Faire payer l’entrée de Notre-Dame de Paris : Bayrou pense que «c’est une mauvaise idée»
Invité sur BFM, le président du MoDem a affirmé ne pas être favorable à la proposition de la ministre de la Culture, Rachida Dati.
Tous les articles
Invité sur BFM, le président du MoDem a affirmé ne pas être favorable à la proposition de la ministre de la Culture, Rachida Dati.
Le président du MoDem, allié de la fragile coalition de Michel Barnier, appelle au débat parlementaire pour sortir des «incompréhensions», en visant notamment les critiques de Gabriel Attal ou Gérald Darmanin.
RÉCIT - L’allié historique d’Emmanuel Macron doit prendre la tête, à titre bénévole, d’un nouvel organe de prospective rattaché à l’exécutif. Le résultat du regroupement de France Stratégie et du haut-commissariat au Plan, annoncé mardi par le premier ministre.
REPORTAGE - Les deux hommes, qui se sont imaginés à Matignon, se sont affichés en alliés pour la rentrée du MoDem. Des retrouvailles teintées de regrets et de mises en garde, avec l’objectif de préparer la suite.
DÉCRYPTAGE - L’alliance gouvernementale avec LR crée le malaise parmi les troupes centristes, qui reçoivent le socialiste Bernard Cazeneuve dimanche pour leur rentrée, dans le Morbihan.
Le principal point de blocage serait la nomination annoncée de Bruno Retailleau à l'Intérieur, et la présence un temps évoquée de Laurence Garnier.
Invité du « Grand Jury RTL-Le Figaro-Public Sénat-M6 », le patron du MoDem a jugé « ni possible ni souhaitable » la présence de ministres RN dans un gouvernement élargi.
Le NFP ne peut se prévaloir du statut de vainqueur des législatives, estime le patron du MoDem. Celui-ci dénonce aussi la «faute de méthode» d’Emmanuel Macron qui n’aurait pas dû, selon lui, négocier avec les partis politiques avant de désigner le premier ministre.
ENTRETIEN - L’allié d’Emmanuel Macron l’invite à nommer un premier ministre «rassembleur», à la tête d’un «large» gouvernement au-dessus des intérêts partisans.
Au vu des «circonstances si graves où il se trouve», le président du MoDem a indiqué samedi sur France Info qu’il ferait tout son possible pour «réunir les gens», en réponse à un journaliste lui demandant s’il se verrait premier ministre.
Alors que le président du MoDem a considéré lundi soir sur TF1 que les Français «n’ont pas voulu donner la majorité absolue à l’extrême gauche et à l’extrême droite», le chef de file des socialistes a répliqué que le scénario du centriste «ne pouvait pas fonctionner.»
En troisième position selon des résultats provisoires, la macronie accuse le coup. Et se projette déjà sur le second tour du 7 juillet prochain.
«Les temps que nous traversons sont extrêmement difficiles. Dimanche, le premier objectif, c'est écarter les extrêmes, a déclaré ce vendredi sur LCI le président du Modem.
Invité mercredi soir de France 5, le président du MoDem a fustigé la stratégie de «forces politiques républicaines» de «s'installer sous la coupe et le joug d'une extrême gauche très radicale, brutale, violente.»
RÉCIT - En cas de «blocage général» à l’issue du scrutin des 30 juin et 7 juillet, l’allié historique d’Emmanuel Macron caresse le projet de réunir modérés de gauche et de droite autour du centre, dans un gouvernement d’union nationale.
Invité du «Grand Jury-RTL-Le Figaro-M6-Paris Première», le patron du MoDem s’est dit prêt si «besoin» à figurer à la fin de la liste de la majorité, comme le souhaiterait le chef de l’État.
«Il est rare que je sois en désaccord avec le président de la République, mais là, je suis en désaccord», a indiqué le proche du chef de l’État, ce dimanche.
Trois jours après le refus catégorique du ministre des Finances Bruno Le Maire d’augmenter les impôts, le président du MoDem réclame une discussion entre le gouvernement et les parlementaires.
Le centriste sera absent du meeting du camp présidentiel, qui se tient en même temps que le congrès du MoDem ce week-end à Blois.
DÉCRYPTAGE - À l'occasion du congrès du MoDem, ce week-end à Blois, François Bayrou entend marquer le centenaire de la création du PDP, premier parti démocrate-chrétien.
Retrouvez chaque samedi la sélection du FigaroVox: décryptages, points de vue et controverses.
SONDAGE - Selon un sondage Odoxa-Backbone Consulting pour Le Figaro, 76% des Français approuvent la décision de François Bayrou de ne pas rejoindre le gouvernement.
CONTRE-POINT - Si Emmanuel Macron n’avait pas étiré la composition complète du gouvernement, il aurait pu éviter le télescopage avec cette séquence Bayrou au cours de laquelle les calculs tactiques ont écrasé les enjeux stratégiques.
RÉCIT - Allié historique du chef de l’État, le maire de Pau a refusé d’entrer au gouvernement en fustigeant la «déconnexion» entre le pouvoir et les Français. Une manière de marquer sa différence en vue de la présidentielle, à laquelle il n’a pas renoncé, à 72 ans.
DÉCRYPTAGE - La démission de François de Rugy, après les photos le montrant en train de déguster du homard, a marqué un tournant.
GRAND RÉCIT - Faute d’avoir obtenu satisfaction, François Bayrou a renoncé à entrer au gouvernement. L’équipe a été complétée jeudi soir par 20 ministres et secrétaires d’État, un mois après la nomination de Gabriel Attal à Matignon.
INFO LE FIGARO - Voyant venir l’échec annoncé de l’entrée du centriste au gouvernement, le président de la République a taillé une offre «sur mesure» à son allié historique.
INFO LE FIGARO - Le tribunal correctionnel de Paris avait condamné le parti dans le dossier des assistants parlementaires européens, mais relaxé François Bayrou. Les magistrats «n'ont rien trouvé, car il n'y a rien», a réagi le maire de Pau.
En tendant la main aux centristes, la présidente du groupe écologiste à l’Assemblée entend contribuer au rééquilibrage de la ligne de l’exécutif.
LE POINT DE MIDI - Retrouvez l'essentiel de l'actualité parue ce jeudi 8 février au matin sur notre site.
Dans un communiqué, le parlementaire des Hauts-de-Seine accuse François Bayrou d'«affaiblir» le parti centriste après son refus d’entrer au gouvernement.
Alors qu’il a signifié son refus d'intégrer le gouvernement ce mercredi, François Bayrou a exprimé son souhait de rester au sein de la majorité présidentielle.
Après sa décision surprise, annoncée dans un communiqué assassin mercredi, l’allié centriste a réuni ses troupes pour dénoncer la «démarche d’humiliation» dont il se dit victime.
RÉCIT - Emmanuel Macron et Gabriel Attal veulent aussi profiter du remaniement pour trancher le cas d’Amélie Oudéa-Castéra, fragilisée à l’Éducation. François Bayrou doit être reçu par le premier ministre ce mercredi.
FIGAROVOX/TRIBUNE - Le président du MoDem a été blanchi dans l'affaire des assistants parlementaires européens. L’avocat Hervé Lehman invite à s’interroger sur les modalités de la mise en examen quand il s’agit de personnalités politiques.
Pour la ministre de la Culture, «c'est au président de la République de savoir où (François Bayrou) peut être utile».
Depuis sept ans, le patron du MoDem a été privé de fonctions qui lui étaient promises pour des faits qu’il n’a pas commis.
CONTRE-POINT - Vingt-deux ans après la première de ses trois tentatives présidentielles, le patron du MoDem n’a pas encore renoncé à devenir le premier en France.
DÉCRYPTAGE - Malgré la condamnation de huit ex-cadres, le président du MoDem a été blanchi dans l’affaire des assistants parlementaires européens. Au moment où le gouvernement s’étoffe, il retrouve de l’influence.
La motion de censure contre le gouvernement est rejetée, la fin d'un «cauchemar de sept années» pour François Bayrou, Teddy Riner remporte le tournoi de Paris … Chaque jour, la rédaction Le Figaro Live vous partage les vidéos les plus marquantes pour suivre l'actualité en quelques clics seulement.
«Le tribunal a dit (...) qu'il n'y avait pas de système, pas d'enrichissement personnel», s’est réjoui lundi le Haut-commissaire au Plan, président du parti centriste, en pointant toutefois un «gâchis humain».
LE POINT DE MIDI - Retrouvez l'essentiel de l'actualité parue ce lundi 5 février au matin sur notre site.
Le Haut-commissaire au Plan, proche d’Emmanuel Macron, avait toujours vivement contesté les accusations de détournement de fonds publics européens.
Le parquet a requis 30 mois d'emprisonnement avec sursis, 70.000 euros d'amende et trois ans d'inéligibilité avec sursis, pour complicité, par instigation, de détournement de fonds publics européens.
RÉCIT - Stupéfaits par la droitisation du dispositif d’Emmanuel Macron, qui a nommé Rachida Dati à la Culture, son aile gauche, tout comme ses alliés François Bayrou et Édouard Philippe mettent la pression en coulisses.
L’homme politique était invité sur le plateau de Benjamin Duhamel ce dimanche 7 janvier sur BFMTV. L’occasion pour lui de s’exprimer au sujet de l’affaire Gérard Depardieu et des récentes déclarations d’Emmanuel Macron à son sujet.
Un journaliste du Figaro a révélé en 2012 un rendez-vous entre les deux hommes, au mois de décembre 1994, qui aurait participé au renoncement du socialiste à se porter candidat à l’élection présidentielle.