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- L'opérette est un genre musical mêlant comédie, chant et généralement danse. Apparue au milieu du XIXe siècle, elle se situe dans la lignée commune du théâtre et de la musique classique qui avait donné naissance aux siècles précédents au ballet, à l'opéra, à l’opéra-comique et à l'opéra bouffe ; elle est à l'opéra comique ce que le vaudeville est à la comédie. Camille Saint-Saëns la décrit comme « une fille de l'opéra-comique ayant mal tourné, mais les filles qui tournent mal ne sont pas toujours sans agrément ». Elle inspirera au XXe siècle la comédie musicale, laquelle se dissociera à partir des années 1910 du genre classique par l'intégration de musiques « nouvelles » comme le jazz venues des États-Unis. L'opérette alterne numéros chantés – et parfois dansés – et dialogues, se différenciant de l’opéra-comique par l'utilisation de musique dite « légère » (en opposition à la « musique savante ») pour ses partitions et le fait qu'elle ait une fin le plus souvent heureuse. De même que le terme de « musique légère » a pris pour une partie du public une connotation négative, celui d'« opérette » est souvent employé de nos jours - à tort - de façon générique. En effet, contrairement à une idée reçue, la plupart des œuvres les plus connues de Jacques Offenbach, comme La Belle Hélène, La Vie parisienne ou La Périchole ne sont pas des opérettes, mais des opéras bouffes (voire des opéras-comiques). (fr)
- L'opérette est un genre musical mêlant comédie, chant et généralement danse. Apparue au milieu du XIXe siècle, elle se situe dans la lignée commune du théâtre et de la musique classique qui avait donné naissance aux siècles précédents au ballet, à l'opéra, à l’opéra-comique et à l'opéra bouffe ; elle est à l'opéra comique ce que le vaudeville est à la comédie. Camille Saint-Saëns la décrit comme « une fille de l'opéra-comique ayant mal tourné, mais les filles qui tournent mal ne sont pas toujours sans agrément ». Elle inspirera au XXe siècle la comédie musicale, laquelle se dissociera à partir des années 1910 du genre classique par l'intégration de musiques « nouvelles » comme le jazz venues des États-Unis. L'opérette alterne numéros chantés – et parfois dansés – et dialogues, se différenciant de l’opéra-comique par l'utilisation de musique dite « légère » (en opposition à la « musique savante ») pour ses partitions et le fait qu'elle ait une fin le plus souvent heureuse. De même que le terme de « musique légère » a pris pour une partie du public une connotation négative, celui d'« opérette » est souvent employé de nos jours - à tort - de façon générique. En effet, contrairement à une idée reçue, la plupart des œuvres les plus connues de Jacques Offenbach, comme La Belle Hélène, La Vie parisienne ou La Périchole ne sont pas des opérettes, mais des opéras bouffes (voire des opéras-comiques). (fr)
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- L'opérette est un genre musical mêlant comédie, chant et généralement danse. Apparue au milieu du XIXe siècle, elle se situe dans la lignée commune du théâtre et de la musique classique qui avait donné naissance aux siècles précédents au ballet, à l'opéra, à l’opéra-comique et à l'opéra bouffe ; elle est à l'opéra comique ce que le vaudeville est à la comédie. Camille Saint-Saëns la décrit comme « une fille de l'opéra-comique ayant mal tourné, mais les filles qui tournent mal ne sont pas toujours sans agrément ». Elle inspirera au XXe siècle la comédie musicale, laquelle se dissociera à partir des années 1910 du genre classique par l'intégration de musiques « nouvelles » comme le jazz venues des États-Unis. (fr)
- L'opérette est un genre musical mêlant comédie, chant et généralement danse. Apparue au milieu du XIXe siècle, elle se situe dans la lignée commune du théâtre et de la musique classique qui avait donné naissance aux siècles précédents au ballet, à l'opéra, à l’opéra-comique et à l'opéra bouffe ; elle est à l'opéra comique ce que le vaudeville est à la comédie. Camille Saint-Saëns la décrit comme « une fille de l'opéra-comique ayant mal tourné, mais les filles qui tournent mal ne sont pas toujours sans agrément ». Elle inspirera au XXe siècle la comédie musicale, laquelle se dissociera à partir des années 1910 du genre classique par l'intégration de musiques « nouvelles » comme le jazz venues des États-Unis. (fr)
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