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- El Nilakantha dharani es un discurso ritual similar a un mantra (ver Dhâranis) importante en el budismo Mahāyāna. Como el hoy en día popular Om mani padme hum, es un mantra muy conocido en el este de Asia, recitado a menudo para protección y purificación. Fue pronunciado por el bodhisattva Avalokiteshvara antes de una asamblea de budas, bodhisattvas, devas y reyes, de acuerdo con el Mahakarunikacitta Sutra. (es)
- The Nīlakaṇṭha Dhāraṇī, also known as the Mahākaruṇā(-citta) Dhāraṇī, Mahākaruṇika Dhāraṇī or Great Compassion Dhāraṇī / Mantra (Chinese: 大悲咒, Dàbēi zhòu; Japanese: 大悲心陀羅尼, Daihishin darani or 大悲呪, Daihi shu; Vietnamese: Chú đại bi or Đại bi tâm đà la ni; Korean: 신묘장구대다라니 (Hanja: 神妙章句大陀羅尼), Sinmyo janggu daedarani), is a Mahayana Buddhist dhāraṇī associated with the bodhisattva Avalokiteśvara. The dhāraṇī is thought to have originally been a recitation of names and attributes of Harihara (a composite form of the Hindu gods Vishnu and Shiva; Nīlakaṇṭha 'the blue-necked one' is a title of Shiva) said to have been recited by Avalokiteśvara, who was sometimes portrayed as introducing popular non-Buddhist deities (e.g. Hayagriva, Cundi) into the Buddhist pantheon by reciting their dhāraṇīs. Over time, these deities became considered to be the various forms or incarnations of Avalokiteśvara, who was described in texts such as the Lotus Sutra as manifesting himself in different forms according to the needs of different individuals; the dhāraṇī thus came to be considered as addressed to Avalokiteśvara as Nīlakaṇṭha, now understood to be a manifestation of the bodhisattva. From Nīlakaṇṭha Avalokiteśvara, this particular dhāraṇī eventually became associated with another of Avalokiteśvara's forms, namely the thousand-armed (sahasra-bhuja) one, and became attached to Buddhist texts concerning the thousand-armed Avalokiteśvara. Different versions of this dhāraṇī, of varying length, exist; the shorter version as transliterated into Chinese characters by Indian monk Bhagavaddharma in the 7th century enjoys a high degree of popularity in East Asian Mahayana Buddhism - especially in Chinese Buddhism - comparable to that of the six-syllable mantra Oṃ maṇi padme hūṃ, which is also synonymous with Avalokiteśvara. It is often used for protection or purification. In Korea, copies of the dhāraṇī are hung inside homes to bring auspiciousness. In Japan, it is especially associated with Zen, being revered and recited in Zen schools such as Sōtō or Rinzai. (en)
- Nīlakaṇṭha Dhāraṇī (sanskrit IAST), Dharani de (celui qui a) la Gorge bleue, également connue sous les appellations Mahākaruṇā (-citta) Dhāraṇī ou Mahākaruṇika Dhāraṇī (Dharani -ou Mantra- de la Grande compassion), (chinois: 大悲咒 Dàbēi zhòu; japonais: hiragana ニーラカンタ・ダーラニー , kanji 大悲心陀羅尼 ; vietnamien: Chú Ðại Bi; coréen hangeul: 니라칸타 • 다라니, Hanja: 神妙章句大陀羅尼) est un texte du bouddhisme mahāyāna dédié au bodhisattva Avalokiteśvara. Une dharani est un hymne sacré, une incantation ou une formule mystique. C'est une sorte de mantra. Depuis le VIIe siècle, la Nīlakaṇṭha Dhāraṇī est un des hymnes les plus populaires du bouddhisme mahāyāna. À l’origine, elle consistait en la récitation des différents noms et attributs d'une des épithètes de Shiva, Nīlakaṇṭha Lokeśvara (Le Maître du Monde à la Gorge bleue), et de ceux de Harihara. Elle était prononcée par Avalokiteśvara, qui intervenait également, toujours en qualité de « récitant », dans plusieurs autres dharanis destinées à des divinités hindoues. Au fil des siècles, le bodhisattva a été assimilé à ces divinités, entraînant ainsi leur incorporation au panthéon bouddhique. Ainsi, Avalokiteśvara-Nīlakaṇṭha est passé du statut de « récitant » à celui de « destinataire » de la dharani. Sa forme aux « mille bras » ou « mille mains », dont le symbolisme est issu de l'hindouisme, est particulièrement vénérée. Entre les VIe et XVIIIe siècles, neuf moines indiens et trois tibétains ont réalisé treize traductions de la dharani (certains en ont effectué plusieurs), à partir du sanskrit vers le chinois ou le tibétain. Neuf sont dites « courtes», quatre sont dites « longues». Celle qui est devenue la version « standard » (une des courtes) a été traduite en anglais au XXe siècle par quatre auteurs, deux historiens : D.T Suzuki, Lokesh Chandra et deux maîtres zen : Kazuaki Tanahashi et Joan Halifax. Le sutra qui contient la dharani a été intitulé Avalokitesvara aux mille mains et aux mille yeux (chinois : 千手千眼觀世音菩薩廣大圓滿無礙大悲心陀羅尼經 , pinyin : Qiān shǒu qiān yǎn guānshìyīn púsà guǎngdà yuánmǎn wú ài dàbēi xīn tuóluóní jīng) Taishō T20n1060_001, par Bhagavaddharma au milieu du VIIe siècle. Il a traduit les stances du sutra, mais pas la dharani, qu'il a translittérée. En effet, celle-ci est censée posséder un pouvoir magique quand elle est récitée en sanskrit. Pour cette raison, le nombre de syllabes et la prononciation dans les langues cibles, doivent refléter et reproduire autant que possible ceux de la langue source. Les autres traducteurs ont fait de même. La version de Bhagavaddharma, une des « courtes », a été consacrée par la postérité, reprise et translittérée dans tous les pays où est vénéré Avalokitesvara aux mille mains et aux mille yeux. Elle est la version « standard » encore de nos jours, très populaire dans les pays où le courant mahāyāna s’est développé : Chine continentale, Corée du Sud , Hong Kong, Japon, Taïwan, Viêt Nam et aussi Singapour, mais beaucoup moins dans les pays pratiquant le bouddhisme tibétain. Sa popularité est comparable à celle du mantra de la compassion Om mani padme hum, également dédié à Avalokiteśvara. Dans le cadre rituélique, elle est chantée ou récitée quotidiennement par les moines et les nonnes dans les monastères zen et par les pratiquants laïcs, dans les temples, les pagodes ou chez eux. Elle est parfois confondue avec une autre dharani, dont le texte est très différent, également connue sous le titre de Mantra de la Grande compassion Tibétain ou Dharani Sutra du Cœur d’Avalokiteśvara aux onze visages, qui provient en fait de l’ekādaśamukham-sutra (Sutra des onze visages). Le développement d’internet, ces dernières décennies, a permis la prolifération de milliers de sites qui proposent en ligne les deux dharanis récitées ou chantées, soit par des religieux ou des nonnes, soit par des artistes asiatiques célèbres dans les milieux bouddhistes. Certaines totalisent plusieurs millions (voire dizaines de millions) de vues. Les quatre versions « longues » sont celles de Vajrabodhi et les trois tibétaines, auxquelles il faut ajouter celle retrouvée parmi les Manuscrits de Dunhuang par Sir Aurel Stein, que Louis de La Vallée-Poussin et Robert Gauthiot ont publiée en 1912. Les traductions en anglais de D.T Suzuki, Lokesh Chandra, Kazuaki Tanahashi et Joan Halifax, comprennent des éléments de la version «courte» de Bhagavaddharma et de la «longue» de Vajrabodhi. Pour autant, aucun de ces qualificatifs ne peut leur être attribué, car n’étant pas des translittérations, les nombres de versets et surtout de syllabes, sont très variables. Ainsi sont-elles deux ou trois fois plus courtes que les versions sources. (fr)
- 신묘장구대다라니(神妙章句大陀羅尼, Nīlakaṇṭha Dhāraṇī)는 천수경에 묘사된 주문이다. 관세음보살과 삼보에 귀의할 것, 악업을 금하고, 탐욕, 노여움, 어리석음의 삼독을 소멸하고 깨달음에 이르도록 기원한다는 내용을 담고 있다. (ko)
- 大悲心陀羅尼(だいひしんだらに)は、仏教の陀羅尼である。大悲円満無礙神呪(だいひえんまんむげじんしゅ、だいひえんもんぶかいじんしゅ)または大悲呪(だいひじゅ)等ともいう。『千手千眼観世音菩薩広大円満無礙大悲心陀羅尼経』に含まれているため千手観音の陀羅尼として知られているが、元々は青頸観音(しょうきょうかんのん)という別の変化観音のものである。そのため、青頸陀羅尼(梵語:Nīlakaṇṭha Dhāraṇī、ニーラカンタ・ダーラニー)、青頸大悲心陀羅尼等とも呼ばれる。日本では「なむからたんのー、とらやーやー」という出だしで知られており、主に禅宗で広く読誦される。 (ja)
- De Nīlakaṇṭha Dhāranī (नीलकण्ठ धारनी) of Mahā Karuṇā Dhāranī (महा करुणा धारनी) is een boeddhistische mantra, geschrift en gebed. Het geschrift is een ode aan de heilige Guanyin, bodhisattva der mededogen. Door het geschrift te zingen of te bidden vraagt men Guanyin hulp en bescherming. Ook is het een goed middel om boze geesten te verjagen en brandongelukken vermijden. Volgens boeddhisten kan men met dit gebed genezing vragen voor één of meer van de 34.000 ziektes. Op offeringsbekertjes op Chinese boeddhistische altaren kan men weleens een vinden. Op dit soort bekertjes is de Nīlakaṇṭha Dhāranī in het hanzi afgedrukt. Na het gebed is het bekertje water heilig en soms wordt het door gelovigen opgedronken om ziektes te genezen. Het water staat ook symbool voor rust en kalmte, een belangrijk aspect in het Chinees boeddhisme. (nl)
- Нилакантха дхарани (санскр. नीलकण्ठ धारनी), Маха каруна дхарани («Мантра великого сострадания», кит. 大悲心陀罗尼咒, санскр. (महा करुणा धारनी) — мантра в буддизме Махаяны в форме ритуального начитывания и песнопения (дхарани). Посвящена бодхисаттве Авалокитешваре (Гуаньинь), распространена в странах Азии, сохранилась на санскрите, тибетском, китайском и корейском. Мантра лежит в основе одноимённой сутры. (ru)
- 大悲咒(梵語:महा करुणा धारनी,羅馬化:Mahā Karuṇā Dhāranī),全名千手千眼觀世音菩薩廣大圓滿無礙大悲心陀羅尼經大悲神咒,又稱大悲心陀罗尼(Mahā Karuṇā-citta Dhāranī)、千手千眼观音大悲咒(Sahasrabhuja Sahasranetra Avalokiteśvara Mahā Karuṇā Dhāranī)、千手千眼無礙大悲心陀羅尼、無礙大悲陀羅尼、廣大圓滿陀羅尼、滿願陀羅尼、隨心自在陀羅尼、救苦陀羅尼、延壽陀羅尼、大千隨喜陀羅尼、積善果業陀羅尼、速超十地陀羅尼,有时也称青頸观音大悲咒(梵語:नीलकण्ठ धारनी,羅馬化:Nīlakaṇṭha Dhāraṇī,义爲“青頸陀罗尼”,是指青頸观音的咒語),而朝鮮半島則習慣稱之為神妙章句大陀羅尼(韓語:신묘장구대다라니);是大乘佛教《千手千眼觀世音菩薩大悲心陀羅尼經》(《大悲心陀羅尼經》)中的咒文,汉传共有八十四句,為梵語構成的咒文章句。 在明朝《嘉興藏》《諸經日誦集要》中被收錄,作為寺院僧眾常見的早課與晚課誦唸咒文之一,經過雲棲株宏與蕅益智旭編輯推廣後,隨後也被收錄到《禪門日誦》與民國時期《佛門必備課誦本》等誦本中,盛行於禪宗、天台宗與淨土宗信眾之中。 (zh)
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- El Nilakantha dharani es un discurso ritual similar a un mantra (ver Dhâranis) importante en el budismo Mahāyāna. Como el hoy en día popular Om mani padme hum, es un mantra muy conocido en el este de Asia, recitado a menudo para protección y purificación. Fue pronunciado por el bodhisattva Avalokiteshvara antes de una asamblea de budas, bodhisattvas, devas y reyes, de acuerdo con el Mahakarunikacitta Sutra. (es)
- 신묘장구대다라니(神妙章句大陀羅尼, Nīlakaṇṭha Dhāraṇī)는 천수경에 묘사된 주문이다. 관세음보살과 삼보에 귀의할 것, 악업을 금하고, 탐욕, 노여움, 어리석음의 삼독을 소멸하고 깨달음에 이르도록 기원한다는 내용을 담고 있다. (ko)
- 大悲心陀羅尼(だいひしんだらに)は、仏教の陀羅尼である。大悲円満無礙神呪(だいひえんまんむげじんしゅ、だいひえんもんぶかいじんしゅ)または大悲呪(だいひじゅ)等ともいう。『千手千眼観世音菩薩広大円満無礙大悲心陀羅尼経』に含まれているため千手観音の陀羅尼として知られているが、元々は青頸観音(しょうきょうかんのん)という別の変化観音のものである。そのため、青頸陀羅尼(梵語:Nīlakaṇṭha Dhāraṇī、ニーラカンタ・ダーラニー)、青頸大悲心陀羅尼等とも呼ばれる。日本では「なむからたんのー、とらやーやー」という出だしで知られており、主に禅宗で広く読誦される。 (ja)
- Нилакантха дхарани (санскр. नीलकण्ठ धारनी), Маха каруна дхарани («Мантра великого сострадания», кит. 大悲心陀罗尼咒, санскр. (महा करुणा धारनी) — мантра в буддизме Махаяны в форме ритуального начитывания и песнопения (дхарани). Посвящена бодхисаттве Авалокитешваре (Гуаньинь), распространена в странах Азии, сохранилась на санскрите, тибетском, китайском и корейском. Мантра лежит в основе одноимённой сутры. (ru)
- 大悲咒(梵語:महा करुणा धारनी,羅馬化:Mahā Karuṇā Dhāranī),全名千手千眼觀世音菩薩廣大圓滿無礙大悲心陀羅尼經大悲神咒,又稱大悲心陀罗尼(Mahā Karuṇā-citta Dhāranī)、千手千眼观音大悲咒(Sahasrabhuja Sahasranetra Avalokiteśvara Mahā Karuṇā Dhāranī)、千手千眼無礙大悲心陀羅尼、無礙大悲陀羅尼、廣大圓滿陀羅尼、滿願陀羅尼、隨心自在陀羅尼、救苦陀羅尼、延壽陀羅尼、大千隨喜陀羅尼、積善果業陀羅尼、速超十地陀羅尼,有时也称青頸观音大悲咒(梵語:नीलकण्ठ धारनी,羅馬化:Nīlakaṇṭha Dhāraṇī,义爲“青頸陀罗尼”,是指青頸观音的咒語),而朝鮮半島則習慣稱之為神妙章句大陀羅尼(韓語:신묘장구대다라니);是大乘佛教《千手千眼觀世音菩薩大悲心陀羅尼經》(《大悲心陀羅尼經》)中的咒文,汉传共有八十四句,為梵語構成的咒文章句。 在明朝《嘉興藏》《諸經日誦集要》中被收錄,作為寺院僧眾常見的早課與晚課誦唸咒文之一,經過雲棲株宏與蕅益智旭編輯推廣後,隨後也被收錄到《禪門日誦》與民國時期《佛門必備課誦本》等誦本中,盛行於禪宗、天台宗與淨土宗信眾之中。 (zh)
- Nīlakaṇṭha Dhāraṇī (sanskrit IAST), Dharani de (celui qui a) la Gorge bleue, également connue sous les appellations Mahākaruṇā (-citta) Dhāraṇī ou Mahākaruṇika Dhāraṇī (Dharani -ou Mantra- de la Grande compassion), (chinois: 大悲咒 Dàbēi zhòu; japonais: hiragana ニーラカンタ・ダーラニー , kanji 大悲心陀羅尼 ; vietnamien: Chú Ðại Bi; coréen hangeul: 니라칸타 • 다라니, Hanja: 神妙章句大陀羅尼) est un texte du bouddhisme mahāyāna dédié au bodhisattva Avalokiteśvara. Une dharani est un hymne sacré, une incantation ou une formule mystique. C'est une sorte de mantra. (fr)
- The Nīlakaṇṭha Dhāraṇī, also known as the Mahākaruṇā(-citta) Dhāraṇī, Mahākaruṇika Dhāraṇī or Great Compassion Dhāraṇī / Mantra (Chinese: 大悲咒, Dàbēi zhòu; Japanese: 大悲心陀羅尼, Daihishin darani or 大悲呪, Daihi shu; Vietnamese: Chú đại bi or Đại bi tâm đà la ni; Korean: 신묘장구대다라니 (Hanja: 神妙章句大陀羅尼), Sinmyo janggu daedarani), is a Mahayana Buddhist dhāraṇī associated with the bodhisattva Avalokiteśvara. (en)
- De Nīlakaṇṭha Dhāranī (नीलकण्ठ धारनी) of Mahā Karuṇā Dhāranī (महा करुणा धारनी) is een boeddhistische mantra, geschrift en gebed. Het geschrift is een ode aan de heilige Guanyin, bodhisattva der mededogen. Door het geschrift te zingen of te bidden vraagt men Guanyin hulp en bescherming. Ook is het een goed middel om boze geesten te verjagen en brandongelukken vermijden. Volgens boeddhisten kan men met dit gebed genezing vragen voor één of meer van de 34.000 ziektes. Op offeringsbekertjes op Chinese boeddhistische altaren kan men weleens een vinden. Op dit soort bekertjes is de Nīlakaṇṭha Dhāranī in het hanzi afgedrukt. Na het gebed is het bekertje water heilig en soms wordt het door gelovigen opgedronken om ziektes te genezen. Het water staat ook symbool voor rust en kalmte, een belangrijk (nl)
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