Sonate K. 330
Sonate K. 330 ut majeur — , Allegro, 86 mes. ⋅ K.329 ← K.330 → K.331 ⋅ L.54 ← L.55 → L.56 ⋅ P.221 ← P.222 → P.223 ⋅ F.277 ← F.278 → F.279 —
⋅ VII 4 ← Venise VII 5 → VII 6
⋅ IX 6 ← Parme IX 7 → IX 8
⋅ II 6 ← Münster II 7 → II 8
|
La sonate K. 330 (F.278/L.55) en ut majeur est une œuvre pour clavier du compositeur italien Domenico Scarlatti.
Présentation
[modifier | modifier le code]La sonate K. 330 en ut majeur, notée Allegro, forme une paire avec la sonate précédente. La sonate est d'une écriture simple, dans un rythme de gigue[1].
Manuscrits
[modifier | modifier le code]Le manuscrit principal est le numéro 5 du volume VII de Venise (1754), copié pour Maria Barbara ; les autres sont Parme IX 7, Münster II 7[2].
-
Parme IX 7.
-
Parme IX 7 (fin de la première partie).
-
Venise VII 5.
-
Venise VII 5 (fin de la première partie).
Interprètes
[modifier | modifier le code]La sonate K. 330 est défendue au piano, notamment par Gerda Struhal (2007, Naxos, vol. 12), Carlo Grante (2013, Music & Arts, vol. 4) ; au clavecin par Scott Ross (1985, Erato)[3], Richard Lester (2003, Nimbus, vol. 3) et Pieter-Jan Belder (Brilliant Classics, vol. 8). Roberto Aussel l'interprète à la guitare (Æon).
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Chambure 1985, p. 210.
- Kirkpatrick 1982, p. 469.
- Victor Tribot Laspière, « Au Château d’Assas, sur les traces de Scott Ross et de Scarlatti », sur France Musique, (consulté le ).
Sources
[modifier | modifier le code]: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Ralph Kirkpatrick (trad. de l'anglais par Dennis Collins), Domenico Scarlatti, Paris, Lattès, coll. « Musique et Musiciens », (1re éd. 1953 (en)), 493 p. (ISBN 978-2-7096-0118-4, OCLC 954954205, BNF 34689181).
- Alain de Chambure, « Domenico Scarlatti : Intégrale des sonates — Scott Ross », Erato (2564-62092-2), 1985 (OCLC 891183737) .
Liens externes
[modifier | modifier le code]- Ressource relative à la musique :
- [vidéo] « Sonate K. 330 (Paolo Zanzu, clavecin — 2018) », sur YouTube