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B. Traven

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B. Traven
B. Traven alias Ret Marut, Londres, 1923.
Biographie
Naissance
Décès
(à 87 ans)
Mexico (Mexique)
Nom dans la langue maternelle
Bruno TravenVoir et modifier les données sur Wikidata
Pseudonymes
Robert Bek-gran, Hal Croves, Ret Marut, Richard Maurhut, Traven Torsvan, Fred Gaudet, Fred Mareth, Bruno Marhut, Red Marut, Rex Marut, Robert Marut, Fred Maruth, Goetz Öhly, Anton Raderscheidt, Wilhelm Scheider, Jacob Torice, B. T. Torsvan, Berick Traven Torsvan, Traves Torsvan, Heinrich Otto Becker, Adolf Rudolf Feige, Herman Albert Otto Max Feige, Otto Feige, T. Torsvan, Otto Wienecke, Bruno Traven, Albert Otto Max WieneckeVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalités
Domicile
Activité
Période d'activité
Œuvres principales
Le Vaisseau des morts, Le Trésor de la Sierra Madre, Der Ziegelbrenner (d), The Bridge in the Jungle (d), La Révolte des pendusVoir et modifier les données sur Wikidata

B. Traven est le pseudonyme d'un écrivain libertaire de langue allemande, Otto Feige (Schwiebus, - Mexico, ), dont les autres pseudonymes sont, notamment, Traven Torsvan et Berick Torsvan[1]. L'identité de cet écrivain demeure l'objet de débats.

Son roman le plus célèbre reste Le Trésor de la Sierra Madre (Der Schatz der Sierra Madre), qui a été porté à l'écran par John Huston.

Depuis au moins 1926, B. Traven a cherché à brouiller les pistes sur son passé : pour lui, seule comptait l'œuvre. En 1982, des recherches sérieuses ont démontré qu'il avait été dans son passé acteur et militant politique sous le nom de Ret Marut, tout en étant aussi traducteur.

Considéré comme un écrivain majeur du XXe siècle, il est l'auteur de plus d'une cinquantaine d'ouvrages[2].

Le nom « B. Traven » apparaît très exactement et pour la première fois sur la scène littéraire allemande en avril 1925 avec un court roman intitulé Die Baumwollpflücker (« Les cueilleurs de coton ») : le manuscrit provient de Tampico, Mexique[3]. Entre 1926 et 1982, à mesure que B. Traven se fait un nom, des enquêtes sur les origines de cet écrivain ne cesseront de paraître. Il demeure encore aujourd'hui des doutes sur le lieu et la date de sa naissance, sur sa nationalité d'origine, ainsi que sur les conditions de son enfance et de son adolescence. Cependant, on connait désormais l'essentiel de son parcours.

B. Traven est le nom de plume de Hermann Albert Otto Max Feige, né le 23 février 1882 dans la petite ville de Schwiebus, située naguère dans le Brandebourg prussien, aujourd’hui Świebodzin, en Pologne. Sa mère s’appelle Hermine Wienecke, ouvrière, et son père Adolf Feige, potier originaire de Finsterwalde. L’enfant ne recevra le nom de son père que trois mois plus tard, lorsque ses parents se marieront civilement.

Pendant les premières années de leur mariage, les parents d’Otto déménagent souvent. En octobre 1892, la famille repart à Schwiebus où le père est employé comme surveillant dans une briqueterie. En 1898, les Feige vont s’installer à Starpel (Staropole), à 14 kilomètres au nord. Cependant, dès 1899, ils sont de retour à Schwiebus. Otto entre à l’école au printemps de l’année 1888. C’est un très bon élève ; plus tard, il émet le souhait d’étudier la théologie et de devenir pasteur. En raison de ses bons résultats scolaires, le conseil municipal de la ville offre de couvrir ses frais de scolarité dans le lycée d’une autre ville. Néanmoins, comme ses parents ne peuvent se permettre de lui payer sa pension, Otto se voit contraint de renoncer à ses projets et obligé d’apprendre un métier, ce qui le déstabilise encore davantage[4].

En 1896, Otto commence un apprentissage de quatre ans comme mécanicien dans l’atelier de constructions mécaniques de Carl A. H. Mayer. En même temps, il suit pendant deux ans des cours de perfectionnement dans un centre de formation professionnelle. Vers la fin de son apprentissage, il devient membre du syndicat des ouvriers métallurgistes allemands. À l’été 1900, la famille Feige, avec cinq de leurs sept enfants, emménage dans la petite ville de Wallensen, au sud de Hanovre. Otto continue de travailler à Schwiebus avant de rejoindre ses parents à Wallensen en 1901.

En octobre 1901, Otto fait son service militaire au 7e bataillon de chasseurs de l’armée royale de Westphalie prussienne, basé à Bückebourg. Une fois son service achevé, à l’automne 1903, il rentre à Wallensen et envisage d’organiser une campagne syndicale. Quand ses parents le lui interdisent, il se brouille avec eux et s’en va. Aucun membre de la famille Feige ne le reverra plus. Pour la famille il ne sera que l’étrange oncle Otto, socialiste et adversaire de l’empereur. Jusqu’à l’été 1906, Otto Feige vit et travaille à Magdebourg[4].

Par la suite, nous retrouvons Otto Feige à Gelsenkirchen, au cœur de la région industrielle de Rhénanie-Westphalie. Il y devient, le 1er août 1906, secrétaire général au bureau central du syndicat des ouvriers métallurgistes allemands. Syndicaliste actif, Otto Feige consacre une bonne partie de son temps à l’organisation de soirées artistiques. Les spectacles comportent des récitals d’arias d’opéra et de lieder classiques, des œuvres d’humoristes tels Wilhelm Busch et Fritz Reuter, sans oublier les pièces de théâtre du dramaturge naturaliste Henrik Ibsen. Vers la fin de 1906, il fonde un théâtre d’ouvriers, le Club d’Art Dramatique Indépendant. Ce mélange d’agitation politique et théâtrale caractérisera ultérieurement l’œuvre romanesque de B. Traven.

À l’été 1907, Otto Feige démissionne de son poste de leader syndical. Quand il déclare son départ à la police le 9 octobre, il annonce simplement qu’il va voyager. Il change de nom, mettant fin à son existence précédente. Pour tous ceux qui ont connu Otto Feige de Schwiebus, il disparaît sans laisser de traces et peut ainsi réaliser son vœu de mener sa vie comme il l’entend, sans se soucier des préjugés. Otto Feige se métamorphose en Ret Marut, comédien, qui prétend avoir vu le jour à San Francisco le 25 février 1882 (soit deux jours après sa véritable date de naissance). Il use habilement du fait que, pendant le tremblement de terre qui a ravagé la Californie, presque tous ses documents officiels et son certificat de naissance ont été détruits. Ce patronyme original offre une vie nouvelle au mécanicien qualifié[5].

Ret Marut commence sa carrière de comédien dans une auberge à Idar. Pendant la saison hivernale de 1908/1909, il est embauché à Ansbach au Königliches Theater. Ultérieurement, il obtient un contrat à durée déterminée au théâtre d’Ohrdruf, près de Gotha.

En janvier 1909, Marut signe un contrat à Crimmitschau, en Saxe, avec le directeur du théâtre, Schmidt. C’est là que débute sa relation intime avec Elfriede Zielke, 22 ans, qui joue les petits rôles de la « bien-aimée enjouée et naïve ». Elfriede Zielke et Marut vivent ensemble de 1910 à 1914. Pendant toute l’année 1909, ils font des tournées en Allemagne centrale. Au printemps de 1910, ils sont invités sur la scène du Dessauer Künstler-Ensemble (Compagnie théâtrale de Dessau) à Zeitz, Schleiz et Zeulenroda. Ensuite, ils tentent leur chance dans une troupe itinérante de Berlin, jouant en Poméranie, et en Prusse orientale et occidentale. En mai 1911, l’impresario de théâtre Bruno Rath engage Marut et Zielke pour une tournée en province à Posen[6], qui, hélas, n’a guère de succès[7]. Après avoir tenu divers rôles pendant quatre ans, Marut finit par obtenir un contrat à l’automne 1911 au théâtre municipal de Dantzig. En janvier 1912, Elfriede Zielke le rejoint. Le 20 mars, leur fille Irène voit le jour ; mais ils ne jouent pas ensemble sur scène. En 1914, Elfriede Zielke rencontre un autre homme et se sépare de Marut. Après 1918, Marut cessera toute relation avec la mère comme avec la fille. Au théâtre municipal de Dantzig, comme ailleurs, la promotion d’un théâtre exigeant est rendue possible par la mise en scène d’opérettes, de comédies et de farces plus rentables.

À l’automne 1912, Marut signe un contrat de trois ans avec le Théâtre de Düsseldorf, l’un des théâtres allemands les plus renommés (Reformbühne), appartenant à un mouvement réformiste en Allemagne qui considère le théâtre comme une institution morale et pas seulement comme une entreprise commerciale. Sous la direction de Louise Dumont et Gustav Lindemann, des nouveaux principes d’esthétique et des formes plus raffinées de l’art de la mise en scène sont mis à l’épreuve. Les critères artistiques de l’établissement sont par conséquent beaucoup plus sélectifs que ceux du Théâtre Municipal de Dantzig.

Les espoirs de Marut d’accéder à des premiers rôles sont déçus. Il n’arrive pas à atteindre le niveau d’interprétation requis. Il ne va jamais au-delà des petits rôles inscrits dans son contrat. Les restrictions imposées par la guerre n’arrangent pas la situation dans le répertoire et il ne joue pratiquement plus que des rôles de serviteur ou de sous-fifre. Vers la fin de son contrat, Irène Mermet, comédienne stagiaire de 21 ans, originaire de Cologne, devient sa conjointe. Elle ne tient pas compte du désir de ses parents et s’inscrit à l’académie des arts du théâtre en 1915. C’est une jeune fille courageuse, intelligente, émancipée, libre penseuse. Elle se produit dans cinq pièces avec Marut mais bientôt, elle interrompt son stage à l’Académie, laissant ses frais d’études impayés. En 1915, mécontent de son statut de comédien, Marut fait de nouveaux projets. Le 31 août, il remet sa lettre de démission au directeur du Théâtre de Düsseldorf et devient l’impresario de Leïna Andersen, virtuose du violon qu’il invite comme soliste à plusieurs concerts à Cologne et Düsseldorf.

En automne 1915, il part pour Munich accompagné d’Irène Mermet. Quand il va faire enregistrer son départ au commissariat de police de Düsseldorf le 9 octobre, il désigne Francfort-sur-le-Main comme devant être sa prochaine destination et ce faisant, brouille volontairement les pistes. En tournant le dos au métier d’acteur, il opère un changement tout aussi radical que celui qu’il a fait lorsqu’il choisit de quitter Gelsenkirchen[7].

La revue anarchiste Der Ziegelbrenner dirigée par Ret Marut.

La guerre de 1914 éclate, il n'est pas enrôlé, mais devient journaliste et écrivain. Secondé par Irene Mermet, sa nouvelle amie et collaboratrice, Marut va publier des nouvelles pacifistes et surtout, à partir de 1917 diriger, malgré la censure, une revue anarchiste, Der Ziegelbrenner (Le Fondeur de Brique) vendu sur abonnement.

Le , se crée la République des conseils de Bavière, à laquelle Marut participe activement avec Irene. Responsable de la presse, il est arrêté le , mais réussit à s'évader, puis en compagnie d'Irene, il erre pendant quatre ans et demi à travers l'Europe, sous divers pseudonymes[1].

Le il est arrêté à Londres pour défaut de permis de séjour et emprisonné deux mois et demi à la prison de Brixton. Ayant perdu tous ses papiers, il déclare à la police s'appeler Otto Albert Max Feige né le à Schwiebus en Brandebourg[8].

Sa demande de passeport américain est rejetée. Il s'y présente en tant que Ret Marut. Mais aucun lien entre le dit Feige et Marut n'est établi par le Home Office qui est en contact avec le FBI. Finalement il réussit le 17 avril 1924 à embarquer sur un cargo, vers Tampico, port mexicain.

Le journal Vorwärts.

Sa découverte du Mexique et de l'exploitation des indiens va devenir le moteur premier de ses écrits et de sa vie pendant ces dix années prolifiques. Ses ouvrages seront écrits en allemand et publiés par le journal social-démocrate Vorwärts en feuilletons, puis par la Guilde du Livre à Berlin grâce à l'appui de son « découvreur », Ernst Preczang.

D'abord Les Cueilleurs de coton, puis Le Vaisseau des Morts et Le Trésor de la Sierra Madre avec pour personnage récurrent Gérald Gale. Parallèlement, Traven participe à des expéditions archéologiques et ethnologiques au Chiapas comme photographe, sous le nom de Traven Torsvan, tout en suivant des cours de civilisation et d'histoire indianiste à l'université de Mexico.

À partir de 1928, il entame le « cycle de la Jungle », avec des nouvelles et récits comme L'Arbuste et Le Pays de printemps (illustrés de ses photos) et des romans comme Un pont dans la jungle et Rosa Blanca. À partir de 1931, il obtient un permis de séjour et part s'installer près d'Acapulco, dans une auberge à Parque Cachu.

Puis, c'est le cycle de la caboa (acajou), le plus prolifique avec notamment La Charette, Gouvernement, La Révolte des Pendus et Le Général de la jungle. Entre-temps, la prise de pouvoir par Hitler contraint les éditeurs à transférer la publication de ses ouvrages en Suisse à Zurich. En homme avisé, Traven envoie également ses manuscrits aux États-Unis et à Londres, où ils vont connaitre un succès immédiat.

Dans ces années-là, Traven fait la connaissance d'Esperanza López Mateos (en), sœur du futur président du Mexique, qui devient la traductrice de ses livres en espagnol et sa nouvelle compagne. Après Le Général de la jungle publié en 1939 en Suède il a pratiquement cessé d'écrire, à part un curieux roman Aslan Norval en 1960, dont l'action se situe aux États-Unis.

Après le suicide d'Esperanza López Mateos en 1951, il s'installe à Mexico, dans la maison de Rosa Elena Luján, qui sera sa secrétaire, puis son épouse. Désormais, il se consacre à la diffusion de ses livres et aux adaptations de ses films (9 de son vivant). Après l'épisode du tournage du Trésor de la Sierra Madre, le journaliste Louis Spota révèle que l'agent littéraire Hal Croves, qui a supervisé l'adaptation du roman, s'appelle en réalité Torsvan et n'est autre que le célèbre écrivain B. Traven lui-même. Commence alors la « chasse au Traven » dont il s'amusera à déjouer tous les pièges avec habileté jusqu'à sa mort survenue le .

Un mois plus tard, sa veuve, Rosa Elena Luján, annonça que Hal Croves (B. Traven Torsvan à l'état-civil mexicain) était en réalité Ret Marut.

Selon ses volontés, ses cendres furent dispersées au-dessus du Chiapas.

Réputation

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B. Traven commence à être reconnu comme auteur d'abord en Allemagne. C'est paradoxalement en fuyant ce pays, que, depuis le Mexique, et par le biais de la Guilde du livre Gutenberg, il se fait un nom comme auteur des oubliés, des opprimés et des prolétaires. Sur le marché américain, il vend très peu, et ce jusqu’au moment de l'adaptation en 1947 du Trésor de la Sierra Madre par John Huston. Auparavant, cet ouvrage s'était vendu à seulement 2 800 exemplaires chez Knopf[9].

Son œuvre a été vendue à plus de 25 millions d'exemplaires dans le monde entier. Il est considéré comme un auteur national au Mexique et en Allemagne.

Plusieurs biographies lui ont été consacrées aux États-Unis. Sa vie a inspiré L'Homme sans empreintes, roman d'Éric Faye.

En ce qui concerne sa langue d'écriture privilégiée dans les années 1920-1930, il s'agit de l'allemand. Par la suite, ses tentatives de rédiger directement ses textes en anglais et en espagnol révèlent l'emploi de nombreux germanismes.

Œuvres parues en France

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(La première date est celle de la première édition française[10].)

Œuvres inédites

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  • 1925 : Die Baumwollpflücker (littéralement, Les Ramasseurs de coton)
  • 1926 : Der Wobbly - version augmentée du précédent[17]
  • 1928 : Der Busch (littéralement, L'Arbuste) - cinq de ces nouvelles sont traduites dans Le Visiteur du soir
  • 1928 : Land des Frühlings (littéralement : Le Pays du printemps)
  • 1933 : Der Marsch ins Reich der Caoba[12]
  • 1936 : Die Troza[12]
  • 1936 : Sonnen-Schöpfung / Indianische Legende (« La Création du soleil - légende indienne »)
  • 1937 : A General from the Jungle
  • 1950 : Macario (traduit dans Le Visiteur du soir)
  • 1960 : Aslan Norval

Adaptations à l'écran de son vivant

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Adaptation radiophonique

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  • 1961 : Le Trésor de la Sierra Madre : adaptation Jean-François Hauduroy, réalisation Claude Roland-Manuel ; première diffusion : Radiodiffusion française, France III - National, 19610201[18]

Notes et références

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  1. a et b (en) Divers pseudonymes.
  2. La biographie la plus complète de Traven est celle de Rolf Recknagel, parue sous le titre B. Traven, Beiträge zur Biografie à Leipzig en 1966 et entièrement révisée en 1982 : cette dernière version, qui fait aujourd'hui autorité, a été traduite en français par Adèle Zwicker sous le titre Insaisissable. les aventures de B. Traven (Montreuil, L’Insomniaque, 2008 (ISBN 978-2-915694-36-9)).
    La biographie plus rigoureuse de Jan-Christoph Hauschild, B. Traven – Die unbekannten Jahre (Éditions Voldemeer, Zürich, 2012) se limite cependant aux années « inconnues » de son enfance et de sa période allemande.
  3. Il fut publié en feuilleton dans le journal berlinois Vorwärts (été 1925).
  4. a et b Voir Will Wyatt, The Man Who Was B. Traven, Londres, Le Cap, 1980, et Jan-Christoph Hauschild, B. Traven - Die unbekannten Jahre, Zürich, éditions Voldemeer 2012.
  5. Voir Jan-Christoph Hauschild, B. Traven - Die unbekannten Jahre, Zürich, éditions Voldemeer 2012.
  6. Actuel Poznań, en Pologne.
  7. a et b Voir Hauschild, B. Traven, op. cit.
  8. Aujourd'hui Świebodzin en Pologne.
  9. Recknagel (2008), p. 128.
  10. Source : BnF.
  11. Réédition de Vaisseau fantôme, paru en France en 1934.
  12. a b c d et e Fait partie du cycle de Caoba (l'Acajou).
  13. Dont la nouvelle Le Troisième Invité, adaptée à l'écran, et Chaîne de montage.
  14. Voir sur babelio.com.
  15. Voir sur luxiotte.net.
  16. Voir sur decitre.fr.
  17. À paraître aux éditions Libertalia.
  18. (BNF 40894430).

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Bibliographie

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  • Collectif, Der Feuerstuhl und die Fährtensucher. Rolf Recknagel, Erich Wollenberg, Anna Seghers auf den Spuren B. Travens, Berlin, Karin Kramer, 2002
  • Michael Leopold Baumann, B. Traven, An Introduction, Albuquerque, University of New Mexico Press, 1976
  • Michael Leopold Baumann, Mr. Traven, I Presume?, Bloomington, Indiana University Press, 1997
  • Johannes Beck, Klaus Bergmann, Heiner Boehncke, Das B. Traven-Buch, Reinbek, Rowohlt Taschenbuch Verlag, 1976
  • Jean-Pierre Brèthes, D'un auteur l'autre, L'Harmattan, 2009, « Avoir le droit d'être un être humain », pp. 147-155
  • Dammann Günter (ed.), B. Travens Erzählwerk in der Konstellation von Sprachen und Kulturen, Würzburg, Königshausen & Neumann, 2005 Actes d’un congrès tenu à Eutin (Allemagne) du 24 au 27 septembre 2003.
  • Karl Siegfried Guthke, B. Traven: Biographie eines Rätsels, Francfort-sur-le-Main, Büchergilde Gutenberg, 1987
  • (de) Jan-Christoph Hauschild, B. Traven - Die unbekannten Jahre, éditions Voldemeer, Zürich / Springer, Wien/ New York 2012 (ISBN 978-3-7091-1154-3)
  • Ludwig Arnold Heinz (éd.), B. Traven, Munich, Text und Kritik, 1989
  • Joani Hocquenghem, Ret Marut, alias B. Traven. De la República de los Consejos de Baviera a la Selva Lacandona, Mexico, Fondo de cultura ecónomica, 2010
  • Philip Jenkins, Ernst Schürer, B. Traven, Life and Work, University Park, Pennsylvania State University Press, 1987
  • Jonah Raskin, À la recherche de B. Traven, Arles, Les Fondeurs de briques, 2007
  • Rolf Recknagel, B. Traven. Beiträge zur Biografie, Leipzig, Reclam, 1966, 1971, 1982 - traduit en français sous le titre Insaisissable. Les aventures de B. Traven, Montreuil, L’Insomniaque, 2008 / Libertalia, novembre 2017 Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Judy Stone, The Mystery of B. Traven, Los Altos, William Kaufmann, 1977
  • Edward N. Treverton, B. Traven: A Bibliography, Lanham, Scarecrow Press, 1999
  • Will Wyatt, The Man Who Was B. Traven, Londres, Le Cap, 1980
  • BT-Mitteilungen, Zurich, Büchergilde Gutenberg, 36 numéros, janvier 1951-avril 1960
  • Éric Faye, L'Homme sans empreintes, éd. Stock, 2008
  • Golo, Traven, portrait d'un anonyme célèbre (BD), Futuropolis, 2007

Documentaires vidéo

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  • Will Wyatt & Robert Robinson, B. Traven, A Mystery Solved, 1978
  • Xavier Villetard, L'Énigmatique Histoire de B. Traven, 2012

Article connexe

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Liens externes

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