'No hay manera de explicar el sentido de la obra kafkiana de un modo absoluto. Esto es imposible, ya que ni él mismo entend
Infinidad y arte sin acabar
'No hay manera de explicar el sentido de la obra kafkiana de un modo absoluto. Esto es imposible, ya que ni él mismo entendía a veces lo que escribía ni se detenía a desmenuzar en detalle lo que había querido decir o dar a entender. [...] Logró inmortalizar a través de su escritura la figura que él, con tanto empeño, luchó constantemente en empequeñecer.'
Esta biografía me la ofreció su autor, Fernando Colavita, apasionado por los textos y todo lo que rodea al escritor Franz Kafka, desde hace años.
A lo largo del libro, trae a la luz los rasgos esenciales de nuestro eroe, eligiendo un compromiso exitoso entre análisis y síntesis donde los hechos aclaran de un modo económico y eficaz los fundamentales de su vida tan literaria como cotidiana. Él toma en cuenta a su familia y sus raices judías, sus correspondencias, revelando su visión compleja y paradojical de las mujeres, su relación especial con lo inconcluso y lo infinito.
No tardamos en entender cómo las obras de ficcion de Kafka por un lado reflejan su singularidad de un modo fantastico o absurdo muy reconocible y a la vez transforman su vida tan idiosincrásica en algo verdaderamente conmovedor y universal, a través de su alquimia literaria propia, un «arte de la infinita postergación» como Borges lo llama.
Todo esto lo logra el biógrafo mientras haciendo de esa lectura un placer con su pasión - contagiosa, y su humildad en cuanto al sujeto, al sentido profundo de los textos, invitando al lector a hacerse su propio punto de vista al respecto. Por eso te felicito, Fernando....more
Here is the bizarre odyssey of Alfred, young Dutch geologist looking for meteorites in Finnmark to settle the score after his father's untimeIdée fixe
Here is the bizarre odyssey of Alfred, young Dutch geologist looking for meteorites in Finnmark to settle the score after his father's untimely death and make a name for himself.
[image] Topography of Finnmark, where most of the novel happens, near Karasjok
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Here are interesting tidbits drawn from an English translation of the Dutch Wikipedia article for 'Nooit Meer Slapen':
From July 28 to August 5, 1960, the author attended a geographical symposium on glacial morphology and periglacial processes in Abisko (northern Sweden). The aim of the excursion was, in the words of publicist Arno van der Valk, 'to gain insight into the ice recession in the subarctic environment of the river Lule'. each participant shared a hotel room with one other participant; Hermans 'roommate was Torbjörn Fjellang, described by Otterspeer as "an amiable, quiet, simple geography teacher." Hermans then attended the nineteenth International geographical Congress in Stockholm from 6 to 13 August 1960. In July and August 1961 Hermans travelled with Fjellang on a study tour through Finnmark in Norway. This journey forms the basis of the novel. On July 8, Hermans and Fjellang arrived in Skoganvarre, where their two travel companions Harald Skålvoll (who was the model for Qvigstadt) and Per Akselsen (Mikkelsen) stayed for several days. Skålvoll and Fjellang had made this trip together before, while Akselsen, who studied geology, was Skålvoll's assistant. the four made three trips. The longest, according to Fjellang, 'was from 8 to 18 July from Skoganvarre via the Lievnasjavrre (lievnas Lake), the Vuorje and the Rævokløften to Ravnastua and Assebakte, and then across the water to Karasjok. A distance of about one hundred and fifty kilometers. Every day we walked an average of fifteen kilometers with heavy luggage: backpacks, sleeping bags, tent, food and instruments. Later we walked for five more days in the Kautokeino district and finally for four more days in the Solovomi area south of Alta." Hermans initially had trouble keeping up with the others: "it was clear that he was not used to walking in these terrain conditions with heavy equipment," says Skålvoll. "While crossing one of the rivers, he even fell, but fortunately he was not injured." as in the novel, The company also consisted of two duos in reality: Fjellang and Hermans climbed the Vuorje, the other two did not. They did visit all four Rævo-kløften (the gorge Valley from Chapter 34 of the novel), while in the novel Alfred and Arne have already split off from Qvigstadt and Mikkelsen. During the expedition, Skålvoll had aerial photographs, made available to him by the Norwegian Geological Survey at Trondheim, the Norwegian Geological Survey (NGU). The director was called Hvalheim (in the novel Hvalbiff).
C'est une sorte de fiction biographique parsemée de morceaux choisis tirés des Fleurs du Mal, du Spleen de Paris, des Paradis arL'invitation au voyage
C'est une sorte de fiction biographique parsemée de morceaux choisis tirés des Fleurs du Mal, du Spleen de Paris, des Paradis artificiels, le tout étayé par des interventions (documentées) de certains de ses contemporains : Hector Berlioz, Eugène Delacroix, Gustave Flaubert, Maxime du Camp, Théophile Gautier, les Frères Goncourt, Jules Barbey d'Aurevilly, Victor Hugo...
Je crois que le livre s'adresse plutôt aux lecteurs qui n'ont pas encore lu Baudelaire, ou qui cherchent une sorte de résumé anecdotique de sa vie. Sur ce terrain, le livre ne manque pas d'intérêt, et on apprend naturellement un paquet de choses sur sa relation à sa mère, son cadre de vie, ses loisirs... Quelques copies d'épreuves corrigées par Baudelaire sont reproduites et intégrées au roman, quoi de mieux pour se frotter au poète et voir quel genre de client il pouvait être pour les imprimeurs ?
Maintenant, en ce qui concerne la partie proprement romanesque, je trouve le style adopté par l'écrivain plutôt affecté, mêlant chez le narrateur registre familier et langage qui se voudrait soutenu, pêle-mêle, sans ordre et sans autre motif que l'intention comique de présenter le héros à travers le filtre d'un langage volontairement décalé, faisant de lui, à peu de choses près, un punk avant l'heure. Je crois que cette approche présente de sérieuses limites. Comme lecture passe-temps, ça fait l'affaire, par contre, si vous tenez à savoir qui était Charles Baudelaire plus en détail, et en nuances, il va falloir prolonger cette lecture par d'autres. Ça tombe bien : le livre donne des pistes !
[image] Portrait de Charles Baudelaire (1844) - Émile Deroy
Un poème :
Les Petites Vieilles
I Dans les plis sinueux des vieilles capitales, Où tout, même l'horreur, tourne aux enchantements, Je guette, obéissant à mes humeurs fatales Des êtres singuliers, décrépits et charmants.
Ces monstres disloqués furent jadis des femmes, Éponine ou Laïs ! Monstres brisés, bossus Ou tordus, aimons-les ! ce sont encor des âmes. Sous des jupons troués et sous de froids tissus
Ils rampent, flagellés par les bises iniques, Frémissant au fracas roulant des omnibus, Et serrant sur leur flanc, ainsi que des reliques, Un petit sac brodé de fleurs ou de rébus ;
Ils trottent, tout pareils à des marionnettes ; Se traînent, comme font les animaux blessés, Ou dansent, sans vouloir danser, pauvres sonnettes Où se pend un Démon sans pitié ! Tout cassés
Qu'ils sont, ils ont des yeux perçants comme une vrille, Luisants comme ces trous où l'eau dort dans la nuit ; Ils ont les yeux divins de la petite fille Qui s'étonne et qui rit à tout ce qui reluit.
- Avez-vous observé que maints cercueils de vieilles Sont presque aussi petits que celui d'un enfant ? La Mort savante met dans ces bières pareilles Un symbole d'un goût bizarre et captivant,
Et lorsque j'entrevois un fantôme débile Traversant de Paris le fourmillant tableau, Il me semble toujours que cet être fragile S'en va tout doucement vers un nouveau berceau ;
À moins que, méditant sur la géométrie, Je ne cherche, à l'aspect de ces membres discords, Combien de fois il faut que l'ouvrier varie La forme de la boîte où l'on met tous ces corps.
- Ces yeux sont des puits faits d'un million de larmes, Des creusets qu'un métal refroidi pailleta... Ces yeux mystérieux ont d'invincibles charmes Pour celui que l'austère Infortune allaita !
II
De Frascati défunt Vestale enamourée ; Prêtresse de Thalie, hélas ! dont le souffleur Enterré sait le nom ; célèbre évaporée Que Tivoli jadis ombragea dans sa fleur,
Toutes m'enivrent ; mais parmi ces êtres frêles Il en est qui, faisant de la douleur un miel Ont dit au Dévouement qui leur prêtait ses ailes : Hippogriffe puissant, mène-moi jusqu'au ciel !
L'une, par sa patrie au malheur exercée, L'autre, que son époux surchargea de douleurs, L'autre, par son enfant Madone transpercée, Toutes auraient pu faire un fleuve avec leurs pleurs !
III
Ah ! que j'en ai suivi de ces petites vieilles ! Une, entre autres, à l'heure où le soleil tombant Ensanglante le ciel de blessures vermeilles, Pensive, s'asseyait à l'écart sur un banc,
Pour entendre un de ces concerts, riches de cuivre, Dont les soldats parfois inondent nos jardins, Et qui, dans ces soirs d'or où l'on se sent revivre, Versent quelque héroïsme au cœur des citadins.
Celle-là, droite encor, fière et sentant la règle, Humait avidement ce chant vif et guerrier ; Son œil parfois s'ouvrait comme l'œil d'un vieil aigle ; Son front de marbre avait l'air fait pour le laurier !
IV
Telles vous cheminez, stoïques et sans plaintes, À travers le chaos des vivantes cités, Mères au cœur saignant, courtisanes ou saintes, Dont autrefois les noms par tous étaient cités.
Vous qui fûtes la grâce ou qui fûtes la gloire, Nul ne vous reconnaît ! un ivrogne incivil Vous insulte en passant d'un amour dérisoire ; Sur vos talons gambade un enfant lâche et vil.
Honteuses d'exister, ombres ratatinées, Peureuses, le dos bas, vous côtoyez les murs ; Et nul ne vous salue, étranges destinées ! Débris d'humanité pour l'éternité mûrs !
Mais moi, moi qui de loin tendrement vous surveille, L'œil inquiet, fixé sur vos pas incertains, Tout comme si j'étais votre père, ô merveille ! Je goûte à votre insu des plaisirs clandestins :
Je vois s'épanouir vos passions novices ; Sombres ou lumineux, je vis vos jours perdus ; Mon cœur multiplié jouit de tous vos vices ! Mon âme resplendit de toutes vos vertus !
Ruines ! ma famille ! ô cerveaux congénères ! Je vous fais chaque soir un solennel adieu ! Où serez-vous demain, Èves octogénaires, Sur qui pèse la griffe effroyable de Dieu ?'
Kakuzō Okakura a écrit ce livre en 1905 pour faire connaître le sens de la cérémonie du thé en occident.
La cérémonie du thé est une communion, une céKakuzō Okakura a écrit ce livre en 1905 pour faire connaître le sens de la cérémonie du thé en occident.
La cérémonie du thé est une communion, une célébration de la beauté dans les plus petits détails ordinaires. Ce moment particulier est présenté comme une synthèse des arts traditionnels japonais. Art de vivre et vie élevée à l'art, c'est une assise, une ascèse et une expérience spirituelle.
La voie du thé est par essence un culte de l'Imparfait, en ce qu'elle vise [...] au possible dans une vie vouée [...] à l'impossible. (p.23)
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1) L'incompréhension entre Orient et Occident
2) La propagation du thé et son entrée dans la vie des nations occidentales
3) Les ponts entre Orient et Occident
4) Les écoles de thé nées en Chine
I. Thé en brique bouilli sous les Tang (7e-10e siècle) II. Poudre de thé fouetté sous les Song (10e-13e siècle), sa pratique la plus aboutie d'après l'auteur. III. Feuilles de thé infusées sous les Ming (14e-17e siècle).
5) La parenté entre taoïsme, bouddhisme zen et cérémonie du thé
Le taoïsme, décrit par beaucoup comme l'art d'être au monde, Le bouddhisme zen qui constitue une école du relatif, La cérémonie du thé : le cadre de leur pratique. Le lieu et le temps où s'apprécie ce qui est.
6) L'architecture japonaise classique rapportée à l'architecture néo-classique occidentale
7) Le déroulement du cérémonial
La cérémonie du thé et la maison qui l'abrite suggèrent l'écoulement du temps, l'incomplétude, l'impermanence, l'imperfection. L'univers se retrouve dans le particulier. Une critique lucide de la notion de représentation en occident.
8) Le sens de l'art, le sens du chef-d'œuvre
L'art exalté par la vie, la pratique de l'art dans la vie. Un chef d'œuvre accueille au plein sens du terme son contemplateur.
9) Les écoles florales :
Leurs combinaisons, la cérémonie à la fleur morte. Usage subtil de l'inutile, respect pour tous les êtres.
10) Le maître de thé
Maîtres d'art, maîtres de vie Régler la vie sur un modèle de raffinement. Prendre en compte l'unicité de toute chose.
Un avis personnel : Ce livre de 171 pages forme une excellente introduction à cette réalité incontournable de la vie sociale et de la spiritualité japonaise. Dans l'introduction, le maître de thé Sen Soshitsu XV résume le message du Livre du thé en 20 pages. Il élargit, commente et illustre dans la postface d'octobre 1989. Il est membre du lobby nationaliste et révisionniste Nippon Kaigi...
'To sail is to come to grips with restraints you have set for yourself. This is a privilege. Most humanMemoirs from the Open Sea - Éric Tabarly
'To sail is to come to grips with restraints you have set for yourself. This is a privilege. Most humans endure the restraints life has set for them.' - p.98
This is the raw, coarse text, where the famous Breton sailor tells you about his life over the seas. And be prepared, as it is intermingled with romanesque twists and turns. An ode to obstinacy before hardships and to brenthren navigators.
TABARLY'S ACHIEVEMENTS :
1) Single-handed transatlantic race aboard Pen Duick II (1964)
2) Pen Duick III, first one built in duralinox (1967)
3) Pen Duick IV, first trimaran from Tabarly, when neither France nor the United States considered it as a valid option (1968)
4) Pen Duick V, tailored for the single-handed transpacific in March the 15th 1969
5) Pen Duick VI, a boat normally manned by 14 crew that Tabarly sailed single-handed during the transatlantic
Un texte brut, à la facture grossière, entrecroisé de péripéties quasi-romanesques ! Une célébration de la ténacité, de l'entêtement devant l'adversité, de la solidarité qui lie entre eux les amoureux de la voile.
'L'homme a besoin de passion pour exister, certains se battent pour maintenir Venise à flot, d'autres passent leur vie à restaurer un vieux château en ruines. Pen Duick est un chef-d'oeuvre de l'architecture navale de jadis. Il ne fallait pas qu'il meure. De tout temps, j'ai voulu qu'il survive et qu'il navigue.' - p.5
'Naviguer, c'est accepter des contraintes que l'on a choisies. C'est un privilège. La plupart des humains subissent les obligations que la vie leur a imposées.' - p.98
=> Présentation du monde fantastique, à part, des navigateurs sur les courses trans-atlantiques/trans-pacifiques. Extraits étendus du journal de bord pendant les transatlantiques.
=>Portraits des équipiers d'Eric : Olivier de Kersauson, Daniel Gilles, Gérard Gilles, Gérard Petipas, Alain Colas, et de leurs différences de caractère marquées.
=> Les tribulations, les marchandages et les négociations autour de chaque bateau, autour de chaque course, le regard critique sur les handicaps consentis par la Royal Ocean Racing Club et les record de voiliers dans des conditions climatiques différentes. Pannes et imprévus techniques tout du long : voiles et mats et pilotes auto en peine pendant les courses.
LES TRIOMPHES DE TABARLY:
1) La Transatlantique solitaire avec Pen Duick II en 1964
Le Pen Duick II est construit par les chantiers Costantini, le même qui avait donné les réparations sur Pen Duick. Tabarly navigue sur la route de Nantucket-Newport, dans le sillage de Melville, puis dans les eaux de New York, où son regard nostalgique redouble celui de Céline, lui qui avait aussi visité New York en début de siècle : 'Pour une surprise, c'en fut une. À travers la brume, c'était tellement étonnant ce qu'on découvrait soudain que nous nous refusâmes d'abord à y croire et puis tout de même quand nous fûmes en plein devant les choses, tout galérien qu'on était on s'est mis à bien rigoler, en voyant ça, droit devant nous... Figurez-vous qu'elle était debout leur ville, absolument droite. New York c'est une ville debout. On en avait déjà vu nous des villes bien sûr, et des belles encore, et des ports et des fameux mêmes. Mais chez nous, n'est-ce pas, elles sont couchées les villes, au bord de la mer ou sur les fleuves, elles s'allongent sur le paysage, elles attendent le voyageur, tandis que celle-là l'Américaine, elle ne se pâmait pas, non, elle se tenait bien raide, là, pas baisante du tout, raide à faire peur. On en a donc rigolé comme des cornichons. Ça fait drôle forcément, une ville bâtie en raideur. Mais on n'en pouvait rigoler nous du spectacle qu'à partir du cou, à cause du froid qui venait du large pendant ce temps-là à travers une grosse brume grise et rose et rapide et piquante à l'assaut de nos pantalons et des crevasses de cette muraille, les rues de la ville, où les nuages s'engouffraient aussi à la charge du vent. Notre galère tenait son mince sillon juste au ras des jetées, là où venait finir une eau caca, toute barbotante d'une kyrielle de petits bachots et remorqueurs avides et cornards. Pour un miteux, il n'est jamais bien commode de débarquer de nulle part mais pour un galérien c'est encore bien pire, surtout que les gens d'Amérique n'aiment pas du tout les galériens qui viennent d'Europe. C'est tous des « anarchistes » qu'ils disent. Ils ne veulent recevoir chez eux en somme que les curieux qui leur apportent du pognon, parce que tous les argents d'Europe, c'est des fils à Dollar. J'aurais peut-être pu essayer, comme d'autres l'avait déjà réussi, de traverser le port à la nage et de me mettre à crier : « Vive Dollar ! Vive Dollar ! » C'est un truc. Y a bien des gens qui sont débarqués de cette façon-là et qui après ça on fait des fortunes. C'est pas sûr, ça se raconte seulement. Il en arrive dans les rêves des biens pires encore. Moi j'avais une autre combinaison en tête, en même temps que la fièvre.' - Voyage au bout de la nuit - Louis-Ferdinand Céline
2) Pen Duick III, premier en duralinox (1967) Construit cette fois aux chantiers de la Perrière, à Lorient. Saison de gloire de Pen Duick III, entrevue avec DG le 20 octobre 1967 Sydney-Hobart, rencontre du professeur de français de l'Université de Sydney, Alain Colas !
3) Pen Duick IV, premier trimaran de Tabarly (1968) Innovation dans les multicoques, alors qu'à l'époque la France comme les US y sont réfractaires. Manque cruel de finitions, avec toujours un départ de course en dernière minute !
4) Pen Duick V, prévu pour la transpacifique en solitaire (15 mars 1969) L'innovation sur le Pen Duick V, ce sont les ballasts pour stabiliser le bateau ; Le navire arrive premier avec 10 jours d'avance. Il sera l'inspirateur des voiliers du Vendée-Globe.
Éric Tabarly est aussi précurseur dans le domaine des hydrofoils, avec des projets dans ce sens (concept de bateau volant en 1975).
5) Pen Duick VI, transatlantique en solitaire dans un bateau prévu pour un équipage de 14 personnes. C'est la dernière transat avant les courses aux sponsors.
6) Les dernières courses de Tabarly : Paul Ricard ; 2 fois concurrent dans la Côte d'Or ; Bottin entreprise.