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Sahar Khalifa

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Sahar Khalifa
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Biographie
Naissance
Nom dans la langue maternelle
سحر خليفةVoir et modifier les données sur Wikidata
Nom de naissance
سحر عدنان خليفةVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Domicile
Formation
Activité
Autres informations
Distinctions

Sahar Khalifa (en arabe : سحر خليفة), née en 1941[1] à Naplouse en Cisjordanie, est une femme de lettres palestinienne.

Après avoir étudié à l'université de Bir Zeit, dans les territoires palestiniens occupés, elle est partie étudier la littérature anglo-saxonne aux États-Unis (université de l'Iowa), avant de revenir en Palestine en 1988. Là elle a fondé le Centre d'études féminines, qu'elle continue à diriger. Elle est considérée comme l'un des écrivains palestiniens majeurs. Elle a écrit plusieurs romans (ainsi que des essais sur la condition de la femme), dont beaucoup ont été traduits en plusieurs langues, notamment l'allemand, l'anglais, l'hébreu et l'italien[2].

Bibliographie

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  • Al-Subbâr, 1976 (traduction française "Chronique du figuier barbare", Gallimard, 1978)
  • 'Abbâd al-Chams, 1980 (traduction française "La foi des tournesols", Gallimard, 1989)
  • Mudhakkirat imrah ghair waqi'iyah 1986 (traduction italienne La svergognata, Giunti 1989)
  • Bâb al-Sâha, 1990, (traduction française "L'impasse de Bab Essaha", Flammarion, 1997 - (ISBN 978-2-08-067455-5))
  • Al-Mirâth, 1997 ("L'héritage")
  • Soura wa Ayqûna wa 'Ahdun qadîm, 2002 ("Une image, une icône et un ancien testament")
  • Rabî' hâr, 2004 (traduction française "Un printemps très chaud, Seuil, 2008 - (ISBN 978-2-02-090675-3))

Prix et distinctions

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Références

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  1. Certaines sources indiquent 1942.
  2. « Site de Khaled Osman - Sahar Khalifa », sur khaledosman.fr (consulté le )

Liens externes

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