-grive, oiseau ;
- une olive, pour métonymiquement désigner l'olivier, arbre ;
- une parive, arbre ;
- un pive, crustacé ou oiseau ;
- une ive, plante ;
- une sensitive, plante ;
- une vacive, mammifère ;
- une vive, poisson.
-ivesse, -ive, -ivaire
Dans le corpus considéré concerne uniquement khédivesse[715][716] et khédive.
Pour les ostentatoires, à la suite de la proposition déjà faite pour -esse, -e, -urge il sera suggéré ici d'alterner avec khédiviẽse, reevìsse, reevāste, reevǫsse, reevússe.
Pour l'isonèphe, c'est -aire plutôt -urge car dans le cas de khédiv-, la sémantique étymologique renvoie à la notion de prince, roi, souverain, seigneur, maitre, divinité, hors contrairement au démiurge qui signifie littéralement qui travaille pour le peuple, il ne s'agit pas de travailler pour l'entité désigné par la base — sauf à considérer quelque monarque qui travaille pour sa seule vaniteuse gloriole.
-ive, i, -oive
Dans le corpus considéré concerne baillive et bailli.
Pour l'isonèphe les ostentatoires, il suffira de reprendre ceux déjà proposé pour -ive, -if, -oive : -iẽve, -ìlve, -āve, -ǫve, -ûve, soit bailloive, bailliẽve, baillìlve, baillāve, baillǫve, baillûve.
-ive, -if, -oive
Dans le corpus considéré concerne active et actif et leurs dérivés polyactive et polyactif, administrative et administratif, agrégative et agrégatif, apprentvie et apprentif, auditive et auditif, captive et captif, combative et combatif, contemplative et contemplatif, créative et créatif, dépressive et dépressif dont dérivent maniaco-dépressive et maniaco-dépressif, émotive et émotif, figurative[717] et figuratif, fugitive et fugitif, hyperactive et hyperactif, hypersensitive et hypersensitif, imaginative et imaginatif, impulsive et impulsif, intuitive et intuitif, juive et juif, méditative et méditatif, naïve et naïf, native et natif, oisive et oisif, passive et passif et leurs dérivés passive-agressive et passif-agressif, sportive et sportif tout comme les termes dérivés tels cyclosportive et cyclosportif, e-sportive et e-sportif, parasportive et parasportif, plumitive[718] et plumitif, possessive et possessif[719], poussive et poussif, primitive et primitif, rétive et rétif, sensitive et sensitif, spéculative et spéculatif, subversive et subversif, supplétive et supplétif, thésitive et thésitif.
Comme dans les autres sections afines, les adjectifs succeptibles de former des noms par ellipse métonymique comme chétive et chétif ou exécutive et exécutif n'ont pas été retenu. Une attention particulière peut tout de fois être donné pour négative et négatif ainsi que positive et positif, qui en soit ne semblent pas employé en tant que désignatifs personnels, mais qui interviennent dans des termes qui le sont courrament comme séropositive et séronégative[720][721]. Celà étant cela l'usage ne généralise pas nécessairement cet emploi pour toutes les dérivations, ainsi une vraie-positive reste rare[722].
Le métchif, mitchif et michif désigne le nom d'une langue et sont donc succeptibles d'un usage métonymique en tant que glottophonyme pour désigner ses locutaires, auquel cas une alternance en métchive, mitchive et michive serait envisageable.
De succinte recherche n'ont pas permi d'établir d'emploi équivalent à un attentif au sens de cavalier, chevalier servant, amoureux, ce qui alternerait logiquement avec une attentive.
Pour l'isonèphe les ostentatoires, il suffira de reprendre ceux déjà proposé pour -ive, -if, -oive, soit -iẽve, -ìlve, -āve, -ǫve, -ûve
-ile
Concerne notamment les termes en -phile, comme cataphile, près de 200 termes dans le corpus considéré, en plus de quoi dans les désignatifs personnels se trouvent bogomile, débile, habile, imbécile, inutile, juvénile, Kablie, sans-asile et vigile.
-ile, -il, -iliane
Pour les cas comme civil provient du cas sujet de l’ancien français qui connaît également civilien dont dérive l’anglais civilian. L’ensemble de ces termes viennent du latin cīvīlis
qui compte notament civilium parmi ses flexions[723][724][725][726][727].
-io
Dans le corpus considéré concerne principalement des apocopes : cambrio, cardio, co-proprio, coproprio, physio, polio, proprio. Donc issues de mots en :
- -euse et -eur, comme cambrioleuse/cambrioleuse ;
- -ogue, comme cardiologue ;
- -iste, comme physionomiste ;
- -ite, comme poliomyélite, personne atteinte de cette maladie ou personne empotée ;
- -aire, comme propriétaire.
D’où l’idée de caler les alternances ostentatoires respectivement sur celles déjà proposées par ailleurs pour ces terminaisons.
Le terme daïmio, également garphié daimyo ou daimyô, désigne un gouverneur principal de province du Japon durant la période féodale. Il n’a a priori pas d’usage historique possible de l’ambigu, mais son emploi épicène se retrouve dans quelques œuvres fictionnelles[728][729][730][731].
Le terme fangio, possiblement issu d’une antonomase du nom de famille Fangio, est attesté dans les deux gestes allusifs ordinaires[732][733][734][735].
Le terme socio, issu de l’espagnol, désigne quelque supporter d’un club de football espagnol.
Le terme imprésario et sa variante impresario est parfois employé de façon épicène, bien que imprésaria soit utilisé en alterance ambigu par ailleurs.
Enfin zozio, variante de zoziau, diminutif de oiseau, peut également désigner un individu louche, étrange ou extravagant.
Dans le vocable biotique haplogeste se trouve :
- un brachio, ourson ;
- un danio, poisson ;
- un fario, Poisson qui précède un grand banc des harengs ;
- une fario, truite fario ;
- un fonio, plante ;
- un manio, arbre ;
- un mésanio, corail ;
- un morio, insecte ;
- un nielluccio, cépage ;
- un rikio, arbre ;
- un sanio, plante ;
-ynia, -arine
barynia et barine
-ia
Dans le corpus considéré concerne : alocasia, baltaguia[736][737][738][739], banania[740][741], Bégonia et bégonia[742][743], canaria, Chaouia[744][745][746], Cia-cia, columbia, craquia, Dia, gloxinia, goubernia, Gevia aussi graphié Geviya ou ɣeꞵia, Kharia, Kodia, Kupia, lobélia, manhuajia, Maria lorsque relatif à la langue dravidienne, Pandunia, paria, pro-mia, rapia[747][748] et son allographie rapiat[749]. rayia aussi rendu par raya ou raïa[750], Tujia, Zia.
Un baharia, pour lequel des recherches succintes n'ont mené qu'à des attestations à l'équivoque, désigne quelque marin algérien ou tunisien incorporé dans la marine française.
De même pour un bunnia, qui en Inde désigne un épicier, souvent aussi prêteur sur gages, pour lequel seuls des attestations à l'équivoque sont ressortis d'une recherche succinte.
Un bandouria ou bandurria, nom d'un instrument de musique peut métonymiquement désigner la personne qui l'utilise
Une chéchia ou chechia bonnet puis par métonymie la personne qui le vêt, à l'instar d’une faradjia, sorte de chemise, d’un fascie, sorte de bandage, d’un protège-tibia, d’une sédria, d'une tholia.
Une codia désigne une personne orientale gynotypée qui pratique l'exorcisme du zar ou zâr.
Le terme goubernia est attesté comme épicène lorsqu'il désigne une province administrative de l’ancien Empire russe, et il est aussi employé de manière éponyme pour désigner la personne qui à la charger de gouverner ce territoir, mais en ce sens aucune attestation à l'équivoque n'a été trouvé après recherche succinte. D'ailleurs La guberniya/губерния
avait à sa tête quelque gubernator/губернатор
, calque du latin gubernator qui connaît pour sa part l'alternance gubernatrix, ce qui en français se transposerait donc spontanément en goubernateur et goubernatrice, bien que par ailleurs l'influnce de gouverneur et gouverneuse amènerait à envisager goubeneur et gouberneuse.
Au Sri Lanka le terme de kattadia désigne des personnes pratiquant une forme de sorcellerie dans le cardre d'une prêtrise d'un culte démonologique. Une succinte recherche n'a permi de trouver que des emplois à l'équivoque.
Macaria dans la mythologie grecque est la fille d’Hadès, déesse de la mort heureuse, ce qui par antonomase est suceptible de désigner une personne qui amène une telle mort.
Dans le contexte russophone le terme niania, est employé pour désigner quelque nourrice, une recherche succinte n'a pas permi de trouver d'attestation à l'ambigu.
Le pro-mia désigne un mouvement qui prône la boulimie, construit sur le préfixe pro- : favorable à, suivi de l'aphérèse de bulimia, terme anglais pour boulémie[751]. Il peut par métonymie désigner une personne considéré comme appartenant à cette mouvance.
Le biotique haplogeste comprend :
- un abelia, plante ;
- un acacia, arbre ;
- un achéria, cépage ;
- un actinidia, plante ;
- un Agustinia, dinosaure ;
- un albizia, plante ;
- un albizzia, arbre ;
- un alléluia, plante ;
- un Alwalkeria, dinosaure ;
- un aralia, arbre ;
- un araucaria, arbre ;
- un Arkharavia, dinosaure ;
- une arméria, plante ;
- une aronia, arbre ;
- une arracacia, plante ;
- une artémia, crustacé ;
- bahia, arbre ;
- une baitaria, plante ;
- un banksia, plante ;
- une barleria, plante ;
- une batavia, plante ;
- une bauhinia, plante ;
- une Bauhinia, plante ;
- une béfaria, plante ;
- un bergénia, plante ;
- un bia, cépage ;
- une bignonia, plante ;
- une bocconia, plante ;
- un bonamia, parasite ;
- un Borogovia, dinosaure ;
- un bromélia, plante ;
- un buddleia ou buddléia, arbre ou plante ;
- un budléia, arbre ;
- un camélia ou camellia, arbre ;
- un Camelotia, dinosaure ;
- un Canardia, dinosaure ;
- un caria, insecte ;
- un cavia, mammifère ;
- une cayaponia, plante ;
- une chaptalia[752][753], plante ;
- un chavaria, oiseau ;
- une chia, plante ;
- une chlamydia, plante ;
- une clarkia, plante ;
- un clivia, plante ;
- un cochléaria, plante ;
- une colocazia, plante ;
- une ou un craquia[754][755], plante ;
- un cria, mammifère ;
- un crocosmia, plante ;
- un cryptomeria ou cryptoméria, arbre ;
- un dahlia, plante ;
- un dasia, lézard ;
- un deutzia, arbre ;
- un dieffenbachia, plante ;
- un ditrysia, insecte[756] ;
- un Efraasia, dinosaure ;
- une Ehrlichia, bactérie ;
- un Eocarcharia, dinosaure ;
- un Eomaia, mammifère ;
- une esenbeckia, plante ;
- un essia, arbre ;
- un Euparkeria, reptile ;
- un Faidherbia, arbre ;
- un faux-acacia, arbre ;
- un fia, mollusque ;
- un filaria, arbre ou ver ;
- un flotovia, plante ;
- un forsythia, arbre ;
- un fraisia ou freesia ou frésia, plante ;
- un fuchsia, plante ;
- un gardenia ou gardénia, arbre
- un Gastonia, dinosaure ;
- une gaultheria, arbre ;
- un gazania, plante ;
- une gilia, plante ;
- une godetia, plante ;
- un gouania, plante ou poisson ;
- un grewia, plante ;
- une grindelia, plante ;
- une guatteria, plante ;
- une guzmania, plante ;
- un habia, oiseau ;
- un Heyuannia, dinosaure ;
- un hortensia, arbre ;
- un hutia, mammifère ;
- un italia, cépage ;
- une ixia, plante ;
- un kentia, plante ;
- un kerria, arbre ;
- une Kimilsungia, plante ;
- une Kimjongilia, plante ;
- une kochia, plante ;
- une leishmania, protozoaire ;
- une listeria ou listéria, microbe ;
- un Lognkosauria, dinosaure ;
- une luparia, plante ;
- un macadamia, plante ;
- un Macaria, insecte ;
- un madia, plante ;
- un magnolia, arbre ;
- un mahonia, plante ;
- une marcgravia, plante ;
- une marchantia, plante ;
- un melia mélia, arbre ;
- un Mercenaria, mollusque ;
- un métaséquoia, arbre ;
- un miconia, plante ;
- un Mirischia, dinosaure ;
- un monilia, champignon ;
- un montbrétia, plante ;
- un Nambalia, dinosaure ;
- un nectria, champignon ;
- une obélia, polype ou méduse ;
- un octobrachia, mollusque ;
- un Oohkotokia, dinosaure ;
- un Opisthicoelicaudia ou Opisthocoelicaudia, dinosaure ;
- un opuntia, plante ;
- un Othnielia, dinosaure ;
- un Oxalaia, dinosaure ;
- un passoubia, plante ;
- une patrinia, plante ;
- un paulownia, arbre ;
- un pépéromia, plante ;
- un pétunia, plante ;
- une photinia, arbre ;
- un pia, plante ;
- un poincinia, plante ;
- un poinsettia, arbre ;
- un procellaria synonyme de pétrel, oiseau
- une procellaria, genre taxinomique comprenant le procellaria, oiseau ;
- une puccinia, champignon ;
- une rafflesia, plante ;
- un raflia ou raphia, arbre ;
- un ratanhia, arbre ;
- une rauwolfia, plante ;
- une rhexia, plante ;
- une Rickettsia, bactérie ;
- un riparia cépage ;
- un russelia, plante ;
- un Sahaliyania, dinosaure ;
- un saintpaulia, plante ;
- un sansevieria, plante ;
- un Saturnalia, dinosaure ;
- un séquoia, arbre ;
- une sesbania, plante ;
- un Shuvuuia, dinosaure ;
- une stévia, plante ;
- une strelitzia, plante ;
- un taenia ou tænia ou ténia, ver ;
- un tamatia, oiseau ;
- un tamia, mammifère ;
- un tapia, arbre ;
- une taxifolia, plante ;
- une témia, oiseau ;
- un Theileria, protozoaire ;
- un thuia ou thuya, arbre ;
- un tilapia, poisson ;
- une tradescantia, plante ;
- une victoria, plante ou poisson ;
- un weigelia, plante ;
- un wellingtonia, arbre ;
- un Yaverlandia, dinosaure ;
- une yersinia, bactérie ;
- un Yurgovuchia, dinosaure ;
- un zamia, plante ;
- un zinia ou zinnia, plante.
-ia, -i
chibania et chibani, tounsia ou tounsie et tounsi
-ia, -io, -ius
Dans le corpus considéré concerne notamment imprésaria et imprésario, bien que ce dernier soit également employé de manière épicène. Celui-ci une terminaison -aria issue du latin -arius, qui donne également -euse et -eur. C’est également le cas dans le très rare usage de pasionario, qui vient en alternance du plus courant pasionaria qui désigne une personne combatante engagée dans une cause social, par antonomase du surnom de Dolores Ibárruri[757].
-iellle, -iel, -éaire
Assez rare pour des désignatifs personnels, cette entrée permet néanmoins de dissoudre les collisions autrement envisageable pour les termes altérant -ielle et -iel. Par exemple sur les racines caractér- ou industr-. L’exemple donné sur offic- démontre l'intérêt d’un -é- plutôt qu’un -i- intercalaire pour l'isonèphe : il permet d’éviter une confusion possible que porterait le terme officiaire[758]. Ce faisant il ouvre cette souplesse d’alternance vocalique pour les suffixes ostentatoires. De plus il permet d’obtenir un ensemble homogène de suffixe ostentatoires tout en évitant un rapprochement du suffixe inanimé à celui rendu par -iol, à la sonorité parfois péjorative, comme dans mariole.
-ienne, -ien, -iste ou -iane
Pour l'isonèphe, deux formes sont généralement envisageable et parfois même employé concurremment. Le même phénomène se retrouve en anglais ou par exemple tant Wikipedian que Wikipedist est envisageable, bien qu’en pratique le premier soit favorisé car jugé plus enclin à susciter le sens d’une appartenance à un groupe, le suffixe -an étant notamment courant dans les gentilés[759]. Tout comme le sont -ienne et -ien en français, encore que l’unique Rochefourchatien pourrait servir de base pour défendre l’idée d’un rattachement au lieu lui-même plus qu’à un groupe endémique[760]. Pour les activités exercés de manière professionnelle, le français ne semble pas favoriser de façon prépondérant l’un où l’autre. Par exemple -ienne apparaît dans 88 entrées contre 123 -iste dans la liste d’appellations de personnes de l’office québécois de la langue française[589], tandis que la liste des métiers fournie par Wikipédia recense 69 termes en -iste et 42 en -ien sur plus de 600 entrées[761][N 58].
Certains noms de métiers isonèphes en -iane trouvent déjà des emplois sur la toile : comédiane[762], grammairiane[763], informaticiane[764], technicianne[765][766].
-ime
Dans le corpus considéré concerne clarissime[767][768][769], Dime, favorissime[770][771][772], généralissime, habilissime, intime, légitime, maréchalissime, mime, nobilissime[773][774], pantomime, pousse-au-crime, pusillanime, sérénissime.
Pour les termes en -issime, il s'agit d'un suffixe adjectivale marquant la valeur superlative, la qualité extrême, qui passe ensuite à un substantif sans autre transformation morphologique.
Si confidentissime et perfectissime s'ouvrent morphologiquement à l'épicénie, par analogie aux autres termes de même terminaison, seul des emplois à l'équivoque ont pu être repérés via une succinte recherche.
L'argot emploie une frime pour désigner un visage, une gueule, il y a donc possibilité d'en user métonomiquement pour désigner une personne, la tournure sera évidente et compréhensible.
Une recherche rapide n'aura permis de trouver aucune attestation pour une grime, qui semble se cantonner à un emploi à l'équivoque que ce soit pour désigner un personnage de vieillard ridicule au théatre ou un mauvais écolier dans le jargon éducatif.
L'usage de minime au sens de personne qui pratique un sport et appartenant à une certaine catégorie d’âge est attesté[775][776][777]. Pour le sens de membre de la congrégation fondée par François de Paule, une rapide recherche n'a pas permis d'en trouver une attestation.
Comme une pantomime peut aussi bien désigner l'art que celle qui le pratique, les recherches d'attestations sont plus complexes que ce que permet de trouver une recherche rapide sur le sujet, bien qu'il ne fasse aucun doute que des actrices jouent des pantomimes[778][779][780].
Le qualificatif sérénissime apparaît surtout spécifiquement dans le titre altesse sérénissime, et est donc par cet intermédiaire serait plutôt à considérer en tant que nom autonome comme une forme abbrégé unigenré à l'ambigu, ce qui n'empêche pas en pratique des emplois équivoques[781][782][783][784].
Enfin une victime est toujours à l'ambigu, bien que faisant débat l'étymologie du terme désignant une créature choisie en guise de sacrifice théologique, renvoie à la notion de don, d'offrande qui ne désignent pas non plus directement d'être biotique.
Pour les ostentatoires, à part un -l- intercalaire qui le désambiguise de l'alternance épicène, il suffira de se caller sur la proposition déjà faite par ailleurs pour les termes avec des terminaisons en -me : -iẽme, -ìlme, -āme, -ǫme (/om/), -ûme.
Le biotique genré comprend :
- un bulime, gastéropode
- un chalime, crustacé
- un gélasime, crustacé
- un halime, crustacé ou plante
- une lime, fruit qui par métonymie peut désigner le limettier acide dont il est issu
- une phronime, crustacé
- un poisson-lime, poisson
- une zozime, plante
-in
Dans le corpus considéré concerne les termes épicènes que sont antivaccin, devin, écrivain, espingoin, flamin, garde-magasin, garde-moulin, guedin, Kachin, mannequin, marin, médecin, rabbin, sans-dessein.
Certains ont en parallèle de l’emploi épicène des alternances dont l’usage reste rare, comme mannequine, marinette, médecienne ou médecine, certains sont légèrement plus courant et stable comme devineresse, là où d’autres sont en recrudescence comme écrivaine et rabbine[785].
Pour garde-magasin et garde-moulin, l’alternance devrait logiquement porter sur garde, terme lui-même épicène, voir la section dédiée à -arde pour plus d’information à ce sujet.
Pour éviter toute bévue, il convient de noter que flamine est un terme sans rapport sémantique à flamin.
-ique
Les termes employant ce suffixe de manière épicène le font par dérivation de l’indo-européen commun *-ik
, suffixe adjectival qui donne le grec ancien -ikós/-ικός
et le latin -icus
[786]. Par exemple scientifique vient du latin scientificus, décomposable en sciens/scientis
: qualificatif d’une personne qui connaît, qui sait, qui instruit et déverbation de facio
: faire, exécuter, effectuer, accomplir[787] sur le même modèle que gratificus
: bienveillant et pacificus
: pacifique. D’où le parallèle avec le suffixe -urge, issue de érgon/ἔργον
: travail, pour former la proposition -icurge. De là des ostentatoires en -icurgiẽre, -icurgìre, -icurgeāire, -icurgeǫre, -icurgeûre, à comparer respectivement à condottière et gnère, sbire et sire, décisionnaire et volontaire, bifore et oxymore, géniture et manicure.
-ique, -ic, -iquestre
Ici c’est notamment le cas de l’alternance entre syndique et syndic qui pose la question d’une forme supplémentaire pour l'isonèphe.
Étant donné que le terme est, au moins dans l’un de ses sens, synonyme de bourgmestre, celui de syndiquestre parraît une proposition plus à même de se fondre dans les usages existant[788][789].
-ier
Outre le désignatif astrologique, ce sont généralement des mots composés qui forme ce type d’invariance de la terminaison lexical des mots au geste allusif : frais-chier, gratte-papier, porte-panier, sans-papier.
-ière, -ier, -iêtre ou -iurge
l'isonèphe en -iurge peut par exemple être prototypé à partir de démiurge, où -(i)urge dérive de érgon/ἔργον
: action, œuvre, occupation, travail et par extension la personne qui réalise une tel démarche. Celà convient donc tout à fait pour les cas où la base suffixée désigne une topique dont la concrétisation est réalisée par la personne référée par le terme résultant. Celà peut donc potentiellement bien convenir pour aventur- dans la mesure où c'est là personne qui vie une aventure qui en est instigatrice et principale force motrice ou au moins représe la structure centrale d'un développement naratif.
Lorsque la base suffixée implique plutôt une condition, un état ou une situation où la personne référée se trouve assujettie indépendament de quelque action qui puisse lui être imputée, c'est plutôt le suffixe isonèphe -iêtre qui est suggéré comme alternance.
-ipte
Dans le corpus considéré concerne alipte, iatralipte, scripte. Seul ce dernier semble attesté dans l'usage comme relevant de l'épicène, cependant aucun argument évident ne semble empêcher la généraltion aux deux premiers.
Pour les alternances ostentatoires, elles se callent directement sur celles déjà proposées pour -iste, par accointance morphologique.
⟨verbe⟩-⟨nom⟩ise
Dans le corpus corsidéré, le seul terme épicène ayant une terminaison en -ise est fend-la-bise. Ici c’est donc le verbe indiquant l’action qui est retenu comme porteur des alternances ostentatoires.
-ka, -ka ou -kate
Dans le corpus considéré concerne aïkidoka, anti-balaka ou antibalaka[790], Baka, judoka, Daakaka, Denka ou Dinka, Hakka, jujitsuka, karatéka, Kaska, kendoka, Mandinka, mangaka, Maninka, Mansaka, Marka, mwaka, Ndjuka ou Ndyuka, Nootka ou Nuuchahnulth, nunchakuka, Paramaka, Paunaka, Saramaka, shravaka[791], Sika, taekwondoka ou taekwondoïste, et Yaka.
Les alternances en -kate trouvées dans aïkidokate, judokate, jujitsukate, karatékate, kendokate, mangaka sont attestées bien qu'elles dérogent à l'absence d'alternance en japonais dont ils sont issus.
Certains termes qui désignent initialement un collectif sous forme pluriel peuvent par métonymie à désigner quelque membre de celui-ci, c'est le cas des anti-balaka ou antibalaka, des Seleka ou Séléka et des sharvakka, troïka.
Une babouchka désigne une femme agée ou une grand-mère, par emprunt au russe babouchka/бабушка
. Son pendant est un dedouchka[792] qui vient du russe diédouchka/дедушка
: grand-père[793]. De même à une dévotchka, tiré du russe dévočka/девочка : jeune fille
, réponds un maltchik[794] ou un malchik[795] tiré du russe maltchik/мальчик
: petit garçon ou jeunne homme[796][797]. Aussi de la mythologie slave sont issus roussalka et sa variante rusalka, qui désigne un esprit féminin des eaux associée à la noyade mortelle qui emprunté au russe rusalka/русалка
: ondine, sirène, dont le pendant masculin le plus intuitif serait rusalk/русалк
, dont quelques attestations témoignent effectivement en russe[798][799] mais qui semblent plutôt à rattacher à sa forme pluriel attestée en français dans la graphie roussalki, le tout provenant du vieux slave rusaliję/рѹсалиѩ
: pentecôte et sachant que le folklore slave lui donne pultôt le vodnik comme pendant masculin aussi dit povodni mož, povodnj, vodianoï, vodovik dedouchka, wodby muž, wodnykus ou wodianoï[800][801]. Chez les Monténégrins un vladika désigne un chef, et en particulier celui qui détient le titre de Prince-Évêque, et qui provient d'une racine commune au russe vladýka/влады́ка
dont le pendant ambigu est vladýčica/влады́чица
[802], possiblement transposable par une vladitchitsa bien que les seuls attestations de cette lexie semblent se faire hors de la francophonie[803][804][805].
Le terme angika renvoie à une langue, cependant des recherche sommaires n'ont pas suffit à déterminer si un peuple Angika est référé comme tel dans l'usage, et si par suite il permet d'employer un Angika et une Angika pour désigner une personne issue de ce peuple. Il en va de même pour bondska, bwaidoka, narkomovka, nuer-dinka, paikoneka, trasianka, tarashkévitsa, wangka.
Dans la mythologie hindou les guhyaka désignent des êtres cachés[806], cependant une recherche sommaire n'a pas permi d'établir si des usages au singulier avaient court en francophonie.
Du côté du biotique unigenré se trouve :
- un aibika[807], plante
- un alsaka, lapin
- un bolonka, chien
- un choka, ou choca, plante
- un chourtka, oiseau
- une ou un dinka, bovidé
- une jevraschka, écureuil
- un kadarka, cépage
- un kaka, oiseau
- un laïka, chien
- un médaka, poisson
- un moka, ou mocca ou mocha, plante
- un mouka, plante
- un nabka, ou nabquah, arbre
- une ou un nioka, bovidé
- un paprika, plante
- un parraka ortalide ou catraca ou parrakoua ou parraqua, oiseau
- un pika, mammifère
- un poka, mammifère
- un quokka, marsupial
- une sharka, virus
- un sifaka, primate
- un symka, plante
- un takamaka, arbre
- un thoka, arbre
- une tonka, arbre
-eika ou -eikesse, -eik
Dans le corpus considéré concerne cheika ou cheikesse en alternance de cheik.
-maïstreuse-ou -maîtresse-, -maître-, -maîtrurge- ou -mestre- ou exclusivement -maître-
L’usage semble demeurer timoré quand à l’emploi de l’affixe -maîtresse-, et semble favoriser d’avantage -maître- comme unique forme allusive. Possiblement, la connotation sulfureuse du terme maîtresse rend plus réticent à son emploi dans des qualificatifs professionnels.
Le poste de maîtresse d’école paraît échapper à ce nefas[808][809][810], sans pour autant se soustraire complètement à son incidence fantasmogène[811][812][813]. D’autres termes comme contremaîtresse semblent susciter moins de réactions de rejets épidermiques ni déclencher de passions libidinales[814][815][816][817].
Certains mots composés de là sorte semblent accepté lorsqu’ils opèrent de manière circonscrite tel maîtresse-chien[818][819][820], mais sont jugés saugrenus lorsqu’ils opèrent une transformation sur l’ensemble des composants comme maîtresse-chienne[821] — chienne pouvant notamment signifier femme délurée et lubrique.
D’autres termes comme maîtresse-verrier ou maîtresse-verrière n’ont semble-t-il jamais été employé dans des publications disponibles en ligne.
Ce sont les considérations dans les grades qui semblent susciter le plus de réticences, au point que les termes correspondant sont employés principalement de manière péjorative, pour en proscrire l’usage, ou railler toute forme de féminisation des titres de métier, par exemples pour quartier-maîtresse[822][823][824][825] et quatrière-maîtresse[826][827][828][829][830]. Au passage sur ce dernier il faut noter l’existence de quartier-mestre, dont l’emploi pour désigner les maréchaux des logis dans les régiments de cavalerie étrangère est tombé en désuétude[831], d’où la suggestion de réactivation en tant que forme isonèphe -mestre- dans les noms composés.
Par ailleurs, par ailleurs le terme maîtrise, par le truchement du suffixe -ise, est analogue à hantise qui pour sa part renvoie aux désignations hanteuse et hanteur, or l'alternance -euse à -eur à déjà été associée à -urge dans la section qui y est dédiée. D'où la suggestion alternative de maîtrurge comme forme isonèphe, qui siginifie littérallement la personne faisant le commandement, la direction, l'enseignement. Et par ailleurs, l'intermédiaire de -euse ayant été mentionné et ce suffixe évoquant nottament celui de majestueuse qui dérive comme maître du latin magnus
: grand/important, il suit spontément la proposition de maïstreuse qui remémore également maestra tout en s'en distinguant suffisament.
-née, -né, -naistre
Dans le corpus considéré concerne aveugle-née et aveugle-né, dernière-née, nouvelle-née ou nouveau-née et nouveau-né, morte-née[832][833][834][835][836] ou mort-née et mort-né, première-née et premier-né.
l'isonèphe s'inspire de l'étymologie de naître qui comprend le moyen français naistre, de l’ancien français naistre, nestre. Plus amont dans l'étymologie se trouve le latin natus, dont l'accusatif singulier fléchie en natum, qui en synchronie peut par exemple évoquer le terme néonat, apocope de néonatalité. D'où l'inspiration de la série ostentatoire natiẽme, natìme, natāme, natǫme, natúme.
Les protomorphomères comme mort- et nouveau- sont parfois mentionné comme interprétable sous une perspective adverbiale pour justifier une invariabilité[837]. Cela paraît peut probant vu qu'aucun dictionnaire consulté ne mentionne les lexies mort et nouveau comme entrée adverbiale, et qu'ils disposent en revanche des adverbes courant mortellement et nouvellement. D'autant que dans les autres termes donnés qui procédent très exactement de la même généalogie lexicale, c'est indubitablement des flexions adjectivales qui s'opèrent sur le premier composant. Une autre hypothèse aux allures moins spécieuses peut considérér ces termes comme des groupes nominaux elliptiques qui éludent et compactent en deux mots un syntagme largement plus étendu comme « cette enfant, être nouveau, tout juste née » et « une entité qu'heurte la mort avant même qu'elle soit née »[838][839].
Les morphes invariables ne faisant guère difficulté, ci après ne sont retenus que les lexies qui supposent un protomophomère adjectival. Les flexions de ceux-ci sont simplement callés sur les formes déjà proposés dans les sections dédiées pour leurs équivalents nominaux d'alternance en -ière, -ier, -iêtre d'une part -orte, -ort, -ortium d'autre part et -elle, -eau, -aistre par ailleurs.
Cela donne donne donc respectivement :
- aveugle-née, aveugle-né, aveugle-naistre, aveugle-natẽme, aveugle-natìme, aveugle-natãme, aveugle-natǫme, aveugle-natúme ;
- dernière-née, dernier-né, derniêtre-naistre, derniẽstre-natēme, dernìstre-natìme, derniāstre-natāme, derniǫstre-natǫme, derniûstre-natúme ;
- morte-née, mort-né, mortium-naistre, mortẽme-natẽme, mortìme-natìme, mortāme-natāme, mortǫme-natǫme, mortúme-natúme ;
- nouvelle-née, nouveau-né, nouveaulle-naistre, nouviẽlle-natẽme, nouveaỳl-natìme, nouvǣlle-natãme, nouvǫelle-natǫme, nouvúelle-natúme ;
- première-née, premier-né, premiêtre-naistre, premiẽstre-natēme, premìstre-natìme, premiāstre-natāme, premiǫstre-natǫme, premiûstre-natúme.
-a
Dans le corpus considéré concerne Mina[840].
-a, -o
Dans le corpus considéré, certains emprunts à des langues latines contemporaines conservent parfois les alternances terminales de genre. C'est par exemple le cas de aficionada[841][842] , d’origine espagnole, qui vient sporadiquement alterner aficionado, bien que ce dernier soit également employé de façon épicène[843] à l'instar de gaucha[844] et gaucho, gitana et gitano, ganadera[845] et ganadero[846][847], graciosa[848] et gracioso, gringa et gringo, guérillera et guérillero, guitarrera[849] et guitarrero, hidalga[850] et hidalgo, mafiosa et mafioso, maja et majo, makinera et makinero, mameluca[851] et mameluco, Michoacana et Michoacano, novillero et novillera[852][853][854], picara[855][856] et picaro, pistolera[857][858][859] et pistolero, pizzaïola et pizzaïolo ou pizzaiola et pizzaiolo, salsera et salsero, santera et santero[860], sonera[861][862] et sonero, torera et torero, tanguera[863] et tanguero, Tica et Tico, ubuntera et ubuntero, vaquera et vaquero ou vaquéra et vaquéro. Cela contraste par exemple avec amigo, qui connaît un usage épicène[864][865], mais dont l’alternance originelle en amiga n’est pas employé : de fait en francophonie une amiga fait uniquement référence à l’un des ordinateurs personnels qui fut commercialisée par Commodore International, et une amigo fait plus souvent référence à une motocyclette qui fut commercialisé par Honda.
Si latina alterne latino et torera alterne parfois torero, pour leur part bandérilléro, chulo, desperado, dinamitero, estanciero, falso, gambusino, hacendero semblent sans alternance en usage ce qui n'empêche pas un potentiel emploi par épicénisation ou alternance en genre ambigu par un suffixe -a.
L’alternance aouéla et aouélo est employé en Algérie, inspiré par l'espagnol abuela et abuelo.
En revanche apoco, qui vient de l’iltalien pour désigner une personne inepte, semble inusité au geste ambigu à l'instar de bélître. Et dans cette veine d'allusif haplogeste se trouve bambino, qui s'est importé de l’italien sans son alternance bambina, bufo sans bufa, capo sans capa, carbonaro sans carbonara, facchino sans facchina, libero aussi graphié libéro sans libera. De même en italien brava alterne avec bravo, mais en français un bravo désigne un tueur à gage androtypé, où tout au moins de succintes recherches n'ont révélé des emplois qu’à l'équivoque. Quand à bimbo, il ne s’emploi guère qu’à l’ambigu bien qu’en suivant l’italien se serait plutôt bimba auquel il faudrait s’attendre. Si maestra semble se diffuser dans l'usage[866][867][868][869], les organismes institutionnelles et les presses plus conservatrices préfèrent encore présenter maestro comme unigenré[870][871][872][873] ou épicène[874][875]. Pour sa part un patito ne semble guère suciter l'usage d'une alternance ambigüe, si ce n'est pour en interroger la forme la plus probante entre une patito et une patita[876]. L'alternance entre pifferara et pifferaro est attestée, bien que ce dernier terme soit rarement employé et le premier soit d'usage extraordinaire[877]. Quand à une putta comme alternance à un putto pour désigner quelque enfant en complète nudité dans les représentations artistiques, sa paronymie injurieuse avec une pute, contribue probablement à la rareté de son emploi[878]. Pas de souci d'altenance entre une ragazza[879][880] et un raggazzo[881][882], seconda et secondo, ténorina et ténorino ou tenorina et tenorino, zingara et zingaro.
Du côté des emprunts au portuguais se trouve cabocla et caboclo[883], seringueira[884] et seringueiro ou seringuero ou séringuéro.
Dans le registre injurieux gogolita alterne parfois gogolito[885][886][887].
-a, -us
caballa et caballus
-aude, -o
Dans le corpus considéré concerne saligaude et saligo, bien que ce dernier s'emploi aussi de façon épicène et à par ailleurs une allographie en saligot qui pour sa part alterne avec saligote[888][889][890] ou parfois saligotte[891][892]. Constat similaire pour un salo, variante de salaud qui lui alterne avec une salaude tout au moins sur le plan de son paradigme lexicologique. En pratique l'usage contemporain retient cependant plutôt une alternace avec une salope. Ce terme avec lequel salaud partage l'étymon qui forme sa base sal-, emploi un appendice suffixal provient d'une dérivation diachroniquement sans rapport. Ce qui explique d'ailleurs que salope soit pour sa part initialement unigenré, avec une étymologie qui le ramène à un vocabulaire biotique où il vaut initiallement comme synonyme de coq merdeux. En effet ce nom d'oiseau serait passer par les qualificatifs de formes intermédiaires que sont sale huppe, sale hoppe et salouppe. Cette mésalternance n'est du reste pas pleine et entière : le terme de salope couvre tout une dimension sémantique de sexualité dégradante et de désavœux de dignité humaine que ne convoit pas ou très peu celui de salaud. Ce sur quoi les locutaires ne se méprennent a priori aucunement en injuriant leurs congénères de salope que les personnes ainsi invectivées soient gynotypées, androtypées ou allotypées — quand bien même cela se fait dans l'ignorence complète de ces pélégrinations lexicales. Par ailleurs, trois termes homonymes à salope qui sont sans aucun lien étymologique avec le précédent donne salope comme strictement ambigu dans le cas où il désigne un poisson, strictement équivoque lorsqu'il désigne un coussinet, ou épicène quand il désigne un manteau — l'usage hésitant pour ce dernier. Si comme de façon générale un habillement peut métonymiquement désigner la personne qui le vêt, la proéminence de l'emploi de son homonyme injurieux ne serait laisser de place à une telle figure de style sans patente connotation calomnieuse.
-aude/-ote, -aud/-o/-ot
Dans le corpus considéré concerne soulaude ou soûlaude ou soulote[893][894] et soulaud ou soûlaud ou soulo ou soulot ou
-aude/-eaude/-oune, -aud/-eau/-o
Dans le corpus considéré concerne snoraude ou snoreaude ou snoroune et snaureau ou snoraud ou snoro ou snorreau
-oune, -o
Dans le corpus considéré concerne notamment floune et flo[895][896], tandis que dans nounoune et nono le mot complet est altéré par maintien du redoublement de la voyelle.
-oyette, -o, -iste
Dans le corpus considéré ne concerne que yoyette et yo, termes employés au Cameroun pour désigner une jeune personne à la mode.
l'isonèphe et les équivoques proposées sont calés sur les propositions déjà faites pour -ite, -it, -iste.
-ote, -o
Dans le corpus considéré concerne notamment minote et minot, rigolote et rigolo.
-otte, -o
Dans le corpus considéré concerne notamment cocotte et coco dont dérivent nice-cocotte et nice-coco, fachotte et facho magotte et maggo, pélotte et pélo ou pelotte et pelo[897][898]
-olette, -o
gigolette, gigolo
-oïne, -os
héroïne et héros
-i, -o, -ès
Dans le corpus considéré concerne narvali et narvalo, racli et raclo[899], tous deux empruntés au romani. D'où par égard à l'esprit romanès[900], la proposition d'un isonèphe en -ès. Et de là, vue l'homophonie à -esse, la reprise des ostentatoires -iẽse, -ìsse, -āste, -ǫsse, -ússe. Soit narvalès, narvaliẽse, narvalìsse, narvalāste, narvalǫsse, narvalússe et raçès, raciẽse, racìsse, raçāste, raçǫsse, raçússe.
-o
Cette terminaison est parfois donnée comme dérivant du latin -us ou -um, de même que -ot ou en -au. Quand elle clôt une abbréviation, celle-ci relève généralement du vocabulaire famillier, voir injurieux.
Dans le corpus considéré, outre ceux issus d’appocopes, les termes épicène en -o concerne notamment :
- des désignatifs personnels métonymiques où l’individu est référé par le nom de la communauté civile, culturelle, ethnique, linguistique ou taxonomique auquel il est jugé apartenir comme Aka-bo ou Bo, Akateko, Akawaïo, Akposso, Alekano, Ambo, Amdo, Amo, Amuzgo, Antoniaño, Ao, Arapaho, arbico, Ayiwo, Ayoreo, Bagitto, Barbareño, Bésiro, Belo, Bicolano, Bobongko, Bodo, Bolinao, Bongo, Bozo, Caddo, Calo, Cashibo, Cebuano ou Cébouano, Chácobo, Chamicuro, Chamorro, Chatino, Chavacano, chicano, Chimariko, Chinchorro, Chiquitano, Chiriguano, Chochenyo, Congo, Cruzeño, Cubeo, Cumanagoto, Cupeño, Dadjo, Dano, dégo, Desano, Digaro, Digo, Dogoso, Eskimo, Etulo, Éwondo de langue aussi nommée kóló, Filipino ou Pilipino, Forro, Franco, Gabrielino-Fernandeño, Gallo, Gao, Guayabero, Gayo, Gelao, Guarayo, Ghotuo, Gogo, Gouro, Grebo, Griko, Guahibo, Guajiro, Hanunóo, Héréro aussi graphié Herero, Homo, Ho, Horo, Ibibio, Ibo ou Igbo, Ignaciano, Ijo, Ikposso, Ilocano aussi graphié Ilokano, Ineseño, Iowa-Oto dont sont les Otos, Iquito, Javierano et sa forme longue Mojeño-Javierano lié au mojeño du peuple Moxos aussi dit Mojos et Moxeños, Jebero, Juaneño, Judesmo ou Ladino, Kado selon l’un des noms donné au haoussa, Kayapo, Kéo, Kinikinao, Kikongo, Koko, Komo, Kono, Konso, Koro, Kpɛlɛwoo, Krio, Kriollatino, Lao, Lango, Leco ou Leko, Logo, Lokono aussi dit Arawak, Loko, Lolo, lomongo ou lonkundo du nom de la langue bantoue parlée par le peuple Mongo, loretano du nom du dialecte du mojeño, Luiseño, Luo, lunfardo du nom de l'argot de Buenos Air, Luo ou Lwo, Luwo, Maco quand il a trait à la langue salivane, Mojeño-ignaciano, Mojeño-javierano, Mojeño-loretano, Mojeño-trinitario, Maguindanao, Malo, Manchego tout aussi éponyme que son synonyme Manchègue, Maranao, Marovo, Mataco, Mato, Migueleño, Miskito, Mizo, Mlahso, Modo, moko variante de maucot, Mono, Moro, Moxeno, Naoklao, Navajo, Ndo, Neo, Négrito, Néyo, Numao, Nunóo, Nukuoro, Obispeño, Oblo, Obo, Oromo, Otuho, Pachto ou Pashto, Palenquero, Papiamento, Pero, Piapoco[901][902], Pokomo, Purisimeño, Qabiao, Quilombo[903], Remo, Resigaro, Reyesano, Saho, Sango, Serrano, Sesotho ou Sésotho, Seto, Sénoufo, Shakacho, Shipibo-Conibo, Shipibo, Sidamo, Silbo, Sinaugoro, Sio, Siriono, Slovio, Songo, Soso, Sotho, Sranantongo, Taïno ou Taino, Tamambo, Thao, Teko, Teso, Tolomako, Toromono, Toro, Toto, Touroyo, Trinitario, Trio, Tucano ou Tukano, Ventureño, Tunebo, Turoyo, Vaeakau-Taumako, Vo, Voro, Võro, Võro-Seto, Wanano, Wano, Wappo, Winnebago, Yanito, Yao, Younyo, Zamuco[904], Záparo, Zingaro ;
- ou au contraire des désignatifs des personnes n’appartenant pas à une communauté comme gadjo, gwaï-lo ou gweilo, Métro et payo ;
- des désignatifs d'êtres vivant appartenant à une race ou topant un trait physiologique saillaint comme ambo, angwantibo, arompo, bororo et sa variante m’bororo, bosco, chabo, doayo, jotko, mbororo ou m'bororo, rénitelo, romosinuano, sheko et plus spécifiquement pour désigner cheval et jument selon un un gène de robe sont employés cremello, grullo, manchado, overo[905], palomino, perlino, pinto[906][907][908], sabino, tobiano, tovero[909][910] ;
- des désignatifs dépréciatifs ou péjoratifs comme babao, babo, bozo[911], dago, golgo, michto[912][913][914][915], mogolito, ndepso[916][917], pulco[918][919], quasimodo[920] par antonomase du personne du roman Notre-Dame de Paris, royco quand il désigne quelque membre des forces de l'ordre, saligo[921][922], virago, zéro[923][924], zigoto[925][926][927], zozo ;
- des désignatifs marquant l’adhésion à un mouvement, une pratique ou une doctrine comme christino, communéro ou comunéro, paléo, rococo ou coco ;
- des désignatifs selon une activité, une attitude, une classe, un rôle ou un titre social comme alto, amigo et son aphérèse igo, arriéro, colao, bobo, bracero, calimero[928], caudillo[929], commando[930] aussi abbrégé cdo, colao, comprachico, contralto, cubo, dabo, daimyo aussi graphié daïmio, daïro, décoristo, descamisado, desperado, dinamitero, dozo[931], facchino[932], fao, figaro, flo, ganadero[933], hatamoto[934], invalo, kadogo, loco ou loko[935], mezzo aussi graphié mézzo, mezzo-soprano, mikado, pipo, pro quand il antonomyse anti, soprano, paparazzo, polisario[936], putto[937][938], quado[939][940], royco quand il désigne quelque royaliste, vomito[941][942] pour une personne sujette à des vomissements, vopo[943][944], zambo[945][946].
Chacune de ces catégories peuvent être étendues dans des genres ostentatoires reposant sur des isonèphes virtuels spécifiques :
- ces termes pourront donner lieu à des ancrages distincts selon la sémantique recherché, avec -aire pour préciser l'appartenance à une ethnie, -ense/-isque pour la qualité de résidence d'un territoire, et -ophone pour l'aptitude linguistique
- mêmes remarques et propositions que précédement ;
- pour insister spécifiquement sur le caractère d'entité vivante il serait envisageable d'employer -(o)biote ou -(o)bionte comme alternance suffixale isonèphe virtuelle, cependant ici il est plutôt proposé de le réduire à -onte, à l'instar de l'épicène démogéronte, ce qui donnera donc des ostentatiores en -iẽstre, -ìstre, -āstre, -ǫstre, -ûstre ;
- vue la qualité péjorative de ces termes, il se combineraient judicieusement à -asse, d'où des ostentatoires en -iẽse, -ìse, -āse, -ǫse, -ûse ;
- correspondent pleinement à l'une des sémantique du suffixe -iste, d'où la proposition d'alterances ostentatoires en -iẽste, -ìxte, -āste, -ǫste, -ûste ;
- là aussi -iste peut généralement convenir pour la majorité de ces termes, auquel cas la même suite d'alternance ostentatoire est préconisable, par contre il sied moins à des termes ayant une forte dimension d'intimité affective comme amigo, auquel cas il peut être préférer de se baser sur un suffixe désignatif plus neutre comme -aire présent dans des mots comme humanitaire, solidaire et volontaire ou -ade présent dans camarade et nomade, -ique présent dans agnostique, romantique ou scientifique voir carrément éllogieux sous-entendant une attitude pourvoyeuse de soins ou de bienfaits en général avec un suffixe comme -iatre, employé dans hippiatre, hypniatre ou podiatre mais sans lien étymologique avec les termes en -âtre comme acariâtre et opiniâtre.
Par ailleurs de nombreux termes en -o proviennent d'apocopes, et n'ont donc pas vocation à recevoir de pendant ostentatoire : leur construction abbréviative est consubstentiel d'une sémantique dont la dimension allusive est amplifiée. Parmi ces termes certains sont issus de noms eux-mêmes déjà épicènes, avec parfois même l’ajout du -o à la troncation, confer alcoolo et anarcho, qui peut même déboucher sur un terme aussi long que l'original, confer négro, ou relever d’une alteration plus conséquente encore, confer clodo. Parmi les mots qui partent d'un nom épicène se trouve :
- Abo pour Aborigène,
- abolo pour abolitionniste de la prostitution,
- alcoolo pour alcoolique,
- amerlo pour amerloque,
- anarcho pour anarchiste,
- anglo pour anglophone,
- archéo pour archéologue,
- aristo pour aristocrate,
- barjo, graphie alternative de barjot,
- bipo, pour bipolaire,
- bolcho, pour bolchevique,
- cardio, pour cardiologue,
- catho ou cato, pour catholique,
- chasso, pour gardien de prison, terme tiré du russe
tchasovoy/часовой
dans l’œuvre Orange mécanique - claustro pour claustrophobe,
- clodo par l’intermédiaire de clodoche et charclo par Verlan, pour clochard,
- claustro pour claustrophobe,
- coco, pour communiste,
- collecto pour collectiste,
- copro pour copropriétaire,
- crado pour cradingue,
- dactylo pour dactylographe,
- démago pour démagogue,
- dermato pour dermatologue,
- dingo pour dingue,
- diplo pour diplomate,
- écolo pour écologiste,
- électro, pour électricien ou électricienne,
- emo, pour emocore
- gastro, pour gastro-entérologue,
- gaucho, pour gauchiste,
- guédro, pour droguée[947] ou drogué
- gynéco pour gynécologue,
- hérodo pour hérodosyphilitique,
- homéo pour homéopathe,
- hystéro pour hystérique,
- invalo, pour invalide,
- litho pour lithographe,
- machino pour machiniste,
- maso pour masochiste,
- mao pour maoïste,
- mégalo pour mégalomane,
- métalo[948] pour métalurgiste,
- miso[949] pour misogyne,
- moblo pour gendarme mobile,
- mytho pour mythomane,
- négro pour nègre,
- ophtalmo pour ophtalmogue ou ophtalmogiste,
- ortho pour orthodontiste ou orthophoniste,
- oto-rhino ou otorhino pour oto-rhino-laryngologiste,
- ostéo pour ostéopathe,
- parano pour paranoïaque,
- pédago pour pédagogue,
- pédo pour pédophile,
- phalo pour phallocrate[950][951][952][953],
- proprio pour propriétaire,
- perso pour personnage, en considérant quelques circonspections sur le caractère entier de cette épicénie fournie plus loin dans cette section
- physio pour physionomiste,
- prolo pour prolétaire ;
- proxo pour proxénète[954][955][956] ;
- psycho pour psychopathe ;
- québlo, pour personne bloquée dans son introversion,
- racho pour rachitique,
- radio pour radiotélégraphiste[957],
- saxo pour saxophoniste,
- screamo, issue d'un mot valise entre scream et emocore
- spéléo pour spéléologue,
- rando pour random emprunté à l’anglais pour désigner une personne quelconque s’incrustant dans une fête,
- réalo pour réaliste,
- roto pour rotativiste,
- rhumato pour rhumatologue,
- sado pour sadique
- sado-maso ou sadomaso pour sadique-masosochiste,
- schizo pour schizophrène,
- séro pour séropositif,
- socialo pour socialiste,
- solo pour soliste,
- spéléo pour spéléologue,
- sténodactylo pour sténodactylographe,
- sténo pour sténographe,
- stomato pour stomatologue,
- sumo pour sumotori[958],
- terro pour terroriste,
- toxico pour toxicomane,
- triso pour trisomique,
- typo pour typographe,
- trotsko pour trotskiste
- véto pour vétérinaire,
- yougo pour yougoslave
D’autres apocopes dérivent de termes initialement non-épicène et gagnent l’épicénie dans la troncation comme :
- accro pour accroché ou accrochée,
- ado, pré-ado ou préado et quincado ou quinquado pour adolescent ou adolescente,
- afro, pour de nombreux termes commençant par ce morphe renvoyant à une sémantique géo-ethnique mêlé à des idéologies plus où moins circonscrites parmi lesquels figurent afro-américain et afro-américaine, afro-argentin et afro-argentine, afro-asiatique, afro-brésilien et afro-brésilienne, afro-caribéen et afro-caribéenne, afro-colombien et afro-colombienne, afro-descendante et afro-descendante, afro-équatorien et afro-équatorienne, afro-féministe, afrofuturiste, afro-latin et afro-latine, afro-optimiste, afropéen, afro-pessimiste, afrophone, afropolitain et afropolitaine, afro-québécois et afro-québécoise, afroqueer, afrosémitique, afro-uruguayen et afro-uruguayenne, afro-vénézuélien et afro-vénézuélienne,
- alsaco pour alsacien ou alsacienne,
- artiflo pour artilleur ou artilleuse,
- bobo pour bourgeois-bohème ou bourgeoise-bohème,
- braco pour braconier ou braconière
- branlo, pour branleur ou branleuse
- briocolo, pour bricoleur ou bricoleuse,
- cambrio, pour cambrioleur ou cambrioleuse,
- cavalo, pour cavalier ou cavalière
- charo, pour charognard ou charognarde
- chiro, pour chiropraticien ou chiropraticienne
- civelo, pour civil ou civile
- clando, pour clandestin ou clandestine
- codirlo pour codirecteur ou codirectrice,
- collabo pour collaborateur ou collaboratrice,
- colo, pour soldat ou soldate de troupe coloniale
- coordo pour coordinateur ou coordinatrice,
- cuisto, variante de cuistot issue de cuistance et -ot, pour cuisinier ou cuisinière,
- dirlo pour directeur ou directrice,
- fusco, pour fusilière-commando ou fusilier-commando
- hippo, pour hippopotamesse ou hippopotame
- homo, pour homosexuelle ou homosexuelle
- kapo, par altération de caporal ou caporale,
- intello pour intelectuel ou intellectuelle,
- jojo, pour jobard ou jobarde,
- Luxo pour Luxembourgeois ou Luxembourgeoise,
- maq' pour maquerelle ou maquereau ;
- mécano[959] pour mécanicienne ou mécanicien ;
- modo pour modérateur ou modératrice,
- mono, pour moniteur ou monitrice,
- musico, pour musicienne[960][961] ou musicien,
- Monparnot, pour montparnassienne ou montparnassien en particulier pour des artistes vivant à Montparnasse dans la première moitié du XXe siècle ;
- narco pour narcotrafiquant ou narcotrafiquante,
- pro et néopro pour professionnel ou professionnelle,
- piccolo pour piccoleuse ou piccoleur,
- pipo pour polytechnicien ou polytechnicienne,
- popo pour policière ou policier,
- Prusco pour Prussienne ou Prussien
- pro pour profesionnel ou profesionnel,
- provo pour provocatrice ou provocateur,
- romano pour romanichelle ou romanichel
- ramollo pour ramolli ou ramollie,
- rhéto pour rhétoricien ou rhétoricienne,
- techno pour technicienne ou technicien,
- travelo pour travestie ou travesti[962][963],
- twitto pour twitteur ou twitteuse,
Toujours du côté des apocopes ceraines se réduisent seulement à un préfixe usel notament pour ce qui à trait au sexuel : allo, homo, hétéro.
ℹ️ Dans le vocabulaire issue des catégorisations de pratiques sexuelles, d’autres termes sans terminaison en -o existent : bi, cis et trans. Par contre aucun des autres termes suffixés en -sexuel ne donne une telle appocope : a n'est pas employé comme nom abbréviatif, alter abbrège altermondialiste, auto abbrège automobile ou plus rarement automate, et les constats sont similaire pour demi, digi, éco, hyper, lumber, métro, omni, pan, poly, pomo, sapio, skolio, sporno, tri, über.
Les métonymies qui sont succeptible de désigner une personne d'après ce qu'elles vêtent un pareo ou un paréo, un mombo-jombo, un morillo, un polo, un poncho, un qipao, un rhéno, un salako, un san-benito, un schako ou shako, un scudetto, un sombréro ou sombrero, un speedo, une stiletto, un tuxedo ou tuxédo, un umbo, un lodo. Ce dernier dérive de loden, qui désigne un manteau, bien qu'aucune attestation du diminutif pour désigner une personne n'a été trouvé après une recherche succinte.
Les métonymies qui sont succeptible de désigner une personne d'après une partie de leur anatomie comprend un abdo, un roploplo.
Également dans le registre de la métonymie, un micro, une paixiao, un pandeiro, un pandero, un Pao, un piccolo, un pinquillo, un pipasso, un pututo, un puukko, un salterio, un seto, un sopranino, un taiko ou taïko, un taishōgoto, un tashepoto, un taxi-auto, un taxico, un taxi-vélo, un torpedo ou une torpedo, un trabuco quand c'est une arme, un traverso, une vago, un vélo, un vélo-cargo, un violicembalo, une Volvo, une xiao, un xilo quand il apocope xylophone, un yaktaro, un yoyo, une zahato peuvent désigner la personne qui emploi ces objets fonctionnels, ou le pakalolo qui désigne le canabis en polynésie et donc par suite une personne qui en fume de même pour un papelito, un popo quand il désigne du haschich, un soutado, un tcherno, un trabuco quand c'est un cigare.
Et toujours par métonymie en partant cette fois d'une notion plus abstraite un numéro, qui peut désigner un spectacle donne par suite le sens de personne drôle ou particulière, sous entendant que les interventions de cette personne donne souvent lieu à des évènements dignes d'un spectacle[964][965][966]. Sur le registre émotionnel se place un prurigo, l'envie irrépréssible qui peut servir à désigner la personne qu'elle consume. Et dans celui de la parole, un sproposito pour la personne qui l'énnonce.
Dans la culture peule ardo qui désigne une personne à la tête d’un village, d’une tribu, ou simplement d’une famille est traditionnellement uniquement employé à l’équivoque.
Si par définition, un falseto désigne un individu androtypé, chantant dans le registre éponyme et kho désigne un frère donc impliquant l'androtypage du référé. Par contraste une ganguro, une geiko, une go désignent par définition un individu gynotypé. Aussi, si commando est épicène tout comme l'est l’abbréviation fusco, ça n’est évidemment pas le cas de fusilière-commando et fusilier-commando. Dérivant d'un même étymon un Sonderkommando désigne deux types d'unité militaire du régime nazi, et par métonymie les personnes qui y ont été affectées, ce qui semble s'être limité à des personnes androtypées, une recherche succinte ne faisant remonter que des emplois à l'équivoque, avec un même constat pour zaun-kommando.
Pour le cas du machisme, le terme épicène machiste peux également être envisagé comme alternance isonèphe à macho. Et si le protagoniste désigné à l'équivoque est sans conteste un macho, le cas de l'ambigu est plus protéiforme, avec aussi bien des usages d'une macho[967][968][969][970] que d'une macha[971][972][973]. Cela dit une macha désigne par ailleurs un mollusque marin bivalve pêché sur les côtes de l'Amérique du Sud. Et puisque le terme est un emprunt à l'espagnol, il peut être intéressant de remarquer que pour sa part il retient machista[974] comme équivalent épicène à machiste en plus de machona et machorra qui se traduisent usuellement virago.
Et puisqu'il est évoqué, il peut être indiqué dans la foulé que virago donne principalement lieu un usage à l'ambigu, mais connaît quelques attestations à l'équivoque sans que le trait gynotypant soit jamais exclu, sauf quand un virago désigne un modèle de moto ou de leurre piscicole[975][976][977][978][979]. L'historique sémantique du terme ne manque d'ailleurs pas de rocambolesque. En effet au moins pour certaines sources il désigne initiallement une femme forte et courageuse d'où l'emploi de la base vir- que l'étymologie rattache à l’indo-européen commun *Wiros, figure guerrière mature de l'humanité. À comparer donc avec vierge terme issu du latin virgo de même sens, lui-même de l’indo-européen commun *varg
: vigueur qui donne entre autres le sanskrit ūrg
: force ainsi que le grec orgaô/ὀργάω
: enfler, gonfler, murir, orgê/ὀργή
: agitation intérieure qui gonfle l'âme[980][981][982][983]. Les sociétés patriarcales et phallocratiques vont dogmatiquement restreindre ces traits aux personnes arrhénotypées d'où la réduction du viril à la portion mâle de l'humanité. Et de là une interprétation de la virago sans lien sémantique direct avec l'attitude combative ou martiale, mais qui y soit rattachable seulement par l'intermédiaire d'une allure ou d'un comportement virile, donc socialement masculinisante. Et la vue machiste ouvrant la voie à la mysogynie, sous cette perspective la virago est socialement dévalorisée par association au caractère d'une personne autoritaire, grossière et rude. Le pendant pour une personne gynophène androtypée dans la langue courante sera un éfféminé, qui a déjà une connotation désobligeante et ontologiquement rabaissante en dignité humaine, à quoi surenchérissent un homme soja, un femmelin ou une femellette qui entretiennent une signification franchement insultante. Hormis homme soja, tout ces termes s'apparentent évidemment à femme et femmelle, qu'une étymologie courante raccorde à la racine indo-européenne *fe
: qui donne la vie. Il y a là un saisissant contraste entre sens primordiale évoquant une puissance de la création vitale à traits sémantiques insinuant une idée d'anémie, de couardise, de faiblesse, de frêle fragilité, de molesse, de pusillanimimité, de veulerie et de façon générale tout ce qui suggère une dégénérescence stérile. Cela étant, comme viril est plutôt homologue de mulièbre, sur un plan lexical un analogue de virago serait plutot mulierago. Un tel terme, s'il a jamais été employé en français, ne se retrouve pas via une succinte recherche de quelques occurences, mais quelques rares attestations se trouvent dans des textes en latin dans quelques gloses théologiques[984].
Un maco, quand il ellipse maquereau au sens de proxénète, n'a été trouvé en usage qu'à l'équivoque après recherches succintes[985][986]. Il alternera donc plutôt avec tout diminutif opérant pour maquerelle, dont macrelle, makrelle, mac[987][988][989][989], maq'. Comme maq' par sa construction apocopique donne une lexie commune aux alternances ambigu et équivoque, il hérite d'emblée d'un caractère épicène ; et pour complétude il sera mentionné qu'il est bien entendu sans lien étymologique avec le terme maq'ab[990]. Par contre en ce qui concerne une maca, qui a bien des emplois pour désigner une plante, une recherche succinte n'a pu trouver aucune attestation de son emploi dans le sens de proxénète gynotypée par alternance à maco.
Si certains lamidats s'orientent vers plus de parité politique incluant les femmes dans les processus officiels[991], il ne semble pas encore y avoir encore d'alterance en genre à un lamino, dont le pluriel donne des lamibé.
D'origine nipone les termes geiko, maiko et majokko[992][993] sont défintionnellement lié à un trait gynotypant, ce qui conforte la faible probabilité de les voir employé autrement qu'au genre ambigu. De fait une recherche succinte n'a trouvé aucune attestation à l'équivoque. Si historiquement le titre impérial japonais de mikado n'a été porté que par des personnes androtypés, il connaît quelques usages à l'ambigu dans des œuvres de fiction[994].
Une mambo ou une manbo, désigne une prêtresse dans la religion vaudou à Haïti. Son équivalent androtypé se nomme un hougan ou un houngan, ce qui en fait des alternances sans base lexicale commune tout au moins pour ce qui se laisse apprécier manifestement en synchronie.
De son côté un manicongo, un manikongo, qui incarne la chefferie politique chez les peuples kongos ne laisse aucun doute sur sa discrémination androtypante, quand bien même la matrilinéarité revêt une importance significative dans ces sociétés[995]. Cela étant il est assuré que kongo est épicène[996], aussi sur le plan purement lexical tout terme qui l'emploi comme composant terminal peut aisément prétentdre à ce même degré d'épicénie.
Si le titre de chefferie que désigne mico dans la culture amérindienne à jamais été attribué à des personnes apandrotypés, c'est-à-dire à quelqu'autre individu que ceux exhibant des traits arrhénophènes ou virils, cela n'a pu être constaté par une recherche succinte qui n'a constaté que des emplois à l'équivoque.
Le terme mino est allographique de minot. Les deux donc désignent un jeune humain androtypé, mais seul le dernier trouve une alternance directe dans minote. À comparer au lexique proche de minette et minet. Sur le plan étymologique, tout ces mots dérivent de mine, une ancienne mesure de grain égale à un demi-setier, à comparer à l'expression demi-portion. Contrairement à mino, la graphie minot est également homographe à la lexie distincte issue de la marine qui désigne un arc-boutant faisant saillie à chaque épaule d’un navire sur lequel s’amure la voile de misaine, qui dérive du breton min
: bec, pointe. Ce même étymon donne d'ailleurs minauder ainsi que minaudière et minaudier, qui outre la parophonie sont donc sans lien avec mino. De plus il faut souligner que mino n'alterne jamais avec Mina, qui pour sa part désigne une langue gbe et par suite ses locutaires[840].
Le terme nympho étant l'apocope de nymphomane il est également gyntotypant et promu a priori exclusivement en emploi ambigu. Il existe cependant de fait quelques emplois d'un nympho à l'équivoque, fut-ce pour en souligner l'incongruité formelle[997][998][999][1000]. Plus formellement le pendant androtypé de la nymphomane est le satyriasis, il pourrait donner lieu à une version abbrégé comme satyro, mais une succinte recherche n'a pas permi de trouver d'attestation pour un tel emploi.
Le terme orero désigne une personne en quête d’or dans un contexte hispanique. Une recherche succinte n'a pas permi de trouver d'attestation français pour un usage à l'ambigu, que ce soit une orero ou à l'instare de son homologue espagnol une orera. Il ne doit pas être confondu avec son homonyme équivoque, aussi graphié ‘ōrero[1001], qui désigne l'art oratoire traditionnel tahitien, et par suite la personne personne qui le clame auquel cas orero peut être épicène[1002][1003] ou alterner avec une orero-atrice[1004]. En effet si ce dernier amènerait spontanément à une alternance avec un orero-ateur, une recherche succinte n'a pas permi d'en trouver quelconque usage. Également d'origine castillane et sans usage retrouvé à l'ambigu se compte un verdugo, synonyme de bourreau.
À un painco, qui est issue du verlan pour copain, alterne sans surprise une pineco par inversion de copine. Le verlan ouvre donc ici à une forme d'alternance intralexicale en déplaçant cette flexion de sa bordure suffixale ordinaire vers un fléchissement infixal autrement rare dans la dérivation du vocabulaire synchronique du français.
Le cas du terme perso, qui abbrège personnage nécessite une analyse spécifique. En effet dernier est généralement considéré comme strictement équivoque, de la même manière que personne est considéré strictement ambigu. Il est cependant fréquent de trouver des attestations d'une personnage, bien que majoritairement ce sont là des erreurs de transcriptions comme l'atteste l'absence de coordination à l'ambigu des adjectifs et pronoms qui devraient sinon les accompagner[1005][1006][1007][1008][1009][1010], mais quelques rares cas poussent l'emploi ambigu avec coordination[1011][1012][1013][1014].
Au Québec, par référence à une spécialité culinaire à base de saucisse fumée enrobée, un pogo désigne une personne ordinaire, quelque quidæne ou individu lambda.
De façon péjorative, par références aux symptomes de la poliomyélite, une polio désigne une personne maladroite.
En tauromachie un puntillero semble un rôle androtypant, et en tout cas exclusivement employé à l'équivoque, des recherches succintes n'ayant pu trouver d'attestion ni pour une puntillero ni pour une puntilllera.
Si un pupazzo désigne une marionnette, il peut aisément servir lui aussi pour référer d'une personne qui est manipulée par une autre. Même remarque pour un tatémono ou tate-mono, aussi nommé haniwa, statuette humanoïde de la tradition funéraire japonaise.
Le mouvement anti-colonial Mozambique qui s'est mué en parti politique nommé la Renamo, construit sur les initiales de l’expression portugaise Resistência Nacional Moçambicana, pourrait désigner métonymiquement tout membre de structure sociale, mais dans les fait cette association semble se cantonner à quelques unes de ses figures éminentes[1015].
Si un rothomago désigne avant tout une figurine personnifiée en bois employé dans la divination, elle peut métonymiquement tout à fait référé à un individu.
De son côté un saladero au sens de saleur n'a pas d'alternance qui a pu être constaté passé au français, bien que saladera est manifestement connu des billingues francohispanophones[1016]. Même constat pour un sereno qui s'occupe du gardiennage de nuit, bien que dans ce cas l'espagnol ne semble fléchir en serena que sous manifestation adjectivale.
Bien que la fonction policière ne soit plus réservée aux personnes androtypés en allemagne, il ne semble pas y avoir d'usage de schupo pour désigner quelque agent de cette brigade de protection policière en dehors d'un emploi en genre équivoque.
Dans le milieu footballistique un socio désigne quelque supporter d’un club de football espagnol, un terme qui ne semble pas avoir sucité d'emploi au genre ambigu repérable par une recherche succinte.
Dans le vocabulaire militaire un tango peut désigner quelque terroriste. Si le cas de personnes terroristes gynotypées est bien avéré et sujet de réflexion spécifique[1017], il ne semble pas avoir donné lieu à un l'emploi d'une variation ambigüe une tango qui soit repérable par une recherche succinte. En tout les cas il n'alterne pas non plus avec tonga, qui désigne un type de sous-vêtement.
Le terme toto à plusieurs usages concomittant avec des implications différentes pour ses éventuels alternances en genre :
- Au québec il désigne une sotte personne, et son origine exact étant incertaine le fait de le considéré unigenré à l'équivoque relèverait donc d'une conviction sans fermes fondements étymologique. Il est parfois rapproché de toton et de nono qui sont de même sens, ce dernier étant raccroché à une abbréviation d'innoncente ou d'innocent qui sous-entend donc candide, crédule et simple d'esprit[1018][1019].
- Dans le contexte libertaire, il renvoie à la notion de mouvement autonome, aussi femme et homme autonomes pouront être respectivement dit une toto et un toto.
- Bien que désuet en ce sens, un toto peu désigner un pou de corps, et donc peut métaphoriquement servir à désigner une personne jugée indésirable en conservant toujours une forme équivoque.
- En Suisse il désigne une langue allémanique et par suite les personnes qui l'emploies, en ce sens il dériverait de Teuton et devrait être considéré épicène quand il désigne ceux qui la parle[1020].
- En tant qu'ustensile un toto est synonyme de thermoplongeur, et tout usage métaphorique qui servirait à désigner une personne devrait donc dans ce cas conserver son genre équivoque.
En Lorraine quand il désigne le groupe tout entier de jeunes filles quêtant de l’argent début mai pour l’entretien de l’autel virginal de la paroisse, c'est toujours par un trimazo équivoque qu'il est désigné. Mais lorsqu'il désigne la meuneuse de cette troupe, il est plus souvent rendu par une trimazo, à l'ambigu[1021].
Dans l'argo militaire historique un turco désigne un tirailleur indigènes et en particulier des tirailleur algériens, dont l'emploi constaté dans une succinte recherche semble se limiter à désigner des personnes androtypées d’où une forme uniquement équivoque.
Issue de la mythologie algonquienne les wendigos ou les wendigowak sont des créatures surnaturelles anthropophages plus ou moins humanoïdes selon les représentations. Elles ont par la suite largement inspiré le folklore nord américain et les œuvres de fiction circulant au sein du commerce mondialisé. Si le singulier est traditionnelement rendu dans une forme unigenré à l'équivoque, l'usage tend à le rendre épicène en particulier dans la littérature fantastique[1022][1023][1024].
Les toponymes de Khasso ou Xaaso, qu'ils réfèrent à un espace territotiorial ou au royaume éponyme, ne sont ni homonyme au peuple qui y vie, pour lequel s'emploi le gentilé khassonke[1025], ni à la langue qui y est associé nommé Khassonké, par glissement métonymique de l'ethnonyme des Khassonkés, peuple mandingue de l'Afrique de l'Ouest.
Du côté du biotique à forme grammaticale allusive haplogeste s’inscrivent notament :
- un alano, chien
- un babakoto, lémurien
- un baco, cépage
- un bado, arbre
- un bakeneko, sorte de chat surnaturel dans le folklore japonais
- une balasko, femme lesbienne masculine
- un banzo, taon
- une baouco, graminé
- un barbatimao, arbre
- un becerro, vachette ou taurillon utilisé dans la becerrada,
- un becquabo, oiseau
- un beefalo, bovin
- un bendo, arbre
- un bigo crustacé,
- une bimbo, femme jugé aussi saute que ravissante
- un blanquillo, blé ou poisson
- un bobolo, personne ayant de l’embonpoint
- un boco, arbre
- un boldo, plante
- un bololo, arbre ou graminée
- un bongo, antilope
- un bonobo, singe
- un boscoyo, arbre
- un boto, dauphin
- un bourao, plante
- un bronco, cheval
- un bufalo, bison
- un burgo, chien
- un cabestro, bœuf
- un calao, oiseau
- un carabao, buffle
- un calalo, caffard
- un calao, oiseau
- un caligo, papillon
- un callimico, singe
- un canelo, arbre
- un carabao, buffle
- un carancro ou un caroncro, vautour
- un cartello, artiste tête d'affiche
- un cattalo, hybride entre bovin et bison
- un cembro, arbre
- une cerato, plante
- un cerrado, biome
- un chambo ou chombo, poisson
- un chasselas babo, cépage
- un chinotto, arbre
- un chito, melon
- un cisco, poission
- un cochayuyo, algue
- un coco, pour cocotier, arbre
- un cocobolo, arbre
- un colillano, oiseau
- un colugo, mammifère
- un condurango, plante
- un citrumelo, agrume hybride
- un coto, arbre
- un criolo, bovin ou cheval
- un croco, pour crocodile
- un cucujo, insecte
- une dimo ou une drimo, femelle du yack, aussi nomée dri ou nak
- un dino, apocope de dinosaure
- un diplo, apocope de diplodocus
- un dodo, oiseau
- un domino, personne vétue du costume épicène
- un drongo, oiseau
- un dro, arbre
- une droso, apocope de drosophile, mouche
- un durdo, poisson
- un dzo, zho, zo ou zobo, hybride mâle d’un yak et d’un bovin, également nommé hainag et zopiok
- un dzomo[1026], hybride femelle fertile, issu du croisement d’un yak et d’un bovin, également nommé zhom et zoom
- un écho, personne qui répète les dires d’une autre personne
- un Ego, personne considérée sous la perspective d'une structure familliale
- une endo, personne sur qui une endoscopie est pratiquée
- un érucago, plante
- un fabago, plante
- un favasso, plante
- un féro, poisson
- un filao, arbre
- un formica-leo, fourmi
- un fonio, plante
- un formica-leo, insecte
- un founingo, oiseau
- un fuligo, champignon
- un galago, primate
- un galgo, chien
- un garbanzo, plante
- un gecko ou un gekko, lézard
- un génipapo, plante
- un gerbo, rongeur
- un gilioro, poisson
- un ginko ou un ginkgo, arbre
- un gobo, plante
- un gogo, personne naïve apparament toujours à l’équivoque, tandis que une gogo semble systématiquement employé comme ellipse de gogo danseuse
- un gombo ou un lalo, plante
- un graciano, cépage
- un guacharo, oiseau
- un guaco ou un huaco, plante
- un guaiabero, oiseau
- un guanaco, camélidé
- un gugano, ver
- un hocco ou un hocko ou un hoko, oiseau
- un hokkaïdo, chien
- un hilguero, arbre
- un huanaco, camélidé
- un huarizo, camélidé
- un huito, arbre
- un indigo, aussi dit indigotier, plante
- un iroko, arbre
- un jacapucayo, arbre
- un jaco, arbre
- un jalapeño, plante
- un jocko, singe
- un junco, oiseau
- un kakapo, oiseau
- un kapidolo, tortue
- un kiwano, fruit, et par métonymie la plante Cucumis metulifer qui le produit,
- un koko, plante
- une komato, plante
- un koto, plante
- un kousso, plante
- un kuko, arbre
- un lapacho, arbre
- un limbo ou fraké, arbre
- un loligo, molusque
- un lusitano, cheval
- un macabo, plante ;
- un macaribo, mammifère ;
- un maccabeo, cépage
- un mataro, cépage
- un mango, oiseau ;
- un manio, arbre ;
- un manto, insecte ;
- un mataro, cépage ;
- un matico, plante ;
- un mico, mammifère ;
- un millococo, plante ;
- un miro-miro, nom vulgaire d’une espèce de gobe-mouches bien qu'après de succinte recherches il ne soit pas clair si cela se réfère seulement au sens de plante ou d'oiseau ;
- un miro, arbre ou oiseau ;
- un mococo, mammifère ;
- un moco, mammifère ;
- un montepulciano, cépage ;
- un morescono, cépage ;
- un morio, insecte ;
- un morpho, insecte ;
- un moschofilero, cépage ;
- un muco, arbre ;
- mungo, plante ;
- un négondo ou negundo ou négundo, arbre ;
- un nélombo ou nelumbo, nélumbo, plante ;
- un nielluccio, cépage ;
- un niglo, mammifère ;
- un nono, fruit ou insecte ;
- un novillo ou un utrero, mammifère ;
- un olingo, mammifère ;
- un olinguito, mammifère ;
- un orangelo, arbre ;
- un orico, mammifère ;
- un orozo, mammifère ;
- un othello, cépage ;
- un ourdo, poisson ;
- un paco, mammifère ;
- un palomino, cépage ;
- un palmetto, arbre ;
- un panacoco, arbre ;
- un paraiso, plante ;
- un pardusco, oiseau ;
- un pelmato, poisson ;
- un pépino, plante ;
- un peumo, arbre ;
- un philo, apocope de philodendron, plante ;
- un piacentino, oiseau ;
- un piapoco, oiseau ;
- un piquillo, plante ;
- un plombago ou plumbago, plante ;
- un pomelo ou pomélo, arbre ;
- un pompano, poisson ;
- un primitivo, cépage ;
- un pongo ou pungo, mammifère ;
- un porrigo, insecte ;
- un potto, mammifère ;
- un psilo, champignon ;
- un québracho ou quebracho, arbre ;
- un quéo, oiseau ;
- un rakkyo[1027], plante ;
- un rhino, mammifère ;
- un rhodo, plante ;
- un rikkio, arbre ;
- un rugo, plante ;
- un rocoto, plante ;
- un sagrantino, cépage ;
- un saguaro, plante ;
- un Salmo, poisson ;
- un sanio, plante ;
- un sansho, plante ;
- un sciaccarello, cépage ;
- un seibo, plante ;
- un shiso, plante ;
- un sipo, arbre ;
- un soko, mammifère ;
- un solidago, plante ;
- un sorgho ou sorgo, plante ;
- un spermato apocope de spermatozoïde, gamète ;
- un suro, arbre ;
- un tacco, oiseau ;
- un tamarao, mammifère ;
- un tamarillo, plante ;
- un tangelo, arbre ;
- un taro, plante ;
- un tembo, arbre
- un tempranillo, cépage ;
- un teroldego, cépage ;
- un teru-tero, oiseau ;
- un tétrao, oiseau ;
- un trebbiano, cépage ;
- un tocro, oiseau ;
- un tongo, arbre ;
- un touraco, oiseau ;
- un turbo, mollusque ;
- un trumpo, mammifère ;
- un ulluco, plante ;
- un urédo, champignon ;
- un utrero, mammifère
- un véro, cépage ;
- un verdejo, cépage ;
- un vermentino, cépage ;
- un véro, cépage ;
- un vertigo, mollusque ;
- un vico, oiseau ;
- un viréo, oiseau ;
- un vivano, poisson ;
- un xarel·lo ou un xarello, cépage ;
- un xinomavro, cépage ;
- un xipho, poisson ;
- un ya-te-veo, plante carnivore imaginaire ;
- un yopo, arbre ;
- un zambo, poisson ;
- un zebrano, arbre ;
- un zozio, aussi graphié zoziau, forme hypocoristique de oiseau ;
-oo
Dans le corpus considéré concerne notament kangaroo comme variante de kangourou, kickapoo, koreaboo, weeaboo, tous issus de l’anglais d’ou une prononciation en /u/, ainsi que kikoo graphie alternative à kikou lui-même issue d’une altération du terme coucou.
-oc
La terminaison est épicène dans broc, quand le terme désigne quelque brocanteur ou brocanteuse, tout comme coloc pour collocataire, démoc pour démocrate, démocsoc pour démocrate-socialiste, doc pour docteur, docteure, docteuse, doctoresse ou doctrice, postdoc pour postdoctorant ou postdoctorante, proc pour procuratrice, procureur, procureure ou procureuse, radsoc pour r Comme il s’agit d’abréviations appocopantes, il n’y a donc pas de motivation à les décliner à l’ostentatoire, les mots dans toute leur extension peuvent eux employer les alternances proposées par ailleurs.
La terminaison est épicène tout en restant ouverte à variation ostentatoire dans quelques autres termes. C’est le cas de chinetoc, variante de Chinetoque, cinoc, paronyme hétérosémique[1028] de cinoque qui a lui-même pour graphies alternatives sinoc et sinoque.
Le terme froc peut désigner la profession monacale et par extension la personne qui la pratique. Comme il s’agit d’une métaphore, il n’y a a priori pas nécessité d’y appliquer une quelconque alternance.
Dans le répertoire biotique :
- en haplogeste se trouve :
- le duoc, nom d’un arbre de la Cochinchine,
- le magnoc ou manioc, arbrisseau d’Amérique du Sud,
- le malainoc, oiseau de mer
- le nostoc, cyanobactérie
- le pique-broc, un des noms vulgaires de l’eumolpe de la vigne, dit aussi coupe-bourgeon
- le royoc, plante
- tandis qu’en épicène se trouve les durocs, nom d’un porcs
-ophe
Dans le corpus considéré concerne antroposophe, antiphilosophe, autotrophe[1029], auxotrophe[1030], doxosophe, morosophe, mycohétérotrophe[1031][1032][1033][1034], philosophe, phototrophe[1035], théosophe.
Les termes en -sophe, suffixe indiquant une relation à la sagesse, pour lequel il est possible d'envisager un isonèphe virtuel -sophiste, par suradjonction du suffixe -iste servant à former un nom correspondant à un métier, ou à un adepte d’une activité, d’une idéologie, ou d’une théorie, qui donne d'ailleurs sophiste. De là les ostentatoires peuvent s'inspirer de ceux déjà donnés pour -iste pour former -ophẽste, -ophìste, -ophāste, -ophǫste, -ophûste.
Les termes en -trophe, relatif à la nutrition, peuvent ne connaître d'usage qu'à l'équivoque. Outre les termes biotiques subséquement cités, cela comprend le désignatif personnel orphanotrophe, littérallement nourice d'orphelins, titre byzantin donnée à des personnes qui diriges un orphelinat. Un isonèphe virtuel en -ophaire peut s'inspirer sur l'épicène strophaire, et par suite donner -ophiẽre, -ophìre, -ophāre, -ophǫre, -ophúre.
Le suffixe -lophe, relatif à une crête ou une houppe, ne se présente que dans des termes biotiques unigenres. Aussi bien qu'il serait envisageable de -oïde pour forme un isonèphe virtuel en -ophoïde, qui donnerait des ostentatoires en -ophoẽde, -ophoìde, -ophoāde, -ophoǫde, -ophoúde. Ceci étant ils paraissent supperflus en l'état.
Le terme catastrophe et son dérivé mégacastrophe, toujours à l'ambigu, peut désigner métonymiquement une personne à qui est imputé la survenue de grands désastre, notamment dans la locution castrophe ambulante[1036].
Le biotique unigene comprend :
- un centrolophe, poisson ;
- un céphalophe, mammifère ;
- un chimiotrophe, bactérie ;
- un eulophe, insecte ou oiseau ou plante ;
- un jatrophe, plante ;
- un miscophe, insecte ;
- un nécrotrope, organisme ;
- un photolithotrophe, organisme ;
- un photoorganotrophe, organisme ;
- un rhinolophe, mammifère ;
- un saprotrophe, organisme.
-oque, -oc (/o/ ou /ɔk/), -ouc
Le terme escroque est employé comme alternance ambigu à escroc[1037], bien que ce dernier est également et plus courament employé de façon épicène[1038]. L'alternance ne semble pas employé avec croc, dont l'usage synonymique à escroc est déjà lui-même en désuétude. De son côté mastoque est considéré épicène, là où mastoc est plutôt utilisé à l’équivoque à l'instar de vioque et vioc.
En tant que suffixe nominal -oque et -oc produisent une valeur péjorative, ce qui rejoint plutôt bien le terme épicène plouc dont peut être tiré le suffixe -ouc comme alterance isonèphe.
-ointe
Dans le corpus considéré, une terminaison en -ointe ne concerne que témointe, qui est une forme d'alternance rare à témoin, à l'instar de témoigne et témoignesse[1039]. En effet témoin est généralement considéré utilisable pour désigner tant des individus femelles que mâles, tout en restant au genre équivoque :
Cette lapine, rescapée de l’élevage intensif, est un témoin oculaire de l’éternel Treblinka contenporain[1040].
Toutefois, même là son emploi en ambigu est parfois préféré pour désigné des individus femelles, notamment dans le cas d'êtres humains :
La doyenne de l'humanité est une témoin privilégiée de l’histoire humaine.
À la limite accointe, désignant une personne parente par alliance, pourrait fournir une base au procès inverse pour désigner un accoint, mais rien de tel n’a été repéré dans les usages.
Les autres termes en -ointe et -oint, comme cache-pointe ou pousse-pointe, ne désignent pas en première instance des être sexués.
Pour ce qui est de témoin, il dérive du latin testimonium, d’où une proposition de terminaison en -onium pour l'isonèphe.
-on (/ɔ̃/)
La terminaison phonétique /ɔ̃/ peut être employée de manière épicène et graphiée -on, par exemple dans anticivilisation où le qualificatif désigne la personne à qui est imputé ce trait, dans Poisson et Scorpion où le signe astrologique est donné pour désigner la personne supposé née dans l’une des périodes calendaires correspondantes, ou encore dans souillon en tant que suffixe déverbal. C’est donc plus par la possibilité de rapprochement à un autre terme synchronique dont type lexical n’admet pas de flexion, que dans l’étymologie diachronique que s’explique cette différence de traitement épicènique.
Défectivités
Un barbon désigne un androphène d’un âge avancé, par emprunt à l’italien barbone : qui a la barbe longue, lui-même de barba : barbe, sans que d’équivalence gynotypante évidente lui soit assignable.
-on (/ɔn/)
Dans le corpus considéré, cette association scriptophonétique épicène ne semble s’appliquer biotiquement qu’à orpington. Ce terme désigne les individus membres d’un race de poules, race originaire du Royaume-Uni d’où la sonorité anglophone. Aucun terme s’appliquant directement à des humanoïdes n’a été repéré.
-one
Dans le corpus considéré concerne afrophone, albanophone, allochtone, allochtone, allophone, amazighophone, amaziɣophone, anglophone, angryphone, antidicotylédone, arabophone, araméophone, autochthone, autochtone, Autochtone, autocthone, azériphone, bambaraphone, bascophone, basquophone, béarnophone, berbérophone, bosnophone, bretonophone, brittophone, cantonophone, canzone, cargésophone, carpione, castillanophone, catalanophone, cicérone, comtophone, coréanophone, corsophone, créolophone, croatophone, dalmatophone, danophone, dialectophone, espérantophone, europhone, finnophone, francophone, francoprovençalophone, fulfuldéphone, gaélophone, germanophone, grécophone, groenlandophone, guaranophone, hébréophone, hellénophone, hispanophone, haoussaphone, hausaphone, hypnophone, ibérophone, inuitophone, italianophone, italophone, japonophone, kanouriphone, kanuriphone, kibushiphone, kirghizophone, kirundiphone, kurdophone, kurmandjophone, ladinophone, latinophone, lettophone, lingalaphone, logone, lusitanophone, lusophone, magyarophone, malgachophone, mandarinophone, mandingophone, misophone, moldavophone, mongolophone, nahuatlophone, néerlandophone, occitanophone, omnitone, oubykhophone, plattophone, quiptophone, romanchophone, romanophone, roumanophone, russophone, ruthénophone, rwandophone, sardophone, saurochtone, sauroctone, scotophone, serbophone, shimaorephone, sinophone, slovénophone, soninképhone, suécophone, suédophone, svécophone, swahiliphone, tamashekophone, tamilophone, tamoulophone, thaïlandophone, turcophone, ukrainophone, wallophone, yiddishophone, yidichophone, zarmaphone.
La terminaison phonétique /ɔn/ peut donc être employée de manière épicène et graphiée -one. C'est dans majorité des termes employant le suffixe -phone pour lequel le corpus compte plus de 90 entrées, toutes issues du morphe phônê/φωνή
: son, voix, avec essentiellement le sens de personne maîtrisant une langue à quoi ne dérogent que quelques termes comme hypnophone et misophone.
Viennent ensuite une demi-douzaine de termes en -ctone, plus des variantes en -cthone, issues de khthṓn/χθών
: terre, ici au sens de territoire associé à un peuple.
Quelques termes prennent une tournure épicène au hasard de leur emprunt à l'italien :
- canzone, petit poème ou forme de musique que l'usage rend épicène par son hésitation mais n'a ne sert aucunement de désignatif personnel qui vient de l’italien canzone : chanson.
- carpione, poisson, vient de l'italien où son homographe à le sens de grosse carpe, il est d’ailleurs également graphié carpion qui lui reste homophone ;
- cicérone[1041][1042][1043] qui désigne un guide touristique dérivant via son homographe italien d'une antonomase de Cicéron ;Enfin il apparaît par des mécanismes morphologiques plus fortuits notamment dans antidicotylédone, substance herbicide. Si l'usage le rend épicène par son hésitation il ne sert aucunement de désignatif personnel. Tout comme l'adjectif bicotylédone et le nom strictement ambigu dicotylédone, il dérive du français cotylédon, qui via le latin cotylēdon, est issu du grec ancien
kotulēdṓn/κοτυληδών
: cavité.
Pour la proposition d'alternances ostentatoires une contrainte forte se manifeste via la terminaison -phone. En effet, vue l'emploi courant de -phane et -phène pour signifier une topique liée aux apparences, l'emploi d'une simple alternance vocalique dénué de collision morphosémantique est impossible. Partant de là, l'alternative la plus évidente est d'employer des ostentatoires qui se callent sur une forme comme -phoniste, qui se retrouve dans des termes aussi variés que polyphoniste, orthophoniste, téléphoniste, et xylophoniste ou -phonaire qui ne semble employé que dans antiphonaire. Le suffixe -iste ayant une sémantique inclinant plus vers des notions de pratique professionnelle ou d'adhésion à une idéologie ou une théorie il n'est guère pertinent pour indiquer la maîtrise d'une langue. À l'inverse -aire peut spontément se rattache aux sens de personne qui possède, ici le savoir-faire linguistique, et qui est membre de, ici d'une communauté linguistique, ou plus généralement qui est englobé dans un rapport à, ici la langue[1044]. Ce constat est par ailleurs valable sur les autres cas de désignatifs personnels vus précedemment où le formes virtuels en -chtonaire/-ctonaire et cicéronaire ne lèvent aucune difficulté. Cela conduit donc à la série des ostentatoires en -onatiẽre/-oniẽre, -onìre, -onāre, -onǫre, -onúre, confer la section dédiée à -aire pour les détails à ce sujet.
Du côté du biotique unigenré se trouvent :
- un euphone, oiseau
-one ou -onne, -on, oine
La majorité des alternances phonétiques suffixales entre /ɔn/ et /ɔ̃/ se graphient -onne et -on. Aussi ette section débute par l’analyse des cas moins fréquent où l’ambigu se graphie -one.
Pour le cas où il s’applique strictement à une personne humaine, celaa comprend notamment l’alternance entre péone et péon. Ce couple partage le même étymon que pionne et pion, à savoir le latin pedo/pedonis
: fantassin, apparenté à peón en espagnol, pedone en italien, peão en portugais et pawn en anglais, le tout pouvant être rattaché au latin pes
: pied[1045][1046]. Voir la section décrivant -ied pour plus d’informations sur les autres rapprochement étymologiques qui en découle.
La mythologie fournie la désignation des divino-humanoïdes démone et démon que supplémente démonesse, qui via le latin daemon
: esprit, génie, démon, proviennent du grec ancien daímôn/δαίμων
: divinité, génie, lui même de daíomai/δαίομαι
: partager, donner[1047][1048]. Ce dernier par ailleurs, après suffixation substantivituqe de -mos,-μος
, donne dêmos/δῆμος
: peuple. À noter que parmi les flexions du grec ancien se trouve daíomon/δαιμόνοιν
.
Hors des sentiers humanoïdes, tout en restant dans le giron du biotique, se trouve par exemple l’alternance entre buflone et buflon.
En basculant vers les cas les plus fréquent d’alternance entre -onne et -on, allant de aiglonne à Wallonne, en passant par championne et marmitonne, se dresse le constat que tous repose sur une terminaison dérivant du latin -o
, au génitif rendu par -onis
, désignant des êtres vivants, parfois des choses ou des animaux ; qui a pris une valeur augmentative en bas latin[1049]. En français, une valeur diminutive prévaut, surtout pour les petits des animaux et fourni souvent des désignatifs personnels pour des bases à valeur péjorative, comme dans couillonne ou pochetron.
-ogue
Mis à part pour -ǫ-, ici la propositions d’alterances ostentatoires se font par simple substitution du -o- par syllabe générique marquant chaque genre. Pour le permier, l’emploi de -ǫrgue- peut notamment être comparé à :
- cyborg : pour un sujet dont le caractère organique est alétéré par des traits considérés artificiels et abiotiques ;
- gorgue : chéneau et gargouille des toits, pour un exemple d’objet potentiellement humanoïde mais assurément abiotique ;
- morgue : pour un concept désignant un trait de caractère, ou encore pour désignant un lieu
- orgue : pour un objet meuble qui à défaut d’une âme ne manque pas de souffle ;
- sorgue : pour un concept, en l’occurrence celui désignant la période de la nuit.
-ond
Un bas-de-plafond, toujours à l'équivoque, désigne une personne de petite taille ou de peu d'intelligence.
Un girond, toujours équivoque en ce sens, désigne une personne androtypée qui dans ses relations homosexuelles tient une position passive.
Le biotique haplogeste comprend :
- un bec-rond, oiseau ;
- un keeshond, mammifère.
-onde
Dans le corpus considéré concerne Burgonde, Makonde,
En tant que désignatif personnel blonde à plusieurs sens en parallèles. Au sens de personne dont les cheveux sont de la couleur blonde, il altene à l'équivoque avec blond. Au sens de petite amie, amoureuse, emploi dans lequel il est généralement précédé d'un adjectif possessif, il n'est pas alternable avec blond, mais trouvera plutôt son pendant dans des termes comme jules ou julot, ou à la limite en restant dans le registre de la couleur capilaire il est assez fréquent de voir employer l'expression beau brun[1050][1051][1052][1053][1054][1055][1056], là aussi sans que la nuance de teinte pileuse objective entre nécessairement en considération. Enfin blonde peut renvoyer à l'un des clichés rattaché à la figure sociale stéréotype de la blonde, que ce soit comme synonyme de canon, gentille, innocente, potiche, pure, naïve, mijaurée, séductrice, superficielle ou sotte[1057], qui peut potentiellement aussi s'appliquer à une personne androtypée dans un énnoncé tel « tu serais pas un peu blonde, mec ? ». En revanche là aussi blond n'est pas le pendant équivoque de blonde, au contraire à la suite d'un personne récurrent des sketchs Gad Elmaleh le blond est plutôt synonyme de parangon contemporain de la figure masculine idéale[1058][1059].
Si la Joconde désigne le portrait de Lisa Gherardini peint par Léonard de Vinci, un Joconde désigne quelque jeune tombeau des cœurs, synonyme des non-moins antanomastiques Don Juan et Lovelace.
Une ronde, toujours à l'ambigu, désigne une personne gynotypée dont la silhouette a des formes généreuses.
Une tête-rond, toujours à l'ambigue, désigne quelque parlementaire partisan de Cromwell
Le biotique haplogeste comprend :
- un aliconde, arbre ;
- une aronde, oiseau, mollusque ou poisson ;
- un bayahonde, arbre ;
- une fronde, qui par métonymie peut désigner la fougère tout entière, plante ;
- une osmonde, plante ;
- une pudibonde, insecte ;
- une queue-d’aronde ou une queue-d’hironde, plante ;
- une ramonde, plante ;
-onde, -ond, -õnde (/ɔnd/)
Dans le corpus considéré concerne blonde et blond, uniquement au sens de personne dont les cheveux sont de la couleur blonde, furibonde et furibond, gironde[1060][1061] et girond, moribonde et moribond, pudibonde et pudibond, rubiconde et rubicond, seconde et second, vagabonde et vagabond.
Au sens de personne potelé, aux formes arrondies ou incarnation d'une beauté charmante voir séduisante, les termes gironde et girond sont principalement employés comme des adjectifs, mais un glissement nominal est pleinement admissible.
l'isonèphe
-or
Dans le corpus considéré concerne junior, major, senior et sa variante graphique sénior et zor.
Si tous connaissent un usage épicène, à part pour zor, l'usage francophonique leur fournit également à tous un alternance ambigu alternative en -ore, confer la section dédiée à -ore, -or, -arque/-estre/-orense.
Pour zor, issu de l'apocope de zoreille ou d'une de ses variantes graphique comme zoreil et zorey, si une hypothétique alternance ambigu zore était envisagée, il n'y aurait guère de possibilité de maintenir la conformité à une apocope plus avant. Un isonèphe en zour suivi d'une série ostentatoire en zẽr, zìr, zār, zǫrg, zûr aura au moins le mérite de maintenir la concision monyllabique recherchée dans l'apocope.
-ora, -or, -orense (/ɔ.ʁɛns/)
Dans le corpus considéré concerne matadora et matador[1062][1063] ainsi que señora et señor[1064][1065][1066], tous deux issus de l'espagnol.
À noter qu'en Algérie une bacora est employé de manière haplogeste pour désigner une personne jugée sotte, comme synonyme de bécasse, gourde.
En tant que nom de langue le hora est succeptible de métonymiquement donner un glottophonyme épicène.
Pour l'isonèphe la proposition est inspirée par le suffixe espagnol servant à construire des noms épicènes, tant des dénominations comme amanuense
(/amaˈnwense/) : copiste, que des gentilés comme estadounidense
(/es.ta.do.u.ni.ˈden.se/) : état-uniane, et les ostentatoires peuvent dès lors se caler sur les propositions déjà faites pour l'entrée -oise, -ois, -ense.
Le biotique unigenré emploi une ora, cépage.
-ora, -ore, -orense (/ɔ.ʁɛns/)
Dans le corpus considéré concerne signora et signore, issu de l'italien.
Comme pour les termes issus de l'espagnol avec alternance en -ora, -or, c'est -orente qui est donné ici comme isonèphe. En effet, -ense est également productif en italien où il donne uniment l'épicène amanuense
(/a.ma.nu.ˈɛn.se/) : copiste, et divers gentilés comme alabamense (/a.la.ba.ˈmɛn.se/) et saotomense (/sa.o.to.ˈmɛn.se/).
-ore, -or, -arque ou -estre ou -orense
Dans le corpus considéré concerne juniore et junior, matadore et matador[1067][1068][1069], majore et major, mentore et mentor, séniore et sénior, ténore et ténor avec trois origines distinguables.
Ainsi matador vient de l'espagnol où il alterne avec matadora qui se trouve également en francophonie[1070][1071] ; ce qui mène à la proposition déjà exposé dans la section dédiée à -ora, -or, -orente.
Pour sa part mentor vient du grec par antonomase du personnage fictif précepteur de Télémaque, Méntôr/Μέντωρ
étant androtypé ce nom propre grec est dénué de flexion en genre, d'autant que l'analyse étymologique qui révèle un sens de conseiller le décompose en indo-européen *men-
: penser et *-tor
: suffixe construisant des noms d'agent depuis une base verbale[1072][1073]. En francophonie l'usage fait chevaucher trois variations à l'ambigu : mentor, mentore et mentoresse. Ce dernier le rapproche de l'alternance -euresse, -eur, pour laquelle -arque à déjà été proposé par ailleurs comme alternance isonèphe, ce qui mène donc à la proposition de mentarque, littérallement personne qui initie, dirige, discipline par les conseils[1074][1075].
Le terme ténor est généralemnt présenté comme dérivant du latin tenere
: tenir, de même que sénior vis-à-vis de son homographe extradiacritiquaire latin senior. Dans la continuité de la proprosition précédente, c'est ici -arque qui est retenu pour former ténarque et sénarque.
Enfin junior et major, viennent de l'anglais où il est sont sans alternance en genre, tandis qu'en francophonie l'usage fait chevaucher deux variations à l'ambigu : une junior ou une junior et une major ou une majore. Dans la lignée de la seconde perspective, l'isonèphe pourra s'articuler un -estre terminal, analogique à des noms communs prééxistant tels que bourgmestre, extraterrestre et monestre, soit juniestre, majestre. Il existe quelques emplois hétérosémique pour majestre[1076], en plus de son emploi régulier en provençal[1077].
À noter que mirliflore à une variante graphique mirliflor, mais dans les deux cas il désigne majoritairement des personnes androtypées, aussi l'usage ne semble ici proposer d'alternance.
t⟨base⟩alk, ⟨base⟩al
Dans le corpus considéré concernce tamenokalt et amenokal avec pour pluriel respectif timenokalin et imenokalen.
-taine, -∅, -taire
Dans le corpus considéré concerne uniquement la série cheftaine, chef, chèftaire.
Cela étant plusieurs allolexies à cheftaine s'emploient concomittament dans l'usage, dont cheffe, chèfe et cheffesse, auxquels sont ici proposées respectivement les alternances isonèphes chève, cheft et cheffurge. Pour les ostentatoires s'ajoute la contrainte de fournir un terme monosyllabique et l'esquive des associations paronymiques avec les flexions ostentatoires de chauve et chiffe et de tout terme péjoratif débutant en /ʃj/ comme chiant, chier, chieuse, chiure ou chiotte. D'où l'allophène chẽif (/ʃɛjf/), à rapporcher de son paronyme cheik, personne occupant un rôle de chefferie d'une tribu chez les bédouins arabes. Le générique chāf peut être rapproché de chah titre des monarques de Perse, puis de l’Iran. Et par suite, via un -ì- épenthétique peut être introduit chaìf (/ʃajf/), qui en français ne rime guère qu'avec des emprunts à l'anglais comme life et styfe.
chauve | chiẽve | chìlve | chāve | chǫïve | chûve | ||
cheffe
chèfe cheferesse chefferesse cheffesse cheftaine |
chef | chève
cheft cheffurge cheftaire |
chẽif | chaìf | chāf | chǫf | chûf |
chiffe | chiẽtte | chìtte | chiãçe | chiǫtte | chiûrre |
Le point commun entre toutes ces lexies est donc qu'elle débutent par une consonne fricative palato-alvéolaire sourde (/ʃ/), suivie d'une séquence de voyelles et semi-voyelles, suivie d'une Consonne fricative labio-dentale sourde (/f/) ou voisée (/v/).
Alternances concernées :
-trice, -tore, -taire
Le terme jettatore vient de l'italien où ils s'emploie pour désigner un individu mâle qui porte malheur ou jette des sorts, et où il a pour pendant una jettatrice[1078]. La francophonie emprunte plus souvent le premier, sans négliger complètement le second[1079][1080][1081]. l'isonèphe jettataire est callé sur la proposition déjà faite pour -trice, -teur, -taire.
-atrice, -∅, -ataire
Dans le corpus considéré ne concerne que orero-atrice[1004] et orero. Ce dernier est par ailleurs employé de manière épicène. Aucune attestation n'ayant été trouvé par une recherche succinte pour un éventuel orere-ateur, c'est donc bien avec orero que doit se concevoir l'alternance.
Pour l'isonèphe et les ostentatoires, il suffira ici de se caller sur le cas général déjà stipulé pour -trice, -teur, -taire.
-ore
Dans le corpus considéré concerne antophore, Aore, aphidivore, ascophore, bactérivore, bibliovore, biophore, canéphore, carnivore[1082], céphalophore, cestiphore, commodore, choéphore, christophore[1083][1084][1085][1086][1087], chrysophore, cistophore, compradore, dadophore[1088][1089], dendrophore, déposivore[1090], détritivore, distavore, doryphore[1091][1092][1093], eggrégore ou égrégore[1094][1095], ellébore, erréphore[1096], ésophore, éphore[1097], flexivore, Fore, frugivore, fumivore, galactophore, granivore, gratuivore, Héliodore, héliophore, hellébore, herbivore, hypercarnivore, hypocarnivore, insectivore, invasivore, lampadéphore ou lampadophore, lanterniphore, lendore[1098][1099], libanophore, limivore, limnivore, locavore, matamore[1100][1101], médiavore, méga-herbivore ou mégaherbivore, miriflore[1102], More variante de Maure, molluscivore, narthécophore, néllore ou nélore, néocore[1103][1104][1105][1106], œnophore[1107], naophore, notophore, nucivore, ochrospore, omnivore, pastophore, pandore, papivore, pécore, phallophore[1108], piscivore, pogonophore, protocarnivore, ptérophore[1109][1110][1111], publivore, radiciflore, rhynchophore, saccophore, Shimaore ou Shimaoré ou Shimaorais, sérivore, sophomore, staurophore[1112][1113], stevedore[1114], télévore, thesmophore, thyrsophore, tropéophore, tricolore, univore, végétivore, xylophore.
De façon générale les ostentatoire pourront être formé sur des alterances au cas virtuels en -orane et -oriste, à caler donc sur ceux de -ane et -iste, respectivement dans les cas où il marque d'une part l'appartenance à un peuple, une communauté linguistique et d'autre part de tout autre dénomination comme un nom de métier ou le suivi d'une doctrine. Ce qui donnera respectivement -oriẽne, -orìne, -orāire, -orǫne, -orûne et -oriẽste, -orìxte, -orāste, -orǫste, -orûste.
Sur les 90 termes précédents :
- 35 emploient -phore, qui mis à part dans éphore qui vient du grec ancien
éphoros/ἔφορος
: superviseur composé deepí/ἐπί
: sur et dehoráō/ὁράω
: voir, sert généralement à désigner l'individu porteur d'un objet précisé par la base, issue du grec ancienphérō/φέρω
, qui au futur connaît la flexion supplétiveoísô/οἴσω
[1115], une possibilité serait donc de caller les genres ostentatoires sur le modèle déjà proposé pour -oise, voir via ses cognats latin utor[1116] et coutor forger -coutaire à caller sur -aire, ou comme -fère dérive de ce même morphe se caller sur -ère, ou encore tabler sur -phoriste déjà présent dans adiaphoriste, métaphoriste à caller sur les propositions déjà faites pour -iste, - 33 emploient -vore, pour désigner un individu qui s'alimente d'une substance indiquée par la base,
- 6 en -dore, peuvent soit relever du déverbale désignant la personne qui accomplie l'action (compradore, stevedore), soit un rapport à la notion de don (Héliodore, pandore) ;
- 3 en -more, qui peut signifier idiot (sophomore), ou sombre/faible (matamore, More)
- 2 en -flore, au sens de fleur ;
- 2 glottophonymes[N 1] en -aore (Aore et Shimaore) ;
- 2 en -core, l'un au sens de balayer[1117] (néocore) l'autre intervenant fortuitement dans une séquence morpologique plus longue (pécore issue de la flexion latine en pecora de
pecus
: bétail) - 2 en -lore, où il peut signifier lieu[1118] (néllore ou nélore) ou fortuitement intervenir dans une séquence morpologique plus longue[1119] (multicolore, littérablement couverture multiple)
- 1 nom en -gore en deux variantes graphiques (eggrégore, égrégore), du latin egregius qui connait entre autres flexions egregiōrŭm, ce qui suffit à insiprer un calage sure une autre série ostentatoire déjà proposée par ailleur comprenant -iǫr, ce qui donne donc -giẽl, -gìx, -giāre, -giǫr, -giûre ;
- 1 nom en -bore en deux variante graphique (ellébore, hellébore), d'étymologie incertaine mais peut-être liée à la notion de manger ;
- 1 nom en -sopre, qui est étymologiquement lié au sens d'ensemencement ;
- 1 glottophonyme en -fore.
Les termes en -core au sens de noyau sociologique, lorsqu'ils désignent des genres musicaux comme acidcore ou trashcore, peuvent aussi par métonymie désigner une personne ostensiblement membre de l'ésoculture[N 59] associée, ce qui pourrait également s’appliquer au cas du Bmore et au normcore. Une liste exhaustive comprendra au moins acidcore, bardcore, breakcore, christcore, crunkcore, crustcore, dancecore, darkcore, deathcore, discore, doomcore, easycore, electronicore, emocore, fastcore, frenchcore, funkcore, grindcore, halicore, hardcore, homocore, horrorcore, japcore, J-core, kawaiicore, mathcore, melocore, metalcore, moombahcore, nardcore, nerdcore, nightcore, Nintendocore, normcore, post-hardcore, pyrrhocore, queercore, rapcore, sadcore, skacore, skatecore, slowcore, softcore, speedcore, splittercore, stenchcore, synthcore, taqwacore, terrorcore, thrashcore, et trancecore.
Si un contraténore et sa variante graphique contraténor par définition ne s'appliquent typiquement qu'à des individus androtypés, ça n'est le cas de ténor qui par métaphore peut désigner toute personne notable, et l'usage abonde d'exemples parlant d'une ténor[1120][1121][1122][1123], qui est rendu occasionnellement par une ténore[1124][1125] ou par une ténorine[1126][1127].
À noter que compradore vient du portuguais comprador qui y est de genre équivoque avec pour pendant ambigu compradora[1128], en français rien de tel et l'usage retient une compradore[1129][1130][1131].
Une Castafiore, terme basé sur l'antonomase d'une diva de fiction, est haplogeste quelle que soit la personne désignée dans son emploi.
Lorsqu'il est employé pour désigner un appareil, fumivore est un terme strictument équivoque.
Le terme mélophore désigne une personne qui combat dans la garde personnelle des empereurs perses. S'il ne semble usité qu'à l'équivoque, sa formation sur un terme en -phore laisse pleinement ouvert la voie à l'épicénie.
La fonction de pylagore, orataire députéurge à l'assemblée des amphictyonides de Pyles et Delphes, semble en pratique n'être imputée qu'à des personnes androtypées, bien que sur un plan morphologique l'épicénie serait pleinement légitime. De même pour :
- sarissophore, personel militaire armé d’une sarisse ;
- secatore synonyme de casse-pied ;
- spondophore membre extraordinaire d'une ambassade qui annonce une trêve, notamment à la période des jeux olympiques ;
- théore, qui désigne soit quelque membre d’une théorie envoyé par les villes grecques pour assister aux jeux Olympiques ou pythiques ; soit quelque membre extraordinaire d'une ambassade grecque
Par métaphore, un météore désigne une personne qui a une renommée éclatante, mais passagère ; chose qui fait une impression vive, mais peu durable.
Du côté du biotique haplogeste :
- un acéphalothore : fœutus dénué de poitrine et de tête ;
- un acore, plante ;
- un acrospore, spore ;
- un acrospore, poisson ;
- une ascospore ;
- un anthore, plante ;
- un aspidophore, poisson ;
- un aurore, insecte ;
- un balanophore, plante ;
- un basommatophore, mollusque ;
- un bicolore, insecte ;
- un bifore ou biphore ou salpe, insecte ;
- un boncore, plante ;
- une bryoflore ;
- un calliomore, poisson ;
- un cap-de-more, cépage ;
- un cellépore, corail
- un chlamyphore, mammifère ;
- une chlore, plante ;
- un chromatophore, cellule ;
- un chromophore, cellule ;
- un chrysochlore, mammifère ;
- un ciliophore ou cilié, protozoaire ;
- un conflore, plante;
- une conidiospore
- une corchore
- un cordylophore, polype ;
- une corolliflore
- un craspédophore, insecte
- un crotalophore, reptile
- un cténophore, cténaire ou insecte ;
- un doryphore, insecte ;
- un dromalectore, oiseau ;
- une endospore
- un euchore, mammifère ;
- un fongipore, lithophyte ;
- un fulgore, insecte ;
- un gyrophore, lichen ;
- un halicore, mammifère ;
- un histiophore, poisson ou mammifère ;
- un hoplophore, insecte ou mammifère ;
- un hygrophore, champignon ;
- un ignicolore, oiseau ;
- un lahore, oiseau ;
- une lécanore
- un lophophore, oiseau
- un macrospore
- une mandragore
- une manicore, insecte
- une manticore ou mantichore, créature légendaire ;
- une mégaspore
- une microspore
- un millépore, méduse ou polypier ;
- un myopore, arbre ;
- une naucore
- un nécrophore, insecte ;
- un odontophore, oiseau ;
- un œcophore, oiseau ;
- un onychophore, panarthropode ;
- une pandore, mollusque ;
- un paphore, oiseau ;
- une passiflore
- une pécore
- un phore, insecte
- un physophore
- un pittospore, arbre ;
- un pogonophore ;
- un polypore, champignon ;
- un ptéridophore, oiseau ;
- un ptérophore, insecte ;
- un pyrrhocore, insecte
- une rémore
- un rhizophore, arbre ;
- une salvadore
- un sicomore ou sycomore, arbre ;
- un siphonophore, zooplancton ;
- un sophore, arbre
- une spore
- une stipe, plante ;
- une saccophore[1132], mammifère ;
- un sarcomastigophore ;
- une staurophore[1133]
- un stylommatophore, mollusque ;
- un stylophore, plante ;
- un sycomore, arbre ;
- un téléphore, insecte ;
- une téleutospore
- une thallospore
- une thinocore, oiseau
- un thyréocore, insecte
- un thyréophore, dinosaure ou insecte ;
- un tinopore, mollusque ;
- un tubipore, cœlentéré ;
- une udore
- un xiphophore, poisson ;
- un ziziphore, plante ;
- une zoospore
- une zygospore
-ote, -ot, -onte
Ici c’est la proximité scriptoriale qui guide la proposition de -onte. Les suffixes isonèphes sont calés sur la proposition déjà faite pour -ante, -ant, -aître, où apparaissait déjà -ǫnte comme suffixe de l’inanimé. En l’occurrence celui-ci est remplacé par -ǫïde par analogie à -oïde. Ce dernier est souvent employé pour signifier un objet ayant une caractéristique évoquant une classe d’entités, tout en faisant défaut à quelque supposé essence ontologique.
-ou
Si historiquement nounou, diminutif caressant de nourice, a été employé exculisivement au genre ambigu, il est désormais également employé à l’équivoque[1134][1135]. Cet usage est cohérent avec l’emploi du suffixe -ice pour des termes de genre équivoque comme aruspice et sa variante haruspice, extispice, olympionice ou patrice et des termes épicènes comme antipolice, castice, complice, déditice, novice, poturice et statice.
Par ailleurs un peu plus d'une vingtaine d'autres de désignatifs biotiques en -ou sont employés de façon épicène, bien que certains connaissent également des alterances en -oue ou -oute : akou, anglo-fou, belou, bestiou, bêtassou, cagou, casse-cou, choubidou, choubidou, chou, fonbou, gaou, glandouillou, grippe-sou, Lébou, maine-anjou, marabou, relou, ripou, sans-le-sou, voyou, youkou.
À noter que goudou lorsque le terme est employé pour désigner une lesbienne est strictement ambigu. La présicison sémantique importe dans la mesure où Goudou peut être employé à l’équivoque en guise de gentilé[1136] . Sont également strictement ambigu :
- chahbanou, chabanou, ou shabanou qui désigne une impératrice d’Iran, ou l’épouse du chah ;
- les mots composés qui suffixe un terme strictement ambigu avec -garou : chauve-souris-garou, hyène-garou, louve-garou, panthère-garou, renarde-garou, vache-garou ;
- maminou et mamou ou manou appellation affectueuse pour une grand-mère, pendant de papinou et papou[1137] ;
- matoutou, nom vernaculaire employé en Guyane pour nommer différentes espèces d’aviculaires, araignées de type mygale ;
- niafou, terme injurieux désignant une Jeune femme noire à la mode, dont l’apparence est jugée comme relevant d’une volonté exagérée de séduire ;
- pougaou, nom vernaculaire de l'anguille d'eau douce, dans le sud de la France ;
- renouée-bambou, plante du genre des renouées, rudérale, à tige creuse, coriace, à port dressé, subspontanée en Europe.
-oue
Sont uniquement utilsé à l’ambigu les désignatifs biotiques suivant :
- droue, nom vulgaire de diverses graminées ;
- oue, variante désuette de oie ;
- padoue, Poule domestique européenne.
Dans le corpus considéré, aucune instance de mot suffixé -oue ne s’est révélé épicène.
-oue, -ou, -ouäne ou -ouïste
Dans le corpus considéré, cette alternance concerne notamment Aïnoue, Hindoue, Mandchoue, ripoue, Télougoue.
Vue le sens des termes, il suffira pour l'isonèphe de retenir -ouäne pour les éthnies, et -ouïste pour les personnes pratiquant une activité ou un culte. Pour les genres ostentatoires, il suffit de s’insipirer des propositions déjà faites par ailleurs pour -ane et -iste, en retenant simplement -úne et et -úste plutôt que -ouûne et -ouûste.
À noter qu’une bachoue ou un bachou ou encore un bachon, pour lequel les variantes sont interchangeables et servent toutes comme désignatif objectuel.
-ourelle, -eau
Dans le corpus investigué, ne concerne que pastourelle qui peut désigner une Jeune bergère ou religieuse membre de la congrégation des Sœurs Jésus Bon Pasteur, alterne avec pastoureau et n’est donc pas concerné.
Pour l'isonèphe peut se caller sur la même alterance qui -elle, -eau.
-ourelle, -ou, -ouïste
Dans le corpus investigué, ne concerne que gourelle qui est employé en alternance de gourou, tout comme le sont gouroue, gouroute. Aucune de ces variantes ne suit le nominatif singulier étymologique gurunī/गुरुनी
dont l'emploi lexicalisé en guruni est rarissime[1138][1139][1140]. Étant donné le sens du terme, gourouïste est ici proposée comme alternance isonèphe, et peut donc se caller sur les même alternances ostentatoires que -oue, -ou, -ouïste.
-ouse
Dans le corpus considéré, seul Toungouse semble susceptible de fournir un exemple de terme proprement épicène et terminant par -ouse.
À noter que bien que non épicènes, il y a d’autres formes d’emploi haplogeste pour les mots en -ouse, qui sont alors strictement ambigus et forment généralement des termes péjoratifs comme tantouse et tarlouse.
-ouse, -ou, -asse
Dans le corpus considéré cette alterance concerne uniquement gargouillouse et gargouillou ainsi que pissouse et pissou.
Les premiers désignent péjorativement des personnes préposées à l’aide-cuisinage, gargoullouse étant plutôt rare et d’usage récent[1141]. L’alternance est probablement issue d’un calque de l’altenance pré-existente entre -ouse et -oux.
Si pissouse sert à désigner péjorativement une femme en bourgogne[1142] et pissou à désigner péjorativement une personne peureuse au Québec, la filiation diachronique reste incertaine de même que l'emploi synchronique ou synchorème[N 60].
Vue l’aspect péjoratif des deux seuls cas consédérés, il paraît plus aproprié de caler l'isonèphe sur le suffixe -asse, qui sait en retranscrire la péjoration au besoin.
-ouse, -oux, -ose
Dans le corpus considéré concerne notamment les alternances à épouse, jalouse et des dérivés comme co-épouse.
Le premier proviendrait du latin populaire spōsus, altération du latin classique sponsus, participe passé substantivé de spondere « promettre solennellement ». Le second proviendrait de l’ancien provençal gilos, jalos, gelos, qui lui-même viendrait du latin populaire zelosus après le latin classique zelus, signifiant « plein de zèle », dérivé du grec ancien zêlos/ζῆλος
.
Vu ces deux étymologies congruantes sur la présence du morphe -os- (spōsus, zelosus), d’où le maintien d’une graphie terminale en -ose, à l’instar du terme épicène virtuose.
-oute
En forme de terminaison finale ce suffixe épicène se trouve dans des termes hypocoristiques, argotique ou d’affiliation à un groupe. La nuance affective et caressante forme papoute, l’argot emploi rouquemoute, tandis que la notion d’appartenance est présente dans macoute, Aléoute et Iakoute – aussi graphié Yakoute. Il faut noter que ces trois derniers termes tirent leurs étymons de sources distinctes, les deux derniers venant du russe, respectivement inspirés par Aleuty/Алеуты
, via l’anglais Aleut[1143] et par Iakut/Якут
[1144] . Quand à macoute, il vient du créole haïtien apparenté à l’espagnol macuto
: sac, besace[1145], et en tant que désignatif personnel il abrège l’expression populaire tonton macoute, dont le pendant dédié à la gent fémine est fillette Lalo, tous deux se substituant au terme officiel de volontaire de la sécurité nationale donné aux membres d’une milice haïtienne[1146]. Aussi l’usage n’a vraisemblablement pas donnée large emploi à une macoute. D’un autre côté, sans une contextualisation plus précise, au pluriel parler de macoutes laisse indéterminée la possible présence de femmes dans l'ensemble considéré.
À noter que biloute, au sens de personne pour qui est ressentie un sentiment d’amitié, ne s’emploie guère que pour des personnes de la gent masculine, mais qu’au besoin il peut s’employer au genre ambigu sans modification morphologique[1147].
En outre -oute apparaît aussi comme terminaison morphique interne de boutefeu, où le morphe boute provient de l’ancien verbe français bouter
: mettre[1148]. D’où une proposition calée sur celle déjà fourni pour -ant, qui sert également de désinence marquant le participe présent.
Du côté canadien, le terme chnoute est employé comme alternative à schnock, imbécile. Comme il s’agit d’une métaphore basée sur un terme désignant de base une chose sans valeur, il est strictement employé à l'ambigu.
Sur plan biotique l'emploi d'un allusif haplogeste se trouve également dans :
- espargoute, et sa variante spargoute, spergule des champs ;
- Mâchecroute, variante de Mâchecroûte, une bête imaginaire ressemblant à un dragon ;
- maroute, variante de marut, termes désuets pour l’anthémis, une plante d’ornement ;
- moumoute, pour désigner une chatte
- rouroute, synonyme d’arrow-root, une plante du genre Maranta,
-oute, -ou
Comme indiqué dans la section dédiée aux termes épiècens en -oute, le suffixe -ou est majoritairement employé pour former des diminutifs unigenres. C’est donc sans étonnement que la plupart d’entre eux se retrouvent généralement documenté dans les dictionnaires comme strictement équivoques, y compris canaillou, coquinou, glandouillou, lapinou, mamaillou, minou, pichou. Cependant pour ces termes des alternances en -oute sont parfois de fait employés : canailloute[1149], coquinoute[1150], glandouilloute[1151], lapinoute[1152][1153], mamailloute[1154], minoute[1155], pichoute[1156][1157][1158]. En revanche les dictionnaires documentent généralement chouchoute, choute, filoute, louloute et son aphérèse loute, ainsi que voyoute, en alterance de chouchou, chou, filou, loulou, voyou[1159][1160][1161][1162][1163][1164]. Le -t- épenthétique est courant en français, même en dehors des alternances suffixales de genre, comme en atteste le cas de filouter, construit sur le même modèle que clou, clouter et froufrou, froufrouter[1165].
-oute, -out (/u/), -outarque
Dans le corpus considéré seul l’alternance de maraboute vers marbout semble concerné par cette association où le terme au genre équivoque garde un -t final tout en basculant vers une prononciation qui le laisse muet. Le mot en question viens du portugais maraboto, marabuto, lui-même de l’arabe murâbiTũ/مُرَابِطٌ
: assidu[1166]. Cela suffit à inspiré des suffixes ostentatoires -ǫte, -ûte et le reste de la série par analogie.
Or les deux termes renvoient à des dignitaires locales de quelques religions. D’où la proposition d'isonèphe en -outarque, basé sur le suffixe -arque qui sert à former des noms correspondant à une notion de pouvoir, de chefferie ou de directoire.
-oute, -out (/ut/), -outiste -ou -outille ou -oude
Dans le corpus considéré les autres variantes ne concerne que l'alternance scoute, scout. Ils sont issues de l’anglais scout
: éclaireur, lui-même provenant de l'ancien français escoute
: sentinelle, guetteur, dérivé du verbe escouter
: écouter[1167].
Une des possibilité de proposition envisagé ici se base sur la terminaison -ille, comme dans le terme épicène pupille, et également présent dans écoutille, qui au sens figuré renvoie à l’oreille et par extension à l’écoute, à l’attention vigilante. Une telle piste permet donc de former le terme scoutille.
Une autre piste est de considérer la proximité phonétique entre les deux consonnes phonétiques occlusives alvéolaires -t- et -d-, pour former scoude. À comparer également au latin audiō
:, ouïr, entendre et ausculto
: écouter attentivement[1168][1169] La terminaison -oude peut se prévaloir d’un usage isonèphe à l'instar de ce qu’elle opère dans le terme Tchoude,
Ont ici également été envisagé et récusés des dérivations basé sur des terminaisons en -tès ou -tis, tentant de s’inspirer des mécanismes de formation des noms d’agent du grec ancien[1170].
-oute-, -out (/ut/), -outie
Dans le corpus considéré, ne s’applique qu’à Tangout. La terminasion en -ie se calle sur d’autres désignatifs ethniques épicène tel Chérokie et Mincopie, et les suffixes isonèphes se callent sur ce qui à déjà été proposé par ailleurs pour les termes épicènes en -ie.
-oute, -ou
chouchoute, filoute, voyoute
-out (/ut/)
Le terme épicène mahout, synonyme de cornac, est emprunté à l’anglais qui lui-même le tire de l’Hindi mahāvat/महावत
, construit sur le Sanskrit mahāmātra/महामात्र
: haut fonctionnaire[1171].
-ownesse, -own
Dans le corpus considéré, ne concerne que clown et poisson-clown. Il faut noter d’abord que clown est aussi bien employé de manière épicène qu’en alternance de clownesse.
Sur le plan étymologique, l’anglais à d’abord connu des variantes morphologique comme clowne et cloyne avant de se stabiliser sur clown[1172]. Son origine antérieure reste controversée et donne possiblement :
- d’un dialecte scandinave, par comparaison avec l’islandais
klunni
: camarade malhablie ou rustre, au suédoiskluns
: imbécile pénible, camarade malhabile, le danoisklunt
: bûche, bloc, qui peut être rapproché par exemple de tête de bûche ou de l’anglaisblockhead
: imbécile ; - d’un dilacte du bas allemand, par comparaison au frison
klönne
et au néerlandaiskloen
, personne malhabile ; - du latin
colonus
: colonist, paysan — cette hypothèse n’étant cependant souvent mentionné que pour mieux la désavouer.
-jointe, -joint, -jugum
Dans le corpus considéré, seuls les ambigus adjointe et conjointe sont concernés. Tous deux dérivent du latin adjungō,
Le terme lexicalement proche adjudicataire, dérive du latin jūdicare, dont l’étymon jus est apparenté à jungo[1173][1174], et donc à adjointe et conjointe, tout comme à conjugat et adjuvat[1175][1176][1177][1178].
D’où, complémenté avec le suffixe -um, la proposition d’une alternance isonèphe en -jugum, sachant que le latin jugum signifie entre autres liaison, lien commun et joug, attelage, paire, couple et connaît entre autres flexions juga, jugi, jugo.
-igue
Seulement quelques termes réfères directement à des humains, comme papefigue que Rabellais emploie en deux genres comme synonyme d’hérétique[1179], où le terme plus populaire et contemporain zigue, variante de zig, également attesté sous deux genres[1180][1181].
-ine, -∅ ou -in ou -os, -ène
Pour cette entrée, la proposition d'isonèphe s’est avéré particulièrement ardu à sélectionner parmi les idées considérés. La proposition s'est notamment faite sur les critères suivants :
- contient la séquence -in- ou -ne possiblement infixé d’autres lettres;
- exempt de possibilité d’expansion par -e ;
- la terminaison est déjà employé tant pour des termes ambigus qu’équivoques, possiblement les deux ;
- non homophone à -ine ou -in .Les autres possibilités considérés furent :
- -agne
- -ane
- -aine
- -æne
- -enne
- -erne
- -eine
- -eintre
- -erne
- -eune
- -iane
- -igne
- -inaire
- -iniâtre
- -ingue
- -iniste
- -inistre
- -inja
- -ino
- -inque
- -ioniste
- -ionnaire
- -inoque
- -innos
- -iurne
- -one
- -orgne
- -oune
- -ouine
- -uano
Au final, -ène est retenu car déjà largement employé dans des termes épicènes comme aborigène, Émésène, mécène, orphène, schizophrène. De plus cette terminaison reste monosyllabique et se fond adéquatement en alternance vocalique de -ine. Le terme héroène est par ailleurs usuel en Normand[1182].
-ine, -in, -ing
l'isonèphe -ing trouve son inspiration dans Viking, d’où une proposition suggérée pour les désignatifs de membres d’un groupe culturel ou ethnique.
-œuvre
Dans le corpus considéré concerne uniquement manœuvre.
-oniale, -oine, -onaste
Dans le corpus considéré, effectif seulement pour les membres d’institutions monastiques, une moniale, un moine, auquel est adjoint ici l'isonèphe un monaste. Les isonèphes s'en suivent spontannément, si ce n'est pour le générique moniāste où le -i- intercallaire permet d'éviter l'homophonie avec l'isonèphe.
-oise, -ois, -ense ou -isque ou -ose
Le suffixe -ois dérive de l’ancien bas vieux-francique -isk ou du latin -ensis[1183].
En espagnol, en italien et portugais -ense permet de construire des gentilés épicènes[1184].
Des attestations de villagier[1185][1186] en nom, ou villagière[1187] en adjectif se constatent, mais n’ont pas percolé dans cette proposition.
Quand à -ose, tiré de virtuose, il permet de débuter une série d’alternance vocaliques renvoyant à -oise et sa finale en /z/, consonne fricative alvéolaire voisée.
-orte
Pour un terme comme porte-parole, c'est sûr le morphe porte que l’alternance doit se faire : le terme réfère à la personne portant la parole. D’où des propositions pour les genres ostentatoires calés sur ceux déjà proposés par ailleurs pour -ant, la formation du terme composé étant analogique à celle trouvé par exemple dans le mot ayant droit. Le même raisonnement est à appliquer pour porte-bannière, porte-bourse, porte-flingue, porte-panier, porte-sceptre, porte-silence, et porte-sonnette.
Un chorte, allographie de short, peut métonymiquement désigner la personne qui le porte. De même pour un maforte, manteau que les moines d’Égypte se mettaient sur la tunique et qui couvrait le cou et les épaules.
Un cloporte peut désigner quelque concierge, ou tout être vivant considéré comme animal indésirable voir nuisible.
Une escorte désigne une personne splendide gynotypée qui se fait payer par une autre pour qu'elle l'accompagne, et par extension personne qui se prostitue quel que soit son sexe.
Une main forte, et son allographie mainforte, désigne une aide ou un secours apporté, et par métonymie la personne qui procure ce soutien[1188].
Un revanche une mainmorte désigne uniquement un statut juridique, la personne à qui elle est imputé étant dite mainmortable.
Le piano-forte ou pianoforte peut évidemment désigner métonyquement la personne qui le joue, pianiste, il faut noter cependant que sa prononciation /pja.no.fɔʁ.te/ calquée de l'italien le met à part des autres termes en -orte.
Une sorte peut désigner une personne, mais dans ce cas le trait catégorisant l'inclusion aggrégative doit toujours être inférable dans le contexte d'énonciation, possiblement par des indices situés hors du syntagme d'emploi et des termes explicitement employés par son locutaire : « — Est-ce une personne respectable ? — Oui, c’ent est une sorte. ». Plus souvent cependant il est directement complété sous forme de groupe nominal via une préposition ablative comme de : « Ce n’était plus une servante qui me montrait la route ; c’était une sorte d’héroïne de roman »[1189].
Un porte-à-porte peut métonymiquement désigner la personne qui pratique cette méthode de démarchage.
Une sporte désigne un panier, et par métaphore peut désigner la personne qui le porte où qui en fait courament l'emploi.
- une bistorte, plante ;
- un cloporte, crustacé ;
-orte, -ort, -ortium
Dans le corpus considéré, le couple d'alternance -orte et -ort ne se trouve couramment que dans l'alterance entre morte et mort ainsi que les termes où il apparaissent comme morphe. Il y a cependant un usage débutant d’une substantivation de forte en alterance de fort au sens de personne muni d'une importante vigueur corporelle ou mentale lui permettant de faire face à des épreuves estimés rudes et suceptibles de briser les individus plus modiquement pourvu en la matière[1190][1191][1192][1193].
Or ces mots dérivent du latin fortis et mors qui comptent les génitifs pluriels fortium et mortium parmi leurs flexions. D'ailleurs mortium est également retenu comme terme français singulier dans quelques œuvres de science fiction contemporaines[1194][1195]. De là les propositions ostentatoires en -ortẽme, -ortìme, -ortāme, -ortǫme, -ortúme découlent sans difficulté. Soit fortẽme, fortìme, fortāme, fortǫme, fortúme, et mortẽme, mortìme, mortāme, mortǫme, mortúme.
À noter que l'approche envisageant -ortable en isonèphe par analogie avec mainmortable à sciement été écarté, toute légitime qu'elle fût.
-athe
Pour l'ensemble des termes en -athe les ostentatoires peuvent être callés sur les propositions déjà faites pour -aire, soit -athẽre, -athìre, -athāre, -athǫre, -athúre.
-lathe
Dans le corpus considéré concerne uniquement bibliolathe, personne qui possède beaucoup de livres, sans les connaitre.
Le suffixe provient du grec ancien láthos/λάθος
, variante de lêthê/λήθη
: oubli, qui par métonymie désigne ici la personne oublieuse et en l'occurence celle qui oublie les livres, sous-entendant les assertions énoncés dans les livres que la personne à écrit. En effet le terme par d'un sobriquet donné à Didymus Chalcenterus, la légende voulant qu'il refusa de croire une histoire qu'on lui rapporta oralement avant de la lui remontrer tiré d'un de ses propres ouvrage.
Le répertoire du biotique haplogeste comprends uniquement un calathe, insecte.
-lâtre
Dans le corpus considéré concerne alcoolâtre, angélolâtre, anthropolâtre, artolâtre, astrolâtre, bardolâtre, bardolâtre, bibliolâtre, christolâtre, confinolâtre, démonolâtre, écolâtre, eurolâtre, gastrolâtre, gynolâtre, hugolâtre, iconolâtre, idolâtre, ophiolâtre, papolâtre, staurolâtre, tabacolâtre, tintinolâtre, vaccinolâtre, xylolâtre, zoolâtre.
Le suffixe -lâtre est utilisé pour désigner une personne pratiquant l’adoration de quelque chose, souvent au sens péjoratif.
En passant par un isonèphe virtuel en -lâtriste, la proposition pour les ostentatoires s'arrête sur la série -lâtriẽste, -lâtrìxte, -lâtrāste, -lâtrǫste, -lâtrûste
-gathe
Une rapide recherche n'a trouvé d'emploi qu'à l'équivoque pour calogathe, seul désignatif personel dans le corpus considéré.
Le répertoire du biotique haplogeste comprends uniquement une agathe, plante.
-gnathe
Dans le corpus considéré concerne prognathe et rétrognathe.
Le suffixe qui leur est étymologiquement commun vient du grec ancien gnathos/ γνάθος
: mâchoire.
La thératologie emploie épignathe, hypognathe, myognathe une rapide recherche ne permettant de trouver que des attestations à l'équivoque.
- un agnathe, crâniate ;
- un chétognathe, embranchement (phylum) de prédateurs marins
- un chilognathe, insecte ;
- un entognathe, insecte ;
- un néognathe, oiseau ;
- un odontognathe, poisson ;
- un orthognathe, arachnide ;
- un paléognathe, oiseau ;
- un phyllognathe, insecte ;
- un plectognathe, poisson ;
- un syngnathe, poisson.
-mathe
Dans le corpus considéré concerne opsimathe, philomathe et polymathe.
Le suffixe qui leur est étymologiquement commun vient du grec ancien manthano/μανθάνω
: apprendre.
-pathe
Dans le corpus considéré concerne allopathe, cénestopathe, étiopathe, ferrovipathe, homéopathe et sa graphie alternative homœopathe, hydropathe, météopathe, myopathe, naturopathe, néopathe, névropathe, normopathe, ostéopathe, psychopathe, sociopathe, spathe, télépathe.
Le suffixe nominale -pathe, issu grec ancien pathê/πάθη
: douleur, passion, souffrance, intervient avec plusieurs sens :
- pour désigner personne considérée comme atteinte d'un trouble sanitaire : cénestopathe, myopathe, néopathe, névropathe, normopathe, psychopathe, sociopathe ;
- pour désigner une personne qui pratique une activité thérapeutique non conventionnelle : allopathe, étiopathe, homéopathe, hydropathe, naturopathe, ostéopathe ;
- pour désigner une personne fervante d'une activité, à l'instar de ce que peut rendre -manie : ferrovipathe ;
- pour désigner une personne dont les émotions ou la psyché sont supposés influencer des évènements observables sans la médiation de mouvement corporels perceptibles : météopathe, télépathe.
-rathe
Dans le corpus considéré concerne Marathe.
-yathe
- un cyathe, champignon
-pied
Sur le corpus considéré, -ied est constaté uniquement sur des mots composés, terminant par pied ou pieds, comme va-nu-pieds. Au passage il peut être noter que pour former l’adjectif pédestre et le nom piéton, l’usage n’hésite pas à largement moduler les sonorités de leur commune racine étymologique latine pes
qui se fléchie également sous la forme pedĕ, pedem, pedēs, pedī, pedibus, pedis et pedum[1196]. Cet étymon est rataché à l’indo-européen commun *pṓds
: pied, qui donne aussi par exemple le sanscrit pád/पद्
: pied, le grec ancien poús/πούς
, podós/ποδός
et l’anglais foot
.
-raresse, -eur
Dans le corpus considéré concerne administraresse[N 61] et administrateur.
-ratesse, -eur
Dans le corpus considéré concerne administratesse[N 62] et administrateur.
-resse, -er
Dans le corpus considéré concerne bartendresse et bartender[N 1], quakresse[N 63] et quaker[N 1].
-resse, -eur
Dans le corpus considéré concerne administresse[N 64] et administrateur, blasphématresse et blasphémateur.
-resse, -i
Dans le corpus considéré concerne barakresse[N 65] et baraki.
-reuss-, -reuf-, -deuf-
L'argot n'opère pas ici un simple renversement de sœur et frère.
De son côté frère passe d'abord par la métathèse primordiale du verlan et se voit renversé en reufré, et continue sa transformation métaplasmique par une apocope qui le tronque en reuf.
Pour sa part sœur passe d'abord sans trop de surprise par le renversement des consonnes extrêmales. Cette première transformation conduit à rœus, qui est parfois employé en l'état[1197]. Cette forme peut cependant n'être qu'intermédiaire, et le verlan opère une substitution simplificatrice du -œu- vers -eu-, qui n'a pas de motivation phonétique, et dérive possiblement de l'influence de keuf, meuf, peuf, reuf, seuf et teuf. À noter d'ailleurs que l'existente de seuf comme verlan de fesse réfrène la possibilité d'employer ce même terme comme mutation générique de sœur. La gémination du s maintenant final pour rendre compte de son caractère prononcée en aboutissant à reuss n'est pas tout à fait unique puisqu'elle apparaît aussi dans keuss, verlan de sec. D'ailleurs cette même influence du rendu phonétique fournie la graphie alternative reusse.
L'isonèphe est proposé ici par calque analogique des transformations opérées sur reuss et reuf, en partant du terme adelphe (/a.dɛlf/). Un renversement simple conduit à /dɛl.fa/, qui pourra être grafié delpha ou dans plus dans l'esprit de la crypto-simplification argotique delfa. Pour le rapprocher un peu plus de ses pairs monosyllabiques une apocope triviale en delf est possible, auquel l'absence de collision lexicale laisse toute latitude à l'influence de keuf, meuf, peuf, reuf et teuf qui charriera donc plutôt vers deuf.
-roi, -reine, -regnèstre
Dans le corpus considéré, l’alternance entre -eine et -oi est constaté uniquement pour le couple reine et roi et son dérivé vice-reine et vice-roi.
D'où la proposition d’un isonèphe qui renvoie à leur étymon latin commun regno
: royaume, règne, et à -estre déjà proposé par ailleurs par calque de bourgmestre[1198][1199][1200][1201][1202][1203].
-trice, -teur, -taire
Pour ce qui est du genre arrhénophène, vitric porte déjà le sens de beau-père qui connote assurément le sens de mâle-humain.
-u (/y/)
Dans le corpus considéré la terminaison -u est présente dans les désignatifs personnels épicènes suivant : belu, Fipu, trotte-menu, Xiongnu – ce dernier ce prononçant également aussi avec un /u/ en finale.
À l’exception de trotte-menu, où l’alternance suffixale devrait être porté par trotte, ces termes peuvent construire des alternances isonèphes sur le même modèle que celui retenu et présenté dans la section dédiée à l’alternance -ue, -u, -ustre.
-u (/u/)
Dans le corpus considéré la terminaison -u est présente dans les désignatifs personnels épicènes suivant : otaku, Bukusu, Xiongnu – ce dernier ce prononçant également aussi avec un /y/ en finale.
Pour otaku, étant donné la prééexistence de l’adjectif dérivé otakiste[1204], il sera pertinent de retenir les mêmes alternances ostantatoires que celles déjà proposées pour les termes épicènes en -iste.
Pour les termes éthnologiques, étant donné que Xiongu à déjà des alternances suggérées de par son autre possible prononciation, il sera plus cohésif de s’y limiter. Autrement dits pour Bukusu et Xiongnu, ce sont -iẽstre, -ìstre, -āstre, -ǫstre, -ústre qui sont proposés.
-ue
Le terme charrue est employé au Québec pour désigner une fille aux mœurs libertines ou à l’embonpoint flagrant[1205][1206]. Un emploi indifférent à la gente est envisageable, sans nécessiter d’alternance suffixale : le terme désigne en premier lieu un objet inanimé et son emploi pour désigner une personne est métaphorique. Dans la même lignée sémantique, le terme fendue peut désigner une jeune fille ou une jeune femme, ou dans un argot péjoratif une femme au mœurs libertines voir une prostituée[1207]. Dans ce cas l’usage à l’équivoque n’est pas attesté mais, du fait de sa formation par déverbalisation de fendre, devrait plutôt pencher l’alternance vers fendu.
À l’inverse morue, également employé avec cette sémantique péjorative, fait appel à un usage métaphorique, et ne devrait donc pas nécessairement donner un alternance suffixale, quelle que soit la gent de la personne désignée. Toujours du côté animal, il existe également la grue, également employé pour désigner une femme dissolue ou une prostituée[1208]. Dans un autre registre sémantique sangsue, outre l’emploi pour pour désigner un annélide aquatique, peut référer à des personnes jugées trop collantes, tout comme tortue pour des personnes jugées remarquablement lente. La vérue est un ver qui ne semble pas prêter à métaphore, contrairement à la verrue, tumeur cutanée bénigne, qui est parfois employé pour désigner une personne dont la présence est jugée inutile et pénible voir préjudiciable[1209].
Le vocable du biotique ananthropique compte coccigrue, aussi graphié coqsigrue, nom vulgaire de plusieurs champignons ainsi que toute-venue, nom vulgaire du séneçon commun.
Du côté des désignatifs proprement humains qui peuvent référer à toutes les gents sans variation de genre se trouve recrue.
À noter que dans le corpus considéré seul barbecue semble retenir une finale vocalisé avec un /u/ terminale, tous les autres noms, donc tous les désignatifs personnels sans exception trouvée, se prononcent avec un /y/ en final.
Considérant l’ensemble de ces constat, il semble que -ue est une termaision employé strictement en combinaison du genre ambigu. Aucune alternance pour les genres ostantatoires n’est donc proposés, bien que ces termes pourraient se caller sur le même modèle que celui retenu et présenté dans la section dédiée à l’alternance -ue, -u, -ustre.
-ue, -u, -ustre
Ce suffixe sert notamment former des adjectifs qui signifie caractérisé par, ou possédant l’objet désigné par la racine suffixé, souvent avec une valeur intensive[1210]. C’est donc généralement par substantivation d’un adjectif que se forme les noms communs portant cette terminaison. Dans le corpus considéré l’alternance -ue et -u est présente dans les désignatifs personnels suivant :
- barbue et barbu, à comparer au latin barbatus qui supposément donne le bas-latin barbutus ;
- cocue et cocu, du latin coculus[1211] ;
- cornue et cornu, du latin cornutus
- déçue et déçu, à comparer au latin deceptus, deceptum
- déchue et déchu[1212][1213][1214][1215]
- disparue et disparu
- détenue et détenu, du latin detinentur, ainsi que codétenue et codétenu ;
- élue et élu du latin electus ;
- entendue et entendu;
- étendue et étendu ;
- exclue et exclu ;
- farfelue et farfelu ;
- férue et féru ;
- glandue et glandu ;
- grelue et grelu ;
- hors-venue et hors-venu ;
- hurluberlue et hurluberlu ;
- inattendue et inattendu ;
- inconnue et inconnu ;
- ingénue et ingénu ;
- irrésolue et irrésolu ;
- joufflue et joufflu ;
- locdue ou loquedue et locdu ou loquedu ;
- malotrue et malotru ;
- mâtrue et mâtru ;
- moldue et moldu ;
- néopromue et néopromue ;
- niolue et niolu ;
- parvenue et parvenu ;
- pendue et pendu ;
- résolue et résolu ;
- têtue et têtu ;
- tondue et tondu ;
- vaincue et vaincu ;
- vendue et vendu ;
- ventrue et ventru ;
- zébue et zébu.
Pour le panébuleux, une permière approche est de rechercher les termes épicènes qui finissent par la voyelle /y/ suivie de quelques consonnes et d’un éventuel -e muet, ce qui fourni la liste suivante de terminaisons envisageables : -ube, -uc, -uche, -ude, -uds, -ufe, -uffe, -uge, -ul, -uldre, -ule, -ulse, -ulte, -ume, -ur, -urde, -ure, -urge, -urle, -urne, -us, -use, -uste, -ustre, -ute, -uze, -uzz.
Une autre approche est de se tourner vers les suffixes ayant une valeur synonyme, qui signifie donc également relatif à la chose suffixé, propre à cette chose : -esque, -ique. Il serait aussi possible de former des termes plus pertinents au cas par cas. Par exemple barbiphore ou pogonophore pour une personne portant la barbe, électarque pour une personne dépositaire d’un pouvoir légal obtenue par une élection, ou encore détenave par analogie lexicale à esclave et référence étymologique au latin aveum pouvant signifier un âge de la vie et pouvant donc laisser interpréter le terme précédement construit comme portant personne en période de réclusion.
Toutes ces données considérées, en vue de fournir une alternance isonèphe unifiée basée sur une terminaison de noms épicènes pré-existant, c’est la proposition -ustre qui est retenue ici. En effet elle est constatable dans l’adjectif illustre et le nom commun rustre, qui à eux deux démontrent que cette terminaison est, en elle même, plutôt dénuée de trait sémantique axiologique, que ce soit en termes de péjoration ou de prestige.
-uge
Concerne notamment juge et transfuge.
Le premier dérive du latin jūdĭcem, accusatif de jūdex, dérivé de jūs : droit, justice, et de dīcĕre dire, lui-même de la racine *deik- : montrer. L’étymologie donne jus comme apparenté à jungo : joindre, lier avec le sens initial de lien, obligation, de même que lex : loi est apparenté à ligo :lier. Comparer à jugium génitif pluriel de jugis : courant, perpétuel, continuel, lui aussi apparenté à jungo : joindre, et jugum : joug au sens d’attelage sous lequel se forme une union, une paire, un couple et par extension joug sous lequel passe les vaincus, d’où esclavage, servitude.
Le second dérive du latin transfuga apparanté à transfugium : désertion, de trans- et fuga, dénominal de fugio : fuir, apparenté au grec ancien pheúgô/φεύγω
de l’indo-européen commun *bheug-
: fuir.
D’où des propositions pour les ostentatoires callées sur celles déjà fournies par ailleur pour les termes en -ium, en supposant un -ugium en point d'ancrage virtuel.
Le répertoire du biotique haplogeste comprends :
- une lampuge, poisson
- un muge, poisson
- un refuge, qui par métaphore désigne une personne dont est attendu, ou espéré quelque protection ou secours
- un solifuge, arachnide
-ul (/yl/)
La terminaison -ul, quand elle opère hors d’une alternance en genre, ne semble user que pour des termes de genre exclusivement équivoque. Le Wiktionnaire donne carakul comme épicène sans fournir d’attestation, et en le présentant comme variante graphique de caracul lui-même documenté seulement comme équivoque.
-ule
Cette terrminaison est épicène dans les désignatifs personnels suivant : climatocrédule, contribule, diurnambule, émule, funambule, Gétule, hiérodule, iconodule, incrédule, noctambule, ridicule, somnambule, somnanbule. Pour autant elle ne garantie pas l’épicénie des termes qui ne fournissent pas d’alternance : l’usage consacre crapule comme un terme uniquement ambigu, tandis qu’hercule est en principe uniquement employé au genre équivoque – ce qui dans les deux cas ne résiste pas à ce qui se trouve en pratique sur la toile que ce soit dans des tournures volontaires ou par erreur[1216][1217][1218][1219][1220][1221].
Les propositions de suffixes ostentatoires sont formés par une application simple et directe de la règle générale, sauf pour le thélyphène qui retient l’ajout d’un -c- pour éviter quelques formations potentiellement burlesques en -búle (/bul/) tout en désambiguïsant du suffixe allusif.
-ule, -ul, -ulum
C’est notamment le cas de consule et consul qui emploie cette alternance, ainsi que leurs dérivés comme proconsule et vice-consul. Ils dérivent du latin consul, qui connaît la flexion consulum[1222]. À noter que consulesse est documenté par le Wiktionnaire uniquement pour désigner l’épouse de quelque titulaire d'un consulat, tandis que consulaire désigne uniquement la personne qui, bien qu’elle est exercée une fonction consulaire, n’est plus bénéficiaire de ce statut au moment sous lequel elle est considérée[1223][1224][1225]. Le terme est issu du latin qui connaît la flexion génitive pluriele consulum, ce qui suffit à motiver la forme isonèphe en -ulum.
-ulle, -ul, -ullus
C’est notamment le cas de nulle et nul qui emploie cette alternance, ainsi que leurs dérivés comme archinulle et snul. Ces termes proviennent du latin nullus d’où la proposition d'isonèphe en -ullus.
-unk (/œnk/)
Dans le corpus considéré, concerne punk et ses dérivés tel anarcho-punk, cyberpunk, pop-punk, ska-punk, steampunk et transpunk.
Du côté du biotique haplogeste se trouve la skunk, moufette.
-ur (/yʁ/)
Dans le corpus considéré, concerne Alur.
-ure (/yʁ/)
Dans le corpus considéré concerne Abure bien que sa variante Abouré laisse plutôt envisager une finale en /uʁ/, augure[1226], Bordure et son dérivé pro-bordure[1227], dioscure[1228], lémure, Ligure, manicure ou manucure, pédicure, et soldure.
Pour manicure et pédicure, ils viennent du latin avec en commun l'étymon cura, fléchie en cūram à l'accusatif singulier, d'où l'idée de formes génériques en -curāme et par suite un calque de la proposition déjà faite pour les -um épicènes sur la série ostentatoire -iẽme, -ìme, -āme, -ǫme, -ûme.
Issue d'un procédé métonymique et donc haplogeste se trouvent une balayure ou une baliure, une berclure, une calure, une caricature, une chiure, une colorature, une commandature, une crevure, une doublure, une enflure, une figure, une filature, une géniture, une hure[N 66], une monture, une ordure, un parjure, une pelure, une pointure, une pourriture, une progéniture, une raclure, une roulure, une souillure[1229], une tartissure, et une vomissure[1230].
Bien que le trait métonymique puisse être également avancé, il faut noter que créature couvre une sémantique toute spécifique car elle est à la fois hyperonyme de tout être considéré animé tout en connotant généralement des traits plus précis lorsqu'il désigne des êtres humains, le québec employant d'ailleurs une criature pour désigner plus spécifiquement un individu gynotypé.
Aussi la nature peut désigner une entité personifée, qui matérialise notamment la puissance, la force active et créatrice.
Outre monture qui peut désigner n'importe quel animalDu côté du biotique unigenré se trouve :
- un acanthure, poisson ;
- une alopécure, plante ;
- un anomalure, mamifère ;
- un athérure, mamifère ;
- une bandure, plante ;
- une boulure, rejeton d'une plante ;
- une bouture, branche plantée en terre qui prend racine ;
- un byture, insecte ;
- un cénure, ou une cœnure ver ;
- une chaudure, plante ;
- un condylure, mammifère ;
- une conure, oiseau ;
- une crocidure, mammifère ;
- un crossure, reptile ;
- un ou une cyclure, reptile ;
- une cynosure, plante ;
- un dasyure, mammifère ;
- une découpure, insecte ;
- une dicranure, insecte ;
- un dolichure, insecte ;
- une échaudure, plante ;
- un échiure, ver ;
- une emballonure, mammifère ;
- un entélure, poisson ;
- un ou une érismature ;
- un graphiure, mammifère ;
- un gymnure, hérisson, poisson ou singe ;
- un halmature, mammifère ;
- un maclure, plante ;
- un malaptérure, poission ;
- un malure, oiseau ;
- une levure, et ses dérivés comme gélolevure, champignon ;
- une mégalure, oiseau ;
- un ménure, oiseau ;
- un mercure, insecte ;
- un métallure, oiseau ;
- une moisissure, champignon ;
- un molure, reptile ;
- une ophiure, échinoderme ;
- un oxyure, ver ;
- un pagure, crustacé ;
- un palinure, crustacé ;
- un paliure, arbre ;
- une panure, oiseau ;
- un paradoxure, mammifère ;
- un phœnicure, oiseau ;
- un piure, molusque ;
- un plature, reptile ;
- « un platyures », est documenté comme reptile par Émile Littré et dupliqué de cette source par de nombreuses œuvres lexicographiques, mais des recherches sommaires n'ont pas suffit à démontrer son usage effectif ;
- une podure, insecte ;
- un psilure, plante ;
- un puffinure, oiseau ;
- une scorpiure, plante ;
- un silure, poisson ;
- un sphiggure, mammifère ;
- un sténure, ver
- une tapure, arbre
- un ure, mamifère ;
-ure, -ur, -urum
Dans le corpus considéré concerne dure et dur sous entendu à cuir ; ainsi que future et futur sous entendu épouse et époux. Les deux sont issus du latin dont les nominatifs neutres emploient une terminaison un -urum : durum, futurum ce qui suffit à motiver l'isonèphe.
-use
Dans le corpus considéré, ne concerne guère que misomuse.
Le répertoire du biotique haplogeste comprends :
- une æthuse ou éthuse, plante
- une anchuse, plante
- une archibuse, oiseau
- une buse, oiseau, personne ignorante, stupide ou bornée
- une came-cruse, une créature fantastique
- une cuboméduse, cnidaire
- une empuse, insecte, moisissure ou démon
- une hydroméduse, ou cnidaire
- une loméchuse, insecte
- une méduse, cnidaire ou personne jugée laide
- une muse, personne qui inspire quelque poète
- une passe-buse, oiseau
- une recluse, araignée
- un busard soubuse, oiseau
- une tête-de-méduse, champignon, plante ou échinoderme
-use, -us, -ũs
Dans le corpus considéré, ne concerne intruse et intrus, recluse et reclus.
Pour l'isonèphe, l’ajout du diacrtique suffit à distinguer de l’équivoque -us (/y/) avec -ũs (/ys/). Pour les genres ostentatoires, l’inspiration principale reprends les formes déjà proposées pour -aise, -ais, -us.
-use, -ut
Dans le corpus considéré, ne concerne guère que canuse et canut.
-uste
Dans le corpus considéré, ne concerne guère que juste. Pour ce seul cas de désignation personnel terminant par -uste, il ne s’agit pas à proprement parler d’un suffixe nominal, seulement de la séquence terminale englobant sa dernière voyelle, qui en l’occurrence est également l’unique voyelle du mot.
-ut
Dans le corpus considéré concerne bizut[1231][1232][1233], rebut[1234]
Certains termes ne se trouve qu'à l'équivoque, dont bazut, caffut
Un unique terme n'a d'emploi qu'à l'ambigu, une mahut, au sens de femme d’expérience pour lequel il n'a pas de pendant équivoque. Il semble aussi employé pour désigner une jeune manœuvre employé au service des voies dans les houillères, en alternance de galibot[1235].
Le biotique haplogeste comprend :
- un dahut, et sa variante dahu, créature fantastique
- un gabut, et sa variante gabot, poisson
- un grapput, cépage ;
- un halibut, et sa variante hellebut, poisson ;
- un salut, poisson ;
- un turlut, oiseau.
-ute
Dans le corpus considéré concerne Carnute, hernute, journapute[1236][1237], Jute, Malamute, prostipute[1238][1239][1240][1241] et Ute.
En plus de ces termes épicènes se trouve quelques désignatifs personnels unigenres, tous à l'ambigü : une barbute, une brute, une glute, une pupute, une pute.
Le biotique unigenré compte pour sa part :
- une brute, animal auquel est dénié toute dignité propre à inspirer quelque empathie, comme l'intelligence, la riason ou la sensibilité ;
- une cuscute, plante ;
- une firmicute, bactérie ;
- un jute, plante ;
- une marute, plante ;
- un serpent-minute, reptile ;
- une volute peut parfois par métonymie désigner le mollusque qu'elle contient.
-ute, -ut, -utisque/-üs
Dans le corpus considéré concerne Bahute et Bahut, gentilés relatifs à la commune de Bergères ainsi que substitute et substitut auquels s'ajoute zébute et zébu.
Le premier couple manifeste un cas d'ininférable supplétion entre nom de commune et gentilé. Cela s'éloigne certes des cas dérivatifs les plus courant comme Abidjanaise, Bruxelloise, Parisienne. Il n'en est pas pour autant une exception unique, comme l'atteste les Annericiennes d'Ennery, les Bégueline de Lantenay ou les Yaudes d'Amanzé. Pour l'isonèphe et l'ostentatoire, la proposition sera ici callée sur celle déjà faite pour -oise, -ois, -isque, suffixe courrant pour les gentilés. Soit Bahutisque, Bahutiẽse, Bahutìse, Bahutāse, Bahutǫse, Bahutûse
Le second provient du latin substitutus participe passé de substituere : substituer. Il est par ailleurs parfois employé de façon épicène avec sa forme équivoque[1242][1243][1244]. Pour l'isonèphe et l'ostentatoire, la proposition sera ici callée sur celle déjà faite pour -use, -us (/y/), -üs (/ys/). Soit substitüs, substitẽş, substitìş, substitāş, substitǫş, substitúş.
Quant au dernier, il faut remarquer tout d'abord la présence concomitante de zébue comme forme ambigüe en usage en plus de zébute. L'étymologie du terme étant des plus incertaine, une dérivation s'appuyant sur les alternances consonantiques courantes suffira à justifier un isonèphe en zébude (/ze.byd/). Puis par adaptation mimétique des propositions ostentatoires déjà faites pour -ide, -e, -idus, soit zébiẽde, zébìņde (/ze.bind/), zébāde, zébǫde, zébúde (/ze.bud/). Seul le dernier terme subit donc une légère altération pour le distinguer de l'isonèphe précité.
-uve
Les termes en -uve qui désigne des vivants comprennent notamment la fuve, le réduve et le suve. Aucun de ces termes n’est pleinement consacré épicène dans l’usage : comme souvent pour les noms d’animaux le genre grammatical est pleinement décorélé du sexe biologique. Ceci étant, la terminaison en elle même n’est pas unilatérallement associée à un unique geste allusif.
-yste
Concerne majoritairement des noms sur base du terme analyste et de ses dérivés par préfixation : cryptanalyste, psychanalyste, socioanalyste par exemples.
-whip-
Ce terme, qui désigne un député qui est chargé du maintien de la discipline de son parti, est emprunté à l’anglais, où en ce sens il appocope le terme whipper-in
: chasseur qui empêche les chiens d'errer[1245][1246][1247]. Aussi, bien qu’il ne soit guère attesté dans une telle forme, il serait à considérer comme alternance de whippest-in, whippin-in ou whippix-in[1248].
Notes
- ↑ 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 1,11 1,12 1,13 1,14 1,15 1,16 1,17 1,18 et 1,19 Cette forme est également employée de façon épicène. Erreur de référence : Balise
<ref>
incorrecte : le nom « :0 » est défini plusieurs fois avec des contenus différents. - ↑ Le terme alternatif apothicairesse est également attesté.
- ↑ Employé cependant majoritairement, si ce n'est exclusivement, comme terme désuet signifiant épouse de quelque commissaire.
- ↑ Est également attesté le terme alternatif notairesse.
- ↑ Est également attesté le terme alternatif propriétairesse.
- ↑ Est également attesté le terme alternatif secrétairesse.
- ↑ Employé cependant majoritairement, si ce n'est exclusivement, comme terme désuet signifiant épouse de quelque doge.
- ↑ Les attestations de la forme ambiguë semblent plutôt à attribuer à quelques erreurs de retranscription à l'écrit qu'à la volonté délibérée d'en faire un terme épicène.
- ↑ Sont également attestées les formes alternatives recommanderesse et recommandeuse. Ce dernier convoie cependant une connotation mystique de par son usage fréquent en ce sens, qui est absent dans les autres alternatives. À ne pas confondre avec le terme épicène recommandataire de sémantique distincte.
- ↑ Présenté comme l'un des synonyme de calament à feuilles de menthe dans de nombreux ouvrages mais sans jamais fournir un indice sur son genre, son usage référentiel exophore n'a pas été constaté après une succinte recherche.
- ↑ Le terme amiralesse est cependant majoritairement attesté dans le sens désuet d'épouse de la personne qui porte le titre, ce qui n'est pas le cas de son alternative fémentienne muette amirale.
- ↑ 12,00 12,01 12,02 12,03 12,04 12,05 12,06 12,07 12,08 et 12,09 S'emploie également de façon épicène.
- ↑ 13,00 13,01 13,02 13,03 13,04 13,05 13,06 13,07 13,08 13,09 13,10 13,11 et 13,12 Aucune attestation n'a été trouvé pour une éventuelle forme en -e. Erreur de référence : Balise
<ref>
incorrecte : le nom « :1 » est défini plusieurs fois avec des contenus différents. - ↑ Cette fonction ecclésiastique imposant le célibat et opérant une ségrégation androtypante, ce terme ne peut actuellement référer qu'à une personne fictive, que ce soit dans une œuvre fantastique, une remarque ironique ou une supputation sur l'évolution à venir de cette fonction.
- ↑ La forme alternative cheika est aussi employé.
- ↑ La forme dragone est également attestée.
- ↑ La forme éléphante est également attestée.
- ↑ En dehors du sens d'épouse d'un major, l'allonyme majore est également attesté.
- ↑ Cette alternance n'est pertinente dans l'usage que pour la fonction religieuse. Pour une personne qui prie, c'est le terme prieuse qui est employé en alternance de prieur.
- ↑ L'allolexie scoute est également en usage.
- ↑ L'allolexie snobe est également en usage.
- ↑ L'allolexie soldate est également en usage.
- ↑ L'allographie stewardess et l'allolexie hôtesse de l’air sont également en usage.
- ↑ L''allolexie hôte de l’air est également en usage.
- ↑ L'allolexie sultane est également en usage.
- ↑ Le terme Titane est également en usage.
- ↑ L'usage retient également une trolle.
- ↑ Le terme trobairitz et son allographie trobaïritz sont également en usage.
- ↑ S'emploie aussi pour l'épouse de la personne qui exerce cette fonction. Dans le sens de personne qui exerce cette fonction, l'usage retient également une vice-consule.
- ↑ 30,00 30,01 30,02 30,03 30,04 30,05 30,06 30,07 30,08 30,09 30,10 30,11 30,12 30,13 30,14 30,15 30,16 30,17 30,18 30,19 30,20 30,21 30,22 30,23 30,24 30,25 30,26 30,27 30,28 30,29 30,30 30,31 30,32 30,33 30,34 30,35 30,36 30,37 30,38 30,39 30,40 30,41 30,42 30,43 30,44 30,45 30,46 30,47 30,48 30,49 30,50 30,51 30,52 30,53 30,54 30,55 30,56 30,57 30,58 30,59 30,60 30,61 30,62 30,63 30,64 30,65 30,66 30,67 30,68 30,69 30,70 et 30,71 Cette forme est également employée de façon épicène.
- ↑ Il a été jugé plus pertinent ici de regrouper dans cette section les alternances qui sont de fait plus précisément entre -éresse et -ère.
- ↑ Cette forme peut également, de façon vieillie, désigner une épouse de la personne portant le titre, ce qui n'est pas le cas du terme amirale, son alternative fémentienne muette.
- ↑ Cette forme ne semble pas avoir suscité d'emploi ayant laissé des traces sauf pour désigner l'épouse d'un ammeistre. Cela étant Catherine Trautmann et Jeanne Barseghian en tant que porteuses du titre de maire de Strasbourg ont potentiellement pu être légitimement désignées comme son ammeistresse.
- ↑ Le terme alternatif apothicaresse est également attesté.
- ↑ Le terme centaurelle est également en usage.
- ↑ Peut s'employer pour désigner des fonctions et des occupations différentes que celle de chanoine.
- ↑ La forme dogaresse est également attestée.
- ↑ La forme dragonesse est également attesté.
- ↑ La forme drolière est également attesté.
- ↑ L'alternance avec la forme supplétive bru est également attestée.
- ↑ La forme gnomide est également attestée.
- ↑ À l'ambigu, une khédive, peut désigner un type de cigarette par antonomase d'une marque éponyme.
- ↑ Le terme nonne est également employé comme alternance ambigu à moine.
- ↑ S'emploi aussi, toujours à l'équivoque, pour les individus thélyphènes.
- ↑ Nonobstant le changement diacritique entre -é- et -è- qui marque ici une alternance vocalique.
- ↑ L'allolexie propriétaresse est également en usage.
- ↑ L'usage emploie aussi Satyre, avec une majuscule.
- ↑ L'allolexie guenon est également employé pour le sens de singe femelle.
- ↑ L'usage retient également une zébrelle.
- ↑ 50,0 et 50,1 Bien que contemporainement ce sont là des formes considérées archaïques, sachant que administratrice et blasphématrice sont d'emploi plus fréquent.
- ↑ L'usage emploi également acquéreuse.
- ↑ Il existe aussi par ailleurs quelques rares emplois des termes acquisitrice et acquisiteur.
- ↑ Le terme transgresseuse est également en usage.
- ↑ L'alternative barakresse est également en usage.
- ↑ Au sens de personne au profit de laquelle une autre s’est porté garante.
- ↑ Au sens judiciaire de personne débitrice sur laquelle se fait une saisie, la partie saisie.
- ↑ L'usage retient également zombie comme terme épicène, en parallèle de cette alternance entre une zombie et un zombi.
- ↑ Ce sont :
- Accessoiriste
- Accompagnateur du changement
- Accordeur
- Acheteur
- Acteur
- Actuaire analyse l'impact financier du risque et
- Administrateur civil
- Administrateur de bases de données
- Administrateur de biens
- Administrateur de réseaux
- Administrateur de sécurité
- Administrateur de stockage
- Administrateur de système
- Administrateur judiciaire
- Administrateur territorial
- Affréteur
- Agent cynophile
- Agent d'accueil touristique
- Agent d'assurance
- Agent de change
- Agent de joueurs
- Agent d'entretien
- Agent de police judiciaire
- Agent de prévention des vols
- Agent de prévention et de sécurité
- Agent de réservation
- Agent de sécurité
- Agent de sécurité incendie certifié
- Agent de voyage
- Agent immobilier
- Agent spécial
- Agriculteur
- Agronome
- Aide-caissier
- Aide-documentaliste
- Aide-soignant
- Aiguilleur
- Aiguilleur du ciel
- Ambassadeur
- Ambulancier
- Analyste
- Analyste financier
- Anesthésiste
- Animateur commercial
- Animateur de télévision
- Animateur socioculturel
- Anthropologue
- Antiquaire
- Apiculteur
- Appareilleur
- Arbitre
- Archéologue
- Architecte
- Architecte de système
- Architecte d'intérieur
- Architecte paysagiste
- Archiviste
- Ardoisier
- Armateur
- Armurier
- Artificier
- Assesseur
- Assistant de justice
- Assistant de service social
- Assistante maternelle
- Assistant familial
- Assistant juridique
- Assistant parlementaire
- Astronaute
- Astronome
- Astrophysicien
- Attaché temporaire d'enseignement et de recherche
- Audioprothésiste
- Auditeur de justice
- Auxiliaire de justice
- Avocat
- Avocat en droit public
- Bail bondsman
- Barista
- Barman
- Barrister
- Batelier
- Bibliothécaire51,52
- Bijoutier
- Biochimiste
- Biographe
- Biologiste
- Biomathématicien
- Biophysicien
- Botaniste
- Boucher
- Boulanger
- Brancardier
- Bronzier
- Bruiteur
- Cadreur
- Caissier
- Calligraphe
- Cambiste
- Campaniste
- Canneur-rempailleur
- Capitaine de navire
- Cariste
- Carreleur
- Cartographe
- Caviste
- Céramiste
- Chanteur
- Chaperon
- Charcutier
- Chargé de clientèle
- Chargé de communication
- chargé de l'orientation scolaire lors de la formation initiale des élèves
- Chargeur
- Charpentier
- Chasseur de têtes
- Chaudronnier
- Chaudronnier (aviation)
- Chauffagiste
- Chauffeur de bus
- Chauffeur de poids-lourd
- Chauffeur de salle
- Chauffeur de taxi
- Chauffeur-livreur
- Chaumier
- Chef de cabinet
- Chef de laboratoire
- Chef de partie
- Chef de piste
- Chef de plateau
- Chef de produit
- Chef de publicité
- Chef de rayon
- Chercheur
- Chercheur dans l'élaboration de travaux participant à la recherche universitaire
- Chimiste
- Chiropraticien
- Chirurgien
- Chirurgien-dentiste
- Chocolatier
- Cirier
- Ciseleur
- Claviste
- Clerc de notaire
- Clerc d'huissier de justice
- Climatologue
- Clown
- Cogniticien
- Coiffeur
- Comédien
- Commandant de bord
- Commentateur sportif
- Commercial
- Commissaire aux comptes
- Commissaire de district
- Commissaire de justice
- Commissaire de police
- Commissaire des armées
- Commissaire général
- Commissaire-priseur
- Community manager
- Compositeur
- Comptable
- Concepteur-rédacteur
- Conducteur de chien de garde ou de défense
- Conducteur de funiculaire
- Conducteur de train
- Conducteur de tramway
- Confiseur
- Conseil des ventes volontaires de meubles aux enchères publiques
- Conseiller d'éducation
- Conseiller d'État ou Conseiller de cour d'appel
- Conseiller d'orientation-psychologue
- Conseiller du salarié
- Conseiller en économie sociale et familiale
- Conseiller financier
- Conseiller fiscal
- Conservateur de musée
- Conservateur des bibliothèques
- Consolideur
- Constable spécial
- Consul
- Consultant en ingénierie touristique et culturelle
- Conteur
- Contremaître
- Contrôleur
- Contrôleur aérien
- Contrôleur de gestion
- Contrôleur des risques
- Contrôleur des transports
- Contrôleur fiscal
- Convoyeur de fonds
- Convoyeur de l'air
- Copiste
- Cordiste
- Cordonnier
- Corps supérieur des avocats de l'État
- Correcteur (imprimerie)
- Cosmonaute
- Coursier
- Courtier en assurances
- Courtier en bourse
- Courtier piqueur juré
- Coutelier
- Couturier
- Couvreur
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- Créancier
- Crémier
- Critique d'art
- Critique gastronomique
- Cryptologue
- Cuisinier
- Cuisiniste
- Cultivateur
- Dabbawallah
- Danseur
- Déménageur
- Démineur
- Dentiste
- Designer
- Détective
- Développeur
- Développeur de jeux vidéo
- Dialoguiste
- Diététicien
- Diplomate
- Directeur administratif et financier
- Directeur artistique
- Directeur de cabinet
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- Directeur de collection
- Directeur de marché
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- Directeur financier
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- Éclusier
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- Économiste de la construction
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- Écrivain public
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- Éducateur de jeunes enfants
- Éducateur spécialisé
- Éducateur sportif
- Éducateur technique spécialisé
- Égyptologue
- Électricien
- Employé d'assurance
- Employé de banque
- Employé de commerce
- Encadreur
- Enquêteur d'assurances
- Enquêteur de droit privé
- Enseignant-chercheur
- Enseignant vacataire
- Entraîneur
- Entreposeur
- Entrepreneur
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- Ergonome
- Ergothérapeute
- Escaliéteur
- Espion
- Esthéticien
- Étalagiste
- Étancheur
- Ethnologue
- Éthologue
- Exobiologiste
- Expert-comptable
- Expert foncier et agricole
- Expert judiciaire
- Façadier
- Facteur
- Facteur d'instruments
- Figurant
- Fiscaliste
- Fleuriste
- Forces spéciales
- Forgeron
- Formateur
- Fromager
- Garagiste
- Garde champêtre
- Garde des Sceaux
- Garde du corps
- Garde forestier
- Gardien
- Gardien de zoo
- Gendarme
- Généalogiste
- Géographe
- Géologue étudie la géologie des sols
- Géomètre-expert
- Gérant de patrimoine
- Gérant de portefeuille
- Gestion financière
- Glacier
- Glaciologue
- Go-go danceur
- Gouverneur
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- Grutier
- Guide culturel
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- Horticulteur
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- Hôtelier
- Hôtesse de l'air
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- Humoriste
- Hydraulicien
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- Imitateur
- Imprimeur
- Infirmier
- Influenceur numérique
- Ingénieur
- Ingénieur agronome
- Ingénieur commercial
- Ingénieur du son
- Ingénieur en aéronautique
- Ingénieur financier
- Ingénieur forestier
- Ingénieur sites et sols pollués
- Inhalothérapeute
- Inspecteur
- Installateur d'alarme
- Instituteur
- Intégrateur
- Intendant de terrain de golf
- Interprète
- Jardinier
- Joaillier
- Jongleur
- Journalisme sportif
- Journaliste
- Juge
- Juge aux affaires familiales
- Juge-commissaire
- Juge de l'application des peines
- Juge des enfants et Juge des tutelles
- Juge d'instance
- Juge d'instruction
- Juriste
- Juriste assistant
- Juriste de banque
- Juriste en droit social et Juriste d'entreprise
- Kebabier
- Kinésithérapeute
- Laitier
- Lardonnier
- Lecteur (université)
- Libraire
- Limonadier
- Lithographe
- Livreur
- Logisticien
- Luthier
- Maçon
- Magasinier
- magicien
- Magistrat
- Maître de conférences (MCF)
- Maître des requêtes
- Maître ou professeur des écoles
- Majorette
- Mandataire judiciaire
- Maquettiste
- Maquilleur
- Marbrier
- Marchand de journaux
- Maréchal-ferrant
- Marin
- marketer
- Matelot
- Mathématicien
- Mécanicien auto
- Mécanicien d'aéronefs
- Mécanicien de course
- Médecin
- Média-planneur
- Médiateur
- Menuisier
- Météorologue
- Métrologue
- Metteur en scène
- Militaire
- Moniteur d'auto-école
- Moniteur de plongée
- Moniteur-éducateur
- Monteur
- Mosaiste
- Musicien
- Naturaliste
- Navigateur aérien
- Navigateur (marine)
- Négociateur immobilier
- Notaire
- Notaire public
- Observateur sportif
- Œnologue
- Officiel (athlétisme)
- Officiel (football américain)
- Officier
- Officier de police judiciaire
- Officier du ministère public
- Officier ministériel
- Opérateur de marché
- Opérateur en télésurveillance
- Ophtalmologue
- Orfèvre
- Ornemaniste
- Orthésiste
- Orthodontiste
- Orthophoniste
- Orthoptiste
- Ostéopathe
- Ouvrier agricole
- Paléontologue
- Parajuriste
- Parfumeur
- Pâtissier
- Paysagiste
- Péagiste
- Pêcheur
- Pédiatre
- Peintre en bâtiment
- Pépiniériste
- Pharmacien
- Photographe
- Physicien
- Pigiste
- Pilote d'avion
- Pilote de chasse
- Pilote de ligne
- Pilote d'essai
- Pilote d'hélicoptère
- Pizzaïolo
- Planneur stratégique
- Plaquiste
- Plâtrier
- Plombier
- Plongeur
- Plongeur de combat du génie
- Podologue
- Poissonnier
- Policier
- Polisseur
- Pompier
- Pompiste
- Porte-parole
- Potier
- Préfet
- Président-directeur général (PDG)
- Prestidigitateur
- Primeuriste
- Procureur
- Procureur d'État
- Procureur général
- Procureur général associé des États-Unis
- Producteur de cinéma
- Producteur de télévision
- Professeur
- Professeur agrégé
- Professeur de sport
- Professeur des universités-praticien hospitalier
- Professeur des universités (PU)
- Programmeur
- Projectionniste
- Protonotaire
- Proviseur
- Proviseur-Adjoint
- Psychiatre
- Psychologue
- Psychologue en orientation
- Psychomotricien
- Public Information Officer
- Publicitaire
- Ramasseur de balles
- Ramoneur
- Réalisateur
- Réceptionniste
- Rédacteur
- Référenceur
- Régulateur
- Relieur
- Responsable éditorial
- Responsable Responsabilité sociétale des entreprises
- Restaurateur d'art
- Rondier
- Roughman
- Sage-femme
- sales
- Saucier
- Scénariste
- Sculpteur
- Secrétaire
- Secrétaire de rédaction
- Secrétaire du cabinet
- Secrétaire médicale
- Secrétaire parlementaire privé
- Secrétaire permanent
- Secrétaire royal
- Sérigraphe
- Serrurier
- Sertisseur
- Serveur
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- Shérif
- Showgirl
- Sismologue
- Sociologue
- Solliciteur
- Sommelier
- Souffleur de verre
- Spationaute ou taikonaute
- Sportif de haut niveau
- Stadier
- Staffeur
- Statisticien
- steward
- Strip-teaseur
- Styliste
- Substitut du procureur ou Substitut général
- Surveillant
- Sylviculteur
- Tailleur de pierre
- tailleur d'habits
- Tailleurt
- Taxi danseur
- Taxidermiste
- Technicien
- Technicien de laboratoire
- Technicien de l'intervention sociale et familiale
- Technicien de maintenance
- Technicien des fluides de forages
- Technicien de surface
- Technicien de surveillance de forages
- Technicien hotline
- Technicien réseau
- Technicien supérieur de maintenance d'éoliennes
- Technologue
- Teinturier
- Téléconseiller
- Télévendeur
- Thermodynamicien
- Tonnelier
- trader
- Trader du commerce international de pétrole
- Traducteur
- Traducteur interprète officiel auprès des tribunaux
- Traiteur
- Transporteur
- Travailleur social
- Trésorier
- Typographe
- Urbaniste
- Urgentiste
- Vaguemestre
- Vannier
- Vendeur
- Ventriloque
- Verrier
- Vétérinaire
- Vigile
- Viticulteur
- Vitrailliste
- Vitrier
- Volcanologie
- Voyageur représentant placier
- Webdesigner
- Webmarketeur
- Webmaster
- Zoologiste
- ↑ Ici éso- est empolyé au sens de intime, propre ou réservé aux seuls adeptes, comme dans ésotérique. Ce terme évite donc la possible interprétation infamante d'un terme comme sous-culture.
- ↑ Terme adhoc créé sur le nom chorème avec le préfixe syn-, définie comme une unité de signification ou un motif récurrent dans un discours ou une culture donnée.
- ↑ Bien que contemporainement il s'agit là d'une forme considérée archaïque, sachant que administratrice est d'emploi plus fréquent.
- ↑ Bien que contemporainement il s'agit là d'une forme considérée archaïque, sachant que administratrice est d'emploi plus fréquent.
- ↑ Le terme alternatif quakeresse est également employé.
- ↑ Bien que contemporainement il s'agit là d'une forme considérée archaïque, sachant que administratrice est d'emploi plus fréquent.
- ↑ L'alternative barakie est également en usage.
- ↑ Au sens métaphorique de tête, par exemple une hure pensante qui dirige un groupe d'individus.
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