Marion Dufresne (1972)
Marion Dufresne | |
Marion Dufresne. | |
Type | Navire océanographique et de ravitaillement |
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Histoire | |
Chantier naval | Ateliers et chantiers du Havre[1] |
Lancement | 16 mars 1972[1] |
Équipage | |
Équipage | 34 (plus 22 journaliers) |
Caractéristiques techniques | |
Longueur | 112,30 m[1] |
Maître-bau | 18,5 |
Tirant d'eau | 6,3 |
Déplacement | 7 850 t[1] |
Port en lourd | 3700 |
Caractéristiques commerciales | |
Passagers | 93[2] |
Caractéristiques militaires | |
Aéronefs | Deux Alouette II |
Carrière | |
Armateur | Messageries maritimes puis Compagnie générale maritime |
Affréteur | IPEV et TAAF |
Pavillon | France |
IMO | 7208388 |
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Le Marion Dufresne était un navire français ayant assuré le transport des personnels et le ravitaillement des bases des Terres australes et antarctiques françaises entre 1972 et 1995[2]. Il effectuait également des travaux scientifiques.
Ayant pris la relève du Galliéni [3], il portait le nom de Marc Joseph Marion du Fresne, un explorateur français du XVIIIe siècle. Il a été remplacé, en 1995, par le Marion Dufresne 2.
Rebaptisé le Fres et navigant sous pavillon maltais, il servit de base à des Américains travaillant en Algérie avant d'être désarmé à Alang en 2004.
Caractéristiques
[modifier | modifier le code]Construit aux Ateliers et Chantiers du Havre, le navire est lancé le 16 mars 1972. Faisant 6450 tonneaux de jauge brute et long de 112 m, il transportait jusqu'à 93 passagers. Nécessitant 37 membres d'équipage, son autonomie était de 20 000 milles ou 2 mois et il pouvait embarquer 2 hélicoptères Alouette III[4].
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Yvonne Rebeyrol, « Le Marion-Dufresne a été lancé au Havre », Le Monde, , p. 14
- Bernard Estival, Un siècle de navires scientifiques français, Le gerfaut, , 160 p. (ISBN 978-2-914622-21-9, lire en ligne), p. 92-93
- « le paquebot-mixte GALLIENI des Messageries Maritimes », sur www.messageries-maritimes.org (consulté le )
- « le navire oceanographique MARION DURESNE des Messageries Maritimes », sur www.messageries-maritimes.org (consulté le )