Famille de Pasquier de Franclieu
Apparence
Famille de Pasquier de Franclieu | ||
Armes de la famille. | ||
Blasonnement | D'azur au chevron d'or accompagné en chef de deux têtes de Maure de sable tortillées d'argent et en pointe de trois pâquerettes d'or terrassées du même, celle du milieu supérieure.[1] | |
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Période | XVIe siècle - XXIe siècle | |
Charges | Sénateur inamovible, député | |
Preuves de noblesse | ||
Réformation de la noblesse | Maintenue en la noblesse en 1665 | |
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La famille de Pasquier de Franclieu est une famille subsistante de la noblesse française originaire d'Ile-de-France.
Histoire
[modifier | modifier le code]Cette famille est noble sur preuves de 1561, elle a été maintenue à Melun en 1665.
Une branche de la famille reçoit le titre de marquis par lettres patentes de 1767. Cette branche s'éteint le .
Personnalités
[modifier | modifier le code]- Eugénie du Colombier (1806-1888), « baronne de Franclieu », artiste peintre
- Paul de Pasquier de Franclieu (1810-1877), député (1871-1876), sénateur inamovible (1875-1877)
- Béatrice Pasquier de Franclieu (1941) devenue, par son mariage, Béatrice d’Orléans, « comtesse d’Évreux », journaliste française spécialiste de la mode et auteur
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Eugénie Chosson du Colombier, épouse Pasquier de Franclieu
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Paul de Pasquier de Franclieu (1810-1877)
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Béatrice d'Orléans, née Pasquier de Franclieu
Alliances
[modifier | modifier le code]Les principales alliances de la famille de Pasquier de Franclieu sont : Chosson du Colombier (1834), Veyre de Soras (1899), Tardy de Montravel (1909), de Monts de Savasse (1940), de Pradel de Lamaze (1948), de La Cropte de Chantérac (1950), d'Orléans (1967), de Roquefeuil (1978), de Ruffray.
Notes et éférences
[modifier | modifier le code]Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2007, p. 150.
- Dictionnaire vraie/fausse noblesse, édition Tallandier, 2008.
- Bottin mondain.
- Henri Jougla de Morenas et Raoul de Warren, Grand armorial de France, t. V, Paris, (lire en ligne [PDF]), p. 221.