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- Les reliques de la grotte du Lait de la Vierge, dites autrefois « reliques du saint Laict », abrégé de « reliques de la Grotte du Lait » (ex crypta B.M.V. lactis dicta, de lapide super quem sparsit Virgo Maria lac suum), furent importées durant des siècles dans toute l'Europe. Par leurs propriétés, elles correspondaient un peu à l'eau de la Grotte de Lourdes de nos jours, un « souvenir » ramené d'un lieu saint, aux vertus réputées curatives, d'une grotte autrefois universellement vénérée, avant celle de Lourdes. Un texte de Laurentius Surius témoigne de l'ancienneté de cette coutume concernant la grotte du lait, où venaient prier des femmes de toute confession, juives, musulmanes et chrétiennes, d'envoyer dans toute l'Europe des tablettes et des petits pains de cette craie, terre blanche et friable, pour guérir les malades, de même qu'on les rapportait en tant que souvenir, curiosité, ou objet de dévotion. « Il ne faut donc point s' émerveiller, que les pèlerins de ce temps distribuent avec grande révérence des pierrettes et pièces de terre qu'ils apportent des Saints Lieux de la Palestine, comme témoignent saint Augustin et saint Grégoire, évêque de Tours, disant qu'en mêlant ces pierrettes ou terre avec de l'eau, on en soulait faire des tablettes, qu'on portait et envoyait par tout le monde pour la guérison des malades. » — Laurentius Surius Les reliques de la grotte du lait jadis vendues sous le nom de « lait de la Vierge » ne doivent pas être confondue avec le « lait de la Vierge », une substance blanche et laiteuse utilisée par les alchimistes voici des siècles. (homonymie) (fr)
- Les reliques de la grotte du Lait de la Vierge, dites autrefois « reliques du saint Laict », abrégé de « reliques de la Grotte du Lait » (ex crypta B.M.V. lactis dicta, de lapide super quem sparsit Virgo Maria lac suum), furent importées durant des siècles dans toute l'Europe. Par leurs propriétés, elles correspondaient un peu à l'eau de la Grotte de Lourdes de nos jours, un « souvenir » ramené d'un lieu saint, aux vertus réputées curatives, d'une grotte autrefois universellement vénérée, avant celle de Lourdes. Un texte de Laurentius Surius témoigne de l'ancienneté de cette coutume concernant la grotte du lait, où venaient prier des femmes de toute confession, juives, musulmanes et chrétiennes, d'envoyer dans toute l'Europe des tablettes et des petits pains de cette craie, terre blanche et friable, pour guérir les malades, de même qu'on les rapportait en tant que souvenir, curiosité, ou objet de dévotion. « Il ne faut donc point s' émerveiller, que les pèlerins de ce temps distribuent avec grande révérence des pierrettes et pièces de terre qu'ils apportent des Saints Lieux de la Palestine, comme témoignent saint Augustin et saint Grégoire, évêque de Tours, disant qu'en mêlant ces pierrettes ou terre avec de l'eau, on en soulait faire des tablettes, qu'on portait et envoyait par tout le monde pour la guérison des malades. » — Laurentius Surius Les reliques de la grotte du lait jadis vendues sous le nom de « lait de la Vierge » ne doivent pas être confondue avec le « lait de la Vierge », une substance blanche et laiteuse utilisée par les alchimistes voici des siècles. (homonymie) (fr)
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- Les reliques de la grotte du Lait de la Vierge, dites autrefois « reliques du saint Laict », abrégé de « reliques de la Grotte du Lait » (ex crypta B.M.V. lactis dicta, de lapide super quem sparsit Virgo Maria lac suum), furent importées durant des siècles dans toute l'Europe. Par leurs propriétés, elles correspondaient un peu à l'eau de la Grotte de Lourdes de nos jours, un « souvenir » ramené d'un lieu saint, aux vertus réputées curatives, d'une grotte autrefois universellement vénérée, avant celle de Lourdes. Un texte de Laurentius Surius témoigne de l'ancienneté de cette coutume concernant la grotte du lait, où venaient prier des femmes de toute confession, juives, musulmanes et chrétiennes, d'envoyer dans toute l'Europe des tablettes et des petits pains de cette craie, terre blanche (fr)
- Les reliques de la grotte du Lait de la Vierge, dites autrefois « reliques du saint Laict », abrégé de « reliques de la Grotte du Lait » (ex crypta B.M.V. lactis dicta, de lapide super quem sparsit Virgo Maria lac suum), furent importées durant des siècles dans toute l'Europe. Par leurs propriétés, elles correspondaient un peu à l'eau de la Grotte de Lourdes de nos jours, un « souvenir » ramené d'un lieu saint, aux vertus réputées curatives, d'une grotte autrefois universellement vénérée, avant celle de Lourdes. Un texte de Laurentius Surius témoigne de l'ancienneté de cette coutume concernant la grotte du lait, où venaient prier des femmes de toute confession, juives, musulmanes et chrétiennes, d'envoyer dans toute l'Europe des tablettes et des petits pains de cette craie, terre blanche (fr)
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