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Presse arménienne de France

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Manchette du journal Haratch (1925-2009), principal journal en arménien occidental de France.

La presse arménienne de France (en arménien Ֆրանսահայ մամուլ), ou presse en langue arménienne de France, regroupe les publications périodiques comme les journaux et revues littéraires publiées par les membres de la diaspora arménienne en France.

Jusqu'à aujourd'hui, plus de 200 périodiques en langue arménienne ont été publiés en France. Ils sont principalement écrits en arménien occidental.

Au XIXe siècle

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La première revue est Maciats Aghavni (Մասեաց աղաւնի, « La colombe du Massis », 1855-1858 à Paris[1] puis jusqu'en 1865 à Théodosie) du père Gabriel Aïvazian (1812-1880, frère d'Ivan Aïvazovski), qui se donne pour objectif de promouvoir l'éducation culturelle, scientifique et morale du peuple[2],[1]. Peu après paraît Pariz (Փարիզ, « Paris », 1860-1864)[1]. On trouve aussi à cette époque Arevelk (Արեւելք, « Orient », 1855-1856) puis Arevmoudk (Արեւմուտք, « Occident », 1859 et 1864-1865) par Stepan Voskan (1825-1901), qui promeut une vision militante et nationaliste inspirée du Risorgimento[2],[1] et veut diffuser les idées de progrès économique et social ainsi que les idéaux de liberté que lui inspirent les luttes politiques en France[3].

Avec la prise de pouvoir du sultan Abdülhamid II (1876) et les massacres hamidiens (1894-1896) qui éprouvent durement les Arméniens de l'Empire ottoman, la France accueille de nombreux réfugiés, en particulier politiques. Parmi eux, on compte des auteurs comme Minas Tchéraz, qui publie le mensuel L'Arménie (1889-1906, principalement en français), mais aussi Meguerditch Portoukalian, fondateur du parti Arménagan et qui publie à Marseille le journal Armenia (Արմենիա, 1885-1923)[4],[1].

À la fin du siècle, on voit apparaître des revues littéraires comme Anahit (Անահիտ) d'Archag Tchobanian dont la première série (1898-1911) publie la production littéraire d'écrivains comme Daniel Varoujan, Siamanto et même Komitas[1]. Un an après le début d'Anahit commence la publication du trimestriel Panaser (Բանասեր, « Le philologue », 1899-1907)[1].

Titre en français phonétique Titre en arménien Traduction du titre Type Dates de publication Lieu de publication Image
Maciats Aghavni
par Gabriel Aïvazovski
Մասեաց աղաւնի « La colombe du Massis » revue mensuelle 1855-1858 Paris
Arevelk
par Stepan Voskan
Արեւելք « Orient » revue bimensuelle 1855-1856 Paris
Pariz Փարիզ « Paris » revue 1860-1864 Paris
Arevmoudk
par Stepan Voskan
Արեւմուտք « Occident » revue bimensuelle 1859 et 1864-1865 Paris
L'Arménie
par Minas Tchéraz
journal politique et littéraire 1889-1906 Paris
Armenia
par Meguerditch Portoukalian
Արմէնիա organe du Parti Arménagan 1885-1923 Marseille
Anahit
par Archag Tchobanian
Անահիտ revue littéraire 1898-1949 Paris
Panaser
par Garabed Basmadjian
Բանասեր « Le philologue » revue 1899-1907 Paris
Hamalsaran
par Missak Baghdassarian et Hovhannes Chavarch
Համալսարան « Université » revue scientifique et littéraire, mensuelle/bimestrielle 1899-1902 Paris

Dans la première moitié du XXe siècle

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Rédaction du journal Haratch (, Paris) : Chavarche Missakian, Armen Lubin, Nichan Béchiktachlian, Melkon Kebabdjian, Chavarch Nartouni et Teotig.

Une trentaine de périodiques sont édités jusqu'en 1920. La majorité le sont à Paris, au sein d'une colonie arménienne peu nombreuse, estimée à moins de 1500 personnes, et désorganisée[5].

Dans les années 1910, quelques périodiques voient le jour comme Haï-Guiank (Հայ-կեանք, « Vie arménienne », 1913-1914), Khetan (Խթան, Aiguillon en français, 1915-1931, par Aram Turabian), Artzakank Parisi (Արձագանգ Փարիզի, « Échos de Paris », 1916-1925), Veradzenount (Վերածնունդ, « Renaissance », 1917-1921), Ayk (Այգ, « Aube », 1919)[5]. Ces journaux assistent et écrivent sur le sujet du génocide arménien et de l'instauration de la Première république d'Arménie.

C'est surtout à partir des années 1920 que la presse arménienne de France prend un essor considérable, car les réfugiés fuyant le génocide affluent à partir de 1922-1923 sur le territoire français. Ainsi, une soixantaine d'écrivains, intellectuels, journalistes et poètes arrivent alors à Paris[6], ainsi que de nombreux jeunes gens ayant fréquenté les écoles arméniennes en particulier de Constantinople[7]. Ces lettrés fondent des petites imprimeries indépendantes : les imprimeries Araxes, Elekian, Bezazian, du Globe, de Navarre, Nersessian, Turabian, Der-Hagopian, Le Soleil, etc.[8], une demi-douzaine fonctionnant en permanence[9]. Ils ouvrent aussi des librairies, dont la plus connue est la librairie Hrant Samuelian, qui ouvre en 1930 dans le quartier latin en rachetant le fonds d'une libraire arménienne de Constantinople[6]. Mais surtout, dans cette entre-deux-guerres qu'Anahide Ter Minassian qualifie de « renaissance culturelle », ils publient beaucoup : 87 périodiques arméniens voient le jour ainsi que des milliers d'ouvrages[9].

Titre en français phonétique Titre en arménien Traduction du titre Type Dates de publication Lieu de publication Image
Coutan Գութան « Charrue » revue d'agriculture, sciences et arts 1901-1905 Paris
Joghovourtine hamar Ժողովուրդին համար « Pour le peuple » périodique 1901 Paris
Jamanak ժամանակ « Temps » revue littéraire 1901-1902 (2 numéros) Paris
Groung
par Kricor Proff-Kalfaïan
Կռունկ « Grue » revue artistique 1904-1905 (2 numéros) Paris
Haï-Guiank Հայ-կեանք « Vie arménienne » hebdomadaire 1913-1914 Paris
Khetan (Aiguillon en français)
par Aram Turabian
Խթան organe des volontaires arméniens sous les drapeaux français 1915-1931 Marseille
Artzakank Parisi Արձագանգ Փարիզի « Échos de Paris » périodique 1916-1925 Paris
Veradzenount
par Léon Hampartzoumian
Վերածնունդ « Renaissance » revue politique et culturelle, tribune du mouvement arménophile 1917-1921 Paris
Ayk
par Krikor Balakian
Այգ « Aube » périodique 1919 Paris
Ochacan[5],[10] Օշական revue bimensuelle 1920 Paris
Zeïtoun[5],[10] Զէյթուն revue littéraire 1920
(2 numéros)
Paris
Abaka[11],[12] Ապագայ « Avenir » journal généraliste du parti Ramgavar 1921-1950 Paris
Hayastani dzain
par le Dr Nevrouz
Հայաստանի ձայն « La Voix de l'Arménie » journal 1922-1923 Paris
Darakir[13],[12] Տարագիր « Exil » périodique 1923-1924 Marseille
Norachên[14] Նորաշէն « Nouvelle construction » périodique 1923 Paris
Hay Panvor[11],[14] Հայ բանուոր « Ouvrier arménien » journal communiste 1924 Paris
Nor Havadk
par Bedros Zaroyan et Zareh Vorpouni[14]
Նոր հաւատք « Foi nouvelle » revue littéraire 1924
(1 numéro)
Marseille
Panvor-Pariz[15] Բանուոր-Փարիզ « Ouvrier-Paris » journal lié à la mouvance communiste 1924-1925 Paris
Haratch
par Chavarche Missakian[11],[14]
Յառաջ « En Avant » journal généraliste proche de la Fédération révolutionnaire arménienne (FRA) 1925-2009 Paris
Erevan
de Zabel Essayan, avec l'aide de la Section française du Comité de secours pour l'Arménie (HOG)[11],[12]
Երեւան journal 1925-1930 Paris
Hai Sirt Հայ Սիրտ « Cœur arménien » journal 1925-1938 Marseille
Nor yerguir[11],[10] Նոր երկիր « Nouveau pays » organe de la branche française du Parti social-démocrate Hentchak 1926-1937 puis 1954-1955 Paris
Verelk[11],[10] Վերելք « Montée » organe de la section arménienne du Parti communiste français 1926-1927 Paris
Poujank[11] Բուժանք « Guérison » revue médicale 1926-1930 Paris
Arakadz[12]
par Hovhannès Boghossian[16]
Արագած revue littéraire bimensuelle 1926 Paris
Khardots[11],[14] Խարտոց « Lime » hebdomadaire satirique 1926-1927 Paris
Gavroche
par Yervant Tolayan[11]
Կավռօշ journal satirique 1908-1936 Constantinople (1908-1925)
Paris (1926-1936)
Ararat[11] Արարատ bimensuel 1927
Tzolk
par notamment Vahram Gakavian[11],[10]
Ցոլք « Reflet » revue littéraire 1928 Paris
Artzakank Djechmardouthian
par Berdj Armenakian
Արձագանգ ճշմարտութեան « Écho de la vérité » revue mensuelle religieuse 1928-1933 Paris
Paris[11] mensuel 1928
Azatamart[17],[12]
par Shahan Natalie
Ազատամարտ « Libre combat » hebdomadaire 1928-1929 Paris
Hay Kir[17],[14] Հայ Գիր « Lettre arménienne » revue littéraire de l'Union des bibliophiles arméniens 1928-1929 Marseille
Panvor[18] Բանուոր « Ouvrier » hebdomadaire consacré à la défense des ouvriers 1928-1929 Paris
Le Foyer
par Lévon Pachalian[11],[14]
périodique bilingue franco-arménien 1928-1932 Paris
Yergounk
par Chavarch Nartouni[17],[10]
Երկունք « Gésine » revue littéraire, organe de l'Association des orphelins adultes 1929-1936 Paris
Hentchakian mamoul Հնչակեան մամուլ « Presse hentchakienne » journal lié au parti social-démocrate Hentchak 1929-1931 Paris
Zvartnots
par Hrant Palouyan[11],[10]
Զուարթնոց « Maison des veilleurs » revue littéraire sympathisante de la FRA 1929-1964 Paris
Tchank
par Kégham Atmadjian et Missak Manouchian[11]
Ջանք « Effort » revue littéraire 1930-1931 Paris
Aroghtch guiank Առողջ կեանք « Vie saine » revue médicale 1931-1932 Paris
Menk
par un collectif nombreux d'écrivains[14]
Մենք « Nous » revue littéraire 1931-1932 Paris
Guiank yev Arvesd
par les frères Méroujan et Meguerditch Barsamian[12]
Կեանք եւ Արուեստ, « Vie et Art » revue littéraire 1931-1940 Paris
Mer Oughine[14] Մեր ուղին « Notre voie » périodique communiste 1931-1932 Paris
Haï Guiank
de D. Nichanian
Հայ կեանք « Vie arménienne » revue bimensuelle 1931 Paris
Nairi Achkharh Նաիրի Աշխարհ « Le monde de Naïri » périodique mensuel 1931-1933 Paris
Mardgotz[14] Մարտկոց « Batterie » périodique 1932-1933 Paris
Archav[12] Արշավ « Course » périodique communiste 1932 Paris
Tarpnots[19] Դարբնոց « Forge » revue 1932 Paris
Arec Արեգ journal hebdomadaire 1932-1933 Marseille
Vêm
par Simon Vratsian[11],[10]
Վէմ « Rocher » revue littéraire et culturelle organe culturel de la FRA 1933-1940 Paris
Hog[20] Հօկ revue de la Section française du Comité de secours pour l'Arménie 1933-1935 Paris
Zank Զանգ « Cloche » journal lié au parti social-démocrate Hentchak 1933-1934 Marseille
Gaïdzer Կայծեր « Étincelles » journal de gauche 1933-1935 Lyon
Amrots[12] Ամրոց « Forteresse » journal 1934 Paris
Hay Pouj
par Chavarch Nartouni[21]
Հայ Բոյժ « Médecin arménien » revue médicale 1934-1967 Paris
Razmig Ռազմիկ « Combattant » Organe bimensuel de l'Union des volontaires et combattants arméniens 1934-1943 Paris
Mechagouyt
par Kégham Atmadjian et Bedros Zaroyan[14]
Մշակույթ « Culture » revue littéraire 1935-1937 Paris
Zangou
par Missak Manouchian et le HOG[10]
Զանգու journal communiste de la Section française du Comité de secours pour l'Arménie 1935-1937 Paris
Joghovourti Tzain Ժողովուրդի Ձայն « Voix du peuple » journal économique et littéraire 1935-1937 Marseille
Norachène Նորաշէն « Nouvelle construction » revue 1936 Lyon
Nor Gavroche
par Krikor-Vahan
Նոր Կավռօշ « Le Nouveau Gavroche » périodique 1937 Paris
Loussapats
par Bedros Zaroyan et Zareh Vorpouni[14]
Լուսաբաց « Aube » revue littéraire 1938-1939 Paris
Haïastan Հայաստան « Arménie » journal du Nor Seround 1939- Paris

Dans la deuxième moitié du XXe siècle

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Réunion d'intellectuels de la diaspora arménienne en France dans l'atelier de Zareh Mutafian en 1944. Parmi eux, Archag Tchobanian, Marie Atmadjian ou encore Dikran Tchitouni et sa femme.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, la plupart des journaux et revues disparaissent, leurs acteurs étant mobilisés sous les drapeaux, engagés dans la résistance ou choisissant le silence pour ne pas subir la censure de l'occupant allemand[22], comme Chavarche Missakian qui décide de ne pas faire paraître Haratch pendant le conflit. Après la libération, les publications reprennent.

Titre en français phonétique Titre en arménien Traduction du titre Type Dates de publication Lieu de publication Image
Haygachên
par Chavarche Missakian
Հայկաշէն « Fondé par Haïg » revue clandestine peut-être 1942-1943
(2 numéros)
Paris
Joghovourt[14] ժողովուրդ « Peuple » journal clandestin, organe de la résistance arménienne communiste et cherchant à réunir tous les Arméniens[23] 1943-1948 Paris
Aradzani[12]
par Chavarche Missakian[24]
Արածանի « Un confluent » périodique littéraire clandestin v.1944-1945 Paris
Arevmoudk[12] Արեւմուտք « Occident » revue littéraire 1945-1952 Paris
Gues gadag gues chidag[25] Կես կատակ կես շիտակ « Mi-figue mi-raisin » revue satirique 1945-1950 Paris
Hai guine Հայ կին « La femme arménienne » organe mensuel de l'Union des femmes arméniennes 1947-1949 Paris
Abdag[25] Ապտակ « Gifle » revue satirique 1948-1950 Paris
Nerga[14]
par Lévon Tchormissian[25]
Ներկայ « Présent » revue 1949-1950 Paris
Azat khosk[26] Ազատ խոսք « Parole libre » journal communiste 1949-1951 Paris
Aïssor Abaka[12] Այսօր Ապագայ « Aujourd'hui d'avenir » journal 1951-1954 Paris
Loussaghpiour[14] Լուսաղբիւր « Clairefontaine » revue littéraire 1952-1956, 1959, 1970-1971 Paris
Andastan
par Puzant Topalian[12]
Անդաստան « Champ » revue littéraire 1952-1969 Paris
Araxe
par N. Hovhanessian[27]
Արաքս périodique illustré 1952-1955 Paris
Artsakank[12] Արձագանգ « Écho » journal 1954-1955 Paris
Hay Midk[14]
par Bedros Zaroyan[28]
Հայ Միտք « Pensée arménienne » revue littéraire 1954-1955
(12 numéros)
Paris
Khetan
par Levon Hampartsoumian[29]
Խթան « Impulsion » journal hebdomadaire 1955-1970 Paris
Louys Parizi[14] Լույս Փարիզի « Lumière de Paris » journal 1957-1959 Paris
Amsoryag[12]
par Zareh Vorpouni[30]
Ամսօրեակ « Mensuel » revue littéraire 1958
(9 numéros)
Paris
Achkharh[12] Աշխարհ « Monde » mensuel littéraire 1960- Paris
Burakn[12] Բիւրակն « Mille sources » périodique 1961-1966 Paris
Kragan Amsatert[14]
par Zareh Vorpouni[31]
Գրական Ամսաթերթ « Mensuel littéraire » journal littéraire, complément mensuel d'Andastan 1961-1962
(8 numéros)
Paris
Nor Abaka[14] Նոր Ապագայ « Nouvel avenir » périodique 1966-1967 Paris
Haghtanag Յաղթանակ « Victoire » périodique 1971-1990 Paris
Arahéd[12] Արահետ « Sentier » périodique 1975-1986 Paris
Gam[12] Կամ « J'existe » revue 1980-1985 Paris
Gamk Կամք « Volonté » journal bilingue, organe de la FRA 1985-2002 Paris
Gayk[12] Կայք « Lieu » périodique 1989-1993 Paris

Aujourd'hui

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Au XXIe siècle, il n'existe presque plus de périodiques en langue arménienne en France. Le dernier quotidien ayant une certaine envergure, Haratch, disparaît en 2009. Il est remplacé par Nor Haratch la même année.

Ce déclin est en grande partie dû au fait que la diaspora arménienne de France est alors composée d'Arméniens de la seconde et troisième génération qui ne maîtrisent plus dans leur majorité l'arménien, en particulier l'arménien occidental[32].

La presse principale de la diaspora arménienne de France est aujourd'hui majoritairement en langue française, en particulier Nouvelles d'Arménie Magazine (1995-) et France Arménie (1982-)[32]. Les quelques rares publications encore en arménien restent les bulletins des églises.

Notes et références

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  1. a b c d e f et g Krikor Beledian 2001, p. 26.
  2. a et b Claire Mouradian et Anouche Kunth 2010, p. 13.
  3. Claire Mouradian 1990, p. 42.
  4. Claire Mouradian et Anouche Kunth 2010, p. 14.
  5. a b c et d Krikor Beledian 2001, p. 27.
  6. a et b Claire Mouradian 1990, p. 40.
  7. Krikor Beledian 2001, p. 28.
  8. Krikor Beledian 2001, p. 30.
  9. a et b Anahide Ter Minassian 1997, p. 77.
  10. a b c d e f g h et i Krikor Beledian 2001, p. 463.
  11. a b c d e f g h i j k l m n o et p Krikor Beledian 2001, p. 31.
  12. a b c d e f g h i j k l m n o p q r et s Krikor Beledian 2001, p. 461.
  13. Krikor Beledian 2001, p. 35.
  14. a b c d e f g h i j k l m n o p q r et s Krikor Beledian 2001, p. 462.
  15. (hy) « Բանվոր-Պարիզ », sur tert.nla.am (consulté le )
  16. Krikor Beledian 2001, p. 37.
  17. a b et c Krikor Beledian 2001, p. 80.
  18. (hy) « Բանւոր », sur tert.nla.am (consulté le )
  19. (hy) « Դարբնոց », sur tert.nla.am (consulté le )
  20. (hy) « ՀՕԿ Օրգան արտասահմանեան ՀՕԿ-երու », sur tert.nla.am (consulté le )
  21. Krikor Beledian 2001, p. 440.
  22. Claire Mouradian 1990, p. 41.
  23. Krikor Beledian 2001, p. 313.
  24. Krikor Beledian 2001, p. 312.
  25. a b et c Krikor Beledian 2001, p. 318.
  26. Krikor Beledian 2001, p. 314.
  27. « Arak̕s [Texte imprimé] », sur catalogue.bnf.fr (consulté le )
  28. Krikor Beledian 2001, p. 373.
  29. (hy) « Խթան », sur tert.nla.am (consulté le )
  30. Krikor Beledian 2001, p. 374.
  31. Krikor Beledian 2001, p. 376.
  32. a et b Krikor Amirzayan, « Histoire résumée de la presse arménienne de France », sur acam-france.org (consulté le )

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Articles connexes

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Bibliographie

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Liens externes

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