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Anne Nègre

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Anne Nègre
Anne Nègre en 2023.
Biographie
Naissance
Nom de naissance
Anne Claude BergheimVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Formation
Activités
Mère
Marianne Bernheim (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Conjoint
Philippe Nègre (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Guilhem Nègre (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Directeur de thèse
Christian Chêne (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Site web
Distinction

Anne Nègre, née Anne Bergheim en 1952[1], est une avocate française.

Engagement associatif

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Anne Nègre soutient en 2000 sa thèse de doctorat au sujet du cimetière protestant de Nîmes[2].

Elle est présidente de l'Association française des femmes diplômées des universités de 2003 à 2005 puis vice-présidente de la Fédération internationale des femmes diplômées des universités de 2010 à 2013[3]. Elle est présidente du groupe européen des femmes diplômées des universités (UWE)[4].

Anne Nègre est invitée à s’exprimer dans des colloques, des symposiums internationaux et dans des institutions internationales[5].

Engagement politique

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En 2002, Anne Nègre se présente aux élections législatives dans la deuxième circonscription des Yvelines sous l'étiquette du PRG. Elle échoue au second tour face à Valérie Pécresse[6].

Elle a été tête de liste « Féministes pour une Europe solidaire » pour la région Sud-Ouest dans le cadre des élections européennes de 2014[7],[8].

Prix et distinctions

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Publications

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  • Le Phénomène religieux en Europe, ouvrage collectif, éditions Jacques Flament, 2015.
  • Suffragette, la genèse d'une militante d'Emmeline Pankhurst, rédaction de la préface, Éditions Ampelos, 2015.
  • Dictionnaire des mondialisations, ouvrage collectif, Armand Colin, 2006.
  • Dictionnaire critique de la mondialisation, ouvrage collectif, Armand Colin, 2011.

Bibliographie

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Références

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  1. Ortiz 2017, p. 1042.
  2. Bernheim-Nègre, Anne, « Contribution à l'histoire du patrimoine : le cimetière protestant de Nîmes 1778-1910 » [livre], sur theses.fr, Poitiers, (consulté le ).
  3. « «Donner plus de visibilité aux femmes dans les instances de décision et de gouvernance» », Le Matin,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. « Executive Board and Cer’s », sur University Women of Europe, [lire en ligne], consulté le 9 janvier 2022.
  5. Sylvie Chaperon et Christine Bard, Dictionnaire des féministes. France : XVIIIe – XXIe siècle, Presses universitaires de France, (ISBN 978-2-13-078722-8, présentation en ligne)
  6. https://www.interieur.gouv.fr/Elections/Les-resultats/Legislatives/elecresult__legislatives_2002/(path)/legislatives_2002/078/circons02.html
  7. « Des listes féministes aux Européennes », La Parisienne,‎ 2014-05-05cest19:46:55+02:00 (lire en ligne, consulté le )
  8. « Olympe de Gouges, symbole de la liste des féministes », ladepeche.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  9. Marc Champenois, « Ordre de la Légion d'honneur - Nominations, promotions et élévations du 30-01-2008 », sur www.france-phaleristique.com (consulté le ).

Liens externes

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