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- Les noms islandais diffèrent de la plupart des noms de famille occidentaux en étant patronymiques (et quelquefois matronymiques) dans le sens où le nom de l'enfant reflète le prénom du père (ou de la mère) et non celui d'une lignée familiale. L'Islande partage un héritage culturel commun avec les pays nord européens tels que l'Ukraine, la Russie, la Norvège, la Suède et le Danemark. Ce système de noms est aussi apparenté à un système qui avait cours en Europe septentrionale. La coutume réunionnaise témoigne également de cette pratique d'attribution des prénoms. Mais les Islandais, au contraire des autres scandinaves, ont maintenu l'utilisation de leur système traditionnel de noms, système qui était autrefois utilisé dans toute la Scandinavie (et réintroduit dans les îles Féroé). Un exemple célèbre est celui de Leif Ericson, le fils de Éric le Rouge. Le système islandais n'utilise donc pas de nom de famille. Le nom d'une personne indique le prénom de son père (ou dans quelques cas celui de sa mère). Quelques noms de famille existent en Islande, la plupart hérités de parents d'origine étrangère, certains étant des noms adoptés. Parmi les exemples notables d'Islandais ayant un nom hérité, on trouve l'ancien premier ministre Geir Haarde, le joueur de football Eiður Smári Guðjohnsen, l'actrice et le réalisateur Baltasar Kormákur Samper. Avant 1925, il était légal d'adopter un nouveau nom de famille. Un des Islandais à l'avoir fait est le prix Nobel de littérature Halldór Laxness. Depuis 1925, cela n'est autorisé que si l'on peut justifier d'un droit d'héritage de ce nom. Les prénoms qui ne sont pas d'usage en Islande doivent être approuvés par le Comité islandais des noms avant d'être donnés. Le critère d'acceptation est la facilité d'intégration dans la langue islandaise. D'abord, il doit contenir uniquement des lettres trouvées dans l'alphabet islandais et ensuite il doit pouvoir être grammaticalement décliné. (fr)
- Les noms islandais diffèrent de la plupart des noms de famille occidentaux en étant patronymiques (et quelquefois matronymiques) dans le sens où le nom de l'enfant reflète le prénom du père (ou de la mère) et non celui d'une lignée familiale. L'Islande partage un héritage culturel commun avec les pays nord européens tels que l'Ukraine, la Russie, la Norvège, la Suède et le Danemark. Ce système de noms est aussi apparenté à un système qui avait cours en Europe septentrionale. La coutume réunionnaise témoigne également de cette pratique d'attribution des prénoms. Mais les Islandais, au contraire des autres scandinaves, ont maintenu l'utilisation de leur système traditionnel de noms, système qui était autrefois utilisé dans toute la Scandinavie (et réintroduit dans les îles Féroé). Un exemple célèbre est celui de Leif Ericson, le fils de Éric le Rouge. Le système islandais n'utilise donc pas de nom de famille. Le nom d'une personne indique le prénom de son père (ou dans quelques cas celui de sa mère). Quelques noms de famille existent en Islande, la plupart hérités de parents d'origine étrangère, certains étant des noms adoptés. Parmi les exemples notables d'Islandais ayant un nom hérité, on trouve l'ancien premier ministre Geir Haarde, le joueur de football Eiður Smári Guðjohnsen, l'actrice et le réalisateur Baltasar Kormákur Samper. Avant 1925, il était légal d'adopter un nouveau nom de famille. Un des Islandais à l'avoir fait est le prix Nobel de littérature Halldór Laxness. Depuis 1925, cela n'est autorisé que si l'on peut justifier d'un droit d'héritage de ce nom. Les prénoms qui ne sont pas d'usage en Islande doivent être approuvés par le Comité islandais des noms avant d'être donnés. Le critère d'acceptation est la facilité d'intégration dans la langue islandaise. D'abord, il doit contenir uniquement des lettres trouvées dans l'alphabet islandais et ensuite il doit pouvoir être grammaticalement décliné. (fr)
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